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Sujet : Fic : La cathédrale de Kridath
_Azerty777
Niveau 10
28 septembre 2005 à 15:49:22

héhé, deux fautes :)

"Ne n´interromps "==>ne m´intérromps
"je ferrais"==>Je ferais

Sinon, évidemment, ça finit en plein suspense (d´un autre côté, Aladir faudrait être bien naïf pour le croire tout blanc, surtout que les personnages entièrement définis c´est rare chez toi^^ (c´est pas une remarque négative, hein, au contraire même))...par contre, on a toujours pas vu le combat avec les nains^^. Bon, comme d´hab´ viv´ment la suite, on peut l´espérer pour quand? :)

KaiM
Niveau 11
28 septembre 2005 à 16:24:27

Désolé mais je n´ai pas prévu de montrer le combat contre les nains. La suite demain en tous cas.

Grhyll
Niveau 7
28 septembre 2005 à 17:57:09

Pour le combat avec les nains, moi j´avais compris qu´il était uniquement sous-entendu, parce que trop simple pour nos deux gaillards !

Eeet bien sinon, encore un très beau travail ^^ Y a juste la dernière énigme qu´est un peu bidon, mais bon :)
Et comme le dit Az, ce qui est bien, c´est qu´on en sait finalement très peu sur pas mal de persos, et qu´il reste énormément à découvrir ! J´ai hâte de lire la suite ^^

hipop_danseuse
Niveau 10
28 septembre 2005 à 19:01:51

hahahahaha!!!!!!!
j´ai trouvé une faute nanannère!!! une grosse fôôôte!!!
"C´était à celui qui, le premier, tordrait le poignait de l´autre ou lui briserait les doigts." :d) chezchez l´erreur...
ben sinon bien!

KaiM
Niveau 11
28 septembre 2005 à 19:11:25

Merci de me signaler ces fautes, je suis désolé et contrit, je me sens minable, j´ai honte d´en faire autant et d´en faire autant pour ça c´est pas un drame quand même.

miss_allsunday
Niveau 7
29 septembre 2005 à 18:26:05

:up:
trop bien!!! :ok:

KaiM
Niveau 11
29 septembre 2005 à 18:43:05

Le nouveau chapitre est long, et le combat qui commence est le meilleur que j´aie jamais écrit. Enfin, je l´espère car il le mérite vraiment. Disons que c´est le meilleur que j´aie imaginé.

