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Assassin's Creed IV : Black Flag

Sujet : [RP] L'héritage des Ombres
[CTM]
Niveau 10
11 février 2013 à 23:17:48

Gyth la cinquantaine de lignes c'est pour éviter d'avoir de tous petits textes de 5lignes :ok:
Bien sur que tu peux en faire plus :noel:

Ghyt9876_2
Niveau 10
11 février 2013 à 23:21:00

Ah ok c'est 50 mini :hap: donc je peux allonger le truc :noel:

[CTM]
Niveau 10
11 février 2013 à 23:23:07

Oui bien sur :noel:
Il y a un minimum, mais pas de limite :hap:

Wawa37
Niveau 10
11 février 2013 à 23:28:39

Ouais je sais CTM pour la fiche perso, mais bon, je suis pas trop habitué à écrire sur portable :noel:

[CTM]
Niveau 10
11 février 2013 à 23:31:05

Tu feras ça demain au pire :noel:

[CTM]
Niveau 10
11 février 2013 à 23:37:31

J'y vais, a demain :hap:

Ghyt9876_2
Niveau 10
11 février 2013 à 23:55:21

J'ai l'impression d'avoir foiré la fin :peur:

Grèce, Athènes, 65 avant Jésus-Christ.

« Cela fait maintenant dix ans que je suis à Athènes, dix ans que cette vision hante mes rêves, dix ans que son nom me traque, dix que je revois mon père s’écrouler sur le sol et que les cris de ma mère résonne dans ma tête… dix longues années que je me cache pour ne pas subir le même sort que mon père… »

Je regardais par la fenêtre, voyant les citoyens d’Athènes aller et venir devant ma fenêtre, que je les vois marcher dans le forum, dont je n’ai jamais eu le courage de m’aventurer depuis ce jour, je serais ma Bulla (Boula) dans ma main, je devais m’en séparer il y a maintenant trois ans, mais je l’ai toujours, je devais recevoir la Toga Virilis (Togua Ouirilisse) , je ne cesse de pensé que je ne perpétrerais jamais les coutumes de mon pays et cela renforce ma haine envers César. Je remis ma Bulla autour du cou et je m’apprêtais à sortir acheter un nouveau burin pour graver mes citations philosophiques sur mes blocs. Je marchais dans les rues bondées d’Athènes, quelle magnifique ville. J’arrivais vers le forum, je m’apprête à la contourner comme à mon habitude mais je décide de le traverser. Je m’avance jusqu’à l’entrée du forum, pourquoi devrais-je avoir peur, quelles sont les chances que cela se reproduise ? Je m’avance donc avec assurance, comme une personne normale. Mais d’un coup je m’arrêtai, je ne pouvais continuer, je pris donc un autre chemin pour arriver jusqu’au marchand.

« - Tha saz párô kalemi ( je vais prendre un burin )
- Treis drachmí (trois Drachme)
- Kratíste. Sas efcharistó. (Tenez. Merci) »

Je décide de ne pas m’attardé, Agnodice risque de s’inquiétée.
J’arrivais chez moi, j’ouvris la porte et je surpris une conversation entre Agnodice et un homme, ils ne m’ont pas remarqué à mon arrivée.

« - Il va être anéanti, dit Agnodice, comment vais-je lui annoncer ça ?
- Je vais lui annoncer si vous le voulez, répondis l’homme, qui ne m’était pas inconnu.
- Pauvre garçon, il ne mérite pas ce qui lui est arr… Brictius, c’est toi mon garçon ?
-Oui Agnocide, je regardais l’homme à côté d’elle, Maximus ? Que fais-tu là ?
- Tu devrais t’assoir, me dit Maximus, un ancien matelot du navire sur lequel j’ai étais envoyer pour venir à Athènes.
Je me suis assis sur le tabouret derrière moi
- Agnocide, qui y’a-t-il ?
- C’est ton ami Secundus, il a été enlevé
- Quoi ?! Je me levai de ma chaise en furie, ce n’est pas possible
- Ce sont des bandits qui l’ont enlevé
-Ce n’est pas possible je ne peux pas le croire.
- Je les ai vu de mes propres yeux, je n’ai rien pu faire

Je saisis le burin dans ma sacoche

-je vais les tués

Maximus me retint par le bras et me prit le burin des mains

- Brictius, calme-toi bon sang, dis Maximus.
- Comment veux-tu que je me calme alors que l’homme qui m’a protéger pendant mon enfance, pendant mon périple sur la mer quand j’avais dix à été enlever, et on ne sait même pas quel sort lui es réserver
- C’est bien trop dangereux Brictius, tu te ferais tuer en t’aventurant là-bas
- Et alors ? Je préfère encore mourir en essayant de sauver l’homme qui m’a protégé plutôt que de le laisser se faire tuer par des oi arouraíoi áplistoi (rats avide d’argent). »

