J'ai 17 ans et je m'appelle Charles-Stanislas De Lamongolfière. Quel nom à la con, vous trouvez pas? Le peu d'amis que j'ai m'appelle CS Ou Stan... je ne sais pas si je préfère.
Je tiens à vous dire, que ma vie ne peux pas être plus désolante, j'ai grandit dans un quartier bourgeois, avec mes deux parents. Oh, bien sur ils sont adorables, mais bon sang qu'est ce qu'ils sont coincés, impossible d'aborder des sujets qui dépassent ce qu'ils ont toujours bien voulu voir. Je suis destiné à reprendre la boîte de mon père, il est dans le marketing, il vend je ne sais quelles merdes, et je m'en fous.
Bon d'accord ça paille bien, et je n'aurais aucun mal à évoluer étant donné que mon père en est le patron, mais je n'ai jamais vu de milieu aussi faux-cul et superficiel, tous ses gens me dégoutent... Je suis dans un lycée ou tous les étudiants y viennent en Porsh, en Ranch Rover ou en cabriolets coupé sport.
Tous déjà à parler de leur futurs entreprises, des actions qu'ils ont chez telles ou telles boîtes, du taux financier de machin chose... bref, le seul truc qui pourrait racheter ma vie minable, est encore plus pitoyable.
J'ai deux passions la musique et les sites porno.
J'avais un regard très ouvert sur le sexe et tout et qui l'accompagne, j'adorais voir ses personnes que j'enviais d'être libres d'affiché leur corps tels qu'ils sont, se faire l'amour ou se qui y ressemble sans aucune tenues.
Mais, arriva un soir, qui changea à tout jamais ma vie.
Je rentrais de 6eme cours du soir que mon père me forçait à prendre, alors que je n'avait de grosses lacunes en aucunes matières, plus les options théâtre et musiques. Comme d'habitude, je quitte a 21h, c'est l'hiver, et il fait déjà nuit, les rues sont désertes. Je prenais chaque soir le même chemin, je passait d'abord derrière l'épicerie qui faisait face à mon lycée puis sur un petit chemin qui longeait une rivière pour arrivé sur l'arrêt de bus qui menait jusqu'à chez moi. Ensuite j'emprunte une rue très étroite, quasiment à sens unique, c'était la seule qui m'empêchais de passer devant la boîte de mon père.
Quand je vis, au loin, une incroyablement belle jeune femme, que dis-je, une parfaite beauté, le doux mélange entre toute les actrices les plus belles du cinéma, la reine de tous mes fantasmes. Je n'en croyait pas mes yeux, elle était vêtue d'une petit chemise blanche rayée qui laissait une large vue sur son décolleté, et une mini jupe, qui laissait transparaitre ses jambes sous des collants qui lui allaient à merveille... je lâchais mon sac, la bouche ouverte devant tant de grâce d'élégance et pourtant si naturelle, cette beauté de la nature, qui venait éclairée cette ruelle et ma journée pourrie par la même occasion.
Sweet?
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