Assassin's Creed IV : Black Flag

Mon perso se fiche bien du camp qu'il combat, du moment qu'il est payé

Et mon perso a un style de combat très très très différent d'un assassin classique.

Je ne vous en dis pas plus.

et mon perso... Vous le découvirez plus tard

Flamme Moi aussi y a certaines phrases dont j'avais un doute pou la formulation. de Plus, il y avait beaucoup de mot ou je ne savais pas si je devais mettre un "s" ou un "e" , Bref, j'essaierai d'améliorer tout ça

+ T'as interet à pas oublier de me noter

Mon perso n'as encore tué personne /

Mon perso s'en fout /

Mon perso... Oubliez mon perso /

CTM en fait je posterais vers 20heures

Nan mais j'ai oublié de combien à combien s'élevait les récompenses

Et moi, je forme pas l'ennemi à la va vite, je veux bien regrouper mais je relève toute les fautes

Donc c'est quoi le minimum, je m'en rappelle vraiment plus

J’ajoute une petite légende car parfois je pourrais passer en mode narrateur pour certaines choses (genre des clin d’œil :ok : )
Entre « » dialogue
Entre ¤¤ pensés du personnage
Entre ** narrateur, pour décrire certaine scènes que Brictius ne voit pas.

Grèce, Athènes, 65 avant Jésus Christ.
Quelques heures plus tard.
Nous arrivâmes non loin de chez moi, ma fenêtre était encore ouverte. Je décidai de faire rentré mon compagnon par ma fenêtre et lui dis de se cacher. Je décidai de faire un petit détoure avant de rentrer.
Une fois fini, je rentrai par la porte d’entrée. Agnocide était là, elle ne savait pas que j’étais parti, elle était surprise et s’est immédiatement mise en colère.
« - Où étais-tu encore passé ?! Es-tu encore parti te faire tuer comme la dernière fois ?
- Agnocide, je peux t’expliquer…
- Je ne veux pas le savoir, qu’est-tu allé faire encore ? Et que caches-tu dans ton dos ?
- Agnoc…
- Qui a-t-il derrière ton dos ?! »
Je sortis un bouquet de fleurs sauvages, cachées derrière mon dos.
- Brictius… je...
- Ce n’est rien, tu ne pouvais pas savoir, il est tout à fait normal que tu te mettes dans cet état, je comprends.
- Brictius, pardonne-moi mea puer (méa pouère : mon garçon)»
Elle me prit dans ses bras, des larmes coulèrent le long de son visage, je retenais les miennes.
« - Je dois aller faire quelques courses, reste ici en mon absence. »
Elle sorti de la maison. Je pris de l’eau et du pain pour je me dirigeai dans ma chambre pour les donnés à l’homme que j’eus sauvé. Il dut se reposer. Pendant ce temps, j’étudiai le symbole sur ma lame, que représente cette crois ? Je remarquai que sur le manche, un phrase y était inscrite : « Ut nos perducat ad Patris sapientia. » … «Puisse le père de la sagesse nous guider. »… Quel est la signification de cette phrase ? Dans quoi suis-je tomber ?
Je fixai le mur de ma chambre, je réfléchis.

• pendant ce temps, devant la fenêtre de Brictius , deux hommes apparaissent :

«- ... Ne pas nous changer.
- Euh… Rebecca, je crois qu’il y a un problème.
- J’ai vu, j’arrange ça tout de suite Desmond »
Les deux hommes disparaissent*
L’homme se réveille, j’allai enfin pouvoir le questionner. Je l’aidai à se relever, lui demandant d’abord comment il alla.
«- Où suis-je ?
- Vous êtes chez moi.
- Vous m’avez sauvé ?
- Après avoir failli vous tuer, c’était le moins que je puisse faire.
- Comment pourrais-je vous remercier ?
- Et bien peut-être saurez-vous répondre à mes questions ?
Il mit ses mains sur son front, je remarque qu’il lui manque un doigt, l’annulaire je crois, je décidai de ne pas trop y prêtre attention.
- Cela dépendra de la question.
- J’espère que vous pourrez y répondre. Tout d’abord je veux savoir quel est cette organisation qui à changer mon ami et qui vous à enlever ? Quel est cette sphère lumineuse que j’ai vue quand nous nous somme enfuit ? Quel est leur but.
- Tout ce que je peux vous dire, c’est que ces hommes cherche le pouvoir, ils veulent tout contrôler, et ils y parviennent, ils ont déjà conquis toute la Gaule, la Britannia (Bretagne = aujourd’hui appeler Grande-Bretagne, donc l’Angleterre), ils se sont étendue en Egypte. Leur chef est un puissant militaire Romains, je ne peux pas vous donner son nom, bien que tu doives le connaître.
¤ J’ai bien une idée de qui il s’agit ¤
- Pourquoi vous ont-ils enlevé ? Si vous savez autant de chose sur eux, c’est qu’ils voulaient vous faire taire. Qui êtes-vous ?
- Je vous dirais simplement que mon ordre se doit te faire régner la paix dans ce monde et notre objectif est de les en empêcher. C’est tout ce que je vous dirais, je t’en ai déjà trop dis.
- Justement vous en avez trop dis.
- Et bien, je pourrais peut-être répondre, mais à quelques conditions.
- Lesquels ?
- Je dois d’abord voir de quoi tu es capable, ne t’inquiète, je ne t’enverrais pas vers la mort, pas tant que tu n’en seras pas apte.
- Je vous écoute.
- Comme je suis blesser à l’épaule, je vais te demander d’aller récupérer un message pour moi, ne t’inquiète pas, le messager est jeune et il n’est pas escorter, personne ne sait mis à part moi ce qu’il a. Le navire qui doit l’amener à Athènes arrivera dans peu de temps, vol lui le message, et met-en u n autre à la place. »