Je marchais partout dans la maison, ne savant quoi faire. La nuit tomba, Maximus était parti et Agnocide s’est endormie. Je décide d’aller dans la cuisine et de prendre un couteau, je regardais Agnocide une dernière fois avant de partir, car je risquais de ne pas revenir…
Avant de partir, Maximus m’a dit que Secundus se trouver dans la bâtisse d’un dignitaire Athénien nommé Agathon près de l’acropole en haut de la colline. Ce dignitaire engage souvent des bandits pour enlever des hommes pour en faire des esclaves ou pour les torturés pour son bon plaisir. Cet homme ne mérite pas de vivre.
Je me dirigeais vers la bâtisse du dignitaire en évitant les gardes et les lieux éclairés. Les prisonniers se trouvent dans la cours de la demeure, les futurs esclaves dans une pièce à l’un des étages et les « jouets » du dignitaire dans le sous-sol. Je remarque une fenêtre ouverte, non éclairée sur la façade ouest de la bâtisse, je décide de l’escaladé. J’enjambe la fenêtre, et je me retrouvai dans un long couloir obscure, j’entendais des cris d’hommes torturer à l’extérieur, maintenant à l’intérieur, je ne pouvais m’empêcher d’avoir une pensé pour ces pauvres hommes. Je me dirige vers la cours de la bâtisse, un garde se tenait sur le balcon qui mène à la cours, j’avais le choix entre le tuer, l’assommé, ou ne rien faire. Je vis un buste à côté de moi, je décide de le prendre et de le fracasser contre sa tête, je cachai son corps. Et je me dirigeai vers la cellule au milieu de la cours. Les cris étaient de plus en plus horribles. Ces hommes était destiné à eu vie d’esclave ou un temps de torture, je ne peux pas les laisser ici, mais il fallait d’abord trouver la clé. L’un d’eux me dit que le dignitaire l’a sur lui, je décide d’abord de retrouver Secundus, après m’être renseigner, je me dirige au deuxième étage pour aller dans la pièce où se trouve les futurs esclaves. Je savais qu’il y avait des gardes.
Je cogne à la porte, un garde ouvre

« -Qui êtes vous, que faites vous là ?
-Et bien en faite je me demandais comment faire pour vous tuer... »

J’agis avec rapidité et je lui plante mon couteau dans la gorge, le sang gicla sur les murs et mon visage, une sensation étrange m’envahit. Je me rends compte qu’il était le seul garde dans cette pièce. Il n’y avait aucun signe de Secundus, je crains le pire. La maison est bien trop grande, je me perds à l’intérieur. Après plusieurs minutes de marche, la tension au maximum, par peur de me retrouver en plein combat contre des gardes, je trouve enfin l’accès au sous-sol, après avoir descendu l’escalier, un long couloir se tenait devant moi avec au bout une porte et deux gardes qui la gardait, je devais trouver un moyen de les éliminés. Je décide de me montrer aux gardes et de courir, ces derniers se mis à me poursuivre, je réussi à monter sur une poutre au dessus de l’escalier, les gardes se dirigèrent vers la cours. Je descendis et me dirigeais vers la porte. Elle était ouverte, en l’ouvrant, je vis une seule de torture inimaginable, comment ne pas être choqué en voyant ça ? Plusieurs installations, des corps étaient encore sur certaines machines. Je regardais partout, à la recherche de Secundus, et je le vis, le dignitaire se tenait devant lui, premier à activer sa machine, je couru vers lui et lui assainît plusieurs coups de couteaux, la rage m’a envahit au moment où je l’est vu. Secundus était inconscient. Je pris les clés sur le dignitaire, Secundus sur mes épaules et je couru vers la cours, les gardes n’étaient pas là, je libérai les prisonniers, je ne pouvais rien pour les esclaves, les gardes étaient déjà à l’étage. Je suis parti, avec la sensation que je ne serais plus le même.

ThePoloboss
Niveau 10
12 février 2013 à 07:49:42

Je peut donner mon avis même si je suis pas correcteur?

