Qui aurait su que Daimidaler serait le seul anime de robot de 2014 à comprendre son héritage.
Un segment dont le service et la technique rudimentaire n'entravent pas les intentions.
Et qui opte pour un quitte ou double périlleux, même si cours unique oblige, cela va trop vite.
Le plus grand mystère de la série serait plutôt, pour moi, comment un produit aussi dévoyé, suborné de l'intérieur par une volition des plus bassement 2.0, signé de l'un des pires studio en activité sur l'archipel, peut paradoxalement proposer l'approche la plus authentiquement japanime de toute la saison.
Mais ça en dit peut-être plus sur l'état général de l'industrie que sur le titre en lui-même.
