Question toute bête : ça, c'est un plan, mais... quel est la question de départ en fait ?
Lebigboss ça y'est tu me refais partir dans une migraine. J'ai mis 30min à en arriver là déjà
Désolé, je repasse demain quand j'aurais les idées claires
Simile Non c'est pas un plan, c'est le cheminement intellectuel que j'ai suivi pour en arriver à la contradiction.
Et la question porte sur le paradoxe d'avoir deux absolus nécessaires pour que l'un reconnaisse l'absolu de l'autre alors qu'en théorie un absolu ne dépend de personne pour exister.
L'absolu de la conscience n'est absolu qu'à soi, puisqu'elle est subjective, par rapport à l'autre, la conscience est relative
Le paradoxe du menteur: "je ne dis jamais la vérité"
C'est de la logique pure (comme une démonstration en maths)
Si tu arrives a une contradiction c'est que :
-l'une au moins des hypothèses de départ est fausse, a savoir "la conscience de soi est absolue" et "la conscience de soi s'exprime dans le je sais plus quoi des autres"
Ou alors
- le cheminement de la pensée merde a un moment
Je penche pour le premier tiret
C'est quoi que tu appelles la conscience de soi ? Parce que pour moi, c'est le fait de se reconnaître dans un miroir, de savoir qu'on existe. Et je ne vois pas pourquoi on aurait besoin du regard d'autrui pour en arriver à cette conclusion.
Il n'y a pas à chercher.
La conscience n'a pas besoin d'autrui pour être. "Je pense (/je doute) donc je suis" ou "Je suis, j'existe" ne fait appel qu'à toi même. Toute ta conscience n'a besoin de que d'expériences et de savoir.
" D'où la nécessité interne de toute conscience de soi de s'affirmer objectivement. Et elle ne peut l'être que par une autre conscience (autrui). Elle cherche la reconnaissance. "
Ce n'est qu'une affirmation, pourquoi tu considères ça comme une vérité absolue ?
J'ai pas compris en fait, ta démarche c'est quoi ?
"Pour autrui, ma conscience de moi n'est rien. Tant qu'elle ne se manifeste pas objectivement, elle n'est rien."
Tu pars du principe qu'autrui existe réellement
Rien n'indique qu'autrui a une réelle conscience, donc tu n'as pas besoin d'autrui pour te définir toi même.
Donc pas de paradoxe
D'accord avec Noirsang en plus.
le pire paradoxe est de voyager dans le temps pour tuer ta mere avant ta naissance(pas une blague sur les mere)
tu tue ta mere, tu ne née pas donc tu ne voyage pas dans le temps pour tué ta mere donc elle vie, tu née, donc tu voyage dans le temps pour tuer ta mere don tu ne née pas etc etc etc
Ghostlight : le paradoxe du grand père.
Vous êtes en train de remettre en cause l'existence de Dieu ? J'appelle tout de Israel Allô Jérusalem, Non mais Allo quoi, on a un problème de conscience là
je t'invite à ouvrir un livre de philo de terminale et de chercher le cours sur la conscience et autrui, tout simplement
Demonolith Conscience de soi = avoir la sensation profonde de sa propre existence (je pense donc je suis).
C'est un absolu (ça n'a besoin de rien d'autre pour exister).
POURTANT on doit s'affirmer OBJECTIVEMENT et faire d'autrui à la fois un sujet et une conscience pour que j'existe.
CONTRADICTION POWAAAA : Ma conscience de soi, en théorie absolue, demande à une autre conscience de soi de prendre conscience de moi pour que j'existe. Nécessité de l'absolu d'autrui pour que mon propre absolu soit reconnu par moi (paradoxe).
Je dois avouer que moi-même j'ai du mal et je ne suis pas sûr de ce que j'avance
les gars http://www.youtube.com/watch?v=5GgflscOmW8
La réponse est
Après, tu peux ne pas être d'accord avec l'argument de la reconnaissance (Sartre il me semble) mais c'est plus dur de pas être d'accord avec le cogito.