Assassin's Creed IV : Black Flag

Polo lien de ton texte stp?

Quel talent dis donc, c'est admirablement bien fais, j'attends la suite

Et au lieu de parler white, va faire ton texte

Flamme Jusqu'à ce que jet revienne

http://rp-l-heritage-des-ombres.forumjv.com/1-105416-807-1-0-1-0-tableau-des-missions.htm
Je pense qu'on est tranquille niveau mission /

ctm https://m.jeuxvideo.com/forums/1-30459-11681-44-0-1-0-rp-l-heritage-des-ombres.htm#message_20176

Je fais une correction rapide mais non moins complète.

PARTIE 1

Si j’allai à Toulouse -> j’arrivais.

"plusieurs année"
années

Bof, bof, bof...
Pas emballé par ce début de texte.
Les descriptions que j'aimais bien sont absentes, les impressions du personnages sont pas très passionnante, ça fait un peu: "je dois le tuer pour me venger, mais je ne suis pas pressé. Tuer c'est mal."
C'est imagé bien sur, mais c'est le ressenti que j'ai sur ce passage.

Après, aucune description de Toulouse et les scènes de recherches de renseignements sont mis en accélérées.

Bref, tu l'auras compris, je suis pas fan de ce début de texte.

PARTIE 2

Une fois dans la ville -> Plus que cinq

Cette partie est mieux avec une description sympathique à l'entrée dans la ville avec les gardes...
Petite scène de sabotage baclé je dirai, elle aurait pu être mieux décrite.

PARTIE 3

Le seul homme -> J’accélérai une dernière fois, et terminai premier.

Des petits retournements de situation, mais toujours pas emballé.

Conclusion

Points positifs:
- description à l'entrée de Nîmes
- Bonne intrusion de l'épée.

Points négatifs:
- Des fautes, des fautes... Je n'ai rien relevé, mais il y en a... Que ce soit au niveau des pluriels non appliqués (plusieurs année, il est où le "s" à année?) ou de conjugaison (Je fus le plus rapide pour me relever et remonta à cheval; oui remonta...)
- Peu de descriptions, et celles qui sont présentes sont pour la plupart inintéressantes et mal faîte.
- l'histoire pas très intéressante, on est pas mit dedans.

Bref ce texte n'est pas super, toi même tu l'as remarqué donc
Je ne te reconnais pas dedans
La mission n'était pas des plus intéressantes, mais quand même...

J'espère que tu vas te ressaisir et reprendre ton vrai niveau parce que là pour moi, c'était pas du polo.
100 pièces, 1 point de compétence, et 200 XP.

Tu es capables de beaucoup mieux
Je rajoute que le texte était court aussi.

La voix de la sagesse : Un prêcheur incitant les paysans à la révolte contre le roi commence à se faire connaître.
Tuez-le et redonnez au peuple l'espoir en la monarchie.
Epoque: 18e (Révolution française)

Ah bon ? Les assassins sont pour la monarchie ?

Sont pour tout

Donc comme ça, pour devenir noteur, faut prendre un apprenti ?

Alors je prends Alca'.

Note : 100 XP, 50 pièces et 0 points de compétence.

Pourquoi ? Musiques de merde, ton perso est ennuyeux (le mec réfléchit à sa vie alors qu'il a un objectif, normal. ) et en plus, ton objectif était de saboter l'Arsenal de Venise, pas le port ! Alors, mon cher Alec, on a oublié ce détail, hum ?!

Et c'est moi qui gagne le duel ! Yeees !

Et ta gueule

Dites-moi que je rêve... Mon pire cauchemar est là...

Bah moi je les ai bien aimé ses musiques .

Les thèmes des jeux les plus cons du monde, Red Ded Redemption et Assassin's Creed, de bonnes musiques ?

Merci choco.

PGM Tu veux bien retourner jouer à Call of et nous foutre la paix ?

Ca c'est ton avis personnelle ...

Alca tu me fais de la peine. T'as toujours pas compris que tant que tu lui répondras, il reviendra ?

