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Super Smash Bros. Melee

Sujet : Fic héroïquement épique des smasheurs
FaIco
Niveau 7
13 février 2007 à 16:28:37

Trop bien la fic ! Whaww :fete:
Lorsque que Kirby walljump sur le rocher et se fais mal à l´oriculaire gauche :ok:
Et aussi quand Bowser se lance une bouteille de cacahuete sur Purin pour faire de la soupe de bannane .
Continu gars :)

Prince_of_Kiev
Niveau 10
13 février 2007 à 18:48:07

C´est moins marrant que le début... :(

GoldElite
Niveau 8
13 février 2007 à 21:41:00

ouai onilink on veut une fic marrante

vanessa16
Niveau 6
14 février 2007 à 00:19:39

Wouahh!Co0l ta fic mais met de l´humour!J´ai fait une suite a la mienne,viens la lire s.t.p pis connecte touahh plus souvent! :ok:

Pseudo supprimé
Niveau 9
14 février 2007 à 16:57:17

la suite

_Onilink_
Niveau 23
15 février 2007 à 09:56:11

:desole: de mon absence mais quand je ne suis pas là, le jour de mon retour je met tout ce que vous avez loupé bien entendu. :ok:
Et même plus comme ce que je vais vous envoyer tout à l´heure. :-)

_Onilink_
Niveau 23
15 février 2007 à 09:59:28

Bon. Je vais arranger pour l´humour...
Faire à la fois sérieux et marrant alors ?
Dans ce que je vais vous envoyer ça va être sérieux, mais après je vais voir...

_Onilink_
Niveau 23
15 février 2007 à 14:10:58

-Ils sont là !
Link se réveilla et scruta le vide. Il lui était impossible de savoir si ces paroles étaient réelles ou faisaient partie de ses rêves. Il regarda autour de lui, ses compagnons dormaient paisiblement, le bruit des éléments ne les gênait plus, c’était devenu un son habituel, comme un orchestre symphonique, le tout donnant un ensemble harmonieux. Ce dernier s’apprêta à se rendormir quant il entendit des voix. Elles provenaient de dehors.
Il rejeta sa couverture, posa ses pieds sur le parquet, puis descendit l’escalier en essayant le moins possible de faire grincer les marches.
Le seigneur du Malin était toujours endormi sur la table, ronflant légèrement. Le héros vert regarda par la fenêtre et vit avec effroi que des guerriers de l’ombre se préparaient silencieusement dans la nuit en enfilant des armures !
Il bloqua fermement la porte avec une fourche, s’empressa de sortir Ganondorf de ses songes et fit de même avec tous les autres.
-On peut même plus dormir tranquillement… ronchonna Marth.
-Vous ne comprenez pas ! Les cow-boys ont alertés des soldats de l’empire !
-Ah les enfoirés ! s’écria Ganondorf. Je savais bien que l’on ne pouvait pas faire confiance à ces lascars.
Link balaya du regard la pièce à la recherche d’une issue et décida d’évacuer par le toit. Ils sortirent un par un jusqu’à ce qu’il reste le Malin.
-Cette fenêtre est trop petite ! rugit-il.
-Ouvrez ! tonitrua une voix venant d’en bas.
Samus l’aida en le tirant par dehors. Ils eurent l’heur que le toit n’était pas glissant car il était fait de chaume.
« C’est bon on va s’en sortir, se soulagea Roy »
Le héros vert constata avec horreur que son cheval était toujours au ranch. Un guerrier les repéra et hurla à ses comparses de bander leurs arcs. Link se résigna à contrecoeur d’abandonner sa monture plutôt que ses compagnons, s’affirmant qu’il la retrouvera, ou même, qu’elle le retrouvera. Une volée de flèches tenta de transpercer quelques proies mais les fugitifs furent bien heureux d’être hors de portée. Ils sautèrent par dessus la palissade qu’entourait la ferme et se mirent à courir dans la plaine.
-Ils vont faire le tour, lâcha Zelda.
-Princesse ! interpella Ganondorf. Toi qui sais faire des tours de magie, fais quelque chose !
Elle répondit :
-Et pourquoi tu n’invoquerais pas ta superbe sorcellerie des ténèbres ?
-Parce que nous sommes dans les ténèbres, et le seul moyen de contrer ce pouvoir, c’est de…
-Oui ?
-De faire appel à la magie blanche, avoua le Malin en grommelant.
Zelda leva les bras et invoqua le vent de Farore.
-Qu’est que tu f…

