Arrêtes Val, même certains Belge eux même connaissent mieux la politique Française que la notre...
En Belgique c´est la politique du compromis (ou des cons promus c´est au choix), ça n´interesse personne c´est pas assez juteux.
Oui y a un peu de vrai dans ce que tu dis même si je doute que le wallon "moyen" soit passionné de politique de manière générale !
Ben je suis un Wallon moyen, et je suis loin d´être le seul à m´y interesser.
Bon cette fois-ci go go go, l´appel de la boustiffaille.
Bon ap´, Coyotounet !
dans le post de ganryu, il est fait mention d´un Nicolas, sans plus de précision
ça peut être n´importe quel nicolas
en fait, il aurait pu l´appelé jean-marie, bruno ou adolph, ça n´aurait rien changé
alors ne vous focalisez pas sur sarkozouille
exactement
L´UMP préfère les pénalités à la parité
Source : LE MONDE | 19.09.06 | 13h40
L´UMP paiera. Moins qu´en 2002 où le parti avait dû s´acquitter d´une pénalité de 4 262 606,13 euros pour n´avoir présenté que 108 femmes dans 542 circonscriptions. Mais l´effort consenti par la Commission nationale d´investiture (CNI) qui tient, mardi 19 septembre, une de ses dernières séances, ne suffira pas à faire de l´UMP le parti de la parité : pour les législatives de juin 2007, 180 femmes ont été investies dans 570 circonscriptions, soit environ 30 %. A comparer avec les presque 50 % de candidates présentées par le Parti socialiste. "Du bon travail", a toutefois jugé Nicolas Sarkozy.
"Nous avons trop de sortants, explique Alain Marleix, président de la CNI. Il est difficile de dire à des hommes qui n´ont pas démérité de laisser leur place." De fait les partants sont rares : une petite vingtaine de députés, dont Robert Pandraud en Seine-Saint-Denis, a fait part de leur volonté de se retirer. Alain Madelin (Ille-et-Vilaine) pourrait en faire autant.
LES MINISTRES DANS LEUR FIEF
La présence des "minorités visibles" (hors candidats des DOM-TOM) sera elle aussi mal assurée. Vingt-cinq personnes (candidats ou suppléants) ont été investies, la plupart en région parisienne et dans les grandes villes. Décevant pour M. Sarkozy qui prône la "discrimination positive". Parfois, ce sont des femmes qui ont été choisies au titre d´une sorte de "double représentativité". Ainsi Jeanette Bougrab briguera les suffrages des électeurs dans le 18e arrondissement de Paris, et Lynda Asmani dans le 10e.
La plupart des ministres devraient retrouver leur fief d´origine. Jean-Louis Borloo a demandé son inscription dans le Nord. "Pour l´instant", dit-on à l´UMP, où l´on ne désespère pas de voir le ministre de la cohésion sociale choisir une circonscription parisienne (Le Monde du 13 septembre).
En revanche, le souhait de Dominique Perben de trouver un point de chute à Lyon pour adosser sa candidature dans cette même ville aux municipales ne sera pas exaucé. Le ministre des PME, Renaud Dutreil, a fait savoir qu´il souhaitait quitter l´Aisne pour la Marne. Ni Thierry Breton ni Dominique de Villepin n´ont saisi l´UMP d´une quelconque demande les concernant.
Restent les cas difficiles. Dans l´Isère, l´UMP envisage de faire trancher par les militants le duel entre Richard Cazenave, le sortant, et Alain Carignon qui souhaite retrouver le siège qui fut le sien jusqu´en 1988.
Quant à Yvan Lachaud (Gard) et Francis Vercamer (Nord), ils seront les seuls députés UDF à affronter un candidat de l´UMP. Leur faute ? A peine élus sous étiquette UMP, ils avaient rejoint les rangs de François Bayrou.