KaiM
Niveau 11
29 septembre 2005 à 18:43:44

- Ah ? Vous avez un autre nom, Aladir ? demanda Katja.
Jakarn se tourna vers Alexandre et parla très vite, comme s´il craignait qu´on l´achève avant qu´il n´ait pu tout dire :
- Hier soir, il est venu me sauver de quatre assassins que mon employeur avait envoyé pour m´éliminer suite à mon échec sur la route. Il sert un maître dont il ne m´a pas donné le nom, et il m´a proposé de me joindre à lui. Son but est de découvrir vos plans, Altesse. Et de s´emparer de ce que vous recherchez. Et de vous capturer ou vous tuer, ainsi que vos amis. J´ai refusé, et je me suis enfui. Maintenant, j´avais repris des forces et je pensais le vaincre. J´avais tort.
Il y eut un long silence. Enfin Alexandre déclara :
- Il me semble que vous nous devez des explications, Aladir, ou Andorion, si c´est votre vrai nom.
L´Elfe soupira, puis prit un air amusé.
- Très bien. Puisqu´il en est ainsi, autant que vous sachiez tout. Mon vrai nom est bien Andorion. Normalement, quelqu´un comme moi ne devrait pas révéler le nom de son maître, mais il est si puissant que même un roi ne pourrait le briser. Je sers le mage Thenetos, Premier Sorcier de l´Empire d´Affoth.
Alexandre déglutit péniblement. Il avait déjà entendu parler de Thenetos, mais jamais il n´aurait soupçonné qu´il serait mêlé à cette histoire, et encore moins voulu le compter parmi ses ennemis. Andorion poursuivit ses révélations :
- Il y a quelques jours, mon maître a repéré un grand pouvoir magique dans ce royaume. Quelques recherches supplémentaires lui ont révélé que ce pouvoir s´était manifesté chez l´un de vous trois, ou chez votre frère.
Il s´était tourné vers Alice, Adrien et Katja. Ainsi c´était vrai !
- Maître Thenetos m´a transmis vos signalements, déclara Andorion. Il voulait que je vous retrouve et que je vous amène jusqu´à lui. Il est âgé, même pour un mage, et n´a pas de successeur. L´un d´entre vous deviendra un magicien immensément puissant, et maître Thenetos serait ravi de l´avoir pour héritier.
- Et qu´est-ce qui vous fait croire qu´on va accepter ? s´écria Alice.
- Voyons, vous n´allez pas me reprocher de vous avoir un peu menti ! Imaginez ce que vous pourriez devenir ! De toutes façons, une fois face à maître Thenetos, vous ne refuserez pas.
- Et moi dans tout ça ? questionna le Prince.
- Vous êtes une pièce importante du jeu, dit Andorion. C´est pour vous que j´étais venu au départ. Maître Thenetos sait que vous contrôlez les Bracelets d´Arzhan. Je devais vous rallier à nous ou vous anéantir. Mais j´ai ensuite découvert que vous n´étiez pas venu à Kridath par hasard, et le secret que vous cherchez m´intéresse fortement.
Tandis qu´il parlait, l´Elfe ne remarqua pas ce qui se passait dans son dos, à la porte de la chapelle. Une lame dentelée s´était glissée dans l´interstice entre les deux battants, et commençait à scier la poutre qui barrait l´entrée. Alexandre, qui lui le voyait parfaitement, décida de faire traîner les choses.
- Je suppose qu´Anamïn et les autres nains travaillent pour vous ?
- Exactement.
- Et comment se fait-il que vous soyez ici, maintenant ? interrogea le Prince.
- C´est assez compliqué, dit Andorion. Je m´étais d´abord rendu à la cathédrale pour que l´évêque m´en apprenne un peu plus sur vos plans. Mais lorsque je suis arrivé, ce Jakarn l´avait déjà tué. Je ne sais pas pourquoi, d´ailleurs...
- Les ordres, répondit le mercenaire.
Il appliquait sur sa blessure un onguent jaunâtre et malodorant. La plaie cicatrisait en fumant et en grésillant. Jakarn serrait les dents, résistant à la douleur.
- Tu peux te soigner, lança l´Elfe. Même guéri, tu ne pourra plus m´affronter aujourd´hui. Bon, j´ai donc aperçu Jakarn, mais j´ai perdu sa piste. Cependant, mes équipes sillonnaient la ville à votre recherche, Prince. Et l´une d´elles suivait vos deux gardes du corps. Comme Jakarn est venu les espionner, il a été repéré et je me suis aussitôt rendu sur les lieux pour l´aider à se défaire de quatre hommes décidés à l´éliminer. Quatre hommes très particuliers, mais je ne m´attarderai pas sur eux. Je manque encore d´informations. J´ai proposé à Jakarn de se joindre à moi, mais il a refusé et s´est enfui. Quelle erreur ! Comment peut-on refuser de s´allier à maître Thenetos ?
- Même si mon employeur ne me l´a pas dit clairement, le secret de Kridath ne doit pas être découvert, grogna le mercenaire. Je ne pouvais être votre allié.
- Votre employeur ne veut pas que je parvienne à mon but ? intervint Alexandre. Mais pourquoi donc ? Les choses se compliquent vraiment...
- Vous ne saurez rien de plus, répondit Jakarn.
La poutre était presque entièrement sciée. Andorion reprit :
- Hier soir encore, Conrad a été repéré. Je suis aussitôt accouru et j´ai sympathisé avec lui, pour qu´il me mène jusqu´à vous. Par chance, vous étiez aussi chez eux, Altesse. Je n´ai eu qu´à vous faire échapper à la garde et vous laisser me mener jusqu´ici. Désormais, tout est parfait. Vous êtes tous entre mes mains, je n´ai plus qu´à vous envoyer à maître Thenetos, découvrir le secret de Kridath et m´enfuir avant l´arrivée des Elfes.