Ils disparurent et réapparurent instantanément ailleurs.
-Nous sommes toujours au même endroit, se moqua Ganondorf.
-Non, contredit Zelda, nous sommes à un autre emplacement de la plaine, seulement, le mauvais temps obstrue notre vision.
La pluie sembla s’être calmée mais elle retomba de plus belle, trempant le groupe jusqu’à la moelle.
-Nous sommes sûrement loin des guerriers de l’ombre ! lança Link pour réconforter les autres, en espérant lui-même que ces paroles s’avéraient être justes.
-Et maintenant, dit Samus, vers où allons-nous nous orienter ?
-La tempête semble moins ravageuse qu’avant, remarqua Roy, il y a moins de vent et peu de tonnerre, nous nous trouvons sûrement aux abords de la plaine.
- Moins ravageuse… je n’ai jamais vu une pluie comme ça ! rétorqua Marth en crachotant de l’eau de sa bouche.
-Regardez ! Nous pouvons apercevoir le château d’Hyrule ! s’exclama Zelda.
Ils marchèrent pendant cinq minutes et furent horrifiés de découvrir que les dizaines de maisons qui avaient toujours reposé au pied de la citadelle étaient rasées, témoignant de leur disparition avec quelques poutres cramoisies et des volutes de fumée s’échappant des tas de cendres, comme si le carnage s’était produit hier. Les ruines étant disposées au bord d’un précipice, la forteresse noire lévitait à quelques kilomètres plus loin au dessus d’un océan de lave, la rendant injoignable. Pire encore, un gigantesque champ de force doré l’entourait littéralement, écartant toute intrusion.
Ils penchèrent leurs têtes et reculèrent brusquement en voyant un jet de flammes incandescent grimpant dans les hauteurs, tentant de laper les quelques voyageurs qui auraient l’audace d’oser s’aventurer en pareil lieu. Le même phénomène se répétait à plusieurs endroits de l’océan qui s’étirait à perte de vue.
-Bon eh bien… au moins on sait ce qui nous attend, plaisanta Ganondorf.
-C’est bizarre… la lave devrait être durcie par la pluie incessante, s’interrogea Roy.
-C’est l’oeuvre de la sorcellerie de Ganondark, expliqua Zelda.
-J’ai faim, se plaignit Samus. Je n’ai pas mangé depuis hier.
-Je, je, je, répéta Marth, je… euh nous te signalons que nous n’avons pas non plus mangé. Et ce depuis peut-être même plus longtemps, le jour et la nuit n’ont pas de différences visibles à l’œil nu ici.
-Alors, dit Link, je suppose que nous devons nous rendre au temple du temps.
-La forêt dans laquelle il est bâti est à l’opposée de la plaine… commença Zelda.
-Pas question de la traverser ! coupa Samus.
Ils réfléchirent un moment. Le Malin finit par dire :
-Nous pouvons contourner la plaine, mais ça prendra deux fois plus de temps.
-Deux fois plus de temps, mais deux fois moins de dangers, espéra Roy.
-Il me faut absolument une épée, répéta le héros vert.
-Nous t’en trouverons une, lui assura Marth.

Ils commencèrent à errer, en prenant bien soin de ne pas trop s’enfoncer dans les étendues herbeuses. Les bouts de leurs doigts étaient tous bleus, gelés par le froid, la pluie battait leurs visages, tels des éclats de verres, leurs jambes qui traînaient, leurs bras qui pendaient, tous engourdis. L’espoir que les portes du village Cocorico puissent apparaître devant eux d’une seconde à l’autre était la seule force qui les faisait encore tenir debout. La faim ainsi que la fatigue les taraudait affreusement.
Alors qu’ils perdirent toute espérance, les contours d’une vague lueur lumineuse se dessinèrent petit à petit, une lueur qui se balançait deçà delà au gré du vent.
C’était une lanterne, éclairant ces lettres grossièrement tracées sur une planche de bois cloutée à un arbre : UiIlage C0corico.
Le célèbre arbre qui surplombait l’entrée de Cocorico, sauf qu’il paraissait moins impressionnant qu’il l’eut toujours été.
-… Il a un siècle de moins, se réjouit la voix de Zelda, à peine audible.
Cette découverte rendit une vague de vigueur au groupe, qui poussa les battants de la grande porte construite avec des maigres troncs d’arbres.
Le village était presque le même qu’à l’époque qu’ils connaissaient, manquant seulement quelques maisons de ci de là.
Samus tourna lentement une poignée et le groupe entra sans même frapper à la maison qui était la plus proche.
Un jeune garçon qui lisait un grand livre avec des lunettes ne parut pas effrayé des inconnus qui arrivèrent chez lui. Il devait avoir environ 14 ans.
-De quel droit entrez-vous chez moi ? demanda t-il.
L’inconnu leva son nez et eut enfin l’air d’être surprit.
-Est-ce donc un défilé ?
-Au lieu de servir de belles paroles, dit Ganondorf, essoufflé, apporte nous de la nourriture, je crève la dalle !
Le garçon ne répondit rien, partit farfouiller dans une autre pièce et revint les bras chargés de diverses victuailles.
Les voyageurs avalèrent goulûment la nourriture, sous l’œil paterne et bienveillant du petit homme et Link, reput, s’enquit :
-Merci, comment tu te nommes mon ami ?
-William Richard Darta. Mais vous pouvez m’appeler Will.
Les yeux de Zelda s’écarquillèrent.
-C’est un nom noble, murmura le héros vert.
-C’est surtout mon arrière grand père… susurra Zelda.

