Je pense qu'un retour au source serait plus approprié qu'un soulève ment . La preuve avec tous ceux qu'il y a eu par le passé ca n'a fait qu'empirer
Il faut tout changer mais pas par la violence
Tyrif, euh... je n'ai jamais parlé de violences. Quand je parle de révolte, je pense à l'esprit d'être "révolté". Autour de moi, je ne vois que résignation.
Les urnes sont un excellent outil de révolte populaire. Même avec les futures européennes. Donnons à l'UMP un score assez minable pour qu'on puisse l'associer à un groupuscule royaliste.
Tu crois vraiment encore dans la politique actuelle et capitaliste qu'on a , moi je n'y crois plus et d'ailleurs je n'y est jamais cru on se trompe et on se voile la face derriere de fausse valeur telle que l'argent ou le travail (tel qui est) on enferme les gens dans un cercle vicieux et financier .C'est cruel individualiste et une bonne facon pour une poignee de personne de tout controler et faire que tout le monde s'ecrase et suive
Le peuple décide. C'est un postulat.
Biensur que non nous ne decidons pas ouvre les yeux et arrete de te voiler la face
Et en construisant tes idées, tu me postes quoi?
"Tu me poste quoi "je comprends pas ta question detaille plus
10 % des emplois dans le secteur automobile : les mauvais calculs du gouvernement
LEMONDE.FR | 11.02.09 | 19h00
L'Etat français, qui vient d'octroyer un prêt de 6 milliards d'euros aux constructeurs Renault et PSA Peugeot-Citroën, a consacré depuis le début de la crise près de 9 milliards d'euros à la filière automobile. Pour appuyer son important plan de soutien au secteur, le gouvernement assure qu'il représente 10 % de l'emploi salarié en France, soit 2,5 millions d'actifs.
Mais à en croire Sylvain Barde, chercheur à l'OFCE, le centre de recherches en économie de Sciences-Po, qui publie, mardi 10 février, une note sur le sujet, ce chiffre est largement "trompeur". Pour cet économiste, il résulte d'un malheureux amalgame : en réalité, explique-t-il, seuls 3 % des actifs dépendent, directement ou indirectement, du secteur automobile.
737 000 EMPLOIS CONCERNÉS
Le chiffre de 10 % provient d'un rapport du Conseil économique et social (CES) de 2006, conforté par le bilan 2007 du Conseil des constructeurs français d'automobile (CCFA). Il recouvre l'ensemble des emplois liés à la filière automobile, des constructeurs aux auto-écoles en passant par les compagnies d'assurances, les taxis, la police et l'entretien des routes... Soit des corps de métiers qui ne sont parfois que très indirectement concernés par la production de voitures neuves.
L'amalgame n'est pas le fait du CES, qui décompose ces emplois en trois catégories : la construction automobile à proprement parler (équipements, accessoires, intermédiaires...), l'usage de l'automobile (réparation, assurances, crédits, vente de carburants, casses...) et le transport routier, qui inclut la construction et l'entretien des routes. Si l'ensemble de ces emplois représente bien 10 % de la population active, seule la première catégorie (748 000 emplois, selon le CES) dépend donc véritablement de la santé du secteur, explique Sylvain Barde, qui avance pour sa part le chiffre de 737 000 actifs.
"IL FAUDRA TOUJOURS DES AUTO-ÉCOLES"
L'erreur provient selon lui d'une "confusion" entre la "production" automobile et son "usage". "On peut tout à fait utiliser des voitures sans en produire", explique-t-il. Le parc automobile français (36 millions de véhicules) génère ainsi près de 1,8 million d'emplois sans être le moins du monde affecté par la production de voitures neuves. "Même dans le scénario pessimiste selon lequel l'ensemble de la production automobile française disparaîtrait à très court terme, avec un flux de véhicules neufs entièrement importé, on voit bien que le parc automobile existant demeurerait, ainsi que les divers emplois qui lui sont liés : il faudra toujours des garagistes, des assureurs, des auto-écoles, des casses, etc.", poursuit le chercheur.
L'aide de l'Etat vise donc davantage à conserver un secteur jugé stratégique pour des raisons technologiques qu'essentiel en terme d'emplois, en conclut Sylvain Barde. S'il s'agissait uniquement de sauver des emplois, "d'autres secteurs pourraient être plus appropriés, comme par exemple la construction et ses 1,5 million d'emplois".
LES SERVICES, GRANDS "OUBLIÉS" DU PLAN D'AIDE
Mais si le chiffre de 10 % avancé par le gouvernement semble n'oublier personne, le plan d'aide à l'automobile est paradoxalement loin de satisfaire l'ensemble de la filière. Les vendeurs de voitures et les garagistes, qui figurent pourtant parmi les 2,5 millions d'actifs évoqués, estiment ainsi être les grands "oubliés" du gouvernement. Pour la Fédération nationale de l'artisanat automobile, "la filière n'a pas été envisagée dans sa globalité" : le plan ne s'est "intéressé qu'à l'industrie" et non aux services. "A quoi bon soutenir la production de véhicules s'il ne reste plus de professionnels pour les vendre, les louer, les entretenir et les recycler ?", s'interroge pour sa part le Conseil national des professions de l'automobile.
