C'est pas le genre de style qui me fait vibrer. Néanmoins, j'ai tout de même apprécié notamment la deuxième partie du texte. Il y a parfois de bonnes rimes ! Un peu trop d'accentuation sur la ponctuation, à mon goût.
Voici le début d'un texte :
Misère t’étais une femme mystère cimer mon cœur tu l’as fait en ciment je me suis reconstruit en silence espérant défier le siphon
Drôle de personnification tant que tu incarnais la quintessence de la passion
De l’amour j’en demandais en ration de notre couple j’en étais le maçon solides je pensais ces fondations accroc et borné comme un franc maçon
J’ai mal aux bras malheureux de faire les draps sans toi comme un lépreux errant dont le seul objectif est de se fondre dans les rangs
Les aléas de la vie se font les années coulent et se défont une chose qui ne change pas je tourne toujours en rond
Je me sens enfermé dans un cliché d’un mec se laissant glissé voulant parcourir chaque hémisphère afin d’oublier à qui fait-il affaire
Misère t’étais une femme mystère m’y faire me mènerait en enfer
Voilà tout le paradoxe mêlant le soleil et les éclairs
Le noir ou le blanc la paix ou la haine la nuit ou le jour
Ma tête va exploser j’en ai marre de ces pauvres soirées arrosées t’sais celles dans lesquelles on aurait pensé osé alors qu’on se contente d’avaler ce rosé pas cher payé
REFRAIN :
A présent les souvenirs m’évoquent des soupirs
Sourire demande courage
Se soumettre à cet usage demande de l’âge
Je marche alors que le disque de ma vie est rayé
Sache que le risque de te rencontrer je te le ferai cher payer
Guitar chords :
" Tu t'allonges j'ai le seum ( AM) je m'instruis sans le vice (Em)
A l'ombre loin du sun (Am) je construis dans le vide (Em)
J'ai le regard acerbe (Bm) et la mine livide (Em)
Hagard je me perds (Bm) tel un serbe en Bosnie " (Em)
Très bon passage !
Shanks-desu
Est-ce, que t'as de la "Marge" -pour moi- j'en deviens Simpson ! Si seul !
Passer de Mario et sa princesse aux "Sims Seum" !
Tu as encore essayé de la placer, ahah C'est déjà mieux que l'autre fois !
Bon petit texte, j'attends encore le moment ou tu poseras ( pour la x fois )
Le 10 septembre 2016 à 13:35:40 -Between a écrit :
Shanks-desuEst-ce, que t'as de la "Marge" -pour moi- j'en deviens Simpson ! Si seul !
Passer de Mario et sa princesse aux "Sims Seum" !
Tu as encore essayé de la placer, ahah C'est déjà mieux que l'autre fois !
Bon petit texte, j'attends encore le moment ou tu poseras ( pour la x fois )
Haha oui oui. Mais je risque de la virer au moment de poser effectivement, ça fait trop forcé.
Sinon merci à tous pour vos avis et textes, j'en prends bonne note et y'a pas mal de belles trouvailles ! Je posterai probablement d'autres (pas si récents) textes dans pas longtemps
YO !