_Onilink_
Niveau 23
15 février 2007 à 14:14:20

-La tempête a du les emporter, expliqua Zelda avec peine, nous n’avons rien pu voir…
Will laissa les autres ressasser dans leurs têtes les événements jusqu’à satiété, pendant ce temps il sortit un calepin de son sac et se mit à faire des croquis de la forêt.
-Assez de temps perdu, râla Ganondorf, on y va !
-Du temps perdu ?! explosa Link. N’as-tu donc pas de cœur ? Deux de nos amis viennent certainement de mourir et tu considères que quelques minutes de silence pour leur rendre hommage c’est du temps perdu ?!
-Ouais.
Link pesta, se jeta sur son interlocuteur et tous deux se mirent à rouler par terre dans une lutte acharnée, il frappa le Malin à l’estomac. Plié en deux au sol, ce dernier jura.
Il se releva, ses lèvres formant un rictus affreux, et tira sa lourde épée. Link dégaina sa lame à son tour.
-Vous n’allez quand même pas vous entretuer ?! cria Samus.
Ganondorf se rua sur Link et lui porta de furieux coups, ce dernier les para avec difficultés, en dépit du choc qu’ils lui causèrent.
Link frappa à son tour impétueusement, son adversaire commençait à céder du terrain. Ganondorf ramassa une poignée de cendre et la jeta au visage de Link, il prit une légère pause pour se frotter les yeux et les rouvrit à temps pour esquiver la lame de son ennemi qui s’abattit avec violence sur la terre.
Le héros vert revint à la charge, les épées s’entrechoquaient avec force et commençaient à s’ébrécher.
Le Malin sentait l’harassement venir en lui, et pour cause, son adversaire continuait à frapper avec acharnement, sans faiblir.
Repoussant un coup avec sa grosse épée, il leva l’autre main et projeta Link au sol à l’aide de sa magie obscure.
Cloué au sol, ce dernier vociféra :
-Sale tricheur ! Tu uses de tes pouvoirs !
Ganondorf le laisse mariner un instant puis il finit par commenter :
-La prochaine fois tu réfléchiras, avant de t’attaquer à plus fort que toi.
-Grr… SALAUD !
Samus, Zelda et Will qui observaient en silence la scène se bouchèrent les oreilles, afin de ne pas subir les jurons que proférait le héros vert.

Le Malin relâcha son étreinte extracorporelle et Zelda posa sa main sur l’épaule de son ami.
-Link… commença t-elle.
-LAISSE MOI ! hurla t-il en se débattant, des larmes de rage s’écoulant de ses yeux. Puisqu’IL est si fort, vous n’aurez pas besoin de moi pour la suite !
Les poings serrés, il entra dans la forêt sans jeter un seul regard en arrière.
-Ben bravo ! s’écria Will. Régler cette altercation de la sorte, c’est vraiment une des pires ignominies qu…
-Toi ferme la, coupa sèchement Ganondorf en s’époussetant ses habits.
-Je suis sûre que nous retrouverons Link dans la forêt, rassura Samus. C’est pourquoi, nous devons nous y aller dès maintenant.
Les autres furent d’accords. Le groupe pénétra dans les Bois Perdus.

Les environs étaient calmes, parfois troublées par un champ d’oiseau. L’herbe était verte, les buissons fleuris, la végétation dense. Le soleil laissait parfois filtrer quelques uns de ses précieux rayons à travers l’épais feuillage et les branches.
L’atmosphère était tout de même inquiétante. Au fur et à mesure de leur marche, le silence était de plus en plus oppressant, les champs d’oiseaux réconfortants s’éteignirent, les maigres faisceaux lumineux que procurait le soleil se faisaient rares.
-Le temple est encore loin ? demanda Zelda.
Will la regarda et répondit :
-Je ne sais pas du tout. La durée restante du chemin peut varier de quelques minutes à quelques jours.
Ganondorf écrasa une plante du pied, réjouit que le garçon ne sache pas tout.