Non mais sérieux, grandis un peu ignores-le quoi

Scheise (partie 2) :

1250, frontière franco-allemande…

Le convoyeur sifflotait tranquillement, à l’avant de son chariot. Le voyage avait été plutôt tranquille. Dire que le capitaine lui verserait plus de cinq fois son salaire annuel, rien que pour lui livrer des misérables planches de bois afin de construire un fort…
Prime de risque, qu’il disait dans la missive ! Mais quel danger courait-on sur ce calme et silencieux chemin de campagne ? Se faire attaquer par un renard ?
Avec une escorte de six gardes ? Ridicule.
Le convoyeur avait tout prévu.
Une fois qu’il aurait touché son paiement, il rentrerait en Bavière et ouvrirait une auberge, avec son épouse. Quand il l’avait quitté, elle était enceinte. Il espérait qu’elle n’aurait pas accouchée avant son retour.
Il souhaitait de tout son cœur être le premier à tenir son enfant dans ses bras.
Soudain, une forme sombre jaillit des fourrés et atterrit sur la route.
Le convoyeur n’eut même pas le temps de réagir. La silhouette fit un bond et le plaqua contre son siège avec violence. Un éclair de souffrance le traversa, puis, il se rendit compte qu’il avait un couteau enfoncé dans la poitrine jusqu’à la garde.
-N… Non… Fiona… Je…
Le convoyeur hoqueta une dernière fois et sa tête bascula sur le côté. Il mourut, le visage de sa femme en tête, et celui du nourrisson qu’il ne verrait jamais et qu’il ne pouvait qu’imaginer.
Fenn exécuta un saut périlleux et roula dans le sol poussiéreux, devant les soldats. Ceux-ci sursautèrent et dégainèrent leurs épées.
Les chevaux du convoi hennirent, paniquèrent et se cabrèrent. Fenn fit jaillir sa lame secrète et sectionna les liens qui les attachaient au chariot.
Il les regarda galoper et disparaître dans les bois. Puis, il pivota vers les gardes avec une mine ennuyée.
-Bon, amenez-vous.
Les six soldats entourèrent l’Assassin, en souriant.
Ce brigand avait visiblement l’intention de piller leur convoi. Mais était-il idiot ? Sûrement, car seul un imbécile aurait entrepris cela sans aide, face à une escorte entière. Les soldats n’étaient pas des génies, mais ils se rendaient bien compte de leur supériorité numérique.
Sans même se concerter, ils passèrent à l’attaque.
Pendant quelques secondes, seul le cliquetis métallique des épées retentit dans les bois, ainsi que de brefs cris d’effort, des ahanements, des soupirs et des râles.
Le premier soldat sortit de la mêlée en titubant et en tournant sur lui-même. Il se cogna contre un arbre, lâcha son épée et se laissa tomber au sol en position assise, les deux mains plaquées sur son ventre ouvert, tentant vainement de retenir ses tripes qui s’échappaient de son corps.
Il était jeune. Il n’avait même pas dépassé les dix-huit ans. Un gamin. Il n’avait jamais connu l’amour.
Un gémissement fusa dans l’air. Les oiseaux qui observaient la scène s’envolèrent avec un bruissement.
Un second garde fut projeté en arrière. Il retomba au sol et se recroquevilla, pris de tremblement. Il avait les yeux grands ouverts mais il était mort, une affreuse ligne rouge lui barrant le visage et la poitrine.
Fenn virevolta. Un coup vers la droite.
Un garde porta les deux mains à sa gorge d’où jaillissait une fontaine de sang, en clignant des yeux d’un air mécanique. Il fit un pas en arrière avant qu’un revers ne lui arrache les deux mains. Le garde tomba à plat ventre et ne bougea plus.
L’Assassin dévia un coup d’estoc, bondit, fit une demi-pirouette, fouetta l’air de sa lame, se remit en garde, para un coup vicieux et contre-attaqua vers la droite d’une torsion du bassin.
Un des gardes esquiva le coup. L’autre trébucha et bascula en arrière avant de rebondir sur le sol. Il ouvrit la bouche et se mit à hurler, les yeux fixés sur l’entaille profonde qui remontait sa cuisse et la lui ouvrait jusqu’à l’os.
Lui-aussi était un gamin. Il n’avait jamais fait la guerre, et jamais reçu de blessure de sa vie.
Les deux gardes restant reculèrent, essoufflés. Ils voulurent se lancer un regard et monter une stratégie, mais ils n’en eurent pas le temps.
Fenn fit un pas chassé en avant et abattit sa lame avant de la ramener vers lui d’un geste rapide. Le soldat le plus vieux, sûrement le chef de la troupe, posa un genou au sol en émettant un gargouillement écœurant.
Du sang lui avait giclé sur le visage, et il était impossible de distinguer la nature de sa blessure dans ce bain d’hémoglobine.
La lame de Fenn fit un virage, siffla et s’enfonça dans son orbite, lui transperçant la tête de part en parts et ressortant, poisseuse de sang, de l’arrière du crâne.
Le garde, au sol, hurlait toujours. Il se roulait par terre en criant à s’en casser la voix, sa jambe secouée de spasme et maculant le chemin de sang, tout autours de lui.
Le dernier soldat hésita et ouvrit sa garde.
Fenn s’y engouffra en une fraction de seconde et frappa, implacable.
Le soldat lâcha un cri de douleur et referma sa main sur son poignet en reculant. Ses doigts retombèrent par terre, en même temps que son arme. Fenn fit volte-face. Par terre, le garde n’avait pas cessé de hurler, sans même reprendre son inspiration.
Il y eut un sifflement métallique, puis, un bruit de chaire tranchée. Les cris s’arrêtèrent net.
Fenn rengaina son sabre et grimaça.
Sa main gauche le faisait atrocement souffrir et il ruisselait de transpiration. Il n’avait pas encore récupéré de ses blessures et se fatiguait vite. Visiblement, il lui faudrait de nombreux mois avant qu’il puisse mener un long combat sans s’évanouir d’épuisement.
Le garde survivant tomba à genoux en regardant son adversaire. Lui ne hurlait pas.
Il serrait sa main amputée de ses doigts et lançait à Fenn un regard emplit de haine et de désir de vengeance. L’Assassin sourit, avec une expression teintée d’amusement et de lassitude.
Le regard du soldat lui rappelait le siens.
-Tue-moi, sale chien, cracha le garde. Achèves-moi, vite !
-Je ne te tuerais pas, répondit Fenn en haletant. Je vais te donner un message que tu transmettras à ton chef. Lui-même le transmettra à une autre personne, mais tu n’as pas besoin de connaître son identité. Dis-lui…
Fenn reprit son souffle et réfléchit quelques secondes.
-Dis-lui simplement : « Rejoins-moi à notre précédent lieu de rendez-vous. » La personne visée comprendra, ne t’inquiètes pas.
-Fils de pute.
-Je t’en prie, ma mère avait un travail tout à fait respectable. Et surveilles ton langage.
-Tue-moi, bordel ! Comme tu as tué mes compagnons !!!
Fenn lui tourna le dos sans un regard en arrière et disparut. Le garde attendit un instant, puis, il se rapprocha du cadavre d’un des soldats et le prit dans ses bras.
-Mon frère.
Il commença à sangloter.

