Assassin's Creed IV : Black Flag

Un thème du genre "Pirates" ? (on avait eu Révolution Américaine pour le III, donc...)
C'est un thème bateau.. sans mauvais jeux de mots :P

Un thème sur les pirates serait vraiment bien! Cependant, les récits risquent de tous se ressembler

Attendons les avis des autres pour savoir s'ils veulent ou pas un thème pirates

Moi je n'ai rien contre (en soit je suis contre aucun thème) même si pour le moment, je vois pas quoi en faire

Purquoi pas, un thème pirate ? Ouais, pourquoi pas.

Pour moi aussi ce thème me plait bien

Eh bien officialisons tout ça!

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thème: la piraterie

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-Soda1459

Et c'est reparti mon kiki ! Let's Go o/

Re-

Mon texte arrivera demain, dans la soirée si tout se passe bien. Et vous, z'en êtes où ?

perso j'ai écrit quelques brouillons, mais ça en reste là pour l'instant

Bah demain je vais essayer dse finir le mien (j'avais commencé il y a trois jours, pis on m'a dis que ça serait bien de réviser pour l'oral. Donc en clair j'ai rien glander pendant trois jours ( et je parle pas que de mon texte...))

Bref, si j'écris vite, il est la demain

-Bordel ! Réparez-moi cette fuite ! Magnez vous le train ! Jameson ! Allez me faire le foutu plaisir de m’attacher ces tonneaux. Et que quelqu’un aille descendre les boulets, ils en manquent à tribord. Aury ! Aury ?! Où est notre bon dieu de capitaine ?!
-Du calme O’Connel, je suis derrière toi.
-Du calme ? Vous voulez que je me calme ?! Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais la coque tiens par miracle, nous n’auront bientôt plus de clous pour accrocher les planches au ouvertures, planches bientôt épuisée aussi ! Les boulet partent aussi vite qu’ils nous tombent dessus, la voile de proue est en feu, nous sommes à trois contre quatre, et vous voulez que je me calme ?!!
-Oui, c’est exactement ce que je vous demande.

Le second resta abasourdi devant le calme de l’homme. Mais sous sa platitude bouillait une autorité sans borne.

-Allez, c’es bien, garçons ! lança-t-il sur le pont, en voyant ses hommes courir, chargés de matériel, d’armes ou de sceau.

L’énervement de l’irlandais était compréhensible : Le bateau avait subit plusieurs assauts simultanés. Ils avaient d’abords rencontré ces deux galions français, qui avaient finit par tolérer qu’ils les aident contre les espagnols. Mais l’ambiance était assez froide, d’un coté comme de l’autre. Il voguèrent ainsi, rencontrant cette flotte en moins de deux jours. Quatre galions, c’était peut être un peu beaucoup comme premier combat militaire. Mais on ne choisit pas. C’est donc moins bien armés, moins bien formé et moins nombreux que les français lancèrent les hostilités. Pour le moment, seul un vaisseau espagnol avait des dégâts sérieux, les autres en pleine possession de leurs mouvements. Pour ce qui était des autres navires français, ils éssuyaient bien les tirs ennemis.

Et soudain, dans un craquement sinistre, le mât principal du galion espagnol endommagé chuta. Un bateau français profita de son incapacité à se mouvoir pour l’achever. En quelques minutes, ce qui était un monument de guerre n’était plus qu’un tas fumant soumis au remous de l’eau.

Cela remonta le moral de bien du monde sur les ponts français.

"-Bravo garçons, j'en attendais pas moins de vous!
L'équipage cria sa joie en coeur. La bataille avait finallement tourné à l'avantage des français, lorsque l'un des galions espagnol avait percuté un de ses camarades de bois et d'hommes, du au mécanisme qui actionnait son encre, éclaté par un boulet chanceux.
C'est le plus grand batiment français et l'ex-navire pirate qui avait prit le dernier navire en chasse. L'autre navire français avait son gouvernail endommagé, le clouant sur place. Le moral des espagnol, au plus bas, les fit se rendre, les armes à terres. Le pont investit, le navire fut vite désarmé, les derniers grognards neutralisés, et les vivres confisqués. Le reste des hommes serait des prisonnier de guerre.

Mais alors que Aury félicitait ses hommes et qu'il regardait les dégats sur son navire, il se fit sauvagement accoster par un capitaine français. A grand renfort de gesticulations et de postillons, il lui expliquait les raison pour laquelle lui et sa vermine qui lui servait de marins n'avait pas sa place dans une armée aussi prestigieuse que celle de la France.
"-...et de la coordination! La coordination est la clef dans une bataille navale! Et vous, bande de babouins des mers, vous croyez qu'il suffit de foncer dans le tas en tirant de partout! Parce que mon gouvernail, hein mon gouvernail, c'est vous qui me l'avez détruit! je prends cela comme une provocation ouverte à un supérieur! Vous voulez rentrer dans l'armée française? Eh bien je vais vous montrer dessuite ce qu'on leur fait aux insubordonnés de votre genre, dans l'armée!
-Du calme, capitaine, et retournez reparer votre foutu gouvernail!
-Mais commandant...
-De suite!
-Commandant, je ne peux tolérer l'affront de...
-Voulez vous que je rende compte de votre conduite à nos supérieurs?
-A vos ordres!

Et tournant les talons avec mauvaise volonté, il s'en fut vers son raffiot.