Soudain, un frémissement se fit entendre, plusieurs mètres plus loin. Samus fit signe aux autres de sortir sans bruit les épées.
Une petite créature portante une lance émergea du sol. Un instant plus tôt, seule sa touffe de feuilles qu’elle portait sur le crâne dépassait de la terre. Le Malin la toisa du regard :
-C’est quoi ce truc ?
-C’est un Mojo ! Celle-ci est femelle, elles sont facilement reconnaissables à leurs teintes rouges sur les joues.
Des dizaines de ses semblables tous armés identiquement sortirent du sol à leur tour, encerclant les voyageurs.
-Allez approchez ! défia Ganondorf. Je vous prends un à la fois ou tous en même temps ?!

Attention. La scène qui suit peut heurter la sensibilité des plus jeunes, aussi vous prierai-je de bien vouloir m’excuser. Merci de votre compréhension.

-Pacifique hein ? maugréa le Malin, ligoté à un tronc d’arbre porté par des Mojos peinant sous le poids de leur prisonnier.
Ses compagnons furent escortés par de nombreux soldats.
La forêt s’assombrit très rapidement, signe du coucher du soleil.
Le cortège déboula dans une immense clairière, suivant une longue allée qui la traversait. Elle abritait toute une ville, les maisons étaient plutôt basses et petites, répondant aux maigres tailles de leurs occupants.
Au milieu de ce vaste espace dénué d’arbres, une des créatures était affalée dans un fauteuil en bois posé sur une estrade, un sceptre à la main, une graine sur la tête.
Un Mojo couina de sa voix aiguée :
-Toi humain avec robe s’incliner devant tout puissant roi.
Zelda exécuta sa révérence.
Le chef prit alors la parole d’une voix monotone, son visage étant éclairé par une des nombreuses torches disposées dans la ville :
-Etrangers s’introduirent dans forêt sacrée, eux subir conséquences.
-Ben voyons ! commenta Ganondorf toujours attaché. On va échopper d’une punition maintenant !
Un de ses geôliers le frappa avec un bâton.
-Ouch !
Le roi continua :
-Méchant humain faire objection sans raison, lui avoir double sanction.

-Et moi te casser la tête… euh la graine !
Ils se tournèrent tous, sauf le Malin (handicapé par son poteau), vers la voix inconnue.

Staroid
Niveau 10
15 février 2007 à 15:29:07

:rire: C´est très bien :ok: Tu la mets quand la suite?

_Onilink_
Niveau 23
15 février 2007 à 15:47:35

Bientôt cher ami.

_Onilink_
Niveau 23
15 février 2007 à 16:59:46

Demain sûrement. :o))

Masashi-bowser
Niveau 8
15 février 2007 à 17:20:04

cette suite est tout simplement

coooooooooooooooooooooooool

20000000000000000000000000000000000000000000000000
0000000000000000000000000000000000000000000/20

_Onilink_
Niveau 23
15 février 2007 à 17:48:33

:merci: beaucoup. :-)
Je travaille depuis un moment sur la suite.

PommePoire
Niveau 9
15 février 2007 à 18:07:05

"se sentant plus en sécurité à même le sol"

copyright me :fou:
ou alors coïncidence^^

_Onilink_
Niveau 23
15 février 2007 à 18:43:30

Ouais c´est vrai, mais coïncidence. :-) ^^
Je pense que ce n´est pas toi qui ai inventé cette phrase :content: :fou: :diable:
Au moins tu lis mon histoire :merci:
T´aimes bien ? :)

bob9502
Niveau 9
15 février 2007 à 18:54:03

beaucoup plus sérieux le reste de la fic, mais cool
jé une question, comment zelda a retombé dans le passer???

_Onilink_
Niveau 23
15 février 2007 à 18:57:00

Ta question est la même que Marth, et aussi conne que moi :o)) :
En traversant un tableau, comme tous les autres. :lol:

_Onilink_
Niveau 23
15 février 2007 à 19:29:11

Pas de monde, pas de suite ! :diable:
Mua ha ha haaaaa (rire cruel)

Pseudo supprimé
Niveau 9
15 février 2007 à 20:14:18

:snif:

Sujet : Fic héroïquement épique des smasheurs
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