- Un dernier détail, dit Alexandre. Cette flèche, c´est vous qui me l´avez envoyée ?
- Exact, répondit l´Elfe.
- Donc, vous possédez l´antidote au sort qui m´empêche d´utiliser la magie.
- Encore exact. Je vous le donnerai dès que vous aurez prêté allégeance à maître Thenetos. Bon, assez parlé. Il me reste une chose à régler.
Andorion leva son sabre et s´approcha de Jakarn, dont la plaie n´était pas encore complètement refermée.
- Je ferais aussi bien de casser un vitrail que de tuer un artiste tel que toi. Mais je n´ai aucun respect pour les vitraux.
Dans un craquement, la poutre céda. Les portes de la chapelle s´ouvrirent toutes grande, révélant deux silhouettes familières à Alexandre : Vladek et Hustouk. Leurs épées étaient rouges de sang, mais ils ne portaient aucune blessure.
- Attrapez, Altesse ! cria l´Ork
Il releva l´épée avec laquelle il avait scié le madrier, et de l´autre main lança ses glaives au Prince. Les armes décrivirent deux grandes paraboles qui se poursuivirent quand les mains d´Alexandre se refermèrent sur leurs poignées. Les lames tournoyèrent et s´abattirent, l´une sur l´épaule droite d´Andorion, l´autre sur sa hanche gauche. Un coup impossible à parer.
Mais le Prince n´avait pas encore retrouvé toute sa force ni toute sa vitesse. Le sabre d´Andorion s´éleva, s´enroula autour de la lame qui visait son épaule et l´amena contre l´autre. Les glaives d´Alexandre se heurtèrent violemment et il perdit l´équilibre. L´Elfe en profita pour lui décocher un coup de pied au ventre qui le plia en deux.
- Echec du plan A, annonça Vladek. On passe au plan B.
- On avait un plan A ? demanda Hustouk.
- T´occupe. Faut déjà qu´on improvise le plan B
- Je propose : on fonce dans le tas et on tue tout le monde.
- Bonne idée. Sauf qu´il ne semble y avoir qu´un type à tuer. Ce Jakarn est déjà hors de combat.
- Bon, alors, on fonce sur cet Elfe et on lui éclate sa sale gueule.
- Parfait, conclut Vladek.
Ils s´avancèrent calmement et s´écartèrent, se déployant pour combattre.
- Je vois que mes nains n´ont pas réussi à vous vaincre, dit Andorion. Dommage... Parce que maintenant, la garde risque de vite intervenir.
- On va pas traîner, répondit Hustouk.
- Et la prochaine fois, envoies quelques tueurs de plus, ajouta Vladek.
- Il n´y aura pas de prochaine fois, déclara l´Elfe.
- Non, parce qu´on va t´avoir maintenant, répliqua l´Ork. Si c´est vraiment toi le chef de ces nains, on va pas te faire de cadeaux.
Andorion étudia ses adversaires. D´abord le chef, Vladek. Il ne serait pas difficile de le tuer. Il ne portait pas d´armure, juste des habits de voyage ornés de l´écusson de son seigneur. Son épée devait être plus légère que la moyenne, puisqu´il n´avait qu´une seule main. Quant à ses griffes, Andorion jugea qu´elles étaient plus effrayantes que dangereuses. Il était impensable que cet homme ait développé des techniques de combat à la griffe.
Ensuite, Hustouk. Lui disposait d´une armure, mais ce n´était qu´un assemblage grossier de métal et de cuir, qui ne tiendrait pas beaucoup face à Andorion. Il possédait une étrange épée, munie d´un tranchant fin, lisse et très aiguisé, et d´un autre large et dentelé comme une scie. Une arme curieuse, mais sûrement pas redoutable. L´Ork avait décroché son bouclier de bois, qui comme son armure ne le protégerait pas longtemps. Son corps musculeux était certainement puissant, mais bien trop lent pour menacer Andorion.
Tous deux avaient adoptés des postures de garde classique : le corps de trois-quarts, le pied droit en avant, l´épée brandie devant leurs visages et légèrement inclinée vers l´adversaire. Andorion conclut que ces deux soldats ne lui poseraient aucun problème. Et pourtant, ils avaient vaincu quatre de ses fidèles nains, ce qui n´aurait pas dû être possible. Une part de l´Elfe lui enjoignait de se méfier.
Andorion se plaça de profil, le bras gauche tendu tandis que le droit levait son sabre au-dessus de sa tête et le pointait sur Vladek. Une position qui lui permettrait de réagir rapidement si Alexandre venait à se reprendre et l´attaquer dans le dos.
L´homme, l´Ork et l´Elfe demeurèrent ainsi pendant près d´une minute, laissant monter la pression. Le prêtre passa à côté d´eux, franchit la porte et s´enfuit en courant. Personne ne s´en soucia. Enfin Vladek attaqua.
Il avança droit vers Andorion en abattant son épée. L´Elfe vit là l´occasion de porter un coup d´estoc, mais - par chance sûrement - le capitaine tenait son arme trop basse pour qu´une telle attaque puisse l´inquiéter. Le temps qu´Andorion le réalise, il était trop tard pour esquiver. Il para l´assaut et fut surpris par la violence du choc. Comment pouvait-on porter un coup aussi puissant avec une seule main ?
