..et, vous vous en doutez, je ne me suis pas fait prier.
Cependant, alors que j'écartais ses deux fesses roses, bien pleines et bien douces, elle me dit :
"CAY MA TER 
"
Puis je hurlai :
"AYAYAYAYAYAYA "
Alors elle commença a déféquer, sa diarrhée était magnifique. D'un brun subtil, orangé, presque roux, avec de petits vers blancs qui grouillaient en son sein. Un odeur douceâtre, un doux fumet de merde, presque sucré, m'émoustilla les narines. Puis, je lui fis un annilingus, et me délectai de ses selles qui virent me chatouiller les badigoinces.
Ensuite, nous fîmes l'amour à la manière de bêtes. Je la pris tel un toréador qui fonce sur le taureau blessé encore fumant de rage, et elle hurla comme un dieu grec à qui l'on eût coupé les bourses. Bientôt, mon sperme se propagea dans son corps frêle et mince comme une fulgurance lactée, et elle resta là, le cul débouché comme au desktop soviétique.
Moi, pleurant de joie, j'en profitai pour mettre deux doigts au fond de ma gorge, et, me chatouillant subtilement, vomir sur ses longs cheveux blonds. Alors, nous restâmes là, tous deux, collés, nos peaux chaudes l'un contre l'autre, nageant, catatoniques, dans les sécrétions de nos corps respectifs. Je crois bien que je l'aime.
