Je retrouve plus mon resumé 
haprenti tu veux le faire à ma place? 
Faut que je discute avec DVP sur son pavé
Merci bien
Tu n'es pas d'accord?
De rien
Au sujet de la partie sur la nature
Ca fait du bien de reecouter cette musique http://www.youtube.com/watch?v=j4dmBZdRjLY
C'est la théorie qui a donné le plus suite à débat.
Ah
D'accord Haprenti
haprenti jte bais la gueule tu m'entends?
"En faut-il peu pour être heureux ?"
Être heureux, c'est ressentir le bonhuer, qui se distingue du plaisir par sa durée et son origine.
Dans les sociétés occidentales, le bonheur est souvent considéré comme lié à la possession de biens matériels, mais il est de plus en plus souvent entendu dire qu'il suffirait de peu pour atteindre le bonheur.
Constituer une famille ou entretenir une amitié sont des choses immatérielles mais qui constitueraient le bonheur. C'est aussi le cas pour le Bouddisme, où il est nécessaire de se détacher du monde matériel pour éspérer atteindre le bonheur.
La question reviendrait donc à se demander si le peu est nécessaire au bonheur (Avoir plus serait négatif), ou suffisant au bonheur (Avoir plus est mieux, mais avoir peu serait tout de même bien.), ou si la quantité est réellement importante ou non.
Nous verrons d'abord que le bonheur peut-être considéré comme étant proportionnel aux biens, matériels ou non ; puis qu'en réalité il n'est pas nécessaire de beaucoup posséder pour être heureux ; et enfin nous verrons que malgré tout un travail sur sois est nécessaire afin de savoir être heureux à partir de peu ou rien.
Il semble logique de penser que l'accumulation de biens permette d'atteindre le bonheur. En effet, en disposant de beaucoup d'argent je vais pouvoir réaliser plus de désirs et avec plus de facilités que si je n'en disposais pas d'autant : Achetter une grande maison, avoir un grand terrain, un hélicoptère, faire le tour du monde, etc... La satisfaction de tout ces désirs permet d'être heureux car aussi longtemps que ces biens seront à notre disposition nous pourrons satisfaire nos désirs et faire durer le plaisir sur le long terme.
Mais tout les désirs ne portent pas sur des biens matériels, on peut désirer fonder une famille, avoir de vrais amis, participer au bonheur d'autrui, ce sont des exemples de choses qui peuvent participer et permettre le bonheur en entretenant un plaisir diffus sur le long terme. Bien que cela ne soit pas des bien matériels, ce sont des choses que l'on "possede" et accumule, et il n'est pas forcément aisé de les conserver, un membre de notre famille peut mourir, les relations sont à entretenir. Il n'en faudrait donc pas "peu" pour être heureux. Cependant, les biens obtenus peuvent être perdus, ils créent alors un vide que l'on n'aurait pas ressenti si nous ne nous étions pas accoutumé à leur présence. Il faut donc tout autant "beaucoup" pour être heureux, mais le problème résiderait dans la conservation de ces biens, et dans leur obtention, qui crée un manque en cas de perte ou une frustration en cas d'attente.
Il serait donc plus judicieux de ne désirer alors que les biens dont la perte et peu probable et dont l'obtention est aisée.
Se contenter de peu est donc préférable voir nécessaire en raison de l'imprévisibilité des évènements. Il ne faut pas posséder beaucoup, et ne posséder et désirer que ce qui est facile d'accès, et qui ne peut pas (ou le moins facilement possible) nous être retiré, d'une part pour ne pas s'accoutumer à la présence de choses hors de notre portée, et d'autre part pour minimiser le mieux possible l'attent entre l'apparition du désir, et sa satisfaction.
Il faut donc se contenter de désirer les plaisirs simples tels que de l'eau et le pain pour satisfaire nos besoins rapidement, nous épargnant alors une attente douloureuse que nous procurerait des désirs dont la satisfaction recquiert une attente ou un travail conséquent. Le bonheur est atteint car les désirs que nous possédons sont satisfait rapidement, ils sont satisfaits et le plaisir s'installe sur le long terme puisque ceux-ci répondent simplement à nos besoins. Cependant, cette solution n'en est pas forcément une pour les personnes ayant été habituées à la satisfaction de désirs "peu aisés", car il en faut alors peu pour être et réster heureux, mais il faut aussi ne pas avoir expérimenté trop de "désirs difficiles".
Cela montre que la présence d'efforts est nécessaire malgré tout. Efforts conséquents et qui ne sont pas "peu" difficiles à effectuer, mais qui sont nécessaire à l'obtention du bonheur.
La personne doit subir une "réabilitation", pour se débarasser de ses désirs difficiles d'accès et s'habituer à désirer des choses simples.
Cette "réabilitation" est plus un entrainement pour contrôler ses désirs, mais, une fois cet entrainement sur soi effectué, il n'y a plus d'utilité à se restreindre à la satisfaction de nos besoins, nous pouvons nous permettre de désirer des choses qui nous sont aisément retirées car, maitrisant nos désirs, il ne tient qu'à nous de conserver ces désirs, et de le supprimer lorsqu'une chose nous est retirée ou perdue d'avance.
Il est ainsi possible d'être heureux même sans rien ou en étant confronté à des situations où même nos besoins ne peuvent plus non plus être satisfaits (emprisonné, torturé). Le bonheur suite à un tel entrainement dépend alors uniquement de nous même, et que l'on possède peu ou beaucoup, que cela oit biens matériels ou non, n'importe plus.
Cet entrainement est difficile, car il est nécessaire de se détacher de nos désirs, mais il permet ensuite d'être satisfait en toutes circonstances, permettant le bonheur, en n'étant plus esclave de nos désirs et choisissant ce qui est à notre portée uniquement. Il en faut donc peu pour être heureux... apres avoir suivis un entrainement conséquent.
Il s'agit cependant du "seul" obstacle à franchir pour obtenir alors un bonheur qui est ensuite assuré.
Il est possible d'atteindre le bonheur par la possession de biens nous permettant une satisfaction de nos désirs de manière aisée, mais l'obtention de ces biens ne dépend pas entièrement de nous, les richesses peuvent nous être retirées et le manque crée par leur absence produirait un malheur plus grand que si nous ne l'avions jamais possédé. Il faut donc se contenter des désirs dont la satisfaction est aisée, se contenter de désirer ce qui correspond à nos besoins, pour limiter l'attente, frustrante, et qui sont faciles d'accès tout en étant "renouvelables".
Mais pour s'habituer à ce mode de vie et l'accepter, il faut se débarasser de nos anciens désirs, qui avaient l'habitude d'être satisfaits mais dont la satisfaction peut être rendue impossible.
Il faut donc pour cela effectuer un travail sur soi pour maitriser ses désirs et savoir se contenter de peu.
Mais, maitrisant nos désirs, il est alors acceptable de désirer des choses qui peuvent nous être retirées, car, si elles le sont, cela est dans l'ordre des choses, nous sommes préparés à cette éventualité et pouvons supprimer le désir correspondant. Il est donc possible d'etre heureux avec peu, voir sans rien, mais il faut au préalable effectuer un travail sur soiqui ne représente pas "peu" de choses.
"Très bon travail qui démontre la nécessité du stoïcisme. Mais il y a des fautes de français ! 19/20" 
Merci
Dédicasse à Titimaty pour "Fonder une famille, aider les autres, entretenir une amitié". 
Je commence
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Oui