L'attention particulière dont bénéficient les constructeurs fait d'ailleurs grincer des dents au-delà de la filière automobile. Les représentants des entreprises de services marchands s'agacent ainsi du soutien apporté à l'industrie au détriment des services, qui pèsent pour 34,1 % des emplois. Le président fondateur du groupe de restauration collective Sodexo, Pierre Bellon, a ainsi plaidé, mardi 10 février, en faveur d'une approche plus équilibrée : "On passe son temps à défendre des emplois en France qui sont périmés, qui de toute façon vont disparaître, alors que vous avez là des emplois non délocalisables", a-t-il fait valoir.
Soren Seelow
Gouvernement Zavattiste !
Nico successeur désigné de Bozzo le clown !
"+69% pour les hauts salaires : travailler autant… pour gagner bien plus
"
Augmenter le SMIC ? Pour Nicolas Sarkozy, c'est hors de question. Jeudi dernier, lors de son intervention télévisée face à des journalistes pétrifiés, il l’a redit avec force : étant donné qu’il « n'est perçu que par 17% des salariés », l’accroître consisterait à laisser « de côté 83% des salariés ».
[...]
l’Observatoire des inégalités révèle que « les 0,01% des plus hauts salaires ont augmenté de 69% (…). Soit un bonus de 34 000 euros l’an, ou + 2 835 euros tous les mois ! À ce niveau, le bulletin de paie affiche 83 000 euros mensuels… (…) De l’autre côté, en moyenne, les salaires des 90% les moins bien payés ont crû de 0,9 %, soit 11 euros. »
C’est vrai : augmenter le SMIC, consisterait à laisser « de côté 83% des salariés ». Mais l’augmentation irrationnelle des 0,01% des plus hauts salaires, combien cela laisse-t-il de Français « de côté » ?
"
http://www.marianne2.fr/-69-pour-les-hauts-salaires-travailler-autant-pour-gagner-bien-plus_a174962.html?preaction=nl&id=2938816&idnl=25598&"
Il ne faut pas augmenter les salaires, il faut diminuer les prix, ce n'est pas un probleme de pouvoir d'achat, mais un probleme de vie chère.
Pourquoi les prix en hyper allemand sont 30% moins cher qu'en France ? Parce que leurs salaires sont inférieurs ?
Non il y a des accords anti-concurrentiels donc illégaux en France (dont DOM), la France n'est pas un état de droit.
Philippe Séguin met en garde sur les baisses d'impôt
Reuters 13.02.09 | 09h18
PARIS (Reuters) - Le président de la Cour des comptes, Philippe Séguin, a lancé ce matin une mise en garde sur les baisses d'impôt envisagées par le gouvernement français pour relancer l'économie.
"Nous disons attention, il ne faut pas qu'on se retrouve en sortie de crise dans une situation pire que celle où on était en y entrant. Et d'autre part, il faut qu'on puisse bénéficier du retour de la croissance. Si on ne fait pas attention, on risque d'être les derniers à en profiter et à mal en profiter", a-t-il dit sur Canal+.
Nicolas Sarkozy a envisagé, pour relancer l'économie, une suppression de l'impôt sur le revenu pour les contribuables les moins favorisés, ou une annulation du deuxième tiers provisionnel que doit percevoir le fisc cette année.
Philippe Séguin souligne que l'état des finances publiques françaises prive le pays de marges de manoeuvre au point que, selon lui, le terme de crise n'est pas adapté à la période actuelle.
"Crise, ça donne l'impression que c'est un mauvais moment à passer, qu'on va surmonter. En fait, on vit une maladie chronique, depuis une trentaine d'années, où on accumule les déficits", a-t-il dit.
"Chaque année, la première dépense du budget de la France, c'est le remboursement. Ça veut dire qu'avec les recettes qu'on a, on a de moins en moins de possibilités de faire des choses et il faut absolument s'en sortir", a-t-il ajouté.
Il a aussi critiqué les mesures de déductions fiscales prises par les derniers gouvernements. "On a multiplié au cours des dernières années ce qu'on appelle les niches. On empile toutes les mesures sans regarder si elles ont une véritable efficacité".
Thierry Lévêque
Qu'il est bien ce type.