-Succeptible dites donc, un bout d'écharde froissée et pouf! le voila énervé. dit Aury, amusé.
-Le vieux capitaine Girard est très rancunier... Enchanté, commandant Brumair. J'ai vu vos manoeuvre pendant la bataille, et je dois avouer que vous avez un fin barreur. Vos canons manquent un peu de précision, mais cela est plus du à des erreurs mécaniques que humaines.
-Monsieur, beaucoup de compliments! Qui me vont d'ailleurs droit au coeur. Mais Girard n'avait pas tord... C'est un de nos tirs qui à estropié son navire de gouvernail.
-Je sais. Ce même tir qui a atteint le blocage de l'encre de l'autre navire. Un tir chanceux, qui aurait pu néanmoins nous couter la victoire. Mais sans vous, nous n'aurions même pas pu envisager de victoire.
-Je voulais me rendre utile dans cette guerre, voila de quoi commencer. dit Aury avec une petite nuance de fierté.
-Je ferais transmettre une missive contant votre aide inespérée et votre soudain revirement de bord. Je pourrais accéder à l'une de vos requètes, autant que la raison l'autorise.
-Eh bien...
-Oui?
-J'aimerais bien qu'on oublie mon passé de pirate... Qu'aucune trace de cela ne soit écrite.
-Hum... cela doit être faisable. Vous faire rentrer gradé dans l'armée aussi.
-Hum... c'est une autre requètes...Je ne veux plus être pirate, mais l'armée ne m'intéresse plus tellement, et je ne suis pas sur que mes hommes me suivront...
-Que voulez vous?
-Que l'on m'appelle désormais...

...Le capitaine corsaire Aury.

je m'inscrit !!!

Cette histoire est inspirée de fait réel.

8 avril 1720. Océan Indien

Je suis à la barre, sous les ordres du Capitaine Olivier Levasseur dit « La Buse » derriere nous le Navire du Capitaine John Taylor avec qui Levasseur a choisi de s'allier .
Soudain nous apercevons un Navire, le « Notre Dame Du Cap », les deux Capitaines eurent la même idée. L'aborder.
Ce Navire était à la fois rapide et puissant. Et nous eumes du mal à le rattraper mais heureusement nous pumes l'aborder.
Nous firent pas feu avec de simples boulets mais avec des boulets chainés puis nous abordammes le Navire.
Même si nous étions deux équipages ce Navire Portugais était bien défendu.
Une fois nos Navires rapprochés notre Capitaine lançat un cri qui nous gonfla de courages: -Je veux le Vice Roi des Indes Orientales Portugaises et l'Archevêque de Goa vivant mais à part ça, PAS DE QUARTIERS.
Nous lançames donc à l'assaut en utilisant d'abord nos mousquets puis sortions nos sabres, nos hache, nos dagues et autres armes contondantes.
Je tranchais la gorge de soldats, leur enfoncais ma lame dans l'abdomen avec un plaisir curieux de celui qui tue pour ne pas mourir.
Le sang giclait de partout, les hommes agonisaient et mourraient douloureusement.
Le pont netoyé, . Les Capitaines Taylor et Levasseur nous ordonnèrent de défoncer la porte des cabines ouu se trouvaient nos futurs prisonniers qui n'opposèrent aucune résistance.

Puis nous entrames dans la cale ou la, la surprise fut grande nous trouvames des femmes, au moins vingts. Mais notre envie de sexe du être retardée quand nous vimes un trésor, le plus gros que personne n'eut jamais vu. Rivières de diamants,bijoux, or, perles, meubles, tissus, vases sacrés et autres pierres précieuses. Nos deux Capitaines discutèrent un moments puis se mirent d'accord, Levasseur pris le trésor et Taylor le Navire mais il reclama une part du butin. Levasseur sortit son sabre et l'enfonça dans le cou de Taylor qui eut le temps de lui glisser ses mots: « Rendez vous en enfer... » puis le Capitaine se tourna vers l'équipage de Taylor et annonça de vive voix: - Que ceux qui veulent rejoindre mon équipage se désigne que les autre restnt sur le Navire de votre défunt Capitaine, je vous l'offre.
Trentes trois marins nous rejoignèrent et dix huit resterent sur le Navire du Capitaine Taylor.
Une fois le trésor chargé dans les cales de notre Navire, nous rendimes les deux prisonniers sans demande de rançon et abandonnèrent le « Notre Dame du Cap » et le Navire du Capitaine Taylor qui maintenant était au mains de l'ancien équipage de ce même Capitaine qui avait choisi de ne pas s'allier avec le notre.
Alors « La Buse » cria: « Couler ces marins d'eau douce » et nous executames cet ordre en coulant le Navire de Taylor et son équipage par la même occasion.
Et c'est ainsi que nous reprimes la mer vers de nouveaux horizon en chantant l'hymne des pirates.

En esperant que ce petit récit vous aura plu. Merci

Bienvenue maximenos

Pour ton texte, fais gaffe aux répétitions (navire, aborder...)
Pour l'histoire, pas mal, tu passe les actions un peu trop vite à mon goût, mais ça va à l'essentiel tu vas me dire.
Et la fin est pas mal, ça a beau être des pirates, on s'attends pas à ça, est on aurait presque de l'empathie pour les fidèles de Taylor.

Question existentielle: et les femmes dans l'histoire?

je sais mais je l'ai fait vite fait en 1h (je ne savais pas quand était la fin des inscriptions) et pour les femmes, eh bien
les matelots ont fait une petite tournante

Bah regarde la date du post avant mon texte, et la date de mon texte, tu verras que je suis paaaas du tout en retard

Une nouvelle edition devrait se decider (je l'espère) dès demain

je veux m'inscrire ! je peux m'inscrire ?

Mais tu peux!