Assassin's Creed IV : Black Flag

Sur ce, bonne nuit!

http://www.youtube.com/watch?v=kEjhb2aAi9I&feature=kp

Et cette édition est importante au niveau du non-dévoilement, même pour les morts, donc mystère et boule de gomme, ce n'est pas parce que vous êtes condamné que vous devez tout déballer

Donc, si ma tête a bien suivie, Sora est Renarde et Flash est Espion?

Sorry je suis fatigué

J'vais te dire un truc Flash, la tu leur donnes une fausse piste parce que c'est moi qui t'aie tué et c'est hors cadre du jeu. Sauf que tu ne tiens pas compte du fait que j'ai pu (et que je t'ai) pensé sincèrement coupable vu tes approximations (et avant que tu ne retournes dans le taunt gratuit, j'ai des preuves de ça, puisque Francis a également relevé.). Si je dois en mourir, soit, sauf que je tiens à préciser que la vovo, s'il s'agit bien de Green (on va vite le savoir, ça m'étonnerait qu'il survive à cette nuit, sincèrement) m'a vu inno. A partir de là, c'est sympa de ta part, ça ôte un élément à analyser.

Bon, je comprend plus rien, là.

Sun ok, j'ai compris le message

Sora je t'aurais bien répondu, vraiment... mais je veux pas désobéir à papa Sun, alors contente toi de savoir que j'ai mes raisons. On s'expliquera là dessus chez les morts

Mais je comprends plus rien là, arrêtez de jouer sur les mots et garder une idée fixe, une minute il est Renard, l'autre il est Nécro, l'autre il est blablalba...

Moi je suis sûr d'avoir deviné le rôle de Flash !

Oh non, pas lui...

Et c'est quoi d'après toi DisSimplementNon?

C'est...

....

...le Bon Cousin

Nisuoc Nob? http://staticns.ankama.com/upload/backoffice/direct/2014-01-17/bb0957a1a0ce1fc80daf51e10b444f19.png

Wtf ?

Omagad je suis pas seul, il y a encore du monde

Plus pour longtemps, je vais me coucher
Bonne nuit

JOUR 2 : Appel d'urgence

« Oui … un meurtre … oh putain … merde … non je ne sais pas qui a … puisque je vous dis qu'il y a une tête sur mon bureau, bordel ! Non je ne suis pas en danger ! Enfin peut-être, il est peut-être encore … Oh non, les enfants ! Putain mais quel con !
- Calmez vous Monsieur, nous allons envoyer un de nos agents. Restez où vous êtes jusqu'à son arrivée, il sera là dans quelques minutes. Ne tentez pas de sortir et patientez ... » Jack n'écoutait plus le combiné, maintenant posé à quelques dizaines de centimètres de la tête dont le cou déchiré suintait sur le bureau, ce qui lui avait donné des haut-le-cœur. Il se précipita au dehors et aperçut Dawn, qui sortait de sa chambre, éberluée par tant d'agitation.

«Mr Jack ... ? Qu'est ce que c'est que ce barnum ?
- Ah, vous êtes vivante ! Putain mais qu'est ce que je dis ... vous, merde, merde, venez, on va rassembler tout le monde.
- Vivante ? Mais pourquoi ...
- FAITES CE QUE JE VOUS DIS, BORDEL ! LA POLICE ARRIVE ! » Puis il descendit quatre à quatre les marches en direction des dortoirs. Dawn fronça un sourcil et trouvant la porte du directeur entrouverte, décida d'aller y jeter un œil.

L'agent Buck avait reçu un appel du central. Une histoire de cadavre et de tête, sans plus de détails, au pensionnat privé. Hésitant à déclencher sa sirène au milieu de la petite ville, il finit par l'activer après une bref remémoration des affaires de l'an passé. Sur un des trottoirs du trajet, l'homme à la croix regarda passer le véhicule de police tout en son et lumières, jusqu'à ce qu'il disparaisse de sa vue.

Dawn fut surprise de trouver une personne dans le bureau. Plutôt, le bout d'une personne. Son attitude blasée ne lui fit cependant pas perdre ses moyens, au contraire, elle en eut un petit ricanement. « Hé ba ... premier jour. Bravo, Mr Jack. » Mais si elle était relativement stoïque face à l'événement, elle ne s'attendait pas à ce que les yeux de la tête roulent dans leurs orbites, la fixent subitement, avant que la bouche sèche et violacée du mort ne lui demande de l'aide dans un souffle d'outre tombe. Le choc fut pour le moins, plus grand que ce qu'elle avait jamais expérimenté.

