J'aime bien les Lesbiennes.Mais pas les Homos, nuance. 
Sujet :
Pays Virtuel 2009
C'est à cause des Homos que les juifs ont été massacré. 
J'approuve la première phrase du premier post au-dessus de Cortezz
Préparez vous à un pavé monstre sur l'explication du fonction de l'UNIPI
Unión de las Naciones Independientes de la Península Ibérica 
I. Introducción
II. Instituciones
III. Parlamentó Ibérico
IV. Comisión Ibérica
V. Consejo de l’Unión Ibérica
I. 
Introducción
L’Union des Nations Indépendantes de la Péninsule Ibérique (UNIPI) est une union intergouvernementale composée de 17 États née le 14 Juin 2009, lors de la signature du traité de Madrid, qui accorde l’indépendance aux communautés autonomes Espagnoles.
L’Andalousie, l’Aragon, les Asturies, les Îles Baléares, le Pays Basque, les Canaries, Cantabrie, Castille-La-Manche, Castille-et-Léon, la Catalogne, l’Estrémadure, la Galice, la Communauté de Madrid, Murcie, la Navarre, la Rioja et Valencienne forment les dix-sept états membre de l’Union Ibérique.
L’Union Ibérique est une construction inédite, se basant sur le fonctionnement de l’Union Européenne. L’UNIPI est une union douanière, et ses dix-sept membres font partie de la zone euro, et utilisent donc l’€uro. Les États membres distinguent l’Union Ibérique des autres organisations internationales et l'intègrent même dans leurs constitutions respectives. De plus, les nations membres sont liés entre elles et à l’Union grâce à la Constitución Ibérica.
II. Institutions
La principale institution est le « Parlemento Ibérico », composé de 575 députés ibériques, élus au suffrage universel direct, représentant les 40 millions d’électeurs provenant des 17 états membres ainsi que Ceuta et Melilla. Son siège est à Madrid, la capitale Ibérique.
Le second grand organe, est la « Comisión Ibérica », composé de 27 commissaires et d’un président. La Comisión agit indépendamment des gouvernements des États membres, mais est responsable devant le Parlemento Ibérico qui peut la censurer. Son mandat est de quatre ans. Il est élu au suffrage universel indirect parmi et par les dirigeants des nations membres. Les commissaires sont assistés par une administration composée de quelques 3.000 personnes. Son siège est à Valence. Sa fonction principale est de proposer et de mettre en œuvre les politiques communautaires. « Gardienne des traités », elle veille à leur application. Elle joue un rôle central de garante de l’intérêt général. Si le rôle de la Commission a des similitudes avec celui des gouvernements nationaux, il s’en distingue cependant par bien des aspects.
Enfin, le « Consejo de l’Unión Ibérica » est une réunion qui regroupe les ministres des gouvernements de chacun des États membres de l’Union des Nations Indépendantes de la Péninsule Ibérique (UNIPI). Chaque pays membre y envoie un représentant en lien avec l'ordre du jour de chaque réunion. Il est désigné par un abus de langage par Conseil de l’Union Ibérique mais officiellement, ont devrait l’appeler « Consejo de ministros », qui est le nom tel qu’il est défini par la Constitution Ibérique. Mais pour éviter les confusions avec les Conseil de Ministres nationaux, il est d’usage d’utiliser le premier choix. Il se réunit à Séville, la troisième capitale de l’Union.
III. Parlamento Ibérico
Le Parlement participe à l’élaboration de certaines directives et de certains réglements. Il approuve le président de la Commission choisi par les dirigeants des nations membres, ainsi que la composition de la Commission. Il peut dans certaines conditions la forcer à démissionner par une motion de censure. Il participe au vote de la partie dépenses du budget de l’UNIPI.
Par certains aspects, le Conseil des ministres et le Parlement Ibérique ressemblent aux chambres haute et basse d’un système bicaméral. Ni le Parlement ni le Conseil ne peuvent cependant être à l'initiative de lois, ce pouvoir étant réservé à la Commission. Le fait que le Parlement Ibérique ne puisse pas lui-même proposer des lois le distingue de la plupart des assemblées législatives nationales.
Le président de la Commission Ibérique est choisi par l’ensemble des dirigeants des nations membres, mais ce choix doit être approuvé par le Parlement avant qu’il ne prenne ses fonctions. Les autres membres de la Commission sont alors désignés par le président. Le Parlement accepte ou rejette en bloc la composition de la Commission.
