les gens !
Pour commencer, désolé encore (et encore) pour l'attente du nouveau chapitre. cela me surprend un peu et me fait plaisir aussi de voir que ma paro plaît toujours malgré tout le temps que je mets pour l'écrire. Ces derniers temps je n'ai vraiment pas pu m'y consacrer (ma vie sociale, les difficultés à se souvenir du jeu, toussa... ) et ça m'embêtait un peu. Mais, durant les vacances, je vais peut-être pouvoir trouver le temps de faire les prochains chapitres un peu plus rapidement, je vous tiendrais au courant.
Chapointe à pitre :
Il avait beau avoir survécu à la catastrophe de Racoon city il y a longtemps ainsi qu’à bien d’autres missions cauchemardesques par la suite, Léon sentait petit à petit cette vieille et étrange angoisse qui remontait le long de sa nuque, cette sorte de peur mélangée à une pointe de folie qui l’a mainte fois poussé à aller de l’avant dans le passé, quel que pouvait être l’obstacle qui se présentait devant lui, même s’il apparaissait sous la forme la plus inimaginable et répugnante possible… Chacun des pas qu’il faisait semblait le rapprocher un peu plus de cette étrange entité inquiétante et malfaisante qui semblait l’observer et attendre patiemment depuis le tout début de cette histoire… Son impression se faisait de plus en plus plus forte, jusqu’à atteindre son paroxysme au moment même où, d’un geste sec et machinal, il fit passer la carte magnétique dans le lecteur, déclenchant alors le lugubre bip sonore qui indiquait le déverrouillage de la porte de…
- Alors c’est elle la greluche du président que t’es censé sauver de tout ce merdier ?! Lança Mini-Ada avec un léger dédain.
- Léon, c’est qui la mini planche à pain sur ton épaule ? Demanda la greluche en question.
- La planche à pain, contrairement à toi, elle sait y faire avec les hommes !
On venait de tomber en plein dedans, pensa alors notre pauvre Léon, le pire instant de tout ce cauchemar venait tout juste de commencer et la suite allait probablement être encore pire ! Sitôt les (minis) présentations faîtes et les deux furies enragées calmées, du bruit venant du fond d’un couloir attira alors subitement l’attention de léon…
- Chouette... Heeeu, j’veux dire… P’tain de !!!... On dirait bien que les ennuis arrivent, préparez vous les filles car on va devoir… Hein ?... C’est quoi ça ?
Un petit avion en papier flotta dans l’air, glissant prestement entre les barreaux de la fenêtre de la cellule pour venir se poser doucement juste devant notre héros, sur le dessus du papier se dessinait très nettement une marque de rouge à lèvre caractéristique.
- Ah, ça, fit mini-Ada, c’est sûrement mon double pas-mini qui, légèrement inquiète pour notre grand nigaud ici présent, a envoyé un petit message pour lui indiquer la route, des fois qu’il soit trop con et ne sache pas où aller pour continuer l’histoire !
- Tu m’étonnes, répondit Ashley, heureusement que vous êtes là pour le guider sinon je ne pourrais jamais rentrer chez moi en un seul morceau !
- Ben, si ça ne vous embête pas trop, le nigaud ici présent est en train de défendre vos miches face aux quelques ennemis qui nous barrent la route et qui ne nous veulent pas vraiment du bien, de plus leurs parasites sont plutôt coriaces…
- Tss !... C’est bien les hommes ça, pesta mini-Ada, faut tout leur dire ! Ces parasites sont extrêmement sensibles à la lumière vive, utilise une grenade flash pour tous les éliminer d’un coup !... Halala !... Quand je pense que j’ai failli foirer ma mission à Racoon city parce que je suis presque tombée amoureuse de ça !
- Ah ? S’interrogea Ashley, c’est bizarre, j’aurais pourtant juré qu’il était gay car fallait l’entendre chialer à la mort de Luis, j’ai tout entendu d’en bas, quand j’étais attachée ! Tandis que pour moi, rien, tout juste un petit «don’ worry, Ashley, I’m comin’ for ya !» d’ailleurs je comprend jamais pourquoi il le dit en anglais à chaque fois, vu que cette parodie idiote est en français !