Lenski
Niveau 10
12 février 2013 à 09:39:10

Tant que c'est fondé , oui :pf:

Jet_lag
Niveau 10
12 février 2013 à 10:06:22

C'est tout à fait normal polo, c'est un rp, donc biensur qus'on peut donner sosns avis sur un texte :noel:

[CTM]
Niveau 10
12 février 2013 à 11:41:34

Je posterai ma critique aux alentours de 17h30 :hap:
Là je vais la commencé, mais je doute pouvoir la finir avant la reprise :noel:

Jet_lag
Niveau 10
12 février 2013 à 12:09:50

Je suis à jour sur l'ère, il faut que je me mette à jour ici maintenant :hap:

Lenski
Niveau 10
12 février 2013 à 13:59:25

Bah vas y :noel: /

Lenski
Niveau 10
12 février 2013 à 14:35:18

[1780, France]
Le jeune homme était torse nu au milieu d'une salle presque vide illuminée par une poignée de torche allumées. Il tenait son épée et se plaça le plat de la lame contre le fond tout en reprenant son souffle. D'un geste du bras il essuya la transpiration qui irritait ses yeux à l'aide de son poignet. D'un geste vif il fendit l'air et enchaîna plusieurs mouvements à l'aide de son épée. Il savait qu'aucune partie de son corps n'avait été épargnée par la transpiration mais il savait également que ce qu'il faisait lui sauverait peut être la vie. Son entraînement devait faire de lui un grand combattant, capable de faire face à n'importe qui.
-Loras !
Loras se retourna pour faire face à son père, un homme de haute stature, qui avait également pour lui d'être un riche marchand. Il avait utilisé son argent pour aider l'Ordre à s'étendre autant que possible mais malgré tout il y avait encore beaucoup de chemin à faire.
-Oui, père ?
-Arrêtes-toi là. Je vais t'offrir ta première mission.
-Je l'accomplirai au nom de notre cause, répondit Loras en s'inclinant respectueusement.
-J'ai besoin que tu ailles retrouver un de mes vieux amis. Il n'en a pas l'air à première vue mais il est aimé et, de ce fait, influent parmi les paysans.
-Ne devons-nous pas laisser le peuple comprendre par lui même ce qui est bon pour lui ?
-Il est toujours bon d'être guidé. Nous n'imposons rien, nous ne faisons que proposer quelque chose. Libre au peuple de choisir de nous suivre ou non.
-Je comprend, répondit Loras. Je vous remercie de m'avoir éclairé.
Il alla jusqu'à la salle de bain où il versa de l'eau froide sur son corps dégoulinant. Protéger le peuple, tel était sa tâche mais comment faire ? Le peuple français représentait un nombre imposant d'hommes et de femmes. Connue par sa population nombreuse, la France était dépendante de ses récoltes abondantes dues à une grande partie de la population travaillant la terre au profit d'un petit groupes d'hommes favorisés.
-Je suis prêt, lâcha Loras en sortant de la baignoire et en allant enfiler ses vêtements. Il ne sortait pas de l'ordinaire, passant peut être pour un comptable. En se dirigeant vers l'écurie où attendait sa fidèle monture, il eut une sensation étrange. Il eut l'impression qu'il ne devait pas partir mais il chassa les doutes de son esprit et quitta la capitale. Il aimait cette sensation, le vent contre son visage, cette impression de vitesse, cette sensation qu'il pouvait atteindre des lieux éloignés en un temps record. Tout cela était grisant mais il ne devait pas pour autant en oublier sa mission. Il savait que l'homme qu'il cherchait à trouver était un bûcheron et ce n'était pas le genre de personnes difficiles à trouver dans la forêt où il se rendait. En un rien de temps il finit par trouver un campement du bûcheron mais il ne savait pas lequel pouvaient bien être le bon. Il mit pied à terre et s'approcha du travailleur le plus proche dans l'espoir de trouver celui qu'il cherchait.
-Bonjour, je cherche Robert, Robert « le gros tronc ».
-Ha lui ! Il est plus loin dans la forêt, vous ne pourrez pas le rater, c'est le plus grand de tous !
-Je vous remercie.
-Si vous voulez lui donner du boulot rappelez-lui qu'il me doit de l'argent !
-Je n'y manquerai pas.
Loras traversa le campement avant de pénétrer dans les profondeurs de la forêt. Il aimait cela, le calme relatif n'étant troublé que par la chute des arbres. La ronde d'homme tous plus musclés les uns que les autres semblait presque ininterrompu et, parmi eux, un colosse aux cheveux noirs, large comme deux et une hache étrangement accrochée à la ceinture. Loras eut une légère hésitation avant de s'approcher mais il finit par se mettre face à lui, s'attendant à une quelconque réaction de sa part.
-T'es pas une vitre, gamin. Lâcha le bûcheron sans même lui adresser un regard.
-Robert « le gros tronc » ? Je suis Loras A….
-Loras ! Le fils de ce bon vieux Arthur ! La dernière fois que je t'ai vu tu tenais dans ma main !
-Heu ….. Je suis désolé, je ne me souviens pas de....
-Alors ?! Que devient ce bon vieux Arthur ?!
-Il va bien ….. Il aurait besoin de vous parler.
-Dis lui que je viens demain m'occuper de lui ! Ce vieux renard ! Je me souviens de la fois où....
-Je préfère ne pas savoir, répondit Loras.
Il savait qu'en son temps, Arthur ,son père, avait eu quelques activités à la limite de la légalité pour accroître les bénéfices. Bien sûr cela n'était rien mais Loras avait eu vent de quelques rumeurs selon lesquelles son géniteur avait eu des rapports sexuels avec des chèvres, entre autre. Mais cela n'avait plus d'importance à l'heure actuelle. Il servait désormais une cause noble, un ordre œuvrant pour le bien du peuple.