Le nouveau proviseur était parvenu à rassembler les élèves en diverses tenues de pyjamas ou sous-vêtements. Il les comptait en leur indiquant vivement la sortie vers le hall. « Un ... deux, trois, quatre, ... cinq ... six ... sept et huit. Où ... où est le neuvième ? Dîtes moi que vous savez où il est !
- Ici, répondit Ralf tardivement dans un bâillement.
- Bien, bien. Tout le monde dehors !
- Qu'est ce qu'il se passe, M'sieur, un incendie ? demanda Mark.
- Plus tard ! On sort ! » Il les laissa descendre les premiers, et mit ses mains en porte-voix vers le deuxième étage : « Mme Dawn ! Nous sortons ! Mme Dawn ! » Pas de réponse, mais il se dit qu'il valait mieux s'occuper des enfants présentement. La grande porte fut ouverte pour laisser passer la petite troupe, alors qu'une sirène se rapprochait de plus en plus.

Depuis la grande fenêtre du directeur au deuxième étage, le meurtrier et ses martyrs regardaient au dehors, inaperçus par les vivants. «Il n'a pas l'air d'avoir bien compris, commença l'un d'eux.
- Non, c'est vrai. Ni celle-là, d'ailleurs » fit un autre en indiquant implicitement Dawn inconsciente sur le sol. Le meurtrier se tourna vers ses compagnons d'infortune, couverts de leurs blessures respectives, l'un d'eux ayant de grandes difficultés à prononcer le moindre mot intelligible à cause de dents et d'une langue directement éclatées suite à l'impact de balle. Il prit une voix teintée d'une idéologie convaincue : « Vous avez été libérés, je vous ai libéré, et ils le seront tous ... sans exception. » Les martyrs le regardèrent avec des iris ternes dépourvus de lueur, avant de disparaître un à un. Puis il se retourna encore vers le parc. « Ah ... Mr Gary ... ce très cher Mr Gary ... ».

Mr Gary venait en effet de sortir de sa bicoque, un fusil dans les bras, et vint à la rencontre de Jack, qui écarquilla les yeux à sa vue. « Qu'est ce que c'est que ça ?
- Un fusil à double canon, Monsieur.
- Mais ... mais vous vous rendez compte que ... l'ancien directeur est au courant ?
- Oui, tout à fait. Je vais aller voir là bas ce qu'il se trame, je vous conseille de rester dehors.
- Mais vous êtes tous des fous ! Vous gardez un fusil dans l'école !
- Une nécessité, Monsieur, et je ne vais pas m'en priver à cause d'un remplaçant.
- C'est hors de question ! Hors. De. Question. La police est là, vous allez plutôt ouvrir la grille, oui ! Et vous allez lui donner ce machin ! » Gary vit que le véhicule était prêt à entrer, à l'autre bout du parc. La portière s'ouvrit en découvrant un officier moustachu, les cheveux coupés militairement, en veston bleu foncé. Gary avait eu le temps de rentrer à nouveau dans sa baraque déposer son arme, en portant un regard lours de sens dans la contrariété sur Jack, qui en resta stupéfait, puis il alla ouvrir la grille alors que Buck, à l'entrée, faisait de grands gestes en direction du groupe après avoir éteint l'alarme de sa voiture.

« Ah merci, merci ! Là bas, là bas, venez ! Je ne sais pas qui a fait ça, mais c'est simplement atroce !
- Vous me dîtes qu'il y a une tête sur votre bureau ?
- Oui, oui ! Une tête ! Déchirée, décapitée, en sang !
- Depuis combien de temps est-elle là ?
- Si je le savais !
- Vous n'avez rien vu de louche, dernièrement, qui pourrait expliquer cela ?
- Je n'en sais rien, je ne suis là que depuis hier ! » La voiture avait été garée contre la façade sur les allées en gravier et Jack et Buck discutaient à l'écart des adolescents, regroupés par Gary pour qu'il n'entende pas. Ceux-ci étaient peu réveillés et suivaient passivement la situation.