- T’inquiète, je sais qu’il n’est pas gay, je l’ai parfaitement entendu me chialer dessus quand j’ai fait semblant d’être morte vers la fin de l’incident de Racoon, d’ailleurs le moment était tellement intense après le baiser que le plus difficile pour moi à cet instant là était de me retenir d’éclater de rire, sinon ma couverture était grillée !
- Faut pas croire, c’est un grand émotif mine de rien, notre Léon, on en pleurerait presque ! Hi ! Hi ! Hi !...
- Hum… ! Les filles, désolé de vous déranger dans votre si passionnante discussion mais l’émotif ici présent vient de finir de dégager la voie vers la suite de l’histoire, pour pas que ça prenne trop de temps, vous n’aurez qu’à suivre le chemin jonché de cadavres !
Sitôt arrivé au bout du dit chemin qui présentait la grande fosse à ordure aperçue auparavant, notre joyeuse troupe se prépara à la suite malgré quelques dégoûts d’égouts... Ensuite l’auteur ricana alors avec un air particulièrement crétin parce qu’il venait de placer un jeu de mot bien pourri en plein milieu de cette interminable paro débile qu’on se demande si elle sera finie un jour…
- Beeeurk ! Pas question que je saute là-dedans, ça pue beaucoup trop ! Se plaignit Ashley.
- Moi, l’odeur ne me dérange pas trop, j’en ai déjà sentie de bien pires auparavant, répondit mini-Ada qui dirigea son regard vers notre héros. Ce qui m’inquiète le plus c’est la hauteur, c’est carrément un coup à se péter une jambe ! Moi je rentre à l’abri dans la mallette, pas question de salir ma belle robe… Surtout qu’elle m’a coûté deux échantillons de virus T et G !
- Désolé, on n’a pas le choix… Allez Ashley, c’est parti !
- Nan mais attend, t’es malade ?! Pas question !... Mais… Lâche ma main, espèce de connaaAAAaaaaaah… !!!
Ashley reprit finalement ses esprits après un petit moment, ils étaient indemnes heureusement, un tas d’ordures aussi répugnantes qu’étranges avait amorti leur chute.
- Allez feignasse, lève ce gros popotin que je dois ramener indemne à la maison blanche, pas le temps de dormir car on doit encore trouver un chemin pour sortir de cette galère !
- Tu veux que je te dise ce que le gros popo… Beeeurk !... C’est quoi ça ?
En se relevant, elle avait posé la main sur quelque chose d’aussi visqueux que recouvert d’épines qui traînait au milieu des ordures.
- P’tain de… !! C’est encore une de ces saletés qui se régénère, on dirait que celui-ci est endormi. Ecartes toi le plus discrètement possible, on doit trouver un moyen de passer cette grille sans qu’il ne se réveille… Tiens, un levier !
Sitôt ce dernier actionné et la grille ouverte avec un grincement des plus sonores, Léon dégomma le monstre sans tarder après que celui-ci se soit évidement réveillé en poussant un grand râle suite au fait qu’il avait été tiré d’un rêve particulièrement érotique avec une pelote d’épingles. A peine le temps pour notre héros de se reposer sur ses lauriers que la greluche poussa un petit cri en apercevant un second monstre s’approcher de l’autre côté par une passerelle. Léon fit prestement volte face pour se préparer à régler le problème comme à son habitude (c'est-à-dire en tirant dedans jusqu’à ce que ça ne bouge plus) jusqu’à ce qu’il remarque que Raoul n’avait pratiquement plus de balles dans le chargeur, ce qui exaspéra légèrement Lisa au passage… même si on s’en fout un peu ! Ce fut aussi à ce moment qu’il remarqua que, dans un coin de la pièce par lequel l’Iron maiden passait, se trouvaient entreposés plusieurs tonneaux remplis de matière inflammable… Sans prendre le temps de se demander ce que ça pouvait bien foutre là au fond d’une fosse à ordure et pile sur le passage du monstre, son esprit léonesque lui indiqua alors de tout faire péter pour se débarrasser rapidement du monstre… Le problème étant que la puissance de l’explosion produite risquerait fortement de nuire à la greluche qui était à proximité, c’est alors que cette dernière fit une de ses remarques habituelles de blonde.
