Bonsoir bonsoir,
Bon, vous me connaissez pas de nom, mais certains d'entre vous m'ont déjà vu ici, et pour cause, c'est ici même que je vous ai raconté toutes les fois où j'ai difficilement tenter de Z+V. Vous m'avez soutenu, avez ri, n'avez pas ri, ET C'EST PAS FINI ! 
Après 3 ans de psychothérapie, j'avais réussi à rechoper une meuf. Une belle meuf, grande, blonde, intelligente ( 
), bref la femme idéale. Je lui avais parlé de mes difficultés précédentes (sans parler des détails, j'étais quand même responsable de la mort de pas moins de dix-huit personnes...)
C'est pourquoi un mardi, nous avons décidé de faire l'amour... DANS LA FORÊT. 
C'était une petite forêt en bord de mer. Nous sommes sorti de ma bagnole et on s'est enfoncé un peu dans la forêt (avant de s'enfoncer d'autres choses 
). On s'est trouvé un endroit calé et on a vérifié que personne n'était aux alentours.
Personne.
JE LUI AI ALORS SAUTÉ DESSUS ET JE L'AI DÉSHABILLÉ AVEC TOUTE LA FOUGUE DE MON JEUNE ÂGE...
J'AI MIS MON Z DANS SON V
On a fait l'amour pendant deux heures peut-être... 
quand soudain...
Un coup de feu. 
On s'arrête un moment, puis on en entend un deuxième suivi d'une voix grotesque:
- Allez Juno sois un bon' chien' va chercher le gibier con' ! 
PUTAIN UN CHASSEUR !!! 
- Hé Gégé, tu l'as mis où mon fusil, je le trouve pas moi téh.
- Mais si regarde bien dans la bagnole peuchère.
DEUX CHASSEURS. 
Putain, on panique. Elle commence à comprendre. J'essaie de me relever lentement. Je suis nu. J'effleure une feuille, et un enculé d'écureuil perché en haut de l'arbre derrière lequel on baisait prend la trouille et se casse en faisant tomber un nid de coucous. 
Les chasseurs s'excitent.
- PUTAIN' TIREU GÉGÉ TIRE !
On se met alors à courir. Les chasseurs tirent partout, ils comprennent pas qu'on est pas des oiseaux...
- CHOPE LA, C'EST UNE GALINETTE CENDRÉE !
Je crie alors
- MAIS ON EST DES HUMAINS !!!
- PUTAIN T'ENTENDS GÉGÉ C'EST UN PERROQUET ! TIRE PLUS FORT ON L'AURA LE CON' !
Bordel, pourquoi moi. On trébuche, on tombe. Je vois les pieds de quelqu'un, je relève la tête et je vois un mec habillé avec des feuilles.
- Je suis Rahan de la Forêt, l'apocalypse est proche, vous devez me suivre.
Je ne sais pas pourquoi, mais avec les chasseurs à nos trousses, on a préféré suivre ce type. Il nous a conduit loin d'eux. À un moment il se retourne et dit:
- Vous devez mourir pour honorer le grand dieu de la nature.
Gros silence.
- Ah mais non. Dit ma copine.
- Je suis d'accord avec elle. Dis-je.
- On est pas d'accord. Dit la tribut de cannibales qui vient d'arriver pour prêter main forte à Rahan.
- Vous choisir cannibales ou sacrifice divin. Sacrifice moins douloureux et plus rapide. Sacrifice juste durer trois jours.
On se casse en courant, on court, on court le plus vite possible. On arrive sur la plage. Le soleil se couche, il n'y a personne.
On s'y pose, on s'embrasse, et on baise. Car oui, quand on manque de mourir de peu, on revoit ses priorités.
Sauf qu'au moment où je m'apprête à finir, je me prends une vague d'eau glacée et salée et un oursin dans le cul. 
Je crie, je gifle ma copine. Elle le prend mal. Je passe une heure à essayer de la faire recommencer. J'y arrive. La nuit tombe. On baise. On a remonté pour fuir l'avancée de l'eau, mais je me reprends un oursin et une vague... Osef on continue. Mais au bout d'un moment, on se rend compte qu'une bande de voyous nous entoure et nous mate.
Je deviens littéralement fou. J'étouffe un par un chaque voyou avec un oursin sablé, après quoi je les enterre tous dans le sable. Je chante "tourner les serviettes" et je gifle ma copine en lui pissant sur le visage. Elle part en courant. Je lui cours après et j'insiste pour éternuer sur son cul. Un des voyous se réveille et sort du sable. Il tente de fuir mais je le rattrape avec un High Kick + Morsure à l'oreille gauche. Je l'oblige à sucer chaque coquillage de la plage pendant des heures et des heures, après quoi je lui prépare un diner au chandelle avec du sable et des cailloux. Il doit tout manger. Il pleure. Je l'oblige à creuser un trou, à cracher dedans et je le noie dans son crachat.
Et c'est alors que dans un ultime effort, au bord du coma, je me jette dans l'eau, nage de toutes mes forces et tout ce dont je me souviens, c'est que je me suis mis à tabasser une baleine.
