Création

Nan! Tektus il est bien meilleur! Vive les Varaks! Vive les Zahrs! (on à la Nouvelle Page alors la suite! )

Ptaiiin mais comment on peut dire du mal de ça ? :D C´est génial ! Enfin moi j´adore ^^ Y a juste le coup de la botte de Vladek que je trouve un peu déplacée (là ça fait un peu Naruto, le "Ouaah tu perds" "oui mais j´ai un super pouvoir et je gagne !" "oui mais moi aussi j´ai un autre super pouvoir !" etc...).

Mais bon sinon... Raah la suite

Ghryll comment arrives-tu à trouver à chaque fois les points exacts sur lesquels moi-même je ne suis pas sûr de moi? C´est vrai que ça fait là un peu manga. Mais en même temps je tenais à introduire le fait que Vladek se batte comme un noble parce que ça a une importance par la suite, mais il devait quand même perdre le combat pour qu´Hustouk se sacrifie et dégage du groupe. Alors j´ai fa

Honte à moi pour la touche Tab.

Alors j´ai fait comme ça mais c´est vrai que ce n´est pas la meilleure solution.

La suite (longue et pour laquelle je ne suis pas sûr de moi, ça risque de faire un peu... bah vous allez voir quoi) En gros j´aurais plus besoin de conseils que d´habitude.

Jakarn, Vladek, Alexandre, Adrien et Alice réapparurent dans les souterrains de Kridath, à l´abri des gardes. La lueur du jour s´infiltrait par de multiples ouvertures. Aussitôt Jakarn déposa le capitaine sur le sol.
- Comment avez-vous fait ? demanda le Prince. Je croyais que vous étiez épuisé !
- Tout mon pouvoir m´est revenu d´un seul coup. Je ne comprends pas comment.
Alexandre élabora aussitôt une explication pour lui-même. Devant la menace, Adrien, Alice ou Katja avait transféré une part de sa puissance au mercenaire pour lui permettre de fuir. Encore une fois, impossible de savoir lequel ou laquelle.
Adiren et Alice restaient abasourdis, incapables de parler. C´était probablement la première fois qu´ils se déplaçaient ainsi. C´est alors que le Prince remarqua l´absence de Katja. Sa gorge se serra : ils avaient encore perdu quelqu´un !
- Qu´est-ce qui est arrivé à Katja ? interrogea-t-il.
- Je l´ai perdue quand la chapelle a explosé, répondit Jakarn tout en auscultant Vladek. Il n´y a plus rien à faire pour elle.
Alice sembla prendre conscience de la situation. Ses yeux s´emplirent de larmes.
- Mais... sanglota-t-elle. Ils vont la tuer !
Adrien la rassura :
- Je ne pense pas. Ils n´ont rien à lui reprocher, après tout. Elle pourra prétexter que c´est Alexandre qui l´a forcée à venir.
- Tout à fait, ajouta le Prince. De toutes façons, ils la garderont pour faire pression sur nous.
Jakarn termina son examen.
- Mâchoire fêlée, annonça-t-il. Il se réveillera dans une petite demi-heure. Il a de la chance : un coup pareil aurait pu lui faire éclater le crâne. Il a les os solides.
- Qu´est-ce que c´était, cette attaque ? questionna Alexandre. Andorion a bougé plus vite que jamais ! Je n´ai même pas pu suivre son mouvement !
- Un coup spécial maîtrisé par les experts du style Ataro, expliqua le mercenaire. Bien au-dessus de mon niveau. Ca combine magie et contrôle absolu de son corps. On concentre toute son énergie dans une seule attaque. Dévastateur, mais épuisant. Il faut être sûr de gagner pour l´utiliser, car si l´adversaire s´en remet, on est terriblement affaibli.
- C´est aussi comme cela qu´il a fait exploser la chapelle ?
- C´est fort probable, répondit Jakarn. Votre ami l´Ork n´y a probablement pas survécu.
- Je vois... murmura Alexandre.
Son expression s´était faite sombre. Alice commit l´erreur d´intervenir :
- Qu´est-ce tu as ? Ca ne va pas ?
Le Prince explosa :
- Non, ça ne va pas ! Je suis tombé dans un piège stupide ! Je suis allé à cette chapelle sans même me douter qu´elle était surveillée ! J´ai passé des heures avec Andorion sans comprendre que c´était un ennemi ! Je n´ai pas pu intervenir dans ce combat ! Un de mes amis a dû se sacrifier pour nous permettre de fuir ! J´ai perdu le Livre d´Or, et ta soeur ! Je pense que ça ne pourrait pas aller plus mal !
Furieux, il tourna les talons et s´éloigna dans un couloir. Alice voulut le suivre, mais Jakarn l´arrêta :
- N´y va pas. Il a subi une défaite, et sa fierté en a pris un coup. Il va ruminer sa colère pendant quelque temps, puis revenir en pleine forme avec un parfait plan d´attaque. Tous les chefs sont ainsi.
La jeune fille ne répondit rien. Adrien essuya l´épée de Vladek et la replaça dans son fourreau. Jakarn contempla longuement le capitaine inconscient.
- Et dire qu´il y a moins de deux jours, j´étais prêt à le tuer, souffla-t-il. Les choses changent vite...