Buck décida d'entrer dans le pensionnat, et retint le proviseur qui allait l'accompagner. « Simple sécurité. Mettez vous à l'abri » déclama-t-il en dégainant son arme de fonction et en retirant le cran de sûreté, avant de pénétrer à l'intérieur. Après avoir ouvert la porte avec précaution, vérifié le rez de chaussée gauche et droit de visu, le fond du hall et les escaliers en y pointant son viseur successivement, il fit une première sommation, comme à l'entraînement. Il monta les marches prudemment, regardant systématiquement autour de lui, au dessus et dans les recoins. Il prit quelques seconde d'écoute avant de monter au deuxième. Rien. A pas de loups, il s'assura que la partie gauche était libre en se penchant sur le mur, puis avança vers l'aile droite, le doigt sur la gâchette, et identifia la porte entrouverte du directeur, une pièce qui donnait sur l'avant du bâtiment. Via de petits pas de côté, il découvrit à chaque fois un peu plus l'encadrement, prêt à tirer, sans oublier de prêter attention au couloir. Puis il dévoila bruyamment le bureau en écartant la porte d'un coup de pied. Tout était propre, rangé, et aucune tête à l'horizon. En revanche, Dawn était sur le sol.

Buck continua une observation prudente de la pièce, mais ne voyant rien de particulier, se mit bien vite sur un genou près du corps, identifiant sa respiration puis essayant de la ramener à la conscience. Après une légère secousse, elle ouvrit des yeux livides. « Qui êtes vous ? Tout va bien ? » Elle eut une quinte de toux, mais resta allongée en regardant le plafond sans dire un mot. « Écoutez, restez ici, je dois vérifier quelque chose. Ne bougez pas. » Il alla vérifier le reste de l'étage de la même manière. Encore une fois, peine perdue.

Malgré les supplications de Jack pour que l'agent le croie, ce dernier fit rapidement un rapport neutre au central via sa radio, une fois redescendu. Ils pénétrèrent à nouveau dans l'établissement à deux, pour une nouvelle vérification et s'occuper de cette femme qui refusait de préciser ce qui lui était arrivé. On la mit sur le lit de son infirmerie, à côté. « Elle travaille pour vous ?
- Pour le directeur habituel. Si vous voulez mon avis, elle l'a vu aussi, mais je ne sais pas plus pourquoi elle reste catatonique comme ça. Je vous jure qu'il y avait quelque chose. Je ne comprends pas.
- Bon, fit Buck, méfiant vis à vis de la situation, autant vis à vis de l'éventualité d'un témoignage morbide que d'employés étranges. Quand elle sera rétablie, vous viendrez au commissariat pour dire ce qu'il y a à dire. En attendant, je ne vous juge pas, mais admettez que cette histoire est farfelue » conclut-il sur le parvis avant de marcher vers son véhicule à quelques mètres. Avant de l'atteindre, il surprit Gary en train de l'observer de manière malsaine, ce qui lui laissa un malaise, mais comprit dans la foulée que lui et les pensionnaires avaient détourné leurs vision vers l'origine d'un bruit de verre fracassé. Buck leva la tête pour voir aussitôt le corps de Dawn chuter d'une dizaine de mètres depuis la fenêtre de l'infirmerie, éventrant sa voiture lors de l’atterrissage dans un bruit de tôle et de pare-brise fissuré.
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Flash_info est bel et bien mort et rejoint l'au-delà avec son secret ... son rôle a été récupéré par Dawn, c'est donc elle qui meurt dans l'histoire.

Début de la Nuit 2, je vous demande vos actions secrètes

Du coup, on sait pas ce qu'on

• a tué, j'espère que c'est un spé, au moins le pouvoir serait toujours là...

Si c'est un loup, ben on a un autre loup à la place. ^^'

Mike: De rien, c'est un plaisir que de te laisser enfermé dans ton erreur.
Quand je parlais de subjectivité, on est en plein dedans.
Lis avec objectivité, et tu verras que j'ai raison : le jeu vient de débuter, il aurait été maladroit d'user son pouvoir dès le début.

Bon bah RIP Flash Même si perso j'aurais pas usé de ce pouvoir (la Domestique) dès le début...