Je pris mon burin et un bloc de pierre et grava un message dessus. Je le mis dans ma sacoche et j’allai au port. Avant de partir, l’homme me donna une cape avec une capuche, des broderies rouge se trouvait sur les bords de la cape et de la capuche, elle était de couleur blanche, il doit être riche pour la trempée dans de la craie (Dans l’Antiquité, pour blanchir les vêtements, et notamment et les toges, on les trempait dans des tonneaux de craies blanche.). Je la mis sur moi, la capuche faisait de l’ombre sur mes yeux et le haut de mon nez. Je me dirigeai vers le port. Il était bondé, il y avait des gens partout, des gardes… ça n’allait pas être facile. L’homme m’a dit que le messager serait vêtu d’une toge avec une cuirasse, des brassards aux poignets et un béret rouge. Un navire arriva, mais d’un coup, une chose étrange arriva, ma vision changea, je regardai partout autour de moi, je passai sûrement pour un fou. L’environnement était noir, je voyais les gardes en rouge, je distinguai des personnes bleues et je vis un mendiant en blanc, le reste de la foule était de la même couleur que l’environnement. Mon regard se tourna vers le navire et je vis une personne en jaune, je ne pouvais détourner mon regard, d’un coup ma vision redevînt normale, et la personne que je vis en jaune étant vêtue d’une tenue verte. Je sentis que devais le suivre. En me rapprochant de lui, je vis un bloc de marbre qui dépassait de sa sacoche. Il tourna dans une ruelle. La même ruelle que Secundus et moi avions emprunté pour aller dans la maison de son ordre.
«- Hey toi !
Il se retourne intriguer.
-Qu…Quid ?
- Où te diriges-tu ?
- Nulle part.
- Répond moi.
- Chez mes parents.
- Ne me mens pas.
Je sortis ma lame et la plaça sous son menton.
- Je vous en supplie, ne faite pas ça.
- Répond-moi, où vas-tu ?
-Je..je..je vais porter un message au Magister (Maguistère : maître).
- Quel est son nom ?
- Je ne sais pas, je vous le jure.
- Donne-moi ce message.
Il le sorti de sa sacoche.
- Tenez, s’il-vous-plaît, me tuez pas, il tomba en sanglot.
- Je ne vais pas te tuer, j’ai besoin de toi pour porter ce message, je mis le faux message dans son sac, un conseil, pose ton sac devant leur porte et cours, ils ne sauront pas que ce message vient de toi.
Je le laissai partir, et retourna chez moi, en oubliant pas de passer par ma fenêtre, j’espère qu’Agnocide ne sera pas encore rentrée.

• Un peu plus tard, dans la bâtisse de l’organisation secrète.

« - Magister, nous avons trouvé ceci devant la porte d’entrée.
Il vit le bloc de pierre.
- Ces messagers ne sont pas capables de nous porter les messages de mains propres, et César ose m’envoyer un message sur un pauvre bloc de pierre. »
Il lit de message.
~ Bonjour, c’est encore moi, c’est pour vous dire que j’ai volé votre message. Au revoir. ~
Il entra dans une colère noire.
« - Retrouvez moi cette caenum (kaénoume = ordure) »

Bon je ne pense pas avoir fais de fautes grave on verra

Mince j'ai oublié de sauter des lignes sur JVC je repost pour bien tout distinguer

Grèce, Athènes, 65 avant Jésus Christ.