Seubal Artus pénétra d´un pas vif dans le bureau de Stall Kogard, la tête haute, fier de ses plans. Le gouverneur siégeait derrière sa massive table de chêne couverte de cartes. Il avait appris les événements récents et attendait des résultats.
- Alors ? demanda-t-il dans préambule.
- La fille ne sait pas grand-chose, répondit Artus. Mais le Livre est très clair. Comme je le pressentait, un secret repose dans la cité antique, un secret en partie découvert, puis caché par les moines Lémaniens. Pourquoi, je n´en sais rien. Mais ce qui est sûr, c´est que ce secret se trouve dans ce qu´ils appelle « la voie des héros ». Vous avez une idée ?
Kogard balaya ses parchemins jusqu´à trouver un plan des souterrains de Kridath qu´il examina rapidement.
- Ca me disait bien quelque chose, en effet. Ces plans sont très complets, et le seul endroit qui puisse correspondre se trouve ici.
Il posa son doigt sur la carte, désignant un large corridor.
- Il y a là six statues de guerriers alignées sur les murs. Au fond du couloir, rien, un mur. Si cette « voie des héros existe », c´est là.
- Je m´y rends sur-le-champ, annonça Artus. Enfin nous allons tirer tout cela au clair.
- Prenez Sylvia avec vous, ainsi qu´une petite escorte.
- C´est comme cela que je l´entendais. Le Livre parle aussi d´un sacrifice à faire pour ouvrir la porte...
- Descendez aux geôles et prenez un prisonnier, dit le gouverneur sans émotion. Nous en avons bien assez pour pouvoir en perdre un.
Artus acquiesça, puis ajouta :
- Le Prince Alexandre ne nous est plus nécessaire, désormais. Il est temps qu´il lui arrive cet « accident ».
Stall Kogard eut un sourire énigmatique :
- Cette opération suit son cours. Ce n´est plus qu´une question de temps.