Nouveau texte ;
Depuis ma vue y a des grandes tours sur une table dorée des billets qui progressivement me rendent sourds
J’ai l’arme de la destruction dans la main elle pèse quelques grammes est verte et sert à rendre le monde un peu moins bien
Tout ça rassemblé j’me sens puissant j’achète tout et n’importe quoi j’fous des cadavres dans un ruisseau le lendemain on parle dans les journaux pas de traces que des liasses de billets verts servant même à acheter les pires adversaires
Le vatican c’est mon lieu de prédilection des prêtres aux quels je me confie sur mes pêchés me disent « mon fils c’est oublié » ça y est j’ai percé l’abcès car dans cette façon de pensée trop n’en est jamais assez
Les affaires marchent correctement j’te mentirai si j’te disais le contraire l’seul truc un peu chiant c’est de se réunir avec tous les confrères on parle de filles de pipes de clips de beuh de tromperies malheureuses en bref quelques pleureuses
J’ai les chaussures cirées attention un travail fait par le cireur j’ai l’arme aiguisé attention travail fait par le tireur
Tout ça c’est à moi on me qualifie d’égocentrique j’le comprends pas autour d’une table de restau on parle de politique ça m’gave déjà
Moi j’suis bien dans ma vie ce que je kiffe c’est de rouler des gros pets
Et vous savez avec quoi ? Avec des billets verts ! Ça fait planer mes adversaires et quand j’me rends à bogota ça fait râler mes avocats
J’ai le démon de minuit avec chaque nana y a tromperie j’partage jamais mon lit seulement avec ta fille
Titre Barreaux et Primes (Février 2016)
De mon mieux j’essaie, de pas faire le martyr tourmenté
Quand ton année se termine par la rupture d’une relation non commencée
Mais comment je t’aime, c’est illégal, barreaux et prime
Comment j’fais à part l’écrire ? Comment je sors ; par où est l’crime ?
Merci. De m’éviter l’cimetière, R.I.P. mon amour
Des faux sauveurs en VHS ont voulu « ripper » mon secours
Des sauveteurs tout au plus ! Des gens qui ne sauvent pas de vies
Même convaincus de le faire ; ils ont le mérite de retarder la mort
J’ai regardé la porte ; elle était rouge, son affordance m’attire.
Son insolence m’afflige et masochiste, alors je suis de la partie.
Je cherche encore Mathilde, s’est-elle affranchit d’elle ?
Me suis-je affranchi, moi ? En décibels je veux t’affranchir toi !
Accompli-moi. Scie-moi six mois loin de ma moitié.
Un grand peignoir et six dollars dans l’compte j’essaie encore de m’en rendre compte.
Et ce foutu marathon qui m’rappelle que c’est pas fini ; remballe,
ton buzz éclaire et ton planeur place à l’infini ! Et au-delà !
Woody, jouet de bois, que j’ai jeté trop tôt ;
aujourd’hui Woody est avec Pinocchio ; m’aurait-il menti ?
Sale habitude j’hurle en m’taisant et j’attends qu’on me guide
Une étoile, un éclair, un coup de foudre, cœur de caoutchouc.
Je veux pas autre chose. Ces soucoupes d’or ont fait de moi un glouton
Augustus gloop et dessine-moi un mouton ! au brouillon…et j’en ferai mon propre
Comment veux-tu que je sauve le monde avec le poids de ce « S » sur mon torse ?
Blessures et entorse. Est-ce que tu m’entends ? Ma faiblesse et ma force ;
La vie te balance une licorne, la mienne kryptonienne aux cheveux frisés
De la kryptonite synthétisée, aseptisé leur monde m’effraie
Je me suis pincé sans m’réveiller dois-je en conclure que ce monde est vrai ?
Seulement l’défaut… c’est que c’est pas assez beau pour l’être
Après « mille mots » comprends, qu’un abc de 26 manque beaucoup de lettres
Agressé, passif et coup d’maître, Acquiescer, patch et beaucoup d’litres
Encaisser, aboyer ou fuir ? M’abaisser, m’assoir ou renaître ??
Reste ! Les corbeaux parlent et le soleil en perd son ombre
Maître Renard devient phœnix et les cendres me donnent naissance
Briquet-essence, effervescence, rime évidente et danse pénible
Entre deux dents, salade et riz, blessé, regarde mes gants saigner
Je perds mon temps et ma Daniel Welli’ n’y, change pas grand-chose
Prisonnier des évidences et Michael Scofield ne m’aide pas
Une pluie de grenier, c’était si dense, je m’atrophie à part entière
La vie n’tient qu’à un fil qui ne m’aime pas, je l’ai recouvert d’adamentium
Menteur ! Lampe et génie ne m’inspire plus, oui c’est ce que je dis mais bon
J’attends une variation de la prod pour, prouver mes dons
Fais donc un, vœux… un souhait, c’est pas de l’orgueil, c’est mon grand cœur qui parle
Des constructions sociales ? ou des Lego construit sur nos ego ?