L´Elfe voulut riposter, mais déjà Hustouk était sur lui et frappait à son tour. Andorion bloqua l´épée, recula d´un pas sous le choc et lança un coup de pied qui atteignit l´Ork aux côtes. L´Elfe reporta son attention sur Vladek, qui s´était baissé pour le frapper aux jambes. Andorion bondit et la lame de son adversaire fendit l´air au-dessous de ses pieds. Profitant de l´ouverture, il abattit son sabre pour fendre le crâne du capitaine. Le bouclier d´Hustouk s´interposa alors et d´une brusque poussée rejeta Andorion en arrière. L´Elfe s´étonna : comment l´Ork avait-il pu se remettre aussi vite du coup de pied qu´il avait reçu ?
Vladek et Hustouk encerclèrent Andorion, puis soudain foncèrent sur lui. Au dernier moment, l´Elfe se jeta en avant et courut vers la porte de la chapelle. Les deux soldats, bien que surpris, renversèrent leur équilibre pour changer de direction et rejoindre leur ennemi. Celui-ci se retourna et les attendit. Lorsque les épées s´abattirent, il plongea sur le côté pour esquiver, se rattrapa sur une main et faucha du pied les jambes de Vladek, qui tomba au sol. Andorion l´enjamba, lui assenant au passage un coup de talon dans la mâchoire, et s´élança contre Hustouk. L´Ork évita un coup d´estoc, brandit son épée, para un coup de taille et recula. Vladek se releva sans s´inquiéter du sang qui coulait de sa bouche et se rappela au souvenir d´Andorion par une puissante frappe horizontale. Le bruit des pas et le sifflement de la lame alertèrent l´Elfe, qui esquiva en se baissant puis roula de côté pour échapper à l´épée d´Hustouk. Pendant que ses adversaires pivotaient vers lui, Andorion se redressa et reprit le combat.
Alexandre discerna rapidement la logique qui raisonnait l´affrontement. Vladek et Hustouk s´exposaient tour à tour au danger, se sachant protégé par l´autre. La tactique se révélait très efficace : Andorion devait contrer des attaques risquées qu´un homme seul n´aurait jamais osé porter, et il enrageait de ne pas pouvoir profiter des ouvertures dans la garde de ses adversaires. La vitesse et les acrobaties de l´Elfe ne lui servaient à rien face à la défense inébranlable des deux soldats, et il allait se fatiguer beaucoup plus vite. Peu à peu, Hustouk et Vladek prenaient l´avantage.
Alexandre rengaina ses glaives et s´approcha de Jakarn, qui se relevait péniblement.
- J´ai dû assimiler beaucoup d´informations en peu de temps, déclara le Prince. Je dois faire un peu de tri. Est-ce vraiment vous qui avez tué l´évêque ?
- Oui. Pourquoi aurais-je menti ?
- Mais, pourquoi ?
- J´avais des ordres, répondit le mercenaire. Tous ceux qui connaissaient vos plans devaient mourir.
- Ah oui ! Votre employeur ne veut pas que je découvre le secret de Kridath ! Mais savez-vous pourquoi ?
- Pourrions-nous en discuter plus tard ?
- Volontiers, dit Alexandre. Pouvez-vous nous faire sortir d´ici avec votre pouvoir ?
- Non. Je suis épuisé.
- Bon. Nous allons donc attendre que cet Andorion s´éloigne de la porte. Ensuite nous nous enfuirons.
- Qu´est-ce qui vous fait croire que je vais venir avec vous ? s´étonna Jakarn. J´ai essayé de vous tuer !
- Et vous en avez peut-être encore l´intention, je sais. Mais en attendant, nous avons les mêmes problèmes et les mêmes ennemis. Alors ?
- D´accord, grommela le mercenaire.
Adrien intervint alors :
- Dites-moi : pourquoi est-ce qu´on se bat contre cet Elfe ? Il nous a aidé, et puis sa proposition n´est pas sans intérêt... Succéder à un puissant mage, c´est pas rien !
Alexandre avait déjà préparé ses arguments :
- Parce que tu y crois, toi ? Thenetos vous veut pour faire de vous ses esclaves ! A ce que je sais, il est très fort pour obtenir ce qu´il convoite ! Vous deviendrez comme Andorion, prêts à tuer des innocents pour votre maître ? C´est ça que tu veux ?
- Et si c´était vrai ? insista Adrien.
- Alors il sera mieux pour négocier d´avoir fait échouer sa première tentative. Les hommes puissants s´amusent de leurs défaites. Thenetos reviendra s´excuser et nous proposer un accord plus honnête et plus franc.
- Et si tes hommes meurent à cause de ton refus ?! s´exclama Katja. Tu auras ça sur la conscience !
- Mourir, eux ? répliqua le Prince en riant. Regarde mieux !
Attaqué dans le dos par Hustouk alors qu´il ferraillait avec Vladek, Andorion esquiva à l´aide d´un saut périlleux arrière. Avant de retomber, il décocha un violent coup de pied dans la nuque de l´Ork, qui bascula en avant, étourdi pour quelques secondes. Vladek aussitôt bondit sur l´Elfe pour protéger son compagnon d´un coup fatal. Les épées claquèrent en s´entrechoquant. Le capitaine recula et frappa d´estoc. Son adversaire dévia l´attaque et riposta par un coup de pied latéral.
Vladek l´évita en se baissant, plaça un nouvel assaut qu´Andorion contra aisément ; puis, se redressant et tournoyant sur lui-même, le capitaine propulsa son bras gauche à une vitesse incroyable. Ses griffes d´acier fendirent l´air en direction de la tête de l´Elfe. Celui-ci recula prestement. Vladek ne sentit pas de résistance. Il crut d´abord avoir manqué sa cible, puis remarqua la sanglante estafilade qui barrait la joue d´Andorion. Le capitaine sourit : enfin l´ennemi était blessé !
L´Elfe prit une expression menaçante.
- Tu m´as mis en colère, siffla-t-il. Tu vas le regretter.