Philippe Ridet
Article paru dans l´édition du 20.09.06
gan> t´as vu le message que je t´ai laissé hier soir ?
accident de train en allemagne... 23 morts
La température du globe au plus haut depuis près de 12 000 ans
LEMONDE.FR avec AFP | 26.09.06 | 11h13 • Mis à jour le 26.09.06 | 11h21
La température terrestre a grimpé au plus haut niveau depuis près de 12 000 ans, et ce durant les trente dernières années, indique une étude publiée, mardi 26 septembre, dans les annales de l´Académie nationale américaine des sciences et réalisée par des chercheurs américains dont l´un des principaux climatologues de la NASA, l´agence spatiale américaine. Ce réchauffement climatique commence à affecter la faune et la flore, relève la recherche. La rapide montée de la température du globe au cours des trente dernières années, à raison de 0,2 degré Celsius par décennie, fait que nous sommes actuellement à environ un degré Celsius du maximum enregistré depuis près d´un million d´années, indique James Hansen de l´Institut Goddard de la NASA pour les études spatiales, principal auteur de cette recherche.
"Cette montée du thermomètre fait que la Terre connaît la température la plus chaude de la période inter-glaciaire actuelle qui a débuté il y a environ 12 000 ans", note-t-il.
"NIVEAUX DE POLLUTION HUMAINE DANGEREUX"
"Les indices laissent penser que nous approchons de niveaux de pollution humaine dangereux" alors que les gaz à effet de serre comme le C0², le dioxyde de carbone, sont depuis les dernières décennies la principale cause du changement climatique, met en garde ce climatologue. Et de poursuivre :"Si le réchauffement atteint au total deux ou trois degrés Celsius, nous verrons probablement des changements qui feront de la Terre une planète différente de celle que nous connaissons. (...) La dernière fois que la planète était aussi chaude au milieu du Pliocène, il y a environ trois millions d´années, le niveau des océans était environ 25 mètres au-dessus de celui d´aujourd´hui, selon les estimations."
Les auteurs de cette recherche ont rappelé qu´un rapport publié en 2003 dans la revue scientifique britannique Nature montrait que 1 700 variétés de plantes et d´espèces d´animaux et d´insectes avaient migré vers le Pôle Nord à un rythme moyen de 6 km par décennie au cours de la dernière moitié du XXe siècle.
Le réchauffement est plus prononcé en allant vers l´Arctique où la fonte des glaces et des neiges met à nu le sol et les roches plus sombres qui absorbent de ce fait davantage la chaleur du soleil, amplifiant le phénomène, note l´étude. En revanche, les océans se réchauffent moins vite grâce aux échanges thermiques avec les eaux froides en profondeur.
Le singe est reviendu
Entretien avec le climatologue Edouard Bard
"La tentation de refroidir la planète"
LE MONDE | 30.09.06 | 14h49 • Mis à jour le 01.10.06 | 10h10
Pour contrer le réchauffement, des climatologues parlent de "refroidir" artificiellement la Terre.
Est-ce sérieux ?
Oui, malheureusement. Plusieurs hypothèses sont envisagées. Certaines sont très prospectives, comme l´envoi d´un immense miroir entre la Terre et le Soleil - bien au-delà de l´orbite lunaire. Cela équivaudrait à ajouter une tache solaire et à diminuer l´éclairement de la Terre. D´autres sont moins futuristes, comme les expériences de fertilisation des océans avec des particules de fer : ce nutriment favorise la photosynthèse - donc l´absorption de carbone - par le phytoplancton. Diminuant ainsi la concentration de gaz carbonique responsable de l´effet de serre. On peut aussi imaginer injecter de très petites particules ou aérosols dans la haute atmosphère pour qu´elles réfléchissent une partie du rayonnement solaire. Et faire ainsi, théoriquement, baisser les températures moyennes... Même si en réalité les choses sont nettement plus compliquées.
LA CONCENTRATION EN GAZ CARBONIQUE
(CO2) dans l´atmosphère est passée de 280 parties par million (ppm) avant l´ère industrielle à 380 ppm aujourd´hui. Elle se situera entre 540 ppm et 970 ppm à l´horizon 2100.
