Création

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J'arrive sur ces putains
Vingt sur le bulletin
Je tue ça sans refrain
De leur sang j'me repais, repeins
Leur fichu salle de bain
Refré, je fais ça sans effort
A la récré
Tous les baiser
Tous les saigner
Poulet braisé
Catin fessée
Chatte infestée
Charte acceptée
Chant des damnés
Rap sous apnée
Corps déterré
Araignée au plafond
Sale con
J'tate son oignon
Pige ça fiston
Fist sans savon
Vie sans saveur
Argent, labeur
Attends, t'as peur
Baveur de rimes
J'rap pas j'escrime
Crache ta tétine
Mate comme j'm'exprime
T'es pas terrible
Jte baise quand même
J'veux juste qu'on m'aime
J'veux pas d'ton aide
Cancer dans un bouquet
Tu m'as pris pour qui, pour quoi
Tu fais cette tête là
T'as la coulante
T'as l'air trop chiante
Un doigt et je t'enchante
Tombe pas enceinte ou je t'encule
Dans ton trou y a une fistule
Sur ta gueule y a des pustules
Moi j'embauche toi tu postules
Moins tu parles moins tu pollues
Et là chui encore poli (x2)
Monopoly, je gagne
Et la police je paie
Grassement
Champ libre devant
J'opère depuis l'repaire des mecs deters
Des vers de terre dans l'atmosphère
Sévère, injuste
C'est vert, j'appuie
C'est rouge, j'appuie
Tsais où j'habite (x2)
Jfais des sous, tu joues à chat bite

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Chui mort, claqué
Gros porc, épais
J'apporte la paix
J'importe le vrai
Mes notes de frais
Les gens effraient
Mon chemin je me fraye
T'es pas mon khey
Jte parle oseille
Jte parle respect
T'es pas mon père
T'es pas mon frère
Sors de le galère
Le doigt en l'air
J'écris des vers
Je bois des verres
J'en vois des vertes
Et des pas mûres
Moi chui certain
Toi t'es pas sûr
Envoie ta sœur
Jlui fais du sale
Tartine de beurre
T'as l'teint tout pâle
Ferme ta gueule
Ou je t'empale
Mon rap est sale
Comme un tampax
Tu sens l'caca
Jbaise ton papa
Tire moi dessus
Ne me rate pas
Chui pas Brad Pitt
Chui un rate-pi
Chui un brave type
Oui un chic type
Jveux mon chèque bitch
Oui mon chèque bitch

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Sang de vierge
Pièce sombre
Grands cierges
Mort, cancer
Meurtre du
Concierge
Forêt dense
Sorcière
Décès
Tombale pierre
Cimetière
Austère
Drive-by en hélicoptère
Uzi
Cimeterre
Fusil
Semtex
SM sexe
Rail de coke comme à la SNCF
Jambes de coq
Bras de phoque
Putain de loque
Autiste
Gros tocs
Artiste
Gros tox'
Info
Intox
Ta mère
Je fuck

Mon rêve bats de l’aile, sans pour autant s’envoler
Mon amour éternel survivra à tout
Ne voir qu’elle mais pas la bénédiction d’hera
De mon idéal aux nôtres, tu resteras pour autant mon ange
Un fils de toi, puis-je en espérer autant ?
Le voir naitre pour qu’il traverser les âges
Mon temps à moi j’le passe à te voir de loin
Entre nous, aucun lien mais sans toi j’suis rien
Vivre à nous deux est mes seuls vœux
Mais a tes yeux je n’existe point
Moins en moins ma vie à de sens
À sens unique, mon amour
Tu le partages avec un autre

Bah me revoilà !

Phœnix!