_Azerty777
Niveau 10
29 septembre 2005 à 19:01:18

rhooo...pauv´ pitit n´Elfe. Hein? Mais non c´est une enflure bien fait pour sa gueule! En parlant de gueule, j´sais pas pourquoi mais la phrase "Bon, alors, on fonce sur cet Elfe et on lui éclate sa sale gueule" m´a fait un effet bizarre, même prononcée par Hustouk. Mais ceci n´est qu´un détail, que je suis en plus incapable d´expliquer :)

Bon, bref, viv´ment la suite! On peut l´espérer pour demain, aujourd´hui? *espoir probablement vain*

hipop_danseuse
Niveau 10
29 septembre 2005 à 19:13:22

rôôôô!! j´suis dac avec toi kaim, ton combat je l´aime (sans doute pasque j´adore vladek et ustouk...) j´attends la suite... *hurlement d´une fan: kkkkkkkkkkkkkkaaaaaaaaiiiiiiiiiiiiiiimmmmmmmm*
:)

miss_allsunday
Niveau 7
29 septembre 2005 à 19:14:38

baston!!!baston!!!
:fou:

Grhyll
Niveau 7
29 septembre 2005 à 19:20:24

Combat excellent, en effet :D A la fois compliqué et clair, un modèle !

Deux remarques :
Quand l´autre scie la poutre, ça devrait faire un peu de bruit...
Sinon : "- Je ferais aussi bien de casser un vitrail que de tuer un artiste tel que toi. Mais je n´ai aucun respect pour les vitraux." A pas compris :)

KaiM
Niveau 11
29 septembre 2005 à 20:58:20

Grhyll :d) désolé j´ai mal formulé, c´était un clin d´oeil à The Princess Bride, où à un moment le héros bat un homme en duel et au lieu de l´acherver l´assomme en disant "je ferais aussi bien de casser un vitrail que de tuer un artiste tel que toi".

Ici il faut comprendre : " l´arme à la main, tu es un véritable artiste. Te tuer serait aussi sacrilège que briser un vitrail. Mais pas de chance pour toi, je n´ai aucun respect pour les vitraux. Donc je vais te tuer quand même".

hipop_danseuse
Niveau 10
29 septembre 2005 à 21:03:34

ghryll :d) tu serais pas un peu blonde toi, non non je rigole, je suis blonde, et aussi il ´a fallu relire cette phrase pour comprendre, mais bon, les blondes en force, hein? :-)

Grhyll
Niveau 7
29 septembre 2005 à 21:27:07

Nan désolé pas blonde :) Brune. Mais j´arrête de polluer le topic ^^

KaiM
Niveau 11
30 septembre 2005 à 17:58:48

Suite et fin de ce combat dans quelques minutes. Petites surprises pour faire bonne mesure aussi.

KaiM
Niveau 11
30 septembre 2005 à 17:59:37

Bonne lecture.

- Il faut faire quelque chose ! criait le prêtre. Il vont démolir toute ma chapelle !
Seubal Artus sentait l´agacement pointer. Alors qu´il s´efforçait de faire encercler correctement la chapelle Sainte Falga par la milice, cet homme venait s´exciter à côté de lui. N´y tenant plus, le magicien recourut à son pouvoir pour immobiliser le prêtre et lui écraser la gorge.
- Calmez-vous. Dites-moi simplement ce qu´il se passe à l´intérieur.
- Le Prince Alexandre, articula l´homme d´église, qui virait au bleu. Il est venu, il a résolu une énigme. Il a un grand livre doré qui s´est ouvert quand il y a mis une aiguille qu´il a trouvée dans la chapelle. Ca parlait d´un secret à découvrir. Ensuite un homme en noir est arrivé, l´Elfe l´a battu et puis il a dit plein de choses que je n´ai pas comprises...
- Vraiment ? dit Artus en resserrant sa prise. Vous n´avez rien compris ?
- Il... dit... qu´il... sert... un... mage.
- Ah ? quoi d´autre ?
- Il est venu pour les enfants et pour le Prince. Ensuite les deux soldats sont arrivés et ils ont commencé à se battre...
- Et vous, comment êtes-vous sorti ? Il n´y a qu´une seule porte, et ils se battent devant.
- Je suis parti avant qu´ils commencent, répondit le prêtre. Personne n´a fait attention à moi.
- Et bien voilà, c´était simple, non ?
L´homme tomba à terre, inconscient.
- Vous l´avez tué ! s´indigna Sylvia, qui se tenait à côté d´eux.
- Mais non, répondit Artus. Juste assommé. Je ne voulais pas qu´il me gêne.
Le magicien reporta son attention sur les alentours de la chapelle. Une cinquantaine de soldats prenait place dans toutes les rues qui permettaient de quitter le secteur. Le Prince Alexandre ne pourrait pas s´échapper.
- Et pourquoi vous n´intervenez pas, vous ? questionna Sylvia. Vous pourriez arrêter ce combat avec vos pouvoirs, vous qui avez vaincu toute mon équipe.
- Aucun rapport, répliqua Artus. Je ressens quelque chose d´étrange concernant l´Elfe. J´ai l´impression qu´il me tuerait avant que je puisse mettre mon sort en place.
- Alors vous n´êtes pas si puissant que vous le prétendez.
- Peut-être pas, dit Artus, agacé.
- Et s´il s´entretuent ?
- C´est un risque à courir. Tenez-vous prêts à intervenir.