LA TEMPÉRATURE MOYENNE
a augmenté de 0,8 ºC au cours du dernier siècle, dont 0,6ºC sur les trois dernières décennies, selon le Goddard Institute for Space Studies de la NASA.
La tentation de modifier intentionnellement le climat est-elle nouvelle ?
Non. Cela s´appelle la "géo-ingénierie". Mais ce thème de recherche est demeuré longtemps tabou dans la communauté scientifique pour une raison simple : diffuser l´idée auprès des politiques, des industriels et du public qu´il suffit de mettre en oeuvre de tels dispositifs pour remédier au réchauffement est dangereux. Cela introduit l´idée, fausse, qu´on peut continuer à injecter sans retenue du carbone dans l´atmosphère terrestre. Or ces dispositifs de géo-ingénierie ne doivent être qu´un tout dernier recours, en cas d´aggravation brutale et imprévue de la situation climatique.
Néanmoins, certains climatologues pensent qu´il faut désormais sortir du tabou pour commencer à travailler sur une telle éventualité. Cela afin d´évaluer les nombreux risques et incertitudes, et surtout de ne pas faire croire qu´il s´agit d´une solution miracle.
Quelle est la solution de refroidissement la plus envisageable ?
Le dispositif dont on parle le plus est connu depuis plusieurs décennies, mais il a été récemment repris par Paul Crutzen, Prix Nobel de chimie pour ses travaux sur l´ozone. A l´aide de ballons, par exemple, il s´agirait d´injecter dans la stratosphère du dioxyde de soufre qui se transformerait ensuite en minuscules particules de sulfate. Ces aérosols réfléchiraient alors partiellement les rayons solaires pendant quelques années.
Les conséquences d´un tel effet-écran ont pu être étudiées à la suite des grandes éruptions volcaniques - comme celles du El Chichon en 1982 et du mont Pinatubo en 1991. Ces volcans ont projeté du dioxyde de soufre qui s´est transformé en un panache d´aérosols. Pour le Pinatubo, cet écran a fait baisser, en moyenne, les températures au sol d´environ 0,5 °C durant deux ans. Mais attention : ce chiffre ne reflète pas la complexité des phénomènes perturbés.
Quels sont les risques encourus ?
L´été suivant le Pinatubo, un refroidissement a été observé pour presque toutes les régions du monde. L´hiver d´après, des refroidissements très marqués ont été constatés, notamment autour de la mer du Labrador, au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, alors que, paradoxalement, on a observé un réchauffement en Europe du Nord... ! On mesure du même coup l´intense activité diplomatique qui serait nécessairement préalable à la mise en oeuvre de telles solutions.
Ces effets collatéraux non maîtrisés sont-ils expliqués ?
L´injection d´aérosols perturberait un phénomène naturel appelé oscillation arctique, ce qui provoquerait des réchauffements locaux en hiver dans certaines régions, le refroidissement se concentrant sur d´autres. Ainsi, lors de l´hiver qui a suivi l´éruption du Pinatubo, la baisse importante des températures en mer Rouge a entraîné un mélange des eaux de surface et une remontée d´éléments nutritifs. Le résultat a été une prolifération d´algues qui ont asphyxié les récifs coralliens. Des effets sur la croissance des plantes terrestres ont aussi été détectés à l´échelle mondiale.
Avec de tels dispositifs de géo-ingénierie globaux, ce n´est pas seulement l´atmosphère qui est en jeu, mais le système climatique dans son ensemble, c´est-à-dire un gigantesque jeu de dominos d´une grande complexité. Prévoir et évaluer les effets collatéraux à l´échelle mondiale requiert, avant tout, un travail scientifique considérable impliquant climatologues, océanographes, géologues, astronomes, biologistes, agronomes, etc.
Que penser d´une autre solution : l´ensemencement des océans en particules de fer pour permettre au phytoplancton de "pomper" le CO2 excédentaire ?
