Savoir & Culture

Je n'ai rien à craindre de ce virus. Je sais d'avance que Quentin évitera la Chine, quoi qu'il arrive.

Donc oui ?

-République de Saint-Marin-

Découverte de 1 tonne de cocaine dans les égouts par un homme qui se demendait pourquoi ses toilettes était bouché.La police enquaite.A suive...

Bon bah je reste Neutre pour l'instant, quoique ca me fait du mal de tout recommencer à zéro alors que je suis arrivé pas mal dans mon évolution...

1. One_Skedar Voir le profil de One_Skedar
2. Posté le 24 février 2009 à 19:26:22 Avertir un modérateur
3. Je n'ai rien à craindre de ce virus. Je sais d'avance que Quentin évitera la Chine, quoi qu'il arrive.

===> Pov Type

Je vote non. Une pandémie mondiale mettrait fin au jeu.

Je voudrais savoir si vous prendriez en compte une éventuelle pandémie mondiale.

Oui : 5

(Quentinator, Ryu, Cortezz, Cassepieds, maxcoolgame)

Non : 3

(Akar, el_che, skedar)

Seul le premier vote compte désolé.

Non. D'une part car c'est sans aucune originalité et là, ça empêchera toute venue de nouveau ou de développement.

Malgré que je ne sois pas contre cette idée de Virus. Mais l'Europe détruite par Elie a montré à elle seule les handicaps que cela engendrait pour la suite (pays interressants non jouables, plus d'existence européenne...)

Une pandémie mondiale, ça signifie carréement la fin de jeu lorsqu'elle sera passée.

Je voudrais savoir si vous prendriez en compte une éventuelle pandémie mondiale.

Oui : 5

(Quentinator, Ryu, Cortezz, Cassepieds, maxcoolgame)

Non : 3

(Akar, el_che, skedar, driano)

5 - 4

Je change mon vote pour un non.

Projet Horizon

Le bar fermait après deux heures du matin et il la raccompagna. Elle était à présent bien partie avec ses sept verres à peine dilués par quelques amuse-gueule. Pour sa part, il avait pris soin de faire durer ses trois rhums, et mangé quantité de cacahuètes.

« - Bon, fit-il une fois sur le trottoir, je vous raccompagne, d’accord ? »

« - Ce n’est qu’à trois rues. »

« - Anne, il est tard, et on est à Valence, vu ? Vous avez encore à apprendre où vous pouvez aller et où il ne vaut mieux pas. Suivez-moi », conclut-il en la tirant par la main au coin de la rue. Sa BMW était garée à mi-distance place Redonda. Il lui tint galamment la portière, la referma sur elle, puis contourna la voiture pour s’installer à son tour.

« - Ca doit bien marcher pour vous », nota Marìa Delacruz en jaugeant la voiture.

« - Ouais, pas mal, mine de rien, des tas de gens aiment bien gruger le fisc. » Il démarra et s’engagea dans une rue latérale, en fait dans la mauvaise direction, même si elle était trop pompette pour s’en apercevoir. Il prit à gauche dans la Calle San Vicente, et avisa bientôt le fourgon bleu, garé dans un coin tranquille. Une rue avant, il fit des appels de phare avant de ralentir en pressant les boutons pour descendre les deux vitres avant.

« - Eh, fit-il, je connais ce type ! »

« - Hein ? » fit Delacruz, un rien larguée. De toute façon, il était trop tard pour qu’elle puisse faire grand-chose.

« -Oh Juan ! » dit l’homme en combinaison qui s’était penché par la vitre ouverte, côté passager.

« - Salut vieux », répondit Villacampa, le pouce levé.

L’homme en combinaison sortit alors de sa manche une petite bombe aérosol qu’il dirigea vers Marìa Delacruz. Puis, il pressa l’embout de plastique rouge et lui expédia une bouffée d’éther en pleine figure. Sous le choc et la surprise, elle écarquilla brusquement les yeux, se tourna pour regarder Juan pendant une interminable seconde, avant de s’affaler, inerte.

« - Vas-y mollo, mec, elle a sa dose d’alcool. »

« - Pas de problème. » L’homme tapa sur la tôle latérale du fourgon et un complice apparut. Ce dernier scruta les deux côtés de la rue, guettant une voiture de patrouille, avant de l’aider à ouvrir la portière, sortir Marìa Delacruz et de la transporter, toujours inerte, à l’intérieur du fourgon, en passant par la porte arrière. Elle s’y retrouva en compagne d’une autre jeune femme, récupérée par un autre employé de la compagnie, un peu plus tôt dans la soirée. Sur quoi, Vallacampa redémarra, laissant les glaces descendues pour que l’air nocturne chasse les miasmes d’éther, tandis qu’il virait à droite pour s’engager sur la Calle Xativa, en direction du nord, vers l’observatoire météorologique. Bien, ça lui en faisait déjà deux d’embarquées, et là l’heure qu’il était, les autres devaient en avoir ramassé au moins six. Encore trois, et ils pourraient mettre un terme à cette partie fort dangereuse de l’opération.

yopbt aussi vote non, il postera dans 10 minutes.

Hop, deux semaines de travails réduit à néant.

J'oublierai pas.

République Prospère du Rwanda

" [...] Apparemment, et pendant le discours du Président de ce matin même, des Hommes armées se seraient présentés dans le but d'éliminer le Chef d'État, Paul Kagame. Heureusement, le coup avait été paré à temps par le Gouvernement, qui s'y attendait après les événements de ces dernières semaines. On pense que les auteurs de ce complot étaient des membres de Partis opposés aux idées du Président - et surement Radicaux -; La Police enquête déjà pour remonter la piste de ces criminels. Un de leurs est à la Morgue, il s'agissait d'ailleurs d'un Futur candidat aux présidentielles de 2010, les autres sont en garde à vue, au poste de police du quartier, placés sous haute surveillance... "

La côte de popularité des Partis de Gauche et Radicaux s'effondrent, après une brusque hausse de la côte de Kagame. Tout a joué en son avantage.

Je ne suis pas contre le virus. Mais contre une pandémie à grande échelle. Elle sonnerait la fin du jeu, obligatoirement.

Je n'ai jamais annoncé une pandémie à grande échelle et encore moins que je l'utiliserais une fois le virus crée.

Non, enfaite je vote neutre.Démerdez-vous entre vous.