Hustouk se releva et se rangea à côté de Vladek. Tous deux sentaient que leur adversaire comptait dévoiler un nouvel atout. Andorion tendit les bras.
- Braklor felte ! s´exclama-t-il.
Les bracelets cuivrés qu´il portait aux poignets s´ouvrirent et tombèrent au sol. L´événement n´aurait pas été d´une très grande importance si les dalles n´avaient pas tremblé sous le choc. De longues fissures s´ouvrirent dans la pierre avec un craquement sinistre. Chacun des bracelets devait peser plus lourd qu´une masse d´armes.
- Je vais pouvoir bouger plus librement, expliqua l´Elfe. Je les porte pour contrôler ma force mais je les enlève face à des ennemis puissants. Considérez ceci comme une marque d´estime. Adieu.
Andorion bondit sur Hustouk et frappa de son sabre. L´Ork para le coup avec son bouclier. En un éclair, sans même dégager son arme, l´Elfe passa dans le dos de son adversaire et lui assena un terrible coup de coude à la tempe qui le jeta au sol. Il se jeta ensuite sur Vladek et enchaîna des attaques fulgurantes. Le capitaine contrait chaque assaut, mais devait pour cela céder beaucoup de terrain. Le sabre d´Andorion s´abattit soudain sur ses jambes. Vladek para de justesse, mais aussitôt l´arme remonta vers sa gorge. Dans un réflexe salvateur, il bloqua la lame entre ses griffes. Son adversaire lâcha la poignée de son sabre et lui décocha deux coups de poings presque invisibles en plein visage. Le capitaine s´effondra.
Andorion tendit la main vers son arme pour la rattraper avant qu´elle ne touche le sol, mais Hustouk, qui s´était repris, fut plus rapide que lui. Il lança son bouclier, qui percuta le sabre, rebondit contre les dalles et tout cela glissa jusqu´à la porte. Andorion, sans arme, se lança contre l´Ork. Hustouk visa la tête de son adversaire et manqua son coup. L´Elfe profita de son mouvement pour lui assener un coup de pied dans le ventre. La cuirasse de l´Ork ainsi que ses solides abdominaux encaissèrent le choc, mais Andorion n´avait pas terminé son attaque. Son second pied quitta terre et frappa de plein fouet le nez d´Hustouk, qui tituba. Sans perdre de temps, l´Elfe abattit le tranchant de ses deux mains, comme une pince, de chaque côté du poignet de son ennemi. Sous le choc, l´Ork lâcha son épée, puis se ressaisit, serra les poings et lança un crochet gauche. D´une main, Andorion para le coup et de l´autre plaça une manchette à la gorge de son adversaire, qui s´écroula sur l´autel.
Vladek se releva, brandit son épée et se précipita sur l´Elfe. Celui-ci plongea sur son sabre, s´en saisit et se remit en garde.
- Pourquoi t´obstiner ? ricana-t-il. Ignorerais-tu que même le plus faible des Elfes peut vaincre aisément le plus brillant des humains ?
- Je ne doute pas que tu sois le plus faible des Elfes, répliqua le capitaine. Mais je n´aurais certainement pas la prétention d´affirmer que je suis le plus brillant des humains. J´ai donc mes chances.
- C´est quoi cette logique ?
- Une logique incontestable.
Andorion passa à l´attaque avec une vitesse extraordinaire, déchaînant son sabre. Vladek parvenait tout juste à le contenir, reculant sous chaque assaut. En observant à nouveau les figures et les enchaînements de l´Elfe, ses mouvements qui semblaient répétés à l´avance, Alexandre se rappela enfin où il les avait déjà vus, puis s´étonna de n´avoir pas compris plus tôt. Andorion maîtrisait l´une des techniques de combat les plus exigeantes et les plus redoutables qui soient, le même style que pratiquaient des guerriers presque invincibles comme Dario ou Namâric. La forme IV du combat au sabre, le style Ataro. Vladek n´avait aucune chance.
Le capitaine avait de plus en plus de mal à contrer son adversaire, bien plus rapide que lui. Il ne devait son salut qu´à une chose : les coups d´Ataro étaient assez prévisibles, ce qui lui permettait de les parer à temps. Malgré cela, il reculait inexorablement. C´était un combat sans espoir. Alexandre le savait. Andorion le savait, et un sourire cruel se dessinait sur ses lèvres tandis qu´il poussait son adversaire dans ses derniers retranchements. Et Vladek dut le comprendre aussi, car un événement inattendu se produisit.
Le capitaine changea de style de combat.