Le Parlement Ibérique exerce une fonction de surveillance démocratique de toutes les activités de l'UNIPI, particulièrement celles de la Commission. Au cas où le Parlement adopterait une motion de censure, la Commission entière doit démissionner (formellement, les commissaires ne peuvent pas être censurés individuellement). Cependant, une motion de censure doit être approuvée avec une majorité de deux-tiers pour être effective.
Les députés Ibériques, au nombre de 575, sont élus au suffrage universel direct par les peuples de l’Union, pour un mandat de 5 ans.
- Andalousie : 80 sièges
- Catalogne : 72 sièges
- Communauté de Madrid : 70 sièges
- Communauté de Valencienne : 60 sièges
- Galice : 30 sièges
- Castille-et-Léon : 30 sièges
- Pays Basque : 30 sièges
- Canaries : 25 sièges
- Castille-la-Manche : 25 sièges
- Murcie : 22 sièges
- Aragon : 22 sièges
- Estrémadure : 22 sièges
- Asturies : 22 sièges
- Îles Baléares : 20 sièges
- Navarre : 15 sièges
- Cantabrie : 15 sièges
- La Riojo : 10 sièges
-Ceuta et Melilla : 5 sièges
IV. Comisión Ibérica
Le représentant de l’Union des Nations Indépendantes de la Péninsule Ibérique est le président de la Comisiòn Ibérica. Il a sous son autorité l'Agence Ibérique de Défense (AID), créée le 14 Juin 2009. Il est élu parmi et par les dirigeants des dix-sept pays membres, pour un mandat de 4 ans, renouvelable deux fois. Les premières élections auront lieues en 2010. José Luìs Rodriguez Zapatero est président-intérimaire jusqu’aux élections. Pour plus d’informations sur son fonctionnement, se reporter sur la partie II, et l’alinéa traitant du président de la Commission Ibérique dans la IIIe partie, ou la page wikipédia de la Commission Européenne.
V. Consejo de l’Unión Ibérica
Le Conseil a un président et un secrétaire général.
La présidence du Conseil est exercée pendant six mois par chaque État membre, par rotation. Le président du Conseil est le ministre des Affaires étrangères de l’État actuellement chargé de cette présidence.
Le Conseil a pour mission de coordonner les actions de la Communauté Ibérique et il dispose d'un pouvoir de décision. Il est également compétent pour l'adoption de directives et de règlements. En matière budgétaire, il partage son pouvoir de décision avec le Parlement Ibérique : il élabore le projet de budget et l'adopte définitivement en accord avec lui. Il a également des pouvoirs importants dans le domaine monétaire, puisque c'est lui qui fixe les orientations générales de la politique de change.
Le Conseil est aidé par le Comité des représentants permanents (COREPER), ce qui comprend les ambassadeurs représentants permanents ou les représentants permanents adjoints des États membres. Le COREPER prépare généralement l'ordre du jour du Conseil, et négocie les sujets mineurs, ceux sans controverse. Les fonctionnaires des États membres négocient dans des groupes de travail du Conseil, concluant souvent l'accord de fait qui est formalisé par le COREPER et le Conseil des ministres.
Non, il n'y a pas de C/C des pages wikipédia traitant de l'Union Européenne
République Française 
Nicolas Sarkozy souhaite rencontré les dirigeants de l'UNIPI afin de mettre au clair le rôle de cette institution et la compatibilité de celle-ci à l'intérieure de l'Union Européenne pour ne pas mettre en danger la cohésion au sein de l'Europe. Des investisseurs Français partent pour Israël afin de voir le potentiel économique et touristique de la nouvelle ville.
La France annonce le retrait de pratiquement toutes ses troupes se situant à l'étranger (hormis les territoires Français) afin d'économiser plusieurs milliards d'€ pour permettre de financer les programmes coûteux de l'armée ainsi que l'accélération de certains d'entres eux tel que les SNA, Rafales, FREMM ect...La France disposera maintenant uniquement de 2000 hommes en Afghanistan, 1000 à Djbouti, 1000 au Tchad, 1000 aux Emirats Arabes Unis dans la toute nouvelle base Française de la zone.
Il y aura également 10 soldats Français qui resteront en faction dans chaque bases qui seront «abandonnées» dans le monde. Les Forces Français dans le monde ne seront donc plus que de 15 000 hommes, territoires Français d'outre mer compris, contre pratiquement 30 000 aujourd'hui soit le double.