Des expériences ponctuelles ont été menées ces dernières années dans l´Océan austral, le Pacifique équatorial et le Pacifique nord. Les images obtenues par les satellites montrent que l´injection de fer augmente bien la production chlorophyllienne. Mais là encore, rien n´est simple. Pour que cela soit efficace, il ne suffit pas que le phytoplancton absorbe beaucoup de carbone, il faut aussi que celui-ci tombe au fond des océans pour y être durablement stocké... On ne sait pas si c´est réellement le cas ou si, au contraire, par d´autres mécanismes, il retourne rapidement dans l´atmosphère.
En outre, même si cette solution peut paraître moins risquée, il est difficile d´évaluer les conséquences en chaîne d´une telle manipulation à grande échelle.
Imaginons le scénario : le carbone absorbé est bel et bien transféré vers l´océan profond. Une part de cette matière organique va logiquement s´oxyder en consommant l´oxygène dissous dans l´eau de mer. Il se peut alors que se forment des zones anoxiques, c´est-à-dire dépourvues d´oxygène, dans certaines régions de l´océan. Des bactéries capables de dégrader les nitrates se développeraient, ce qui produirait un gaz, le protoxyde d´azote (N2O), qui s´échapperait au final dans l´atmosphère. Avec, pour l´environnement, des conséquences potentiellement désastreuses, car il s´agit d´un gaz à effet de serre plus puissant que le CO2.
Même réticents, de nombreux climatologues sont défaitistes et pensent que de tels procédés seront mis en oeuvre. Quelle est votre opinion ?
Regardez le fonctionnement de la diplomatie climatique. De nombreux collègues sont devenus pessimistes sur l´efficacité des mesures de réduction des émissions. Même en Europe, la volonté de développer, rapidement et à grande échelle, des alternatives au pétrole et au charbon est faible. Les industriels et les politiques ont les cartes en main. Si le Nord ne change pas d´attitude au sujet du climat, je crains effectivement qu´il y ait de grandes chances, d´ici à quelques décennies, qu´on en vienne à de telles extrémités.
Propos recueillis par Stéphane Foucart
Article paru dans l´édition du 01.10.06
ce qui est marrant, c´est que c´est justement la très forte concentration de CO2 qui a permis (ou en tous cas encouragé) la naissance de la vie il y a quelques milliards d´années...
un petit site sur le sujet, comme ça à l´air de t´intéresser ganryu:
http://menaceclimatique.free.fr/index.php
Merci Zape
Sujet : Aujourd´hui
j´ai mal a monoeil gauche :mal:
Edouard Balladur se retire de la vie politique active
LEMONDE.FR avec AFP | 06.10.06 | 07h07 • Mis à jour le 06.10.06 | 09h26
L´ancien premier ministre Edouard Balladur, proche de Nicolas Sarkozy et ancien candidat à l´Elysée face à Jacques Chirac en 1995, a annoncé, jeudi 5 octobre, son retrait de la vie politique active, en décidant, à 77 ans, de ne pas se représenter aux élections législatives de 2007 à Paris.
C´est par un bref communiqué que le député de Paris a fait connaître sa décision, soulignant que "l´action publique devra prendre un cours nouveau, afin que soient résolus les difficiles problèmes auxquels elle est confrontée". "A ce renouveau des idées et des méthodes doit correspondre celui des personnes", affirme M. Balladur, avant d´annoncer qu´il "souhaite ne pas solliciter le renouvellement du mandat de député de Paris".
Comme pour bien marquer qu´il a choisi de tourner cette page de sa vie politique, l´ancien premier ministre a passé le témoin à un de ses proches, le sénateur Philippe Goujon. Pour lui, M. Goujon "a pour ce faire les qualités nécessaires, l´expérience et l´autorité" pour lui succéder dans la 12e circonscription de la capitale.
"Edouard Balladur a évidemment d´abord annoncé sa décision à Nicolas Sarkozy en lui disant qu´il continuerait à l´aider et à faire campagne. Il considère qu´on peut être utile sans avoir de siège de député", a déclaré, jeudi, M. Goujon, proche lui aussi du président de l´UMP.