Alexandre se tenait face à un gouffre dont le fond, plongé dans les ténèbres, était totalement invisible. Il y aurait bien lancé un caillou pour en évaluer la profondeur, mais il n´y en avait pas à proximité. De toutes façons, quelle importance ? Cette pensée fit comprendre au Prince à quel point il était abattu. Lui, curieux de tout, jugeait sans importance un examen de ce genre ? Il devait vraiment aller mal...
Un immense sentiment de culpabilité le tenaillait. A cause de lui, Hustouk était sûrement mort. Vladek ne valait guère mieux. Il avait en plus perdu le Livre d´Or, et par là sa seule chance de découvrir le secret de Kridath. En fait, il avait tout raté. La situation était catastrophique.
Lui qui s´imaginait plus malin que tout le monde, plus fort que tout le monde, il avait échoué. Il était nul, il n´y avait pas d´autre mot.
C´était surtout la mort d´Hustouk qui lui pesait. Il se croyait suffisamment détaché pour ne pas regretter la perte d´un soldat, et pourtant... L´Ork n´était pas un de ses plus proches amis, mais c´était un combattant valeureux et un joyeux compagnon. Il lui manquerait. Et c´était sa faute.
Alexandre entendit soudain des bruits de pas dans son dos. Il reconnut sans peine cette démarche. Alice. La jeune fille s´approcha et jeta un bref regard dans le gouffre.
- C´est profond, tu crois ? demanda-t-elle.
- Cent mètres, au moins. Peut-être beaucoup plus.
- Ah...
Il y eut un silence. Finalement Alexandre reprit la parole :
- Qu´est-ce que tu voulais savoir ?
- Jakarn dit que tu vas trouver un plan.
- J´y réfléchis, mentit le Prince.
En réalité, seuls ses remords l´occupaient, et il se le reprocha aussitôt. Alice avait raison : il devait mettre un plan au point. En fait, tout n´était pas complètement perdu. Il avait lu le Livre d´Or. Il était sûr que Kogard enverrait quelqu´un explorer les souterrains pour découvrir le secret. Tout n´était pas perdu. Il avait avec lui des guerriers redoutables et ders amis sur qui compter. Lui-même avait repris des forces. Tout était loin d´être perdu. Il y avait de bonnes chances de renverser la situation !
- J´y réfléchis, répéta-t-il.
Il se tut un instant, puis ajouta :
- Ne t´en fais pas pour Katja. Tout va bien se passer pour elle.
- Je sais. C´est pour toi que je m´inquiétais...
- Ah bon ? Pourquoi ?
- Tu semblais t´abandonner à tes regrets, dit Alice. Ca ne te ressemble pas.
- C´est vrai. Mais ça va mieux, maintenant. Je reprends espoir. J´ai plusieurs idées.
- Tant mieux.
Nouveau silence. Leurs regards plongeaient dans le gouffre. Alexandre appréciait le calme de cet instant. Une pause tranquille dans cette aventure mouvementée...
- Un conteur m´a dit une fois, lança Alice, que les plus belles histoires sont celles qui n´ont pas encore été écrites. Qu´est-ce que tu y comprends ?
- Qu´alors les plus belles histoires sont invendables.
- Quoi ? C´est tout ce que tu trouves à dire ?!
- Mon esprit pratique qui ressort, répondit le Prince en souriant.
- C´est ça !
Le silence retomba. Alexandre se sentait bien, en fait. Tout n´allait pas pour le mieux, mais pour une raison étrange, il se plaisait dans cette salle sombre, à discuter avec cette fille...
- Pourquoi m´as-tu aidé, hier soir ? demanda-t-il soudain.
- Je te l´ai déjà dit, je te fais confiance. Je pense que c´est toit qui a raison
- Ca ne suffit pas. Je suis sûr qu´il y a autre chose. Pourquoi as-tu soudain décidé que tu allais m´accompagner ?
Alice éluda la question :
- Franchement, j´ai peut-être fait le mauvais choix. J´ai l´impression de ne te servir à rien... Je ne suis qu´un poids mort...
- Ne dis pas ça ! protesta Alexandre. Ton aide m´est très précieuse ! Qui a combattu ce garde, la nuit dernière ? Qui a choisi une aiguille au hasard, dans la chapelle ?
Il tira le couteau passé dans sa ceinture.
- Qui m´a donné cette lame ?
- Ben, tu me l´as volée...
- Oui, mais j´en ai eu besoin ! Sans toi, j´aurais déjà été arrêté !
- Oui, mais ce couteau ne t´a pas servi à grand-chose. C´est un mauvais exemple... Et puis le garde, je ne l´ai pas battu. Et puis l´aiguille, ce n´était pas la bonne...
Alexandre se rendait compte qu´en effet ce n´était pas pour son utilité qu´il avait besoin d´Alice. Mais alors, pourquoi ne voulait-il pas reconnaître qu´elle ne lui avait pas servi à grand-chose ?
Leurs regards se croisèrent. Elle sembla se rapprocher de lui, à moins que ce ne fut l´inverse. Alexandre ne savait plus très bien où il en était... Le visage d´Alice était devenu grave. Elle se rapprochait toujours...
Soudain son regard changea, et le Prince y lut une peur terrible. Au même instant, il remarqua sur le sol une lueur qui provenait de derrière lui. Il se tourna légèrement...

