Ceci est une histoire vraie donc s'il vous plaît pas de Fake ou autres merci de respecter ma vie.
C'était lors d'un voyage scolaire avec mon lycée. Moi et mes amis Pierre et Carl étions assis au fond du bus, c'était la meilleure place pour parler et utiliser le portable tranquillement. Le trajet en bus passa relativement vite avec les vidéos de mon portable ou encore les discussions sur des sujets divers et variés. Après une petite heure, nous étions enfin arrivés au zoo. Je descendais du bus et la professeur de Maths qui accompagnait me donna mon ticket : « Tient et surtout ne le perds pas ! », me cria t'elle.
« Hé Nicolas c'est visite libre ? », me cria Carl. Je lui répondit que c'était une visite libre et nous avions décidés de se mettre ensembles. J'entrais dans le zoo suivit de près par Pierre qui était fasciné par le peu d'animaux qu'on voyait de la où nous étions. Après avoir vu les flamands roses, les lions, les ours et les tigres, je m'ennuyait déjà. C'est à ce moment la que je vis le pauvre kiwi dans son enclos, j'étais fasciné par sa beauté, ses formes généreuses et les traits de son visage. Je n'entendait plus ce qui se passait autour de moi, j'étais amoureux. « C'est insensé ! », me dis-je. On ne peut pas tomber amoureux d'un kiwi ! Mais pourtant c'est ce qui m'arrivait. Pierre me réveilla d'une petite tape sur l'épaule. Je sursautai et il me dit : « Tu dors Nicolas ? » puis il éclata de rire. J'esquissai un sourire puis je continuait la visite en suivant Pierre et Carl. Ils parlaient entre eux des animaux qu'on voyait, moi je ne pensais plus qu'a Tchoupi, c'est le nom que j'avais donné à mon amour, le kiwi que j'avais vu précédemment. C'est comme si je ne contrôlais plus mes sentiments, ils avaient prit le contrôle de mon cerveau et je ne pouvais plus penser à autre chose qu'a lui. La visite était finie mais je n’arrêtait pas de penser à Tchoupi.
Il ressemblait à sa: http://upload2.allsoluces.com/blog/image_19077.jpg
Le bus nous avait déposé devant le lycée et ma mère m'avait ramené chez moi. J'avalai mon repas a toute vitesse pour monter dans ma chambre. J’allumai l'ordinateur pour me connecter sur internet. L'idée me vient à l'esprit d'aller sur Google chercher des images de kiwis. Aucun n'était aussi beau que Tchoupi, il me manquait tellement. « Suis-je donc fou ? », pensai-je à ce moment précis. Mais les images de kiwis m'excitaient, j'avais peur de rendre Tchoupi jaloux, mais pourtant je baissai mon pantalon pour commencer ma masturbation.
« Nicolas !!! », cria ma mère pour que je me réveille. C'était samedi et il était 10 heures du matin. Je m'était endormi devant mon ordinateur, mon caleçon ainsi que le bas de mon ventre était collant à cause de l'éjaculation d'hier soir. Je descendis prendre mon petit déjeuner. Je partis à la douche et de retour dans ma chambre, je pensais déjà à Tchoupi, son visage frétillant de joie et ses courbes si généreuses. Je rêvait de caresser son doux pelage marron. Je n'en pouvait plus il fallait que je le revoit. Et c'est à ce moment que j’eus la superbe idée de le libérer de sa prison. « Je suis fou, où encore pire je suis zoophile ! », pensai-je, mais cette idée se logea au fond de mon esprit pour organiser l'évasion.
Il était 21 heures et je montais dans le bus qui desservait la ligne menant au zoo. Je m'asseyais à coté d'un clochard car c'était la seule place qu'il restait. Le trajet me paru interminable car le clochard d'à côté passait son temps à se curer le nez, puis il me dévisageai quelques fois. J’étais très mal à l'aise mais je savais ce qui m'attendait, je pourrais enfin revoir son visage. Lorsque le bus s’arrêta au bon arrêt, je voulu me lever mais le clochard agrippa le bas de mon pull, je tirai mais il résistait alors je lui mit un coup de poing puis je descendis en vitesse. L'allée devant le zoo était sombre, il n'y avait pas un chat. Je pris la corde que j'avais emmené dans mon sac, je la lança par dessus le mur et par chance elle s'était accrochée a quelque chose et elle tenait bien. Je commençai mon ascension dangereuse mais nécessaire pour rejoindre mon amour. J'étais arrivé en haut, tout fier de moi. « Je suis dans l'illégalité désormais » pensai-je. Je descendis du mur tout doucement puis j’observai autour de moi, il n'y avait pas de gardien dans ce zoo, c'était parfait.