"IL FAUT SAVOIR PASSER LE TÉMOIN"
M. Goujon, qui abandonnera le Sénat pour l´Assemblée en cas de victoire en 2007, a vu, dans la décision de l´ancien premier ministre, "une réaction d´homme d´Etat, le contraire de celui qui s´accroche à son siège envers et contre tout".
"A partir d´un certain âge, Edouard Balladur considère qu´il faut savoir passer le témoin", notait, jeudi, un proche de l´ancien candidat à la présidentielle. Manière aussi d´adresser implicitement ce message au chef de l´Etat. Certains sarkozystes, à l´instar de Patrick Devedjian, redoutent une nouvelle candidature à l´Elysée de Jacques Chirac, qui aura 74 ans fin novembre. "Je fais partie de ceux qui croient que si Chirac a la moindre possibilité raisonnable de se représenter, il n´hésitera pas. Je crois que l´âge n´y fait rien", a observé ainsi l´ancien ministre de l´industrie mercredi, pour qui, le chef de l´Etat "n´a sans doute pas encore réellement renoncé".
Edouard Balladur n´a jamais manifesté un engouement pour les campagnes électorales jusqu´à la présidentielle de 1995 où son duel avec Jacques Chirac a semblé lui donner des ailes. De son échec, il ressentira toujours une amertume, certains de ses proches confiant alors qu´il avait vécu l´accession à l´Elysée de son rival comme le résultat d´une imposture. De la dureté de ce combat entre "amis de trente ans" est née la fracture, au sein du RPR d´alors, entre balladuriens et chiraquiens. Depuis cette époque, ce clivage n´a pas disparu totalement. Mais il a pris un nouveau visage avec la paix armée entre les amis du chef de l´Etat et le président de l´UMP, Nicolas Sarkozy, dont Edouard Balladur était le mentor.
C´est pas tous les jours qu´on peut rigoler...
Fabien Barthez annonce sa retraite sportive
L´ancien gardien de but de Marseille et de l´équipe de France de football Fabien Barthez, 35 ans, a annoncé sa retraite sportive, jeudi soir sur TF1.
"J´arrête le football, l´équipe de France", a-t-il déclaré sur le plateau du journal de 20 heures présenté par Patrick Poivre d´Arvor.
"Maintenant je vais continuer à ma faire plaisir, comme je le fais depuis l´âge de 15 ans, mais d´une autre façon, sans le foot", avait-il commencé, répondant à Patrick Poivre d´Arvor qui l´interrogeait sur son départ. "Je vais partir dans une nouvelle vie".
Barthez a commencé sa carrière professionnelle à Toulouse, puis a joué successivement à Marseille, Monaco, Manchester United, et Marseille de nouveau, où il aura donc terminé son parcours de joueur.
Depuis la fin de saison dernière, il était sans club, son désir de finir à Toulouse, son club formateur, ayant échoué.
"Que du plaisir, que du bonheur", c´est ce que Barthez retient au moment de sa retraite. "C´est sûr que ce n´est pas toujours rose, c´est comme toutes les carrières de sportifs il y a des blessures, des petites histoires et des laisser-aller, mais bon... il faut s´en servir, tourner tout cela au positif", a-t-il ajouté avant que son interlocuteur n´évoque l´épisode du crachat contre un arbitre marocain en février 2005, qui lui avait valu une suspension.
Revenant sur son absence lors du salut au public place de la Concorde après la finale de la Coupe du monde en juillet, qui avait suscité de nombreuses questions, et son départ un peu précipité de l´équipe de France, il a expliqué qu´il avait alors "des petits problèmes familiaux". Il s´était en fait rendu au chevet de sa mère malade, comme l´a précisé le présentateur du JT.
Originaire de Lavelanet dans l´Ariège, Barthez compte 87 sélection en équipe de France (record national pour un gardien de but). Il est champion du monde 1998, champion d´Europe 2000, et vice-champion du monde 2006.
enfin Coupet va pouvoir s´exprimer
Fabien Barthez annonce sa retraite sportive
L´ancien gardien de but de Marseille et de l´équipe de France de football Fabien Barthez, 35 ans, a annoncé sa retraite sportive, jeudi soir sur TF1.