Les secondes qui suivirent prouvèrent à Alexandre qu´il avait recouvré la totalité de ses capacités analytiques et physiques. Du coin de l´oeil, il aperçut un loup noir immense au torse puissant et aux crocs acérés, long de six mètres et deux fois plus haut que lui. Ses yeux rouges flamboyaient de rage tandis qu´il grondait sourdement. Soudain, il chargea.
Alexandre éprouva presque de la gratitude à l´égard du monstre. Grâce à lui, tout redevenait simple : il devait sauver sa vie et celle de son amie. Il amorça un saut périlleux arrière pour éviter l´attaque et lança à Alice un coup de pied qui l´écarta de la trajectoire du loup. Quand le monstre passa sous lui, le Prince lui planta son couteau dans la nuque, bien conscient que c´était une attaque dérisoire.
Il rebondit ensuite sur l´arrière-train de l´animal et se reçut souplement sur le sol tandis que le monstre s´arrêtait et se retournait vers lui. Alice, étalée par terre, ne bougeait plus. Alexandre songea qu´il l´avait peut-être frappée un peu fort. Il le regretta une fraction de seconde, puis dégaina ses glaives. Il s´excuserait plus tard
Le loup avança vers lui, ses muscles tendus, prêt à bondir. Le Prince n´avait jamais vu une telle créature. Comment ce monstre avait-il pu arriver ici ? Il remarqua des braises ardentes qui collaient aux poils de l´animal et se détachaient quand-il bougeait, répandant sur le sol une lueur rougeoyante. Alexandre distinguait aussi des flammes au fond de sa gorge quand il faisait claquer ses mâchoires. Aucun doute, il y avait de la magie là-derrière.
Le loup se jeta sur Alexandre, crocs en avant. Le Prince le laissa venir, puis au dernier moment roula sur le côté et le frappa au ventre avec ses glaives. Le monstre poussa un rugissement assourdissant et fit face à sa proie. Il leva une patte démesurée hérissée de griffes tranchantes comme des rasoirs et l´abattit de toute sa puissance. Alexandre l´esquiva d´un bond et en matière de réplique lacéra sa patte d´un grand mouvement de lame. Le loup rugit encore de douleur et attaqua à nouveau.
Pour affronter un tel monstre avec de simples glaives, il fallait être fou ou surentraîné. Alexandre était surentraîné. A chaque assaut du monstre, ses mâchoires claquaient dans le vide et ses griffes ne déchiraient que l´air tandis que les glaives du Prince lui infligeaient de profondes blessures. Implacablement, Alexandre prenait l´avantage.
Alice reprit ses esprits, mais ne bougea pas, clouée sur place par la terreur. Le corps du loup géant était couvert d´entailles, mais étrangement son sang ne coulait pas et il ne semblait pas se fatiguer. Au contraire, ses coups se faisaient de plus en plus rapides et violents. Soudain, il parvint à frapper Alexandre au bras.
Le Prince tomba au sol, juste à côté du gouffre. Le glaive qu´il tenait de la main gauche lui échappa et glissa dans le vide, perdu à jamais. Le monstre s´avança vers lui, ouvrit la gueule pour déchiqueter sa victime entre ses dents...
Et poussa un nouveau hurlement, avant de pivoter pour s´attaquer à l´ombre noire qui venait de le frapper aux pattes arrières.
Jakarn !