- Tiens, t’as vu cette grande poubelle en métal ? C’est marrant, elle me rappelle celle dans laquelle tu m’avais enfermée pour pouvoir massacrer tranquillement les bouseux aux village tandis que j’étais à l’abri. En plus elle a exactement la même taille, ce qui t’arrangerait sûrement pas mal si cette idée saugrenue te venait de nouveau à l’esprit.
Juste après que l’évidence de la situation fut telle que l’auteur eu la flemme de l’écrire, nos héros reprirent la suite de l’histoire après quelques débilités se résumant plus ou moins ainsi : Un ganados sauvage apparaît, Léon choisit Bob. Bob attaque avec coup de chevrotine dans la tronche, c’est très efficace ! Ganados sauvage utilise parasite, Bob lance à nouveau coup de chevrotine dans la tronche, ganados sauvage est k.o. Léon gagne un point d’expérience sans trop savoir pourquoi… Un marchand sauvage apparaît, Léon choisit portefeuille. Marchand sauvage lance vente de pièces d’optimisation, c’est très efficace ! Portefeuille contre-attaque avec lancer de pesetas, mais portefeuille est à court de pesetas. Léon fait gros yeux larmoyants… Rien ne se passe… Ce n’est pas très efficace ! Leon se demande alors où trouver assez de pesetas, marchand sauvage lance contre-attaque « dans ton cul », rien ne se passe… Léon choisit Grenade, Grenade fait cache-cache dans la bouche de marchand sauvage, la tête de marchand sauvage est étalée au plafond, marchand sauvage est k.o…
- Pfiooou !!! Pas fâché que ce passage débile s’arrête là, fit notre héros… Pour un peu j’allais finir par… Hein ?! Mais que se passe-t-il ? Quelle est cette étrange musique ?
- Pourquoi ton fusil se met à briller comme ça subitement, demanda Ashley ?
La lumière étrange parcourant le fusil s’estompa petit à petit au bout de quelques secondes, laissant alors apparaître de curieuses flammes décoratives le long du canon, le tout accompagné d’une petit note tromphante.
- C’est fantastique, intervint alors Mini-Ada en imitant une voix off sortie d’on ne sait pas trop où. Bob vient d’évoluer en Strikerator !
- C’est quoi la différence par rapport à avant ?
- Juste le nom ainsi que les décorations sur le canon.
- C’est tout ?
- Ouais, mais avoue qu’il fait beaucoup plus classe maintenant !
- J’avoue, en effet…
- Sinon à part ça, fit l’incroyablement magnifique auteur de cette paro, on peut reprendre la suite de l’histoire maintenant ? Je commence presque à voir des bestioles bizarres et mignonnes partout, là !
C’est ainsi que nos dress… hum... nos héros poursuivirent leur chemin jusqu’à arriver dans une salle au milieu de laquelle se trouvait un petit bassin de lave en fusion au dessus duquel se trouvait pendu un étrange boulet de démolition en face duquel se tenait une porte devant laquelle quelqu’un semblait avoir construit à la hâte un mur de ciment autour duquel se réunirent subitement un grand groupe de gaynados.
- Ashley, fit Léon, est-ce que tu peux aller actionner le levier là-bas pour utiliser le boulet et ainsi faire tomber tous ces débiles dans la lave tout en profitant de l’élan pour fracasser le mur et dégager ainsi la porte vers la suite de l’histoire en même temps ? J’me sens un peu feignant là !
- Ok, c’est parti, mais je préfère te prévenir que je ne fais pas ça pour faire plaisir ni à toi ni à l’auteur qui avait envie de passer rapidement ce passage sans se prendre la tête, qu’on soit bien d’accord, hein ?!
- Si tu veux, mais bouges tes fesses !