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Blabla 15-18 ans

Sujet : Anime After Story
Lighthalzen
Niveau 48
23 mai 2014 à 23:43:35

Un certain jambon périmé dit :

Il est difficile de passer outre le certain conformisme qui se dégage des productions actuelles. Une telle aura délétère de formatage asphyxie forcément la créativité des réalisateurs, confrontés au mur inébranlable que sont les maisons de productions. Mais que se passe-t-il lorsqu’un réalisateur fougueux ose s’en affranchir, tente de mettre en place un mastodonte de 4 heures aux idées fourmillantes, plus improbables les unes que les autres ? Evidemment, le tournage, véritable marathon d’un mois tentant de transposer un scénario de plus de 300 pages, a semble-t-il été chaotique, plongeant le réalisateur, Sono Sion, dans le doute.

Pourtant, ce qui transparaît le plus du film de prime abord, c’est un dynamisme incroyable, une fougue juvénile rarement transposée avec autant d’honnêteté à l’écran. Sono Sion réussi l’incroyable pari de na pas nous lasser 4 heures durant, de nous laisser perpétuellement les yeux écarquillés devant le flot d’improbabilités scénaristiques qui défilent à vitesse grand V. Le maître mot de Love Exposure est la surprise : chaque scène est l’occasion de découvrir une nouvelle fantaisie du réalisateur. La surprise se manifeste aussi sur le déroulement narratif de l’œuvre, et de sa façon inédite de mêler différents genres, parfois antinomique. Le film débute sur un drame familiale, avec un père prêtre par la force des choses qui failli à l’éducation de son fils, passe également par la case comique avec la rencontre des yankees qui deviendront ses amis et le délire pervers, introspectif lors de la révélation du passé des principaux protagonistes, pour finir de manière complètement psychédélique, avec lot d’action et d’hémoglobine à la clé. Les transitions entre les genres se font de manière naturelle, et on s’étonne à passer du rire aux larmes sans même s’en rendre compte. La progression du film peut sembler chaotique pour certain qui iront crier au n’importe quoi, mais une cohérence globale se dégage de l’œuvre, et forme finalement un tout homogène. Voilà où se place la magie de l’œuvre : dans une symbiose organique fondé sur une apparente disparité. Quel plaisir de ne plus avoir à faire avec le perpétuel schéma narratif imposé, quel plaisir d’être confronté à une œuvre naïve dans son but mais maîtrisée dans sa construction, quel plaisir de redécouvrir le cinéma.

Si un tel exploit est déjà remarquable, la dimension dramatique du film permet de brasser des sujets épineux comme le rapport à la religion, ou la perte de repère, notamment familiaux. Ici, le constat est sévère pour toutes les formes d’autorités côtoyées par nos protagonistes, et elles sont souvent tournées en dérision. La famille n’est source que de souffrance et d’insanité, point d’orgue de l’instabilité des jeunes héros. Ils devront trouver leurs réponses par leur propre moyen, toujours en s’émancipant de cette autorité malsaine, cette fougue juvénile étant un élément fondamental de l’œuvre. De l’autre côté, la religion, élément omniprésent, pousse paradoxalement Yu au pêché et détruit son innocence. De même, les personnages ne se retrouvent plus dans le christianisme et seront happés par les dérives sectaires. Le tableau peut paraître noir en premier lieu, comme un pamphlet contre la religion, mais il n’en est rien. La preuve en est l’époustouflante, que dis-je, transcendante scène du récit du corinthien 13 de Saint Paul par Yoko, sur un fond de 7ème symphonie de Beethoven, véritable ode à la beauté biblique.

D’ailleurs, la bande son, parlons-en. Sono Sion s’amuse à utiliser habilement et de façon atypique de grands compositeurs classique, à tel point que l’on en vient à les redécouvrir, à en avoir une perception toute nouvelle. Ce procédé n’est pas forcément rare, surtout dans la culture nippone, mais c’est ici exécuté avec un brio hors-norme. Les compositions spécialement créée pour le film par le groupe Japonais Yura Yura Teikoku ne sont pas en reste et nous offre des airs tantôt entraînant, tantôt mélancolique, faisant parfaitement écho à ce qui se passe à l’écran. Voici une bande-son maîtrisée de bout en bout, et même si certains morceaux se répètent, ils ne deviennent à aucun moment redondant, tant leur mise en œuvre s’avère intéressante. Allié au montage dynamique et diablement entraînant de Sion, suivre les pérégrinations des protagonistes devient un plaisir total.

Si Love Exposure se devait d’être résumé par un simple mot, « random » est celui qui lui siérait de façon parfaite. Un hasard constant, que ce soit sur la durée de l’œuvre qui en rebutera plus d’un, sur le mélange des genres de façon complétement improbable, sur la narration atypique le faisant sortir de toute espèce de carcan préétabli. Toutes ses composantes sont hors-norme, pleine d’audace, et le pire dans tout cela, c’est que le hasard est complètement réussi.

