Merci à vous !
Merci du lien dempsey, je regarde de suite
J'ai terminé la suite sinon, elle sera posté demain ou en début de semaine sans doute
no problem
sympathique non le short movie ?
vivement que tu nous la partage
Ouaip il est pas mal réalisé, j'aime bien les plans choisis, il manque un peu de dynamisme à certains moments mais c'est tout de même correct
Je vous met la suite dans un instant
Hotline Miami • Midnight Animal : Part One - Phonecalls
https://www.youtube.com/watch?v=U1W_KJ4eV3k&index=2&list=PLsZzPoNVGUugWcOeVyIzKEWYQV6olueox
Le coup arrive mais n’atteint pas ma figure. J’ai réussi à rouler sur le côté et à récolter le fusil de ma précédente victime. Encore allongé sur le sol, je tire une salve de balles automatiquement. Je n’ai jamais appris à tirer de ma vie. Mon agresseur se retrouve perforé de toutes parts et s’écroule lui-même au sol. Je me relève, prend sa barre de fer d’une main, le fusil dans l’autre et me dirige vers un couloir où d’autres ennemies m’attendent. L’un s’élance sur moi avec son couteau mais ne reçoit qu’un coup de fusil à pompe et meurt directement, l’autre se retrouve massacré par coups de barre de fer. Son corps s’allonge sur le mur, dont le sang s’écoule petit à petit.
Le dernier homme se tient là, devant moi, vêtu d’un imper foncé et d’un chapeau. Il tient dans sa main ce pourquoi je suis ici : la mallette. Cependant, il n’a pas l’air de vouloir se battre mais je n’hésite pas et le tabasse violemment à son tour, il meurt après quelques secondes. Je récupère la cible et reviens sur mes pas. Je prends peu à peu conscience du massacre que j’ai causé, des hommes que j’ai défiguré, des dégâts que j’ai fait. Je dois me tirer d’ici et vite. La police pourrait arriver d’un moment à l’autre, je ne devais pas tarder sous peine de finir ma vie au fond d’une cellule.
J’entends le métro arriver. Je descends quatre à quatre les marches des escaliers par lesquels je suis venu puis me précipite vers la porte d’entrée en évitant les cadavres encore chauds gisants sur le sol carrelé de la station de métro. En jetant un coup d’œil vers le quai, je vois deux hommes descendre de la rame, eux aussi habillés de costumes blancs : ils ont été prévenus et je ne dois laisser aucuns survivants avant de partir.
Je me dirige donc calmement vers leur direction, mallette en main. J’assomme le premier à l’aide de cette dernière et écrase le visage de l’autre. Il meurt rapidement avant que je me retourne vers le premier homme qui rampe à présent en direction de la sortie. Je le frappe dans le dos à coups de mallette puis le pousse sur les rails en contrebas. Le nettoyage terminé, je me dirige à nouveau vers l’extérieur pour retrouver ma voiture – une DeLorean DMC-12 que j’ai durement acheté – pour aller à ma prochaine destination.
https://www.youtube.com/watch?v=-7yy8iZunoU&list=PLsZzPoNVGUugWcOeVyIzKEWYQV6olueox&index=14
Le lieu est une piteuse ruelle perdue en plein centre de la ville, je me dirige vers une grande benne à ordures pour y déposer la mallette à l’intérieur puis referme le couvercle. Ma mission est terminée. Je ne suis pas payé, je ne connais pas mes employeurs, j’ai simplement obéi. Peut-être avais-je peur de mourir si je n’avais pas fait ce qu’il fallait, peut-être suis-je réellement en danger ou peut-être est-ce mon cerveau qui décide à ma place. J’ai tellement de questions. Soudain, la voix d’un vieil homme à moitié bourré atteint mes oreilles.
« Qui est là ? Je vous entends ! Je sais que vous êtes là ! »
Je tourne mon visage vers un clochard coiffé d’un bonnet et vêtu d’un blouson sale et déchiré. Il tient une bouteille d’alcool vide dans une main et une vieille batte de baseball dans l’autre. Je sors de ma cachette et lui fait face. Il me dévisage longuement et observe le masque que je porte encore. Ses yeux s’abaissent sur mon blouson tâché de sang. Après une brève réflexion, il se lance sur moi sans raisons. Il n’avait aucune raisons de me tuer. Moi j’en avais deux : pas de témoins et défense pour une agression venant d’un étranger. L’une est plus légale que l’autre, mais peu importe. Il lâche sa bouteille et donne un coup maladroit bien à côté de mon visage. Il fend l’air deux ou trois fois avant de s’épuiser. Cet homme est littéralement bourré sur les bords. J’en profite pour le frapper au visage de mon poing droit puis de lui subtiliser son arme. Il s’écroule comme un poteau sur le sol. Je l’achève froidement d’un coup de batte sur le visage.
