Bis et vache
Et notre arrière gauche Behdismoi
Umtiti et Grosminet ;bave:
votez mes frères! http://www.pixule.com/209260845872_vous-etes-supporter-quelle-equipe.html
Benzahia
Balle ou lit
Les gars on est premier du sondage
On est premier tout court
Matuidi qui voit rouge sans prendre de carton
29e au classement général
Ma carrière https://www.jeuxvideo.com/forums/1-28771-1652129-1-0-1-0-carriere-york-city-presentation.htm
L'entraîneur de Nantes dit que Djordjevic à Lyon, c'est de l'intox!
http://www.foot01.com/equipe/ol/djordjevic-a-l-ol-de-l-intox-pour-nantes,121077
Vous voulez voir une ITW de Dieu ?
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Après une pige de sept mois en Major League Soccer, le milieu de terrain et ancien international brésilien Juninho Pernambucano a décidé, à 38 ans, de rentrer au pays et de porter pour la troisième fois de sa carrière le maillot de son club de cœur, Vasco da Gama.
Considéré comme l’un des meilleurs tireurs de coup franc de l’histoire, l’ancien capitaine de l’Olympique Lyonnais, avec lequel il a gagné le titre de champion de France à sept reprises, revient pour FIFA.com sur cette nouvelle étape de sa vie.
Toujours très à l’aise face aux micros, le natif de Recife évoque son expérience aux États-Unis aux New York Red Bulls et son immense carrière, marquée par ses années lyonnaises, la sélection nationale, et se projette sur son après-carrière.
Juninho, vous êtes rentré au pays il y a quelques semaines en rejoignant votre club de cœur, Vasco da Gama. Comment se passe ce retour aux sources jusqu’à présent ?
Je suis tellement heureux d’être de retour au Vasco da Gama car c’est mon club de cœur. Après avoir quitté New York, je me suis posé des questions pour savoir si je devais continuer ma carrière ou bien m’arrêter. Après mûre réflexion et avoir discuté avec la direction de Vasco, j’ai décidé de revenir au club jusqu’à la fin de la saison. Je me sens de mieux en mieux physiquement et même si notre saison est un peu irrégulière jusqu’à présent, je veux aider l’équipe à redresser la barre en apportant mon expérience au groupe.
Pour votre premier match, vous avec inscrit un but et délivré une passe décisive face à Fluminense. Vous ne pouviez pas rêver d’un meilleur retour…
Mes débuts ne pouvaient pas mieux se passer ! J’étais très excité à l’idée de retrouver le maillot de Vasco et de disputer ma première rencontre officielle. Ce derby était très attendu, et nous avons réussi une belle prestation. J’étais bien en jambes et ma contribution a permis à mon équipe de remporter la victoire. Lorsque j’ai marqué mon but, j’étais tout simplement fou de joie.
Vous retrouvez Vasco après une parenthèse de sept mois aux New York Red Bulls, en Major League Soccer. Que retenez-vous de votre aventure américaine ?
C’était une expérience très intéressante, tant sur les terrains qu’en dehors, même si j’ai eu quelques petits pépins physiques. J’ai pu partager mon quotidien avec de grands joueurs, comme Thierry Henry par exemple, et vivre dans un endroit fantastique. New York est un endroit formidable. J’ai adoré le dynamisme de cette ville. Il y a tellement de choses à y faire.
Votre carrière a réellement décollé à l’Olympique Lyonnais, où vous avez passé huit saisons. Quels souvenirs gardez-vous de votre passage en France ?
Je garde de superbes souvenirs de mon passage à Lyon et le club restera à jamais dans mon cœur. J’y ai grandi comme joueur mais aussi en tant qu’homme. Durant mes huit saisons à l’OL, nous avons remporté sept titres de champion de France, ce qui est quelque chose d’énorme. Le président Jean-Michel Aulas a réussi à construire un très grand club, qui fait partie aujourd’hui des meilleures équipes de France et d’Europe. Je suis et resterai un supporter lyonnais toute ma vie.
En sélection brésilienne, vous avez joué avec certains des meilleurs joueurs de l’histoire de la Seleção comme Kaka, Rivaldo, Ronaldinho ou Ronaldo. Qu’est ce qui vous impressionnait le plus chez eux ?
C’est un honneur pour moi d’avoir joué avec d’aussi grands champions. Quand je repense à l’équipe que nous avions à la Coupe du Monde 2006, c’était tout simplement hallucinant ! Ce qui était le plus impressionnant chez eux, c’était leur aisance technique. Par exemple, un joueur comme Ronaldinho fait ce qu’il veut avec le ballon. En match ou à l’entraînement, il sortait toujours des gestes incroyables.
À un an de la Coupe du Monde de la FIFA, Brésil 2014™, la Seleção revient en force après son succès en Coupe des Confédérations de la FIFA 2013. Que pensez-vous de l’équipe dirigée par Luiz Felipe Scolari ?
C’est une équipe qui compte beaucoup de joueurs de talent et qui possède encore une grande marge de progression. Durant ses derniers mois, le collectif est devenu plus solide et le bloc équipe est devenu plus compact, surtout en défense. Lors de la dernière Coupe des Confédérations, le Brésil a effectué de très belles prestations, comme par exemple face à l’Espagne en finale du tournoi. C’était un très bon test pour l’an prochain. Une chose est sûre : le Brésil sera l’un des favoris pour le titre.
Vous vous approchez de la fin de votre carrière. Avez-vous déjà réfléchi à des projets de reconversion ?
J’ai plusieurs idées en tête, mais je n’ai pas encore pris de décision concrète. J’ai été approché pour devenir consultant à la télévision au Brésil et en France, et je devrais très vraisemblablement travailler autour de la Coupe du Monde 2014. Je me pose encore des questions car je suis encore très attaché au terrain, donc la perspective d’entraîner est aussi à prendre en considération. On m’a demandé il y a peu de temps si j’aimerais entrainer l’Olympique Lyonnais. C’est vrai que l’idée est belle, mais il y a une équipe déjà en place. Si à l’avenir l’opportunité se présente, j’y réfléchirai car je dois d’abord savoir si je suis capable d’assumer une telle responsabilité.
OmgOD ! Je veins de oirle resumer de paris , le sauvetage de pedretti , les 2 barre de t.sylva et surtout les 3-4 parade exceptionnel de memo
Juninho n'est pas "l'un" des meilleurs tireurs de CF de l'histoire, il est LE meilleur de l'histoire, nuance !