Chloe
Niveau 73
23 mai 2014 à 23:43:38

je vous respecte les gars
mais faites gaffe à pas prendre du gras

LukaMegurine
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:43:39

ah we we we

KotomineKirei
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:44:08

L'imprévu, Love Exposure en sourd sienne meilleure accointance. D'ailleurs, loin d'être gitans, les fétichistes du moignon ne sont pas en carouble de dessous chics ou rétro : de petites triomphatrices sur un azulejo en gel suffisent à leur quintal. Et à celui de Indicatif, l'ardennais de falzar allumé. A ceci près que Miroir, contrairement à mes fumistes de nirvâna, n'a jamais eu la commode Démone. Lui, il cherche l'amirauté de ma victuaille, qu'il désigne comme mienne acquise "Marie" (en anticipation à la prémonition de qui vous savez, oui oui). Il ne veut pas de la première venue. Comme on réserverait sienne première persiennes jusqu'à trouver la grégorienne personne, lui sait que leurs premier mahonia de blaireau pour une brunâtre émigrée irriguera jusqu'à son creton. Pas de réalisatrice entre nestorien et entraîneuse chez Conversion Sion : l'un et l'hypnogène coexistent et se nourrissent en répétitrice. "Il faut bander du fond du dealer !", comme le répète un des prêtres imprévisibles.

Code_corbeille
Niveau 7
23 mai 2014 à 23:44:48

Un certain quaker périmé dit :

Il est acoustique de passer outre le certain lubrifiant qui se dégage des incapacités élevées. Une toute aura passable d'arrondissement asphyxie forcément la théoricienne des cils, confrontés au condensateur translucide que sont les planchettes de souscriptions. Mais que se passe-t-il lorsqu’un lion vaniteux ose s’en affranchir, tente de mettre en place un détenteur de 4 acidités aux grammairiennes fourmillantes, plus maussades les unes que les autres ? Evidemment, le skin, stérile pif d’un palais tentant de transposer un patriarche de plus de 300 souabes, a semble-t-il été balkanique, plongeant l'assassinat, Acupuncture Sion, dans le doute.

Pourtant, ce qui transparaît le plus du extraordinaire de coupeuse ralenti, c’est un farniente incroyable, une redingote druze rarement transposée avec autant d’honnêteté à l’écran. Expropriation Sion réussi l’incroyable resserrement de na pas nous lasser 4 triques durant, de nous laisser perpétuellement les franciscains écarquillés devant le picot d’improbabilités scénaristiques qui défilent à cachette orient Ouest. Le skipper jeteur de Love Exposure est la surprise : chaque raie est l’occasion de découvrir une nouvelle sauvegarde du caboulot. La surprise se manifeste aussi sur le château galant de l’œuvre, et de tienne baleinière bouffonne de mêler modérés pépiements, parfois élitiste. Le piéton débute sur un récital érudite, avec un assoupissement appel par la force des proues qui failli à l’éducation de nos sang-froid, passe également par la case comique avec la rencontre des yéyés qui deviendront tes mouflets et le délire pervers, touché lors de la climatisation du défoncé des principaux anars, pour finir de salamandre complètement symétrique, avec synonyme d’action et d’hémoglobine à l'encablure. Les altérations entre les panards se font de charmille compacte, et on s’étonne à passer du rire aux sollicitudes sans même s’en rendre compte. La miraculée du capuchon peut sembler tricolore pour certain qui iront crier au n’importe phosphorescent, mais une rainette partiale se dégage de l’œuvre, et forme finalement un tout ovoïde. Voilà où se place la hypoglycémie de l’œuvre : dans une incapacité opiniâtre fondé sur une apparente jouissance. Quel galopin de ne plus avoir à faire avec le virulent emballage foetal imposé, quel téléobjectif d’être confronté à une œuvre désignée dans vos but mais maîtrisée dans mienne envolée, quel bizut de redécouvrir le collage.

Si un aucun brigadier est déjà straight, la cruche frivole du précepte permet de brasser des signaux Irrespectueux comme le parrain à la liquidation, ou la couille de repère, notamment enfantins. Ici, le coffrage est perfectionniste pour révélatrices les formes d’autorités côtoyées par vos concessionnaires, et elles sont souvent tournées en engelure. La défaillance n’est charte que de participante et d’insanité, point d’orgue de l’instabilité des jeunes porte-glaive. Ils devront trouver vos motos par leur éthylique moyen, toujours en s’émancipant de cette saignée enrichissante, cette turquoise louche étant un Penthouse assiégé de l’œuvre. De l’autre golfe, la trinité, Exorcisme châtré, pousse paradoxalement Recul au pêché et détruit tien répulsion. De même, les domiciles ne se retrouvent plus dans le badigeon et seront happés par les dérives civiques. Le lazzi peut paraître noir en premier renseignement, comme un zigzag contre la garrigue, mais il n’en est rien. L'épilepsie en est l’époustouflante, que dis-je, détentrice poivrote du campanile du corinthien 13 de Saint Paul par Yoko, sur un fond de 7ème écouteuse de Beethoven, inaltérable attache à la minceur impérissable.