Je m’éloigne de son cadavre en direction de ma voiture mais une sensation bizarre envahit mon corps. Je lâche la batte qui fracasse le sol d’un bruit sourd puis retire rapidement mon masque pour enfin m’écrouler sur le sol et vomir tout ce que j’avais dans le ventre. C’était la victime de trop. Qu’est-ce qu’il m’arrive ? Qu’est-ce que je suis devenu ?
ouais y manque des petites chose pour être bien dans l'ambiance de HM mais c'est pas une mauvaise interprétation (hotlin london)
toujours aussi bon l'ajout des musique est parfaits
par contre pour le fusil a pompe il le porte a une main a un moment et il tire avec, dans le réalisme de la chose son corps ne serait pas pousser vers l’arrière vu qu'il n'y est pas habituer
sweet
Alors, pour le fusil à pompe, c'est vrai que c'est un détail que j'ai omis de préciser mais libre à vous d'interpréter la chose comme vous le pensez
Je vais essayer de travailler la suite dès que j'en aurais l'occasion, je vous tiendrais au jus quand elle sortira
Trés bien, continue de mettre le lien des musiques c'est mieux
SWEEET
Oui à partir de maintenant il y aura toujours une ou deux musiques par chapitres en moyenne pour renforcer la lecture
La suite n'est pas encore prête mais elle arrivera bientôt ne vous inquiétez pas
Je suis embêtant pour des petits détails ahah ^^' mes merci de ta réponse
En tout cas la suite la suite ton public n'en peux plus ;)
Hotline Miami • Midnight Animal : Part One - Phonecalls
Je ne connais pas son nom. Tout ce que je sais de lui, c’est qu’il s’agit d’un jeune adulte qui bosse en tant que vendeur dans plusieurs boîtes du coin. Je connais parfaitement ses horaires et où il se trouve chaque jour de la semaine. Il est l’une des rares personnes à tenir sur le fil de ma vie sociale. Et encore il ne sait que très peu de choses sur moi. Peut-être parce que je n’ai rien à raconter. Mais je me suis déjà confier à lui et, avec le temps, je suis devenu son client quotidien.
https://www.youtube.com/watch?v=Ycj3Do9apPM&index=4&list=PLL-GuEbD-2_uuk7kGyPbAqAwIZiS6LFFt
Le jour se lève dans quelques heures et le Mardi, c’est à l’épicerie que je dois me rendre. J’entre dans le magasin et prend soins d’essuyer mes chaussures sur le paillasson. A la fermeture de la porte, une sonnerie indique ma venue et je vois mon vendeur tourner la tête vers moi. Je ne vois qu’un seul autre client en train de fouiller dans les congélateurs à l’autre bout de la pièce mais je n’y prête pas plus attention que cela. Mes pas se dirige machinalement vers le comptoir et mes yeux discernent à présent ce visage qui m’est familier : de longs cheveux bruns, une barbe non entretenue, des yeux verts surmontés de grosses lunettes noires tenues par un nez énorme, quelques boutons par-ci et là sur ses joues.
« Yo, mec ! Dis-donc, ça fait un bail ! J’avais carrément pensé qu’il t’était arrivé quelque chose. Tu sais après la mort de ta copine… je ne me souviens plus t’avoir vu après ça. »
Merci de me le rappeler, mais je n’ai vraiment pas envie d’en parler. Elle est morte à cause de moi, c’était ma seule raison de vivre. Je l’ai foutue en l’air…
« Hum, peut-être que l’on devrait parler d’autre chose… »
T’as raison mon pote, après tout ce que j’ai fait cette nuit, pas la peine d’en rajouter une couche. Je n’ai pas envie de causer, tout ce que je veux, c’est ma bouffe.
« De sortie pour une graille de minuit si je comprends bien ! N’est-ce pas ? »
Il a enfin compris ce pourquoi je suis venu ! Je sors donc mon portefeuille pour sortir quelques liasses de billets mais il repousse la monnaie aussitôt. Quoi il ne veut pas que je paye, c’est légal ça ?
« Pas la peine, me dit-il, c’est la maison qui offre ! »
Après réflexion, je range mon argent puis me dirige vers le rayon surgelé. Je prends deux ou trois salades en plus d’une pizza puis repart en direction de la sortie. Sur le seuil de la porte, j’entends la voix du vendeur derrière-moi.
« C’était bon de te revoir, passe une bonne nuit ! »
C'est mon Alex un bijou a lire ^^
Par contre y c'était pas juste sépare avec son ex ? bah apres ca rajoute un coter plus glauque a jacket donc bon no problem
Axel* sorry ^^'
Merci
Alors le fait qu'elle soit morte est un détail mais tu comprendras pourquoi j'ai changé plus tard...
Wait & See
PS : Oui Alex/Axel, ça, j'y ai droit tous les jours t'es pas le premier à confondre t'inquiètes pas
No problèmes ^^
Ca marche je voulais juste confirmer ^^ j'ai hâte de savoir
Bien
sweet
Si tu veux cherché à faire les messages de téléphone,tu peux faire des conneries comme le niveaux 2 où on te parle de baby sitting où j'sais plus ..