Son flot de mouvements violents et décousus fit soudain place à une élégante alternance d´attaques et de parades aussi précises qu´efficaces. Vladek cessa aussitôt de perdre du terrain, et bientôt ce fut lui qui repoussa Andorion. Alexandre identifia sans mal ces gestes et cette technique, mais il en fut fortement surpris. Vladek maîtrisait le style Makashi, l´escrime des seigneurs, basé sur une précision et un contrôle absolus de la lame. Le Prince ne comprenait pas où son ami avait appris à se battre ainsi. Normalement, seuls les nobles étaient formés à ce style. Tarlaq lui aurait-il enseigné quelques mouvements ?
Non, c´était impossible. D´abord, parce que le style Makashi, pour l´extrême précision de ses gestes, nécessitait un apprentissage dès l´enfance. Et Vladek avait grandi dans une ferme, loin de tout instructeur. Ensuite, parce que le capitaine n´avait jamais montré cet art à personne, se contentant de combattre comme tous les autres soldats. Alexandre se rappela soudain que quelques mois auparavant, en affrontant Kandrill, l´Elfe qui lui avait coupé la main, c´étaient ces coups que Vladek avait utilisés. Mais le Prince, dans le feu de l´action, ne l´avait pas vraiment remarqué, et l´avait presque oublié par la suite. Le style Makashi constituait donc la botte secrète du capitaine. Mais pourquoi ?
Quoi qu´il en soit, Vladek commençait à dominer le duel. Andorion perdait du terrain, lentement mais sûrement. Les lames cinglaient l´air à une telle vitesse qu´elles en devenaient floues. Les mouvements de Vladek étaient sûrs, fluides, maîtrisés et implacables. Ce n´était plus un capitaine de l´armée royale qui combattait dans cette chapelle.
C´était un maître d´armes sans égal dans tout le royaume de Dümra.
Enfin presque. Car Andorion, la surprise passée, reprenait ses esprits. Il n´allait pas pouvoir gagner, pas en essayant de contrer son adversaire sur le terrain de l´habileté à l´épée. Il décida de recourir à sa technique secrète, même si cet effort le laisserait épuisé.
Andorion sentit toute sa force, toute sa vitalité s´accumuler dans son pied droit. Il n´aurait qu´une fraction de seconde pour agir. Une technique aussi dangereuse pour lui que pour son adversaire.
Sa jambe se détendit d´un coup et fila, presque invisible. La pointe de sa botte frappa comme la foudre. Vite et fort. Avec un craquement sec, elle heurta le menton de Vladek. Le choc projeta le capitaine à plusieurs mètres de là. Il avait perdu connaissance.
Andorion tomba sur un genou.
- C´est bon, souffla-t-il. J´ai gagné.
Il se redressa, toujours haletant, et dit avec un peu plus de contenance :
- C´est fini, Altesse. Rendez-vous.
- Rien n´est moins sûr, grogna une voix qu´Andorion pensait éteinte pour un moment.
L´Elfe se retourna : Hustouk ! L´Ork s´était déjà remis, et se tenait entre lui et la porte.
- Partez, Altesse. Emmenez tout le monde avec vous. Je m´occupe de lui.
- Seul ?! s´exclama Alexandre. Vous savez bien que vous ne faites pas le poids !
- Obéissez, Altesse. Je sais ce que je fais.
- Je m´occupe de lui, dit Jakarn en chargeant Vladek sur ses épaules.
Adrien ramassa l´épée du capitaine avec un air mi-amusé, mi agacé, un air qui voulait dire : « Et si je n´y avait pas pensé, hein ? »
Andorion explosa :
- Je ne vais pas vous laisser partir comme ça !
- Si tu veux bloquer la porte, il faudra me passer sur le corps, grommela Hustouk.
- Très bien !
L´Elfe bondit, son sabre levé. Hustouk para le coup sans reculer. La force de son adversaire avait bien diminué !
- Fuyez, Altesse !
Alexandre s´avança jusqu´à la porte.
- Adieu, Hustouk, je n´oublierai pas votre sacrifice.
- Arrêtez ce mélodrame ! gronda l´Ork. On se reverra !
Le Prince hocha la tête, et sortit de la chapelle. Katja, Adrien, Alice, et Jakarn qui portait Vladek, le suivirent. Hustouk et Andorion demeurèrent seuls.
- Désolé, mais je vais devoir te tuer pour les rattraper, annonça l´Elfe.
- J´en doute. Maintenant qu´il n´y a plus personne, je peux me déchaîner.
Sous le regard ébahi d´Andorion, l´Ork se convulsa. Ses yeux rouges flamboyèrent. Sa peau verte s´assombrit. Ses ongles s´allongèrent jusqu´à devenir des griffes. Des pointes commencèrent à s´extraire de son crâne, puis devinrent des cormes. Hustouk hurla, d´une voix qui n´était pas la sienne :
- Libre !! !

