Try quand meme !
Rooh la flemme, je suis mort moi.
Je fais durer le suspense jusqu'à demain.
Ok a demain bonne nuit !
La nuit porte conseil !
Nice Sweet
sweeet
Sweet plz !
Sinon bonjour !
Magickz, putain dire que y'a pas longtemps dans les 10 premieres pages on avait fait le mp.
NON JE DEC GO LA SWEET ENCULAY
Pfff j'ai la pub vacance en corse a cotè du topic
Sweeeeeeet
sweetr bg
/SWEEEET\
sweet !
Sweet jeune pwar !
Sweet ce soir les mecs. Je suis absent tout l'après-midi.
La patience est une vertu.
Vivement ce soir !
A la fin ils tombent dans un fossé et ils meurent
SWEEEEEEEEET
swwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwww
wwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwww
wwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwwww
wwwwwweeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee
eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeetttttttttttttttttttttttt
ttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttttt
Magicz, le fait que jeniktamer est aussi une vertu ?
Vous connaissez sans doute les films du Parrain. Eh bien, j'avais l'impression d'être sur le tournage du prochain film. L'environnement autour de nous se rapprochait tellement du long métrage. La pièce où nous étions maintenant était de taille moyenne.
La décoration était surchargée : bouquets de fleurs, peintures, sculptures... J'ignorais si une décoration plus ostentatoire était possible. Mes yeux se posèrent sur l'imposant bureau : un ordinateur portable, de gigantesques piles de paperasse, une boîte de cigare, un revolver, de la drogue... En bref, l'attirail complet du parfait mafieux.
L'homme qui siégeait derrière ce bureau ne nous faisait pas face. Il regardait par le fenêtre, les mains croisées dans le dos. Sans un regard pour nous, il brisa le silence :
- Jeunes gens... Je suis Charlie. C'est moi qui dirige cette maison. Savez-vous pourquoi vous êtes là ?
- … Parce que j'ai démolis la voiture d'un de vos collègues.
Charlie se tourna vers moi. Je pus distinguer son visage : cheveux noirs plaqués vers l'arrière, parfaitement rasé, des yeux noirs et un regard à faire froid dans le dos. Je lui donnais la quarantaine bien trempée. Il me fixa intensément :
- Non. Tu es là parce que tu as niqué une partie de mon business.
Il avait changé de ton. Sa voix était puissante et ferme. Il jouissait d'une autorité naturelle qui le rendait encore plus intimidant. Je ne comprenais pas :
- Pardon ?
- Répètes moi ce que tu as fait petit...
- Ben... J'ai...défoncé une bagnole...
Charlie s'assit à son bureau, et lâcha un long soupir. Visiblement, cette affaire l'agaçait.
- Non seulement tu t'es permis d'envoyer à la casse une de nos plus belles voitures, mais tu as surtout empêcher un de mes hommes de se rendre à un petit rendez-vous...
- Vraiment désolé...
Il cogna violemment son poing sur le bureau, renversant une pile de dossier :
- Tes excuses, tu peux te les foutre au cul ! Tu as réduis en miette un travail qui nous a pris des mois, un accord qui nous aurait rapporté une petite fortune...
- Je peux essayer de vous dédommager...
Il éclata de rire, tout comme deux de ses hommes présents dans la pièce :
- Ah oui vraiment ? Tu as trois millions d'euros sur toi ?
Pour le coup, je pris vraiment conscience de la merde dans laquelle je m'étais fourré...