C'était cet après-midi, j'étais super content, j'allais enfin pouvoir faire des trucs de fous avec elle, comme lui effleurer un sein avec mon oreille ou bien lécher ses doigts de pieds ! 
Autant dire que j'avais la trique rien que d'imaginer tout ce qu'on allait faire comme conneries dans ma chambre !
A peine arrivés chez moi, mon père est sorti des chiottes en emmenant avec lui une odeur de merde littéralement insupportable, tenant dans sa main un morceau de PQ sur lequel était étalée une grosse tache de caca marron avec quelques nuances de noir... 
Il a gueulé "Chérie ! Putain je viens de chier un étron gros comme ma main, un missile je te jure ! Viens voir, j'en ai gardé un morceau pour qu'on s'amuse tout à l'heure !"
Ma copine m'a regardé avec des yeux choqués, sans doute car elle pensait que c'était une plaisanterie, ce que je n'ai pas manqué de confirmer : "Ah ah, c'est mon père, il aime bien faire le clown, t'inquiète ! C'est pour rire !"
Mon père m'a entendu, et s'est tourné vers nous avec un regard surpris, puis a éructé : "OMG le thon que tu nous as ramené, Thomas ! 
"
Puis il est venu agiter son papier plein de merde sous le nez de ma copine, qui devenait livide... 
J'ai essayé de l'arrêter : "Papa, stop..."
"Toi ferme-la ! C'est comme ça que tu traites ton père ? Tu penses que je suis un clown ? Eh bien regarde !"
Et il a baissé son froc, a pris son morceau de PQ et a commencé à se l'enfoncer dans l'anus... sous le regard terrorisé de ma chère et tendre.
A ce moment-là ma mère a dévalé les escaliers à poil et a gueulé "Je veux du SPERME !" en insistant bien sur ce dernier mot... Mon père s'est tourné vers moi et m'a dit : "Fiston, occupe-toi de ta mère, tu fais comme mercredi dernier d'accord ?"
A cet instant, ma copine s'est mise à vomir, ERREUR FATALE !
En moins d'une seconde, l'expression de ma mère et de mon père avait changé ; leur regard était devenu dévorant, et le coin de leurs bouches s'étirait d'excitation. Ils se sont jetés tels des bêtes sur le vomi étalé par terre et se sont mis à se rouler dedans, en se lançant le liquide nauséabond dessus et en poussant des cris d'animaux.
C'est là que ma soeur, attirée par le vacarme, est sortie de la cuisine, du pâté étalé sur ses seins nus. Elle a hurlé "VOUS FAISEZ DU SEXE SANS MOI ! 
" puis a fait mine de plonger au milieu du chaos qui régnait.
Mon père commençait à sodomiser ma mère en lui étalant du vomi sur le visage, il criait : "IL PLEUT IL PLEUT BERGERE RENTRE TES BLANCS MOUTONS !" et ma mère hurlait : "MMMMMMMMPFFF" car elle avait la bouche pleine d'immondices, mais elle semblait en extase.
Ma soeur a crié : "MDR papa il y a un truc rose qui sort de ton cul !" et elle s'est mise à fouiller dedans.
Je sentais déjà que la situation était désespérée, pourtant cela empira encore lorsque je vis arriver en aboyant nos deux bouledogues en pleine érection.
Ma copine qui reprenait tout juste sa respiration après avoir dégobillé tout son soûl s'est mise à hurler en voyant les deux chiens lui sauter dessus, prêts à la dépuceler... Quant à moi, pendant tout ce temps je n'avais pu bouger, témoin de cette scène diabolique qui s'était emparée de ma famille.
J'ai prié Dieu pour qu'il s'agisse d'un simple cauchemar, mais soudain les voisins, qui avaient profité que la porte d'entrée soit restée ouverte pour venir participer aux festivités, se sont mis à hurler "René et Giselle arrivent !" puis il se sont foutus à poil et se sont mis à déféquer sur ma maman qui sanglotait de plaisir sous les coups de boutoir de mon père.
Ma copine était presque nue, martyrisée par les chiens, quant sont arrivés les fameux René et Giselle, nus et munis d'objets dont je n'osais imaginer les fonctionnalités...
René m'a dit : "Eh bien Thomas, tu ne joues pas avec nous ?!"
Ils se sont dirigés vers moi, le pénis de René commençant à durcir à mesure qu'il se rapprochait de moi, si bien que je n'ai eu d'autre choix que de courir en direction de la terrasse et de sauter par-dessus le muret pour échapper à ce funeste destin.
J'ai couru jusqu'au bout de la rue, soufflant comme un boeuf, les yeux exorbités, entendant encore les rires et les bruits flasques des substances que se jetaient les fous furieux dans ma maison.
Je me suis réfugié chez mes grand-parents en attendant que ça se calme... Ma copine n'a pas donné de nouvelles et je m'inquiète pour elle...
Je n'arrête pas de penser à ce qui est arrivé à ma famille et surtout à ma copine, je n'en peux plus, je ne sais plus comment réagir ! Je m'en réfère à vous pour savoir que faire ! Aidez-moi ! 