Quelques heures plus tard.

Nous arrivâmes non loin de chez moi, ma fenêtre était encore ouverte. Je décidai de faire rentré mon compagnon par ma fenêtre et lui dis de se cacher. Je décidai de faire un petit détoure avant de rentrer.
Une fois fini, je rentrai par la porte d’entrée. Agnocide était là, elle ne savait pas que j’étais parti, elle était surprise et s’est immédiatement mise en colère.

« - Où étais-tu encore passé ?! Es-tu encore parti te faire tuer comme la dernière fois ?

- Agnocide, je peux t’expliquer…

- Je ne veux pas le savoir, qu’est-tu allé faire encore ? Et que caches-tu dans ton dos ?

- Agnoc…

- Qui a-t-il derrière ton dos ?! »
Je sortis un bouquet de fleurs sauvages, cachées derrière mon dos.

- Brictius… je...

- Ce n’est rien, tu ne pouvais pas savoir, il est tout à fait normal que tu te mettes dans cet état, je comprends.

- Brictius, pardonne-moi mea puer (méa pouère : mon garçon)»
Elle me prit dans ses bras, des larmes coulèrent le long de son visage, je retenais les miennes.

« - Je dois aller faire quelques courses, reste ici en mon absence. »

Elle sorti de la maison. Je pris de l’eau et du pain pour je me dirigeai dans ma chambre pour les donnés à l’homme que j’eus sauvé. Il dut se reposer. Pendant ce temps, j’étudiai le symbole sur ma lame, que représente cette crois ? Je remarquai que sur le manche, un phrase y était inscrite : « Ut nos perducat ad Patris sapientia. » … «Puisse le père de la sagesse nous guider. »… Quel est la signification de cette phrase ? Dans quoi suis-je tomber ?

Je fixai le mur de ma chambre, je réfléchis.

• pendant ce temps, devant la fenêtre de Brictius , deux hommes apparaissent :

«- ... Ne pas nous changer.

- Euh… Rebecca, je crois qu’il y a un problème.

- J’ai vu, j’arrange ça tout de suite Desmond »

Les deux hommes disparaissent *

L’homme se réveille, j’allai enfin pouvoir le questionner. Je l’aidai à se relever, lui demandant d’abord comment il alla.

«- Où suis-je ?

- Vous êtes chez moi.

- Vous m’avez sauvé ? merci.

- Après avoir failli vous tuer, c’était le moins que je puisse faire.

- Comment pourrais-je vous remercier ?

- Et bien peut-être saurez-vous répondre à mes questions ?
Il mit ses mains sur son front, je remarque qu’il lui manque un doigt, l’annulaire je crois, je décidai de ne pas trop y prêtre attention.

- Cela dépendra de la question.

- J’espère que vous pourrez y répondre. Tout d’abord je veux savoir quel est cette organisation qui à changer mon ami et qui vous à enlever ? Quel est cette sphère lumineuse que j’ai vue quand nous nous somme enfuit ? Quel est leur but.

- Tout ce que je peux vous dire, c’est que ces hommes cherche le pouvoir, ils veulent tout contrôler, et ils y parviennent, ils ont déjà conquis toute la Gaule, la Britannia (Bretagne = aujourd’hui appeler Grande-Bretagne, donc l’Angleterre), ils se sont étendue en Egypte. Leur chef est un puissant militaire Romains, je ne peux pas vous donner son nom, bien que tu doives le connaître.

¤ J’ai bien une idée de qui il s’agit ¤

- Pourquoi vous ont-ils enlevé ? Si vous savez autant de chose sur eux, c’est qu’ils voulaient vous faire taire. Qui êtes-vous ?

- Je vous dirais simplement que mon ordre se doit te faire régner la paix dans ce monde et notre objectif est de les en empêcher. C’est tout ce que je vous dirais, je t’en ai déjà trop dis.

- Justement vous en avez trop dis.

- Et bien, je pourrais peut-être répondre, mais à quelques conditions.

- Lesquels ?

- Je dois d’abord voir de quoi tu es capable, ne t’inquiète, je ne t’enverrais pas vers la mort, pas tant que tu n’en seras pas apte.

- Je vous écoute.