J’étais désormais devant l'enclos des kiwis. Je le cherchais parmi les autres kiwis mais je reconnut Tchoupi directement, il était différent. J'observai son visage rayonnant d'amour et de joie, son bec fin et gracieux ainsi que ses courbes généreuses et tellement bien dessinées. J'avais enfin trouvé l'amour que je cherchais depuis tellement longtemps. « C'est sur, je suis zoophile ! », pensai-je. Mais après tout c'est cette société qui généralise tout, mais le principale c'est d'aimer et d'être aimé. Je compris que nous allions nous aimer en cachette, pour éviter les regards horrifiés de cette société dans laquelle on vit. Plus le temps de réfléchir, Tchoupi vint à moi, je l'ai attrapé puis je l'ai glissé dans mon petit sac. J'avais mit un vieux coussin et un peu de paille pour qu'ils soit à l'aise. Je repartis tranquillement vers l'entrée du zoo mais lorsque j’arrivais, j'entendis un cri : « Hé, vous là bas ! ». Un gardien était là et il m'avait vu. Je commençait à courir mais je n'avais aucune issue, la grille était fermée. Des larmes commençaient a couler, je venais de retrouver mon amour mais j'allais encore le perdre. « Arrêtez-vous ! », cria t-il. C'est à ce moment la que je vit le 4x4 qui servait aux vétérinaires. Je courus et j’ouvris la porte. Je m'était assis sur le siège du conducteur, je n'avais même pas mon permis mais il fallait que je le fasse. Je déposait Tchoupi sur le siège passager et je lui mit sa ceinture. Par chance la clé était sur le contact. Je démarrais la voiture lorsque j'entendis le gardien crier : « Vous êtes fou !! » et je lui répondit : « Non, je suis amoureux ! », criai-je avant d'accélérer et percuter le mur d'enceinte de plein fouet. Il s'écroula et je passa, j’étais sorti du zoo avec mon amour. Je roulai pendant quelques minutes puis je m’arrêtai sur le bord de la route.
Il était 2 heures du matin, lorsque je me réveillai, Tchoupi était à côté de moi. Je détachai sa ceinture de sécurité, il était tout calme. Je léchai son bec avec ma langue baveuse, il frétillait de joie. J'avais une érection, je baissai mon pantalon tout doucement puis j'enfilai un préservatif. Je prit Tchoupi et je commençai à le pénétrer. Il était heureux et moi aussi, c'était l'amour de ma vie. Après notre relation sexuelle, j'abandonnai la voiture pas loin de la maison, puis je remit Tchoupi dans mon sac et je rentrai chez moi. « Tu étais où Nicolas ? », questionna ma mère. Je lui répondit que j'avais passé la soirée chez Carl. Je mis Tchoupi dans le jardin, ce dernier était grand donc il pourrait s'amuser. Je remontais dans ma chambre pour parler à Carl sur internet.
C'était l'heure du repas. Je descendais en bas et je sentais la bonne odeur du poulet. J'avalai tout le poulet qui était vraiment délicieux, jamais je n'en avais mangé un aussi bon. A la fin du repas, je courus dehors pour voir Tchoupi. Je ne le trouvait pas, mon amour avait disparu, où était il ?
Il restait un espoir. J'allai demander à ma mère si elle n'avais pas vu un genre de poulet dans le jardin. Elle répondit : « Oui justement je l'ai vu et comme aucun voisin ne m'a dit que c'était le sien, je l'ai tué et je l'ai cuisiné. Tu l'a beaucoup apprécié d'ailleurs. » Les larmes me montaient aux yeux, je parti en courant dans ma chambre, j'étais effondré. Plus jamais je ne reverrai Tchoupi. Mon oreiller baignait dans mes larmes de tristesse. J'avais perdu l'amour de ma vie, imaginez vous une seconde que votre bien-aimée soit morte. C'est ce qu'il m'arrivait. Je ne savais pas si je retrouverai l'amour un jour. Ma réflexion s’arrêta net quand j'entendis frapper à la porte. Ma mère avait ouvert, la police était là pour parler d'une voiture volée.
Voilà et merci de la lecture (NoFake)