Qu’on fuit sous les égouts pour échapper à tous ces crocos
Une légende pour une autre et qui prend quoi dans leur qui pro quo ?
Dans leur propos, selon différentes versions, versions parues trop tôt
Une RougeMuraille, un Redwall, une souris en armure ; photo !
Il serait temps, que je mette de la cohérence dans le récit
Un passé passif et mon présent se fatigue de tout l’actif
Et toute ma différence m’attriste
Quand je suis seul hors d’la matrice
Man of Steel, Staline, caprice
Anarchiste en crise d’art triste
Un artiste en quête d’ataraxie, l’épicurisme m’enfonce
Moi-même et moi on va ensemble, comme les piqûres et les enfants
Fausse optimisme devant les ondes négatives de ton bonheur
Serais-tu heureux si je te disais que pour l’être il suffit de l’être ?
Il suffit ! Regarde-moi ; avant que j’oublie à quoi je ressemble
Car il suffit d’un garnement pour me rappeler que j’importe peu
Je t’implore je, finirais par « tu »… en tout altruisme
As-tu déjà vu un misanthrope-timbré-gentleman-puriste ?
Car, voilà mon voici. Résonne l’authentique écho
Urticaire exemplaire, exanthème : Ecce ego
« Les risques je les enterre » ? Tu n’enterres que ton réseau
pulmonaire, tu m’embêtes, et me rends bête : cœur et vaisseaux !
La larme à l’œil, un chapeau de paille, crane blanc sur drapeau noir
Il restera Roswell ma belle, si ton vaisseau part sans moi ;
Haha, histoire d’amour, quand l’amour fait toute une histoire
Un faux spectacle « Ca va se savoir », « Toute une histoire »
Utilise-moi. Regarde-moi puis brise le miroir.
Puis brise le miroir, puis brise ce qui reste du miroir.
Théorise-moi. Sirote ton thé, puis terrorise-moi.
Je t’idéalise, toi. C’est tout ce que j’ai tu ne réalises pas.
Réalise-moi. A travers toi j’ai hâte de m’y voir.
Légalise-moi. Affranchi-toi puis abolis-moi.
Egalise-moi. Tu es tout ce que j’ai tu ne réalises pas.
Tu le réaliseras ; étouffe ce gène qui m’minimise-moi.
Tétanise-moi. Fais-moi marcher, puis paralyse-moi.
Mort aux périodes de gloire si je ne peux être ton paradigme-roi.
Une page de l’histoire. Une page de l’Homme, une de la Femme
« A la claire fontaine » Jean-de-la-Lune sera l’hymne de ma fable
Récite ma table. Il reste du sang, soigne ma vie
Ou empêche-moi de mourir, dans tous les cas soigne-moi vite
Ou au moins fais semblant. Car faire semblant de s’inquiéter
c’est déjà s’inquiéter. Et faire semblant d’aimer si inquiétant…
Puis-je m’arrêter ? Barreaux et primes deviennent menottes et chaînes
Une odyssée, poussière d’étoiles que mes poumons rejettent
Puis-je m’apprêter ? me mettre au pieu et pieux je me rattache
à DIEU ; adieu ; car douze malins ont fait le diable à quatre
The Killing Joke (partie 1)
Costard-cravate chez le boulanger
Bientôt le noeud pap' au coin de la rue
Chapeau melon vil outrancier
Dans le Chesterfield on éternue
On s'émerveille, on s'est perdu
Rime évidente : deux éperdus
Dans notre "conduite" tout est "permis"
Bonnie et Clyde bientôt permutent
Les cheveux verts sur des yeux troubles
Trouble les ténèbres au cœur du leur
Une dame de cœur, la Reine du Fou
Le Roi, de L'As n'est que le leurre
Maintentant souris !