Michelin fait face à un effondrement inédit du marché du pneumatique
LE MONDE | 13.02.09 | 10h49
Début 2008, l'un des grands fabricants mondiaux d'engins de chantiers commandait encore à Michelin 6000 pneus par mois. Aujourd'hui, il n'en achète plus que 50. Cet exemple illustre la chute brutale de l'activité du numéro un mondial du pneumatique. "Cet automne, la baisse de l'activité a dépassé tout ce que nous avions imaginé", raconte Michel Rollier, cogérant de Michelin. Le groupe a annoncé, vendredi 13 février, une baisse spectaculaire de 53,8 % de son bénéfice net à 357 millions d'euros, la marge opérationnelle tombant à 5,6 % du chiffre d'affaires, contre 9,8 % en 2007.
Les ventes, elles, ont reculé de 2,7 % en valeur, à 16,4 milliards d'euros, et de 2,9 % en volume. Un chiffre en trompe-l'œil, car la bonne tenue de l'activité en début d'année cache un véritable affaissement des affaires au quatrième trimestre. Les ventes de pneus poids lourds se sont effondrées de 20 %, tandis que le marché des voitures de tourisme reculait de 15 %. "Du jamais-vu", avoue M. Rollier.
Michelin se croyait mieux protégé contre le ralentissement. Le fabricant de pneumatiques est moins dépendant du marché automobile qu'on ne le croit: il ne réalise que 20 % à 25 % de son chiffre d'affaires auprès des constructeurs. L'essentiel de son activité est constitué par le marché du remplacement, réputé moins sensible à la conjoncture. Mais cette digue a quand même lâché. "Les distributeurs, qui avaient un besoin de trésorerie, ont cherché à se débarrasser de leurs stocks et ont stoppé net les commandes", souligne M. Rollier.
Le groupe de Clermont-Ferrand a dû adapter sa production. "Une journée de pneus invendus représente 35 millions d'euros de dette et cela, nous souhaitons l'éviter à tout prix, affirme le patron de Michelin. Au quatrième trimestre, nos usines ont tourné à moins de 50 % de leurs capacités." Malgré ce contexte, le recours au chômage technique en France a été limité : il n'a concerné qu'à peine 10 % des salariés. Grâce à l'utilisation des jours de congés, de RTT et de formation, Michelin a pu atténuer la baisse des revenus de ses salariés.
LIMITER LE CHÔMAGE PARTIEL
Le problème, c'est que le premier trimestre s'annonce lui aussi très sombre. La remise à zéro des compteurs de RTT devrait permettre à nouveau de limiter le chômage partiel. Pour le moment, M. Rollier se refuse à imaginer un ralentissement durable : "L'activité du pneu de remplacement ne peut pas rester au niveau actuel, cela signifierait que les gens arrêtent de rouler", assure-t-il. En tout cas, il n'est pas question aujourd'hui d'aller au-delà des mesures actuelles de réduction des effectifs, qui consistent à ne remplacer qu'un départ à la retraite sur deux.
Pour 2009, le groupe se refuse à faire des prévisions. Pour affronter la tempête, Michelin compte réduire de 50 % ses investissements. L'Europe devrait faire les frais de cette baisse, tandis que les projets en Chine et en Inde seraient maintenus. Seule bonne nouvelle : les prix des matières premières, qui vont revenir à des niveaux décents. En 2008, l'impact de leur hausse sur le résultat du groupe a été de 804 millions d'euros.
Mais la crise peut être aussi source d'opportunités. "En Asie, certains fabricants de pneumatiques ont énormément investi et se retrouvent en situation de surcapacité ; on peut légitimement penser qu'il y aura une consolidation du secteur", estime M. Rollier. En Europe, la situation semble plus figée, sauf peut-être pour le groupe allemand Continental, qui vient d'être racheté par son compatriote Schaeffler. Ce dernier, étranglé par une dette abyssale, va sans doute devoir s'en séparer. Un dossier suivi de près par Michelin. "Nous ne pouvons pas ne pas nous pencher sur la question. Nous agirons au mieux de nos intérêts", affirme M. Rollier. A condition d'en avoir les moyens, dans une période où la trésorerie, chez Michelin comme chez ses concurrents, sera une denrée rare.
Stéphane Lauer
"Le groupe a annoncé, vendredi 13 février, une baisse spectaculaire de 53,8 % de son bénéfice net à 357 millions d'euros..."
?
https://www.jeuxvideo.comom/cgi-bin/jvforums/forums.cgi
http://www.dailymotion.com/search/le%252Bnouvel%252Bordre%252Bmondial/video/x86jvy_sarkozy-lavenement-du-nouvel-ordre_news
France/Royaume-Uni : La collision entre deux sous marins a bien eu lieu
Des sous-marins à propulsion nucléaire, l'un britannique, l'autre français, seraient entrés en collision début février dans l'océan Atlantique au large de la Bretagne.
http://tf1.lci.fr/infos/monde/europe/0,,4257717,00-la-collision-entre-deux-sous-marins-a-t-elle-eut-lieu-.html
Guadeloupe : "L'Etat tiendra toutes ses promesses", assure Yves Jégo
LEMONDE.FR avec AFP | 16.02.09 | 17h38
Le secrétaire d'Etat à l'outre-mer, Yves Jégo, a appelé lundi 16 février à une "trêve" en Guadeloupe où des tensions se sont intensifiées avec barrages routiers, interpellations et gardes à vue. "La situation n'est pas acceptable, avec des risques de dérive", a-t-il mis en garde. "L'Etat tiendra toutes ses promesses ; dans la coulisse, les choses avancent au niveau salarial", a-t-il assuré.
