tiens mon beau val ici ?
Attention, y a plein de jaloux ici !
Dis pas trop "beau Val", il vont finir par me détester... lol
Comment tu vas, ma douce Sandrine ?
il fait trop chaud, mais ça va
bonjour Mr vilain ti canard
Tu parles qu´il fait chaud... et je sens que si je bois pas plus, mes reins de grand-père vont encore se rappeler à moi
Bonjour VTC ! Alors fraîche ta mare ?
aller a+ et bon week-end
Bon week-end !?
Kurk, tu finis la semaine le même jour que Freddy ?
- Marie Dubas / Le tango stupéfiant -
Après trois semaines entières
De bonheur que rien n´altérait
Mon amant dont j´étais si fière
Un triste matin me plaquait
Pour calmer mon âme chagrine
Je résolus en un sursaut
De me piquer à la morphine
Ou de priser de la coco
Mais ça coûte cher tous ces machins
Alors pour fuir mon noir destin
J´ai fumé de l´eucalyptus
Et je m´en vais à la dérive
Fumant comme une locomotive
Avec aux lèvres un rictus
J´ai fumé de l´eucalyptus
Dès lors mon âme torturée
Ne connut plus que d´affreux jours
La rue du désir fut barrée
Par les gravats de notre amour
J´aurais pu d´une main câline
Couper le traître en petits morceaux
Le recoller à la sécotine
Pour le redécouper aussitôt
Mais je l´aimais tant l´animal
Alors pour pas lui faire de mal
J´ai prisé d´la naphtaline
Les cheveux hagards, l´œil hérissé
Je me suis mise à me fourrer
Des boules entières dans les narines
J´ai prisé d´la naphtaline
Qu´ai-je fait là, Jésus Marie
C´est stupéfiant comme résultat
Au lieu de m´alléger la vie
Je me suis alourdie l´estomac
J´ai dû prendre du charbon Belloc
Ça m´a fait la langue toute noire
Que faire alors pauvre loque,
Essayer d´un autre exutoire ?
Car le pire c´est que j´ai pris le pli
Et c´est tant pis quand le pli est pris
Je me pique à l´eau de Javel
Pour oublier celui que j´aime
Je prends ma seringue
Et j´en bois même
Alors il me pousse des ailes
Je me pique à l´eau de Javel
Gnak gnak gnak gnak
J´ai du chagrin...
Fait chaud ...
Fernandel : Le tango corse
Paroles et Musique: Pirault, Vastano 1940
Au bal du petit Ajaccio
On ne danse pas le mambo
Ni le be-bop, ni la biguine
Mais un vrai tango d´origine
Le tango Corse, c´est un tango conditionné
Le tango Corse, c´est de la sieste organisée
On se déplace pour être sûr qu´on ne dort pas
On se prélasse, le tango Corse c´est comme ça !
Quand Dominique est fatigué
De voir les autres travailler
Il s´accorde un peu de repos
Juste le temps d´un petit tango.
Le tango Corse, c´est un tango conditionné
Le tango Corse, c´est l´avant goût de l´oreiller
Le Dominique se croit déjà en pyjama
C´est magnifique, le tango Corse c´est comme ça.
Un jour des musiciens du nord
Ont joué trop vite et trop fort
Un vrai tango de salarié !
On les a jamais retrouvés ...
Le tango Corse, c´est un tango sélectionné
Le tango Corse, pour les courageux fatigués
Chacun s´étire en même temps que l´accordéon
Et l´on soupire, le tango Corse que c´est bon !
Quand à bout de forces
On va s´étendre une heure ou deux
Le tango Corse, c´est encore là
Qu´on le danse le mieux !
Bonne nuit à tous (et à Canar en particulier )
Braves gens, prenez garde aux choses que vous dites.
Tout peut sortir d’un mot qu’en passant vous perdîtes.
Tout, la haine et le deuil ! Et ne m’objectez pas
Que vos amis sont sûrs et que vous parlez bas.
Écoutez bien ceci :
Tête à tête, en pantoufle
Porte close, chez vous, sans un témoin qui souffle,
Vous dites à l’oreille au plus mystérieux
De vos amis de cœur, ou, si vous l’aimez mieux,
Vous murmurez tout seul, croyant presque vous taire,
Dans le fond d’une cave à trente pieds sous terre,
Un mot désagréable à quelque individu.
Ce mot que vous croyez qu’on n’a pas entendu,
Que vous disiez si bas dans un lieu sourd et sombre
Court à peine lâché, part, bondit, sort de l’ombre ;
Tenez, il est dehors ! il connaît son chemin ;
Il marche, il a deux pieds, un bâton à la main,
De bons souliers ferrés, un passeport en règle ;
Au besoin, il prendrait des ailes comme l’aigle !
Il vous échappe, il fuit, rien ne l’arrêtera ;
Il suit le quai, franchit la place, et cætera ,
Passe l’eau sans bateau dans la saison des crues,
Et va, tout au travers un dédale de rues,
Droit chez le citoyen dont vous avez parlé.
Il sait le numéro, l’étage ; il a la clé,
Il monte l’escalier, ouvre la porte, passe,
Entre, arrive, et, railleur, regardant l’homme en face,
Dit : « Me voilà ! je sort de la bouche d’untel. »
Et c’est fait. Vous avez un ennemi mortel.
Victor Hugo, Toute la lyre !
mais coincoin la
Bonne soirée !
Salut Doc, bonnes vacances, où que tu ailles
1900 !
Et goooood mooooornin´ jivééééécom !
pas toi freddo , pas toi ...
J´assume la cuite du Doc, Kurk^^ !
je suis civilizé