Incapacite la fille : rends folle la chauve-souris.
Et puis choisis...
Si le passé existe qu'il reste à choix multiple !
Sourire moisis, éternel ?
La larme à l’oeil que si je baille et si fermé;
Au son du rictus cramoisi, on s’y perdrait
Peut-être pas né j’existe, HA !
Ne serait-ce pas l’ennemi ? NAN !
Ne serait-je pas l’égérie de l’hégémonie de Zarathoustra et Nietzsche ?
Que nenni et que j’en ris. Dernier homme : ils doivent me battre,
J’attends le jour où part Harley pour exploser devant le Bat...
ÉonsNéonsEtOn
Elle est mi-danse mi-chant
Modèle ultime et sans cesse grandissant
Survole la ville, la paralyse de son regard grisant
Puissante. Me vole mes mots, aspire l'inspiration
S'envole mes maux, inspire l'aspiration
Mes mille actions contre un fou rire, son sourire ou son soupir
Rêve lucide sans m'assoupir alors je serai son sous-fifre
Pathétique et loin du but, peut-être projet embryonnaire ?
Environné d'une prison ferme : je foutrai ma vie en l'air !
Et l'air mi-chantre mi-science
Créature fourbe. Androïd sans license
Humanisante.
Affranchi-moi de ce cyborg sans puissance
Tu m'es monde, ne tourne pas trop vite
Soleil de néon, loin de ton orbite
Ne serai-je qu'animatronique ?
.#ÉonsNéonEtOn #Shanx #2016
Plus personne ?
ces drôles de gens*
Hauteurs Sublimes (Partie Un)
L'altitude légère et calme, trahi l'heavy métal
dans nos têtes; je te dois tout oui j'ai ta dette d'être idéal
Se vider l'mal, l'un dans l'autre, dans l'absolu ce vide est là
Accepter l'bien, l'un sans l'autre; dans la pratique mais misérable !
Miser rare, un tout : une fin de film, un chef-d'oeuvre noir
"Et si je sors mon Fou, la Reine y verra-t-elle un Roi ?"
Se plaire à y voir flou, l'œil sur des lèvres bégayant
L'être idéal je m'en fou ! J'en deviens cru-au point-saignant !
Mise au point. Étape un :Séduire, faire rire, intimider
Étape deux : Répéter l'étape un pour se refaire une idée
Étape trois : Répéter l'étape deux jusqu'à l'étape vingt-trois
Étape vingt-trois : Ta gueule fous-lui la paix tu crois qu'elle a bzoin d'toi ??
Dans ta bulle dégomme ta bile et rappelle Boule sans frôler l'sien
Un petit enfant, pleurnichard il manquerai plus qu'on te donne le sein
Mets toi en boule : Steph-Itoura Moussongo dj.pluggé
Si j'ai peur c'est que peut-être qu'entre toi et moi y'avait que le "et" !!
Et ?? Hé ! J'ai beau sourire pour me prouver
Que je te retournerai les proverbes : J'en perdrai dix pour te retrouver !
Pour te l'prouver je commencerai par me perdre et arrêter mon blues
"Il pense à quoi ? Rapper, chanter l'amour c'est mort en 2012"
Ou serait-ce 2003 ?
Ne fais pas demi-tour mais replie-toi
Reflet-diamant j'aperçois deux mille Toi...
L'écart se creuse, la tombe aussi et tombe aussitôt sur une princesse parano
Mais tu n'es pas Mario : Comment t'y lier par anneau ?
Besoin d'vitesse, n'a pas suffit la Galardo; Apparement;
A deux cents à l'heure fait le grand saut et n'oublie pas le radeau
Et au beau temps, maso' je préfère la pluie
Un manque de sens, chercher l'âme-sœur c'est juste attendre que l'amour fasse sa pub
A plus ! C'est ce qu'on se dira le moins souvent.
De mauvaise foi : entre l'alcool et toi j'ai choisis l'moins soûlant
De mauvaise joie, énigmatique et les énigmes s'empilent
De mauvais choix téléphonés, garçon : un Gin-Tonic sans-fil !