Sers-moi la main si t'es mon frère; embrasse-moi si mon ami
Ça fait mal que Papa pense que j'oublierai même son anniv'
Je m'anime; sans passer par le manga qui va avec, je saute des cases
Oh Marie, si tu savais, je ne suis qu'un roi, je saute qu'une case...
à la fois...mais je me déplace, un surplus d'peur dans l'sac
devant l'pain sec je n'insulte plus l'beurre, je m'en passe
Bordel je m'en lasse, et j'fais l'O.G, bouteille de cidre
pas riche, je paris t'offrir Paris, et rire des Joker du récit
Et j'ai arrêté d'écrire sans songer aux conséquences
Avant d'tuer les dieux, pense aux monstres qui renaîtront d'leurs cendres
Pénible. Un phœnix dans l'dénis. Observe sommet.
Insomnie, oublie sommeil, dans ses poèmes omet soleil.
Mais dans ses rêves, un petit poney, qui quand se réveille maudit monnaie
l'hiver nostalgie dans l'bonnet, un petit enfant que l'amour sauvait.
Sauve-moi. Je fais des fautes et l'impératif m'embête;
oui tu m'diras que je me trompe mais, ça reste mieux que tromper l'monde
Ça reste mieux que d'avoir l'air con, je me mouille, sans anti-sèche,
de nous, t'a visé l'coeur mais bon faut croire qu'il manque une flèche
"Faites croire qu'ils mentent s'ils s'aiment",
on s'accapare leur motto
On s'sent capable à nous deux;
mais on saccagera nos mots doux
Et à mon tour j'ai de nouveaux écrit, dans ce plan-séquence ?
De quoi brûler leurs dieux et être le monstre qui renaîtra d'ces cendres.
Phœnix !

C'tait qu'une une pause dans ma ronde. Je serai marron et déplorable
si j'arrêtais d'créer, d'écrire, et de crier des punchlines
Je rembarque, dans ce talent constamment déflorable
Changer le monde en faveur d'une lune finalement décrochable.
Phœnix !

Héhé lordtristesse tu ecoutes du alkpote ces derniers temps non ? C'est autre chose que jazzy bazz hein

Le 26 septembre 2017 à 22:16:34 ElIiotRoger a écrit :
Héhé lordtristesse tu ecoutes du alkpote ces derniers temps non ? C'est autre chose que jazzy bazz hein

Alk est une de mes référence en effet, longue vie au véritable empereur du sale

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Yo,

Je viens sur ce topic avec pas mal de textes ; une dizaine pour être un peu plus précis.

Voici le premier :

• Mademoiselle

J’ai bien senti que ta vie était un sentier
J’appuie sur l’alarme incendie, trinquant un verre à notre sante

J’ai la santé, permets-moi de me centrer
J’ai la feinte facile quand il s’agit de draguer
Un cœur fragile quand il faut le laisser braquer
Mademoiselle, vous avez le sourire large
Ne croyez pas à ma façon de parler que je fais partie de ces hommes lâche
Avez-vous un numéro de tel ?
Un chiffre, un indice, un stationnement ou une porte d’hôtel ?
Je me souviens vous avoir aguiché
Les gens parlaient autour de nous
Vos yeux n’avaient pas triché
Fondus dans les miens, j’en étais déjà fou
Et mes poils se redressaient quand mon nom vous affichez

Mademoiselle aime les cravates bien portées
Les costards bien taillés et les gros gabaris de quoi l’escorter
Son regard s’allume quand le mien s’éteint
J’détiens une flamme mais ce n’est sûrement pas la sienne
J’ouvre doucement la porte… Mademoiselle aime se faire traiter comme une chienne

Première larme d’un baiser raté
Je vous vois partir depuis vos escaprins éclatés le parquet
Avais-je trop bu de ce whisky ?
Un mélange de rêve et de lyrics
C’est con ce qu’un cœur peut faire
Cinq heures, en panne, c’est clair
Je connais pas l’attente désirée
Le temps de latence commence à me décimer
Mademoiselle, vous boudez… pourriez-vous enfin vous décider ?
Le paquebot avance et nos chambres respectives reculent
Drôle de perspective car je sue à l’idée d’être reclus
Je n’ai plus de vos nouvelles
Hâte de vous espionner sur un transat et m’finir à l’eau de javel
Des hommes vous convoitent
Mon image disparaît
J’me descends des grosses bôites
Vous avez lancé mon cœur comme on lance un pavé

