Mes débuts de carrière
Chapitre I
Mon arrivé au campement
Il m'en aura fallu des heures de trains pour arriver jusque là ! Combien ? Je n'en sais rien. Ma montre a été prise en cours de trajet.
Tout doit rester secret, pour tout le monde, même moi. Le temps que l'on a mis pour arriver à destination aurait pus servir à des espions pour repérer notre position. Du moins c'est ce que je pense.
Mais qu'importe. Nous sommes un régiment mobile. Il faudra s'habituer à bouger sans forcément savoir où l'on est autre que la région.
A peine sorti, deux des gardes de la gare, qui devait compter une dizaine d'hommes en uniformes dans cette géante gare abandonné, sont venus vers moi.
- Suivez moi Commandant.
Je ne pus qu'écouter. Ils m'amenèrent à une voiture quelque peu luxueuse mais vielle, de couleur grise et je monta à l'arrière. Le chauffeur démarra, avec un garde assis à sa droite.
J'étais repartis pour un nouveau trajet on dirait bien. Mais ça va, il ne dura pas plus d'une heure, je pense.
Je vis une immense base militaire, ainsi qu'un aéroport militaire. La voiture s’arrêta, le garde m'ouvrit et à peine sorti le chauffeur redémarra, puis il partit.
La garde me souri et me demanda d'avancer.
S'en suivis les procédures administratives. Arriver au bureau administratif, je dû donner mon nom, et ordre de mission du président.
On me dis patienter, avant de me dire d'aller au bureau n°314 rencontrer mon second dont le nom ne m'étais pas encore révélé.
J'exécuta, comme j'en ai l'habitude. Mais en y repensant, qui était le chef ? J'avais l'impression de servir plus de "pion" que de commandant. Je sais qu'il faut rester modeste, mes parents m'ont toujours appris que c'était une grande vertu. Mais je suis commandant, et non exécutant.
Nouvelle identité
Je trouva enfin le bureau 314. Toqua avant que l'on me réponde "entrez".
Je vis mon second, un homme grand, cheveux gris bien qu'approchant certainement la trentaine. Uniforme impeccable, coiffure impeccable.
- Je suis votre second monsieur. Videv Malaki. Prenez ma place, dorénavant c'est votre bureau !
- Bien bien. Après s'être serré la main et assis, je posa ma valise, puis continua :
- Quelle est ma mission ? Le président a dit qu'il allait me l'expliquer, mais c'est pas comme si il y avait 7000km de distance actuellement. A moins qu'il soit en Sibérie ?
- Non commandant, suivez moi ! Du moins quand vous serez prêt, je vous attend devant la porte !
Ah, quel beau bureau. Il n'était ni grand, ni petit et le mobilier était en bois, du beau bois. Mais je pense pas que j'ai à m'habituer à cet endroit, je peux changer de secteur à tout moment.
Je sortis et retrouva mon second. Je vis sur son visage un sourire, bien que tentant de le cacher.
- Alors, dîtes moi Videv, parlez moi de vous ? Et surtout, tutoyez moi, nous devrons nous côtoyer fréquemment je présume !
- Oh, et bien ... Pas où commencer ? Je suis née d'une famille de paysans. Mon père, ma mère et mes 4 grands frères y travaillaient, à la ferme. J'aurait pus avoir une sœur, si elle n'était pas mort à la naissance, alors que j'avais 2 ans. M'enfin, le champ ne m'intéressait pas. Je préférait me hisser dans l'échelle sociale. L'armée était un bon moyen. Notre idéologie, le communisme prône que chaque être Humain est égal à son voisin. Dans l'armée, c'était encore plus vrais. Rien ne nous séparait. Ayant fait preuve d'un acharnement afin de toucher l'excellence des rangs, on me promus sous-officier, puis officier. Après 3 ans j'étais déjà arrivé à un bon niveau dans la hiérarchie. Mais j'en voulait encore plus, je voulais servir le communisme.
De part mon attachement à notre armée, idéologie et valeurs on me proposa d'entrer dans une école militaire, je n'avais que 20 ans.
J'eut à étudier 5 ans dedans, avant d'arriver à ce camps il y a 6 mois.
- Parlez moi du camps.
- Et bien, nous sommes en Sibérie, non loin de la Corée du nord et de la Chine. Nous servons les intérêts du Kremlin dorénavant. L'URSS a faillis, mais le PACTE est toujours là ! Nous voilà arrivé.
Une porte noire en acier était devant moi. Videv tapa un code sur un boitier, et elle s'ouvrit. Face à mes yeux je vis un écran géant, ainsi que deux sièges et une caméra au dessus de l'écran.
- Asseyez vous.
A peine assis, la télévision s'alluma. Nous vîmes le président.
[Président]- Ah, quelle joie de vous revoir. Le voyage a été fatiguant je présume ? Vous aurez tout le temps de vous reposer après.
[Moi] - En effet, Mr le président.
[Videv] - Salutation président !