- Comme je suis blesser à l’épaule, je vais te demander d’aller récupérer un message pour moi, ne t’inquiète pas, le messager est jeune et il n’est pas escorter, personne ne sait mis à part moi ce qu’il a. Le navire qui doit l’amener à Athènes arrivera dans peu de temps, vol lui le message, et met-en u n autre à la place. »

Je pris mon burin et un bloc de pierre et grava un message dessus. Je le mis dans ma sacoche et j’allai au port. Avant de partir, l’homme me donna une cape avec une capuche, des broderies rouge se trouvait sur les bords de la cape et de la capuche, elle était de couleur blanche, il doit être riche pour la trempée dans de la craie (Dans l’Antiquité, pour blanchir les vêtements, et notamment et les toges, on les trempait dans des tonneaux de craies blanche.). Je la mis sur moi, la capuche faisait de l’ombre sur mes yeux et le haut de mon nez. Je me dirigeai vers le port. Il était bondé, il y avait des gens partout, des gardes… ça n’allait pas être facile. L’homme m’a dit que le messager serait vêtu d’une toge avec une cuirasse, des brassards aux poignets et un béret rouge. Un navire arriva, mais d’un coup, une chose étrange arriva, ma vision changea, je regardai partout autour de moi, je passai sûrement pour un fou. L’environnement était noir, je voyais les gardes en rouge, je distinguai des personnes bleues et je vis un mendiant en blanc, le reste de la foule était de la même couleur que l’environnement. Mon regard se tourna vers le navire et je vis une personne en jaune, je ne pouvais détourner mon regard, d’un coup ma vision redevînt normale, et la personne que je vis en jaune étant vêtue d’une tenue verte. Je sentis que devais le suivre. En me rapprochant de lui, je vis un bloc de marbre qui dépassait de sa sacoche. Il tourna dans une ruelle. La même ruelle que Secundus et moi avions emprunté pour aller dans la maison de son ordre.

«- Hey toi !

Il se retourne intriguer.

-Qu…Quid ?

- Où te diriges-tu ?

- Nulle part.

- Répond moi.

- Chez mes parents.

- Ne me mens pas.

Je sortis ma lame et la plaça sous son menton.

- Je vous en supplie, ne faite pas ça.

- Répond-moi, où vas-tu ?

-Je..je..je vais porter un message au Magister (Maguistère : maître).

- Quel est son nom ?

- Je ne sais pas, je vous le jure.

- Donne-moi ce message.
Il le sorti de sa sacoche.

- Tenez, s’il-vous-plaît, me tuez pas, il tomba en sanglot.

- Je ne vais pas te tuer, j’ai besoin de toi pour porter ce message, je mis le faux message dans son sac, un conseil, pose ton sac devant leur porte et cours, ils ne sauront pas que ce message vient de toi.
Je le laissai partir, et retourna chez moi, en oubliant pas de passer par ma fenêtre, j’espère qu’Agnocide ne sera pas encore rentrée.

• Un peu plus tard, dans la bâtisse de l’organisation secrète.

« - Magister, nous avons trouvé ceci devant la porte d’entrée.

Il vit le bloc de pierre.

- Ces messagers ne sont pas capables de nous porter les messages de mains propres, et César ose m’envoyer un message sur un pauvre bloc de pierre. »

Il lit de message.

~ Bonjour, c’est encore moi, c’est pour vous dire que j’ai volé votre message. Au revoir. ~

Il entra dans une colère noire.

« - Retrouvez moi cette caenum (kaénoume = ordure) »

Faut vraiment que je fasse plus court, parce que là.. On va dire que c'est la mission qui est très grosse

Bon, je donne 1 point et 6OO pièces antiques pour white, faut qu'il s'améliore sinon il pondra jamais rien de bon

Ghyt c'est qui ton correcteur?

Nahtar toi aussi tu fait un truc trop long?

600 pièces! Le chanceux

Perso je me rends compte que mon texte est trop ambitieux, j'ai peur de me rater.

Envoi quand même, au pire c'est pas grave

Ghyt J'ai lu ton texte. J'ai encore une fois bien aimé Mais il y a encore des fautes, notamment genre sur les participes passés. Je les ai plus vu que la première fois, mais c'est pas non plus hyper dérangeant Toute façon CTM te les montreras sûrement Après, encore quelques présents, mais ça va
Sinon bah rien d'autre je trouve, j'ai apprécié !

Oui Polo, je fais un truc très très long Mais je le mettrai en plusieurs parties, sinon c'est impossible
Après aussi, c'est parce que c'était pas vraiment une petite mission facile du niveau de mon Assassin, du coup c'est pas rapide.. Fin on verra

Bah disons que mon perso est plus "sobre" plus "professionnel" qu'un assassin classique, il évite donc les assassinats "spectaculaire" et je cherche un moyen a rendre le tout intéressant.