"J´arrête le football, l´équipe de France", a-t-il déclaré sur le plateau du journal de 20 heures présenté par Patrick Poivre d´Arvor.
"Maintenant je vais continuer à ma faire plaisir, comme je le fais depuis l´âge de 15 ans, mais d´une autre façon, sans le foot", avait-il commencé, répondant à Patrick Poivre d´Arvor qui l´interrogeait sur son départ. "Je vais partir dans une nouvelle vie".
Barthez a commencé sa carrière professionnelle à Toulouse, puis a joué successivement à Marseille, Monaco, Manchester United, et Marseille de nouveau, où il aura donc terminé son parcours de joueur.
Depuis la fin de saison dernière, il était sans club, son désir de finir à Toulouse, son club formateur, ayant échoué.
"Que du plaisir, que du bonheur", c´est ce que Barthez retient au moment de sa retraite. "C´est sûr que ce n´est pas toujours rose, c´est comme toutes les carrières de sportifs il y a des blessures, des petites histoires et des laisser-aller, mais bon... il faut s´en servir, tourner tout cela au positif", a-t-il ajouté avant que son interlocuteur n´évoque l´épisode du crachat contre un arbitre marocain en février 2005, qui lui avait valu une suspension.
Revenant sur son absence lors du salut au public place de la Concorde après la finale de la Coupe du monde en juillet, qui avait suscité de nombreuses questions, et son départ un peu précipité de l´équipe de France, il a expliqué qu´il avait alors "des petits problèmes familiaux". Il s´était en fait rendu au chevet de sa mère malade, comme l´a précisé le présentateur du JT.
Originaire de Lavelanet dans l´Ariège, Barthez compte 87 sélection en équipe de France (record national pour un gardien de but). Il est champion du monde 1998, champion d´Europe 2000, et vice-champion du monde 2006.
enfin Coupet va pouvoir s´exprimer
ben
c´est quoi ce bins´
L´enquête sur la mort de Jacques Mesrine aboutit à un non-lieu définitif
LEMONDE.FR Avec AFP | 06.10.06 | 15h04
La Cour de cassation a confirmé et ainsi rendu définitif le non-lieu dans l´enquête sur la mort de l´ex-ennemi public numéro un Jacques Mesrine, en rejetant vendredi 6 octobre le pourvoi de son fils contre un arrêt de la cour d´appel de Paris.
Le 1er décembre 2005, la chambre de l´instruction de la cour d´appel de Paris avait confirmé l´ordonnance de non-lieu rendue par le juge parisien Baudoin Thouvenot le 14 octobre 2004 : après 25 années de bataille procédurale avec une dizaine de juges, M. Thouvenot avait ainsi estimé que les policiers avaient agi en état de légitime défense lorsqu´ils avaient tué Jacques Mesrine.
Condamné à de nombreuses reprises pour vols, prises d´otages et braquages, Jacques Mesrine, qui s´était évadé de façon spectaculaire de la prison de la Santé en mai 1978, était tombé sous les balles des hommes du commissaire Robert Broussard, alors qu´il se trouvait au volant de sa BMW, le 2 novembre 1979.
"L´OBJECTIF: PROCÉDER À L´INTERPELLATION DE JACQUES MESRINE"
Après sa mort, Me Malinbaum, l´avocate de la famille de Jacques Mesrine, avait porté plainte pour "assassinat". Depuis lors, la famille de l´ex-ennemi public numéro un a toujours contesté l´hypothèse de la légitime défense, jugeant que Mesrine avait été tué volontairement par la police, qui n´avait pas eu l´intention de l´arrêter.
"L´objectif recherché était de procéder à l´interpellation de Jacques Mesrine" et "aucune pièce du dossier n´a révélé un dessein homicide avant l´action", relevait l´arrêt la chambre de l´instruction de la cour d´appel, définitivement validé par la Cour de cassation.