P - Salutation Videv. Bon, je vais vous expliquer pourquoi vous êtes là. La situation est tendue. Nos amis Coréens doivent faire face à un acharnement Sud-Coréen pour la réunification. Soutenus par les Américains et les Japonais, ils envoient sans arrêt des tracts et leur manœuvres sont dangereuses. La guerre est l'unique débouché si ils continuent. Aussi, préparez-vous à toutes possibilités de conflits. Je vous tiendrait au courant. Mais venons en à vous, commandant. Dorénavant, vous devez être à l'entière disposition de la Russie. Aussi, vous devez changer de nom. Pour la sécurité de votre famille, et celle de votre père. Il pourrait être enclins à des tentatives d'assassinats d'espions étrangers. Votre nom sera Ödess. Dmitri Ödess.
M - Bien président. _A vrais dire, cela ne me dérangeait pas réellement, je ne voyait jamais ma famille, et je savais que tant que je serais en fonction je ne les reverrait pas._
P - Vous pouvez partir commandant Ödess. Videv, montrez-lui ses quartiers, et le QG ainsi que la base.
V - A vos ordres !
Découverte de la base
Videv me demanda de le suivre. Nous parlions alors, de tout et rien. La cantine qui était d'après lui plutôt bonne, puis s'en suivis un débat sur notre armée ...
- Vous savez commandant, notre armée est la meilleure au monde ! Qu'en pensez-vous ?
- C'est un long débat que nous devrions tenir, mais nous avons le temps non ?
- Et bien ... Votre bureau n'est pas loin, je dois vous le montrer, nous en discuterons là haut.
Arrivé au bureau, nous nous sommes assis et avons recommencé la discutions.
- Alors, qu'en pensez-vous commandant ?
- Et bien, le sujet est énorme. Je vais commencer par le fer de lance nos armées, nos chars. Ils sont très bons, mieux que ceux de l'OTAN ? J'en doute. Leur chars sont plus blindés, mieux armées, plus autonomes, et disposent de technologies supérieures à la notre. Je doute qu'ils nous seraient utile en cas de conflit. Je pense qu'il faut privilégier la quantité. L'OTAN est armées de matériels et armements d'une valeur très haute. Un simple missile vaut des millions de dollars. Idem pour leur chars. Mais, qui gagne lorsque un missile de 6 000 000$ détruit un char t-34, vieux de 40 ans et valant à peine 1 mois d'usines ? Peuvent-ils produire 100 missiles quand nous sortons 100 chars ? La réponse est non. Et là est la faiblesse de l'OTAN.
Sur le point de vue aérien, en revanche nous disposons d'une supériorité cruciale. Nos avions sont rapides, nombreux, efficace et notre technologie de missile à la pointe. Nos armes anti-aériennes peuvent nous couvrir de leur avions de chasses. J'ai entendus parler du Rafale Français, du F16 Américains ou du Tornado. Mais ils ne peuvent rien face à une armée organisé. Leur anti-aérien, parlons en ! Leur systèmes de missiles nécessitent un guidage. Hors, nous avons le meilleur avions du monde pour détruire les armes nécessitant un guidage laser.
Mais la guerre ce fait aussi avec des hommes. Et nous avons là aussi l'avantages. L'OTAN est divisé. D'un côté, les Coréen avec une infanterie ayant pour seule force le nombre. La France, avec pour seule force sa mobilité et la qualité de son armée. Les Etats-Unis ? Leur soldats sont très forts, mais leur matériel coûtent très cher et consomme beaucoup.
Notre infanterie répond aux attentes d'une guerre moderne. Efficace, nos véhicules de transports et supports sont peu cher et efficace. Nous avons une grosse autonomie. Nos hommes sont nombreux, motivés et bien armées en plus d'être intelligents. Nos alliés Nord-Coréens et Chinois peuvent fournir une masse d'hommes pouvant donner l'avantages à nos armées.
Sur le plan naval, nos navires sont nombreux, autonomes,et puissants. Mais, ils ont un nets avantages aérien de part leur portes-avions.
Je pense, pour résumer que notre armée est très forte.
- Et bien, commandant ! Belle analyse ! Le président a raison, vous êtes l'homme qu'il faut.
- Je vous remercie. Maintenant, voyons la base !
Vedev me montra la base. Le hangar, ainsi que le terrain d'entraînement. L'aéroport aussi, bien que fermés pendant la journée en raison de maintenance des locaux.
La nuit tomba, et les dires de Vedev était vrais, la cantine était plutôt bonne !
Je partis dormir, demain était un autre jour. Mais un livre retenu mes pensés, il s'agissait d'un livre très complet sur l'histoire du monde depuis 1946 ... Je le lirai demain.
Bonsoir/Bonjour à tous ! 
) et ceci est ma première fiche d'histoire, aussi je suis ouvert à toutes aides, ainsi que remarques. J'ai lu le règlement et pense n'enfreindre aucunes règles avec mon type d'histoire 
).
Journal Intime 
Oui désolé, j'avais écris un gros pavé, mais à cause d'une fausse manip' tout a été effacé ... Du coup j'ai eu la grosse flemme de tout refaire 
Je pourrais passer des heures à l'observer! 