Quelques heures plus tard, le capitaine, qui était en train de se raser dans sa tente, fut surpris par un de ses hommes.
-Officier ! Le garde rescapé de l’assaut veut vous parler ! Il dit qu’il a un message urgent à vous remettre.

PeIl Je lui demandes juste de se barrer, et maintenant je l'ignore. C'est ma méthode.

Tu seras pas deçu la prochaine fois ;hap;

J'aime bien ton texte Pell même si le combat est un peu embrouiller je trouve (personnellement)

Je me rends compte que dans mes textes plus le temps passe moins il y a de combats /

Bonjour à tous !
Peut-être que certains d'entre vous se souviennent de moi, je fus, enfin du moins mon personnage, un des principaux Assassins de la fin du jeu sur le forum de Révélations. Mon assassin, Joachim de Fett, avait été recruté par Ezio Auditore lui-même, avant d'être nommé chef de cellule de tout Paris, et d'être connu sous le nom de l'Assassin Noir. Voici de quoi rafraîchir la mémoire de certains:

https://m.jeuxvideo.com/forums/1-25970-4823-369-0-1-0-jeu-l-aprenti-e-ou-l-assassin-ne.htm (lisez mon post intitulé "THE RISE OF THE ASSASSINS").

Toutefois, je participas peu, voir pas du tout, au nouveau jeu sur le forum d'Assassin's Creed III. Un joueur, Ludovico-Orsi, a créé un descendant de Joachim nommé Jérome de Fett. Il me semble qu'il été aussi chef de cellule de Paris. On m'a demandé, il y a quelques mois, de faire un retour. Mais malheureusement, je n'avais pas le temps.

Je viens ici aujourd'hui car je me sens de nouveau d'humeur à me prêter à ce jeu RP. L'ennuis, c'est que je n'ai toujours pas joué à Assassin's Creed III (honte sur moi !). Est-ce-réellement grave ? Si oui, je patienterais un peu avant de revenir !

Sur ce, bonne journée à tous ! En parcourant les 2 dernières pages, je n'ai pas reconnu grand monde, excepté Lenski .