J’ai longtemps cru à l’amour photogénique
J’ai revu un classeur de nos images, ce que j’étais un génie
Vous avoir invité dans ce resteau 4 étoiles, c’était in génieux
Le paquebot arrive… j’ai peint un tableau comme pablo dont la muse dérive
Le final est pas beau, j’me délivre dans ce livre pendant que vous sortez
Mon âme est trop ivre pour poursuivre tous les démons que vous comportez

Comme un perroquet
Je répète vos doux mots
J’incarne ce héros
Masqué comme zoro

Laissez-moi au moins être l’ombre de votre main
L’amour est un volcan pouvant rentrer en éruption du soir au matin

J’ai bien senti que ta vie était un sentier
Tes problèmes s’entassent comme un tétris
Les hommes te regardent mais te méprisent ; au fond t’es triste
Permets-moi d’allumer l’alarme incendie
De déclencher l’alerte qui fera qu’on brûlera, tu resplendis
On termine sur une île, sain et sauf
Signe du destin ou clairvoyance d’un Dieu qui joue l’apostrophe
J’me remets à croire que nos deux corps peuvent fusionner
T’es d’accord car des hommes j’en suis le dernier

J'écris sur le vif
Dessin sur la vitre
Discrèt'ment je m'esquive
Doucement j'me laisse vivre
Me détruis la santé
Sang coagulé
Dans les bronches
Le chat noir je l'astique
Relgieus'ment je mastique
Un barbiturique
J'ai la Barbie tuée dans ma paume
Jeune pomme Guillaume Tell sous alcool
Comme une jeune fille disparue à l'Argonne
Ça m'a m'a marqué
M'en suis souv'nu au fer rouge
Au fait j'bouge j'ai v'là l'temps à perdre
J'vais au Mcdo pour calmer mes nerfs
Garder le cap c'est se fonceder vénère
Yo si j'dis de la merde
C'est qu'le média laisse faire
Fais des doigts d'honneur au miroir
Le pire est à l'intérieur
Je n'pige que dalle à l'extérieur

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Le 10 octobre 2017 à 07:32:27 LordTristesse a écrit :
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lourd khey, tu t'es amélioré au niveau de la voix et du flow

Le 10 octobre 2017 à 14:24:20 MaldHorreur a écrit :

Le 10 octobre 2017 à 07:32:27 LordTristesse a écrit :
https://vocaroo.com/i/s1ugvI7lDxOh

lourd khey, tu t'es amélioré au niveau de la voix et du flow

cimer khey

J'trouve que des instrus de merde
Bouton dégrafé regard au ciel bleu
Par-delà la vitre je vise que
Effluves visqueuses sur le visage
Enfant je vis que le check un visa
C'est bizarre j'ai jamais eu beaucoup d'potes
Aux anniversaires je r'grette pas
Casse-couilles comme pote-ca
Que des phases nazes je débite là
Je me branle en deuspi
Avant une douille — ah !
J'ai bouclé ma journée
Cirer deux-trois bancs au chaud à la fac
C'est chiant à la fin répéter le même schéma
Comme une flaque de whisky devant un chard-clo
La finesse c'est Jane Doe la peau sous les os
Allah Akbar Massy-Palaiseaux
Tu piges le sarcasme ?

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https://vocaroo.com/i/s1BHOLoyxJks

Tu penses que t'écris
Plus de légitimité qu'n'importe qui
Doigt dans l’œil confondu avec un phosphène
Si t'es un phénomène alors j'suis Einstein
Agressif j'fais barrage avec un bordel
T'es capybara moi le fusil baise hôtel
Ton cul éclaté sur le lit j'ai vesqui
Une victime de plus dans mon harem
Encore j'suis poli soupe au lait comme 'Kovski
J't'ai occis juste pour le plaisir
T'es tout pourri comme Coxy
Tu mérites pas quatre lignes

...

Merde quel con

C'est plus que facile
J'trouve mon compte dans le tube en acrylique
Sur un beat lancinant et prévisible
Grappillant un bout d'vie par bouffée
J'ai le doute mais je persiste
Signe ma mise à mort retardée
Les flammes me boufferont
Petit garçon s'est caché
Loin sous la cahute lunettes rondes
J'ai le terme soit une fronde
Prête à te
Casser le front ta pensée saignant
Mais pour l'instant zone l'appartement