Ces rapatriements additionnés aux objectifs du Libre blanc sur la Défense et la Sécurité Nationale permettront au Ministère de la Défense d'économiser au total plus de 10 milliards d'€ par an quand tout les plans seront enfin terminés. Cette argent servira au rééquipement des troupes, rénovation des bâtiments militaires, amélioration des conditions et du matériels des troupes en opérations extérieures afin que celles-ci soient le plus efficace possible.
On annonce aussi une réduction drastique du personnel de l'armée, beaucoup ne serve tout simplement à rien. il y aura donc 150 000 hommes dans l'Armée de Terre, 50 000 dans la Marine, 50 000 dans l'Armée de l'Air et 100 000 dans la Gendarmerie Nationale, civils compris. La Réserve sera abaissée à 400 000 hommes déployable à tout moment.
Le Livre blanc sur la Défense et la Sécurité Nationale ne sera par contre pas entièrement respecter concernant le matériel qui lui verra une augmentation significative pour offrir à l'armée un équipement à la pointe de la technologie mais aussi en nombre conséquent pour permettre d'utiliser par tout les hommes. La fermeture de plusieurs bases continuent, on annonce le regroupement de plusieurs Brigades qui ont la même fonction dans des super bases, en effet les bases restantes seront agrandis afin d'accueillir un maximum de soldat tout en gardent un certains confort.
Le renseignement bénéficiera également énormément des économies effectuer avec le financement du projet SPIRALE et MUSIS, celui-ci doit être mis en service dès 2015 pour le remplacement des satellites-espion Helios 2.
Unión de las Naciones Independientes de la Península Ibérica
La création de l’Union des Nations Indépendantes de la Péninsule Ibérique, s’accompagnant de la formation d’une multitude d’institutions politiques et administratives à travers les dix-sept nations, dévoile un manque important de fonctionnaires Le Président par intérim de la Commission Ibérique, José Luìs Rodriguez Zapatero lance donc un vaste plan de recrutement parmi les citoyens de l’Union, afin de pourvoir les 30,000 postes disponibles
Oui il commence le 8 février mais la "guerre" a eu lieu bien avant Ce qui c'est passer c'est passer mais après ça sera à vous de faire la suite si voulez la faire, car je rappelle que zhao joue Israël...A vous de vous mettre d'accord...ou pas
Mais je vais me suicider, Cervelet n'est toujours pas là !
Je le déteste. ( Sauf si il revient et respecte sa parole en prenant le Kosovo. 
)
Go C+T alors 
Valjavec 
Unión de las Naciones Independientes de la Península Ibérica
[1] http://www.skyscrapernews.com/images/pics/4672MerchantSquareBuildingC_pic1.jpg
[2] http://i120.photobucket.com/albums/o179/urbania21/ti_campi_bild2.jpg
[3] http://www.fuenterrebollo.com/Madrid-Reportaje/Neptuno/congreso-diputados.jpg
[4] http://www.yanous.com/pratique/tourisme/img/Berlin/Coupole.jpg
[5] http://www.acus.org/files/images/European-parliament-brussels-inside.preview.JPG
Qui dit nouvelles institutions, dit forcément nouveaux bâtiments. La construction de ces derniers a donc débuté cette semaine, en présence du Président-Intérimaire de la Commission Ibérique et de ses Seize Commissaires. Tous les projets ont été approuvés par ces derniers, en raison de leur modernité et de leur esthétique. Ainsi, le siège de la Commission Ibérique [1] sera un magnifique bâtiment, tout de verre vêtu, situé à Valence, au bord du « Barranc del Caraixet », non loin de l’Université « Cardenal Herrera-CEU ». Le Conseil des Ministres de l’Union Ibérique [2] sera hébergé dans une structure relativement commune, mais mélangeant habilement le verre moderne et l’architecture typique du sud de l’Espagne … Logique, vu qu’on est à Séville. Quant au Parlement Ibérique, il hérite du « Congreso de los Diputados », dans le centre-ville de Madrid. Mais des travaux de rénovation sont nécessaires avant de pouvoir accueillir les 575 députés pour la simple raison que le bâtiment est trop petit ! Une gigantesque coupole de verre [4] sous lequel se trouvera l’hémicycle [5] va être construit prochainement pour permettre à l’organe le plus important de l’Union de fonctionner correctement.
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