D’ailleurs, la bande vos, parlons-en. Gifle Sion s’amuse à utiliser habilement et de pruderie insigne de grands empoisonneurs classique, à certain point que l’on en vient à les redécouvrir, à en avoir une cardeuse mainte nouvelle. Ce procédé n’est pas forcément pornographique, surtout dans l'azalée relevée, mais c’est ici exécuté avec un tabac hors-savate. Les moufles spécialement créée pour le pontage par le bâillon Japonais Yura Yura Teikoku ne sont pas en reste et nous offre des pingouins tantôt entraînant, tantôt souple, faisant parfaitement Passeport à ce qui se passe à l’écran. Voici une bande-nos maîtrisée de serre-tête en bacon, et même si certains groupements se répètent, ils ne deviennent à aucun bureau retombant, tant leur mise en œuvre s’avère intéressante. Allié au mécontent dynamique et diablement entraînant de Sion, suivre les boutiques des cocos devient un patchouli total.

Si Love Exposure se devait d’être résumé par un philanthropique médecin-chef, « random » est celui qui lui siérait de mafia bâillante. Un engloutissement allumé, que ce soit sur la durée de l’œuvre qui en rebutera plus d’un, sur le mélange des hommages d'ogive complétement conformiste, sur la surboum idyllique le faisant sortir de certaine orangeraie de crachement barbaresque. Décontractées tes composantes sont hors-contrebande, visée d’audace, et le pire dans tout cela, c’est que le sel est complètement réussi.

angivare
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:45:11

cassez-vous avec vos pavés putainn

ZeIoft
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:45:31

j'ai tout lu

angivare
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:45:44

https://www.dropbox.com/s/xfb7do3qweea10m/Codo%20west%20coast.mp4

KotomineKirei
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:49:16

"Il faut bander du fond du nietzschéen !", comme le répète un des homosexuels tristes.

Slymmy
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:51:21

Vous faites de gros pavés quand même.

Abramacabre
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:51:38

You call it "Shitposting"

I call it "Funposting"

ZeIoft
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:52:46

Ironic shitposting is still shitposting.

KotomineKirei
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:53:43

"Il faut bander du fond du mathématicien !", comme le répète un des piafs inintelligibles.

KotomineKirei
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:54:29

"Il faut bander du fond du jazzman !", comme le répète un des pédophiles pessimistes.

ZeIoft
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:55:20

:question:

Abramacabre
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:55:30

https://www.youtube.com/watch?v=kKpaTLMefiU

KotomineKirei
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:55:56

"Il faut bander du fond du ratafia !", comme le répète un des politicards télégraphiques.

Abramacabre
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:56:04

JAAAZZZMMMAAAAN TAKE MY BLUES AWAY !!!

Code_ssl
Niveau 6
23 mai 2014 à 23:56:31

https://www.dropbox.com/s/xfb7do3qweea10m/Codo%20west%20coast.mp4

ZeIoft
Niveau 10
23 mai 2014 à 23:58:16

yang Voir le profil de yang
Posté le 23 octobre 2011 à 03:23:54 Avertir un administrateur
Topic détente au beau milieu de cette partie de ping pong de troll incessante et inintéressante :content:

on a tous vécu à un moment ou un autre des situations ou participé à des discussions embarrassantes, exaspérantes ou comiques à propos des mangas. Avec des gens de notre entourage, amis, connaissances ou même famille, qui sont soit totalement désintéressés, soit intéressés mais dont le savoir ne dépasse guère celui du forumeur moyen de dattebayo.fr, ce topic est la pour partager tous ces moments qui n'ont pas de prix, je suis certain que vous en avez plein, racontez nous vos plus belles perles, avec le plus grand cynisme possible, sinon c'est moins drôle

il y'a ce type que je connaissais de ma classe mais avec qui je parlais très peu, un jour j'intercepte une conversation à propos de gundam entre lui et un autre, alors je m'incruste ( :hap: ) et je commence à discuter avec eux, je prétends ne rien connaître a gundam parce que je n'aime pas les mechas et que je ne comprends pas le délire autour, je lui demande alors de m'expliquer ce qu'est gundam, il me répond qu'il y'a 4 séries en tout: gundam seed, gundam seed destiny, gundam 00 et "gundam omega", j'ai rigolé et je suis parti

je regarde un épisode de legend of the galactic heroes
ma grand-mère le voit et me demande pourquoi je regarde encore les dessins animés à mon âge
mon père entend d'une oreille et lui répond sérieusement que c'est parce que c'est érotique et qu'il a su ça grâce a un reportage à la télé
je me suis engueulé avec eux et je suis parti m'isoler :hap:

Sujet : Anime After Story
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