Le lendemain.
-Te voilà Robert !
Le père de Loras se leva pour serrer la main de son invité. Celui-ci paraissait moins mité que lorsque le jeune homme l'avait retrouvé, même s'il ne pouvait clairement pas tenter de se faire passer pour un homme issu de la haute société.
-Arthur ! Vieille branche ! Que veux-tu ?!
-Je veux parler de liberté, d'égalité, de fraternité, de …..
-Je vois que tu ne m'as pas attendu pour ouvrir la bouteille ! Tu sais bien que.....
-Je suis très sérieux. Je veux bâtir un monde meilleur pour nos enfants respectifs. Il ne fait aucun doute que les choses peuvent changer. L'encyclopédie nous donne.....
-Tu oublies que je ne suis qu'un simple bûcheron, que je ne sais pas lire, que mes enfants ne sauront pas lire, pas plus que leurs descendants pour une bonne dizaine de générations. Comment cet encyclopédie pourrait changer nos vies ? Tu rêves beaucoup trop.
Loras alla ouvrir une bouteille de vin et servit une chope à chacune des trois personnes présentes dans la salle. Il partageait totalement les opinions de son père mais il craignait que le bûcheron qui lui faisait n'ait pas l'intelligence de comprendre la portée de leurs actes.
-Imagines ! Un monde basé sur les capacités de chacun ! Un monde où ceux qui travaillent seraient égaux à ceux qui les font travailler, un monde où.....
-Arthur, tu m'as sauvé la vie lorsque la scierie était en feu alors si tu as besoin de mon aide, je ferais ce que tu me demanderas. Dis moi clairement ce que tu veux.
-Je.... J'aimerais que tu parles de cela avec tes amis. Tous ensemble nous pouvons changer ce monde !
-Qu'avons-nous ?
-Le nombre ! Le peuple ! Le peuple sentira souffler le vent de la liberté jusque dans le plus éloigné des champs, jusqu'aux forêts les plus noires et tous sauront que leurs enfants pourront vivre dans la prospérité.
-Tu es un grand rêveur Arthur.... Mais pourquoi pas ?! J'en parlerai à mes amis mais je ne te promet rien.
-Ne t’inquiètes pas, bientôt nous serons nombreux à y croire.

Lenski
Niveau 10
12 février 2013 à 16:04:06

Ma technique : des textes de taille moyenne et de qualité moyenne pour déprimer en cas de bide :noel: /

[linkc]
Niveau 10
12 février 2013 à 16:32:31

Les PAvés Commencent :noel: /

[White_Shadow]
Niveau 8
12 février 2013 à 16:45:32

Heuu :hap: " et se plaça le plat de la lame contre le fond" wtf??

C'est pas " et se plaça le plat de la lame contre le front"??

Je suis pas le mieux placer pour parler d'ortografe, ou alors j'ai rien compris :(

Lenski
Niveau 10
12 février 2013 à 16:46:46

c'est moi qui étais blasé :noel: /

Je hais ce personnage :fou:

[White_Shadow]
Niveau 8
12 février 2013 à 16:54:56

Je m'en doutais :hap:

De toute façon même si tu hais ce personnage, le texte est quand même cool. Tout tes textes sont bien fait Ö Grand Lenski :ange:

_destroyers_
Niveau 10
12 février 2013 à 17:11:57

Ok, alors étant super flemmard, je lirai pas les dix pages, je veux juste savoir si un fou s'est proposé pour être ma victime :hap:

Sujet : [RP] L'héritage des Ombres
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