Cette fille veut être engrossée,
Avec sa brindille dans sa bouche,
Et son air de sainte-nitouche,
Elle l'aura vite dans le gosier.
Sa bretelle gauche mal posée,
Laisse penser qu'il y eut pirouettes,
Mais qu'elle ne fut satisfaite,
Elle est prête à recommencer.
Elle aime lécher, comme le dis son regard,
la douce saveur du péché, en sucre noir.
Le fin et ferme bâton, tel un pass'partout,
Ne laisse nulle porte fermée, ni de trou.
Car il est évident que la main hasardeuse,
d'un homme bien mûr ne saurait la laisser creuse,
sans y porter sa pierre; tirant ou bien pointant,
il ira droit au but et elle en criera tant.
La crue se fera dès les prémices,
Et jalouse sera la femme d'Ulysse,
Car avec la posture de l'enfant,
Le bénéfice est évident.
Emboités comme deux cuillères,
Les gémissements se feront prudes,
Car notre amie a l'habitude,
Avec les hommes, elle sait y faire.
D'un innocent battement de sourcil: flip flap,
Elle attirera la faim insatiabl', crac crac,
D'un individu aux intentions peu louables,
Qui, ricrac, la montera tel un dirigeable.
Puis, une fois le gâteau saupoudré, clic clac,
De la belle gelée, une image capture,
Il n'a plus belle œuvre prise dans un cloaque,
Que la décadence, la décadence pure.
Elle voudra passer les vitesses,
Et ce, sans délicatesse,
Car le contrôle se fera dur,
Tel le levier de cette voiture.
Elle implorera tous les saints,
Elle répétera ce même mot,
Qui fera comprendre à notre taureau,
Qu'il ne travaille pas en vain.
Et c'est ainsi que notre lion mugissant,
D'un coup sublime, achevant la gazelle,
Tachera son pelage de ce sang décadent,
et couronnant sa proie d'une giclée de perles,
lui apprendra le sort des sales garnements.
Car une fois cueillie, la roz' perd son parfum,
Et aux lambeaux, aux cris, et aux appels en vain,
le prédateur ne veut que faire la sourde oreille.
L'enfant est consolée, mais que veut-elle de plus ?
Les vautours trouveront vite la trace de son musc.
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tlm 