Le mille moins l'mille ! Étoile-dansante, accoucher d'un chaos ?
Embrasser mon chaos, accoucher d'une Étoile-dansante là haut ?
Ne me fais pas confiance, à moi ne te fie pas : nous coulerons tous
Et les feed-back feront demi-tour comme ces Soleils qu'mes poumons toussent !
Nous mourrons tous. N'attends pas que je te propose mon culte
Si je te dis "prends tes jambes à ton cou" comprends reste et pose ton cul !!
Devait-on s'élever au-dessus des phases...Devait-on s'achever au bout d'une phrase ?
Devait-on laisser nos vœux en terre et ce coup d'foudre aux milles Ampères ?
Emprunte et perds. Empreintes et peines ?
Reprends ta paire et fait mille mètres; Mais mec t'es belles minettes remake d'elle t'avancent-elles d'un millimètre ?
Un demi-litre dans le sang.
A demi-rythme dans le sample
Vingt-deux mille rimes sans sens
S'aimer, mourrir, ressusciter ensemble !
Sans blagues ! Et qu'en t'en fais c'est pour t'finir
"Peintre à mes heures philosophes, nihiliste : je suis d'Nietzsche !"
Arrête ton chanvre et tes conneries d'accent Saxon pour ado
Regagne ta chambre, reprends ta chanson, embraye, klaxonne, tourne à gauche !
L'attitude légère et calme, trahi l'heavy métal
dans nos têtes; je ne te dois rien, avoir ta dette serait misérable
J'ai vidé l'mal (mâle) - l'un comme l'autre - asphyxié l'ant kimera
Et on le voit bien - l'un et l'autre - dans l'absolu ce vide est là
Je te reviens dessus Vdd
C'est cool de poster des textes qui sont sûrement très intéressants mais là ça devient limite du spam... tu peux donner ton avis sur celui ou ceux des autres
Le 20 octobre 2016 à 15:30:51 Knor_knor_knor a écrit :
C'est cool de poster des textes qui sont sûrement très intéressants mais là ça devient limite du spam... tu peux donner ton avis sur celui ou ceux des autres
Ça ressemble à du spam parce que je suis quasi-seul à participer, et j'ai personnellement envie de susciter l'intérêt pour différentes approches à la communauté. J'en ai certes poster deux ou trois dans un court intervalle mais dans les faits y'a plusieurs semaines, parfois plusieurs mois entre mes différents posts
Il suffit d'ailleurs d'une lecture rapide du topic pour voir que je donne effectivement mon avis sur les textes d'autrui, simplement, quand personne ne poste...c'est moins évident. Je suis censé laisser couler le topic ? (no troll, je demande) Si c'est ça, bah d'accord. Je trouve juste cela dommage
Tranquille, postes en autant que tu veux Shanks, je passe et lis parfois en coup de vent, continue comme ça bro'
Le 21 octobre 2016 à 11:49:58 -Between a écrit :
Tranquille, postes en autant que tu veux Shanks, je passe et lis parfois en coup de vent, continue comme ça bro'
"Ne fais pas demi-tour mais replie-toi
Reflet-diamant j'aperçois deux mille Toi...
L'écart se creuse, la tombe aussi et tombe aussitôt sur une princesse parano
Mais tu n'es pas Mario : Comment t'y lier par anneau ?"
Très bon ! ~~
Avec des accords guitare
(E)Ne fais pas demi-tour mais replie-toi(Asus2)
(E)Reflet-diamant j'aperçois deux mille Toi...(Asus2)
(Esus4)L'écart se creuse, la tombe aussi et tombe aussitôt sur une princesse parano(A)
(E)Mais tu n'es pas Mario : Comment t'y lier par anneau ?(Asus2) (A) (Asus2) (A)
Sunnynight
Pour le refrain, j'aime beaucoup les deux dernières phrases, mais la deuxième serait peut être à revoir :
Mais on s'en bat les reins on s'plaint comme des mauviettes.