Alexandre et ses compagnons n´avaient pas parcouru vingt mètres quand les gardes les encerclèrent. Il y avait bien trente hommes, qui braquaient leurs lances vers eux. Seubal Artus s´avança entre les rangs.
- Enfin je vous trouve, Altesse ! Vous m´aurez donné du mal !
- Comment avez-vous fait ? demanda le Prince, étonné.
- Eh bien, ce n´était pas difficile. J´ai compris que vous cherchiez une énigme dissimulée dans les lieux de culte, alors je les ai tous fait surveiller. Mais même sans cela, vous avez causé tellement d´agitation qu´il n´a pas été difficile de vous retrouver !
Alexandre conserva un air sombre. Sylvia désigna Vladek.
- Et cet homme va enfin payer pour le meurtre de notre évêque !
Il y eut des cris d´approbation parmi les soldats. Plusieurs agitèrent leurs lances.
- A mort ! cria l´un d´eux.
- A mort ! reprirent tous les autres.
Le Prince était atterré. Il parviendrait peut-être à s´en sortir, mais Vladek serait pendu. A coup sûr. Evidemment, c´était Jakarn qui avait tué l´évêque, mais il ne risquait pas d´avouer. Alexandre en était convaincu. Aussi fut-il stupéfait lorsque le mercenaire prit la parole :
- Arrêtez ! clama-t-il. C´est moi l´assassin ! Laissez cet homme !
Tous se turent. Le Prince n´y croyait pas. Puis il comprit que Jakarn avait trop d´honneur pour laisser quelqu´un se faire accuser à sa place. Alexandre commença à l´admirer. Derrière lui, des coups violents ébranlaient la chapelle, faisant trembler les murs. Plusieurs hommes jetèrent des regards inquiets au bâtiment, puis reportèrent leur attention sur Jakarn.
- D´ailleurs, ajouta celui-ci en se tournant vers Artus, vous devriez le savoir, puisque vous m´avez vu !
Sylvia lança un regard étonné au magicien.
- Nous en parlerons plus tard, répondit ce dernier, l´air gêné. Altesse, le Livre d´Or, je vous prie.
Alexandre ne bougea pas. Si Artus voulait quelque chose, qu´il vienne le prendre !
Le magicien tira son poignard et le posa sur la gorge de Vladek, toujours assommé sur le dos de Jakarn.
- Le Livre, ou je le tue ! Et vos autres amis ensuite ! Je ne plaisante pas !
Alexandre se résigna. Il tira le grimoire doré de sa sacoche et le tendit à Artus.
- Bien... Vous voyez que vous savez obéir...
Le magicien avança la main pour s´emparer du livre.
Jakarn sentit alors une vague de pouvoir l´envahir. Sans qu´il sache comment, il avait retrouvé toute sa force ! Il pouvait s´échapper !
- Accrochez-vous à moi ! cria-t-il.
Alexandre comprit aussitôt. Il saisit Alice par une main, posa l´autre sans lâcher le livre sur l´épaule du mercenaire. Celui-ci empoigna Katja et Adrien et s´apprêta à disparaître...
La chapelle explosa. Ses vitraux volèrent en éclats tandis que sa porte s´arrachait de ses gonds. Son toit s´envola dans les airs et les ardoises se dispersèrent. Un séisme miniature ébranla toute la place.
Jakarn sentit plusieurs choses lui échapper, mais il était trop tard pour annuler son sort. Il partirait, qu´il le veuille ou non. Sa nuque le picota, son corps se fit léger, léger...
Quand le calme revint, les soldats gisaient à terre, secoués mais indemnes. Seul resté debout, Artus contemplait avec un sourire Katja, que Jakarn avait lâchée au moment du tremblement de terre, et le Livre d´Or, qui reposait à ses pieds.
- Allez voir dans la chapelle, ordonna le magicien. Enfin, dans ce qu´il en reste...

:)

_Azerty777
Niveau 10
30 septembre 2005 à 18:29:49

:spoilers: Hustouk, démon? Noooooooooooooooon je ne peux le croire! Mais, un démon maléfique ou bienveillant? (quoi ca a pas de sens? Et alors? :p) ) :spoilers:

Bon, heu...rien à dire sinon, à part que comme un enfoiré tu nous laisses encore en plein suspense, et donc euh ben que j´ai encore plus hâte à la suite. Et que finalement Jakarn est pas si mauvais, et qu´Artus est bel et bien un enfoiré qu´il faudrait faire bouillir vif. :)

hipop_danseuse
Niveau 10
30 septembre 2005 à 19:17:40

entierement dac avec azerty :d) kaim, jsute une question comme ca: ca te soules pas un peu d´entendre que des commentaires du style "ouais génial" "la suite!" "super" sans rien de constructif? :)

miss_allsunday
Niveau 7
30 septembre 2005 à 19:22:02

:up:
trop bien!!!hustouk il est trop fort!!!j´en était sûre!!! :fou:

Sujet : Fic : La cathédrale de Kridath
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