L'Elysée a de son côté fait savoir que Nicolas Sarkozy recevra jeudi les présidents des collectivités locales et les parlementaires des départements d'outre-mer, "afin de faire un point" sur leur situation "dans le contexte de la crise économique". Selon Béatrice Gurrey, envoyée spéciale du Monde en Guadeloupe, Nicolas Sarkozy serait finalement décidé, face à la dégradation de la situation, à honorer les promesses faites par Yves Jégo du 28 janvier :
En Guadeloupe, la cinquantaine de manifestants interpellés lundi matin autour de barrages routiers érigés par les grévistes du collectif LKP contre la vie chère et la "profitation" ont été libérés à la mi-journée, a annoncé une source judiciaire. Dix d'entre eux ont été convoqués devant la justice en juin pour "entrave à la circulation", violences lors de manifestations publiques "avec armes" et "refus de se prêter aux photos d'identité judiciaire et relevés d'empreintes".
Quatre semaines après le début du mouvement, la tension est montée d'un cran. Des grévistes ont dénoncé des "actions violentes" de la police vis-à-vis des interpellés. Mais, d'après Béatrice Gurrey, le gouvernement a tout intérêt à calmer le jeu.
Un des responsables du LKP, Alex Lollia, a affirmé avoir entendu des policiers proférer des insultes racistes. A sa sortie de l'hôpital de Point-à-Pitre, il avait expliqué aux journalistes présents : "Les CRS sont arrivés en masse, ils ont commencé à nous frapper et à lancer des gaz lacrymogènes. C'était excessivement violent".
Jeudi, sur Canal 10, chaîne créole très écoutée sur place, le leader du LKP, Elie Domota, avait lancé une sévère mise en garde : "Si quelqu'un blesse un membre du LKP ou un manifestant guadeloupéen, il y aura des morts."
Pendant le week-end, M. Domota avait durci le ton, accusant une nouvelle fois le gouvernement de manquer à sa parole et avertissant que le mouvement contre la vie chère allait "s'amplifier", faute d'une garantie de l'Etat dans les négociations salariales. La grève générale dans l'archipel a atteint son 27e jour.
Y a t'il un pilote dans le sous-marin nucléaire? lol ;D
BLOOM !!!
| https://www.jeuxvideo.com/forums/1-52-599087-103-0-1-0-0.htm#message_1688576
| Citation de : gandara
| Date du message : 08 février 2009 à 22:02:09
| Contenu du message :
| "
L'émission "Face à la crise" a réuni 15,1 millions de téléspectateurs.
|
| "Quinze millions de téléspectateurs, l'audience cumulée de TF1, France 2 et M6 ne comprend pas ceux qui ont suivi le chef de l'Etat devant LCI, I-Télé ou BFM-TV. [...] le pic daudience a eu lieu à 20h36 avec 17 millions d'individus présents à ce moment-là. Ce qui correspond à la fin de "Plus Belle la Vie" sur France 3. La courbe est ensuite restée stable, ce qui marque lintérêt des téléspectateurs pour l'intervention du président jusqu'à la fin."
|
| rectification : les téléspectateurs ont eu le choix de regarder sarko, sarko, sarko, ou sarko, ils ont donc regardé... le seul feuilleton diffusé
| et n'oublions pas que 15M de personne, ça ne fait "que" 57% de part d'audience... pour une émission de propagande sur toutes les grandes chaines, y'a vraiment pas de quoi se vanter
"
d'après médiamétrie, ce score de 15M correspond exactement... à l'audience habituelle de tf1, f2 et m6
bref, le fait que sarko ait fait le même score que d'habitude alors qu'il était seul programme à l'antenne est une contre-performance
Le beau cadeau de Woerth à Jouyet : 71000€ !
En prenant la présidence de l’Autorité des marchés financiers, Jean-Pierre Jouyet a eu droit à un joli «welcome package» : signé de la main d’Eric Wœrth, un décret daté du 19 janvier augmente sa prime annuelle de 50%. Soit 71000€ de plus. Vive la crise !
http://www.marianne2.fr/Le-beau-cadeau-de-Woerth-a-Jouyet-71000-!_a175236.html?preaction=nl&id=2938816&idnl=25605&