Mau(x)viette résonne avec "mal" de la ligne précédente mais il casse le rythme, tu ne reprends pas la rime et tu finis par un son "ouvert" contrairement au début de ta phrase qui est fermé ( en [un] )
Dans l'ensemble, j'aime bien, bien que ce ne soit pas toujours constant. En effet, tu peux envoyer de bonnes punch's avec des rimes internes et de bons jeux de mots, pour ensuite continuer dans la même direction mais casser le rythme en n'échappant à la rime ou perdant la sonorité pour un jeu de mot interne ( C'est pas très clair, j'espère que tu me comprends )
N'hésite pas à poster d'autres de tes textes, je me ferai un plaisir de les lire !
Le 28 octobre 2016 à 17:27:12 -Between a écrit :
SunnynightPour le refrain, j'aime beaucoup les deux dernières phrases, mais la deuxième serait peut être à revoir :
Mais on s'en bat les reins on s'plaint comme des mauviettes.
Mau(x)viette résonne avec "mal" de la ligne précédente mais il casse le rythme, tu ne reprends pas la rime et tu finis par un son "ouvert" contrairement au début de ta phrase qui est fermé ( en [un] )
Dans l'ensemble, j'aime bien, bien que ce ne soit pas toujours constant. En effet, tu peux envoyer de bonnes punch's avec des rimes internes et de bons jeux de mots, pour ensuite continuer dans la même direction mais casser le rythme en n'échappant à la rime ou perdant la sonorité pour un jeu de mot interne ( C'est pas très clair, j'espère que tu me comprends )
N'hésite pas à poster d'autres de tes textes, je me ferai un plaisir de les lire !
Mauviette ça reprends mauvais en fait
Ouais j'ai pas taffé le rythme, j'ai des lacunes sur ça. Je vois ce que tu veux dire, faut que je retravaille la construction de certaines phases.
J'ai plein d'autres textes, je te les spam juste après
Un petit texte vite fait, assez simpliste dans la forme :
Je souffre d'une joie toujours mélancolique,
Une maladie bien plus grave que la colique.
Bien écrire c'est un état d'esprit : soit tu l'as dans l'sang,
Soit t'écris des rimes techniques sans aucun sens.
Être technique c'est super facile à faire,
Les lumières vacillent mais vas-y la ferme.
J'aime pas trop la rigidité d'la terre,
J'aime bien l'eau parce que ça désaltère.
J'suis plus musclé par des livres que par des altères,
T'es muslé par l'élite : c'est pas mes affaires.
J'gagne sans cesse en maturité, quand est-ce que je n'aurais plus d'idée ?
J'ai marché bien plus que l'hyper.
J'm'en bat les couilles des tâches d'la vie quotidienne,
J'me détache de tout d'ma tour d'obsidienne.
J'démarre le ventre aussi sec que Hitler,
Ils font des marres de sang s'occupent de l'hygiène.
...
Pour être heureux j'ai pris le monde à la rigolade,
Donc t'inquiètes pas mec, ça gaze comme la limonade.
Moi j'ai le cœur qu'on immola, la liqueur qu'on idolâtre,
Mais j'ai pas la p'tite sœur qui s'fait des tunes pour dix mollards.
Moi j'fais du son juste pour m'amuser,
Tout n'est beau qu'en musique pour un homme désabusé :
Ariane 5 le nom d'ma fusée.
J'préfère des humbles paroles que les merveilles de Lewis Carol,
Tilleul Verveine, j'ai laissé le vice sur le carreau.
J'veux finir aux, pas derrière les barreaux !
J'aime bien parler aux gens après deux mois d'abstinence,
Après deux heures leurs voix sont graves stridentes, je prie le silence.
Je ne m'ouvre au monde qu'à temps partiel,
Malheureux d'puis Adam, j'me réincarne à chaque siècle.
Illusions disparues comme les Incas :
Si je vise la lune je fais un crash.