Le mercenaire avait dû entendre les rugissements de la bête, et à présent l´affrontait vaillamment. Tout comme Alexandre, il ne perdait pas ses moyens face à une créature aussi monstrueuse. Son crâne rasé luisant de sueur, il évitait les coups terribles du loup avec une époustouflante maestria, avant de placer des ripostes fulgurantes.
Le loup noir frappa de la patte. Jakarn bondit à sa rencontre, agrippa son pelage, se balança et lui lacéra la gorge avec son sabre avant de sauter sur son dos. Retournant son arme dans ses mains, le mercenaire l´enfonça jusqu´à la garde dans le corps de la bête. Il remarqua alors le couteau d´Alexandre planté à côté et en empoigna le manche. Alors que le monstre ruait pour le jeter à terre, Jakarn dégagea les deux lames et se laissa tomber sur le sol de pierre.
L´animal se prépara à attaquer à nouveau, mais le mercenaire fut plus rapide que lui. Saisissant le couteau par la lame, il l´envoyer se ficher dans l´oeil gauche de la bête, qui hurla à nouveau. Et se dressa sur ses pattes arrières. Jakarn profita de l´ouverture et s´élança sous le loup.
L´acier de son sabre étincela une brève seconde avant de plonger dans le ventre du monstre et de l´entailler sur une longueur de deux mètres. La bête s´effondra. De sa plaie béant s´échappa un immense jet de flammes que Jakarn évita de justesse. Le loup géant se convulsa, sembla s´écraser sur lui-même, puis il ne fut plus qu´un tas de cendres.
- Merci, dit Alexandre en se relevant.
Il rengaina le seul glaive qu´il lui restait puis ajouta :
- C´était un démon.
- Comment ça ? demanda Jakarn.
- Je viens de le comprendre. Quand un sorcier invoque un démon sous sa forme réelle, il lui faut énormément d´énergie pour le maintenir dans notre monde. Un démon ne peut donc pas rester ici pendant plus de quelques secondes, une minute au maximum. Mais si on lui donne un corps vivant à hanter, il peut tenir indéfiniment. Ce qui s´accompagne de transformations sur le corps qu´on lui a offert.
- Vous pensez que ce loup abritait un démon ?
- J´en suis sûr, déclara Alexandre. Ce qui m´étonne, c´est qu´il n´y a à Kridath aucun mage assez puissant pour réaliser une invocation pareille. C´est sûrement l´un de nos ennemis qui nous a envoyé ce monstre, mais qui ? Et d´où le sort-il ?
- Je vois...
Alice se redressa. Le Prince se tourna vers elle :
- Désolé de t´avoir frappée. Je n´avais pas d´autre choix.
- Je sais, répondit la jeune fille en se massant l´épaule. Mais tu m´as quand même fait mal. Quel monstre !
- Moi ou ce loup ?
- Les deux.
Alexandre n´insista pas.
- Encore merci, dit-il à Jakarn. Sans vous, je serais mort.
- Ne me remerciez pas trop vite, Altesse. Il y a une chose que vous devez savoir.
- Quoi donc ?
- En ce moment, je suis votre allié parce que nous avons les mêmes ennemis. Mais quand tout sera terminé, je vous tuerai.
- Pourquoi ? s´étonna le Prince.
- On m´a payé pour le faire.
- Mais votre employeur vous a trahi !
- Aucune importance. Je m´acquitterai de ma mission. J´obéis toujours.
- Mais pourquoi ? D´habitude c´est l´inverse : les hommes expérimentés savent désobéir quand il le faut !
- J´ai mes raisons, dit Jakarn. Maintenant vous savez que je veux votre mort. Vous avez donc intérêt à ce que je meure le premier. Si, malgré cela, vous me sauvez la vie, je vous dirai pourquoi vous devez mourir. Mais je ne renoncerai pas à vous tuer. C´est ainsi que se comportent les guerriers, là d´où je viens.
- Et d´où venez-vous ? questionna Alice.
- Du Sud.
Comprenant qu´ils n´en apprendraient pas plus, Alexandre et Alice se dirigèrent vers le couloir qui menait à la salle où ils avaient laissé Vladek et Adrien. Jakarn les suivit.
Soudain un rugissement retentit derrière eux. Ils firent volte-face : un nouveau loup les attaquait ! Il plongeait sur eux à une vitesse inimaginable. Même Jakarn n´avait aucune chance de l´esquiver.
Une aveuglante explosion de lumière. Un bruit de chute. Un grésillement. Lorsqu´ils rouvrirent les yeux, un second tas de cendres gisait à côté du premier. Alexandre tourna la tête vers Alice :
- Alors c´est toi qui...
- Je crois. C´est incroyable ! C´est moi qui ai ce pouvoir magique !
- Qu´est-ce que c´est que cette histoire ? demanda Jakarn, stupéfait.
Alexandre sentit un poids s´envoler. Il savait enfin qui des trois Heinkel possédait ce pouvoir. Et c´était Alice. Secrètement, il l´avait espéré depuis le début. Elle allait devoir venir à Dümrist pour s´entraîner, maintenant. Il ne la perdrait pas.
- Je répète ma question, dit Jakarn : qu´est-ce que c´est que cette histoire ?
- L´un d´entre nous possède un pouvoir, répondit Alice, toute joyeuse. Mais nous ne savions pas qui c´était. Maintenant on sait. C´est tout.
- Je vois.
- En tout cas, merci, Alice, lança Alexandre. Sans toi, nous serions certainement morts. Tu vois que tu es loin d´être inutile !
- C´est vrai...
Laissant là les restes des loups démoniaques, ils s´engagèrent dans le couloir.

La suite Mardi.

Oulala, tout ces textes qui arrivent, et les vacs qui approchent...
Je vais avoir du taf, mais j´enjoy à l´avance, KaiM

Oulala, tout ces textes qui arrivent, et les vacs qui approchent...
Je vais avoir du taf, mais j´enjoy à l´avance, KaiM

Mardi?! *s´étouffe* Bu..bon, sinon, ben j´ai rien vu de spécial, juste que tu parles pas d´Hustouk alors que c´est en priorité à lui que je m´intéresse^^. Heu...au fait, j´ai rien vu de spécial dans ce chapitre mdr, j´dois êt´ bigleux, ou nul, au choix^^. (voire les deux). Tiens, une faute que j´ai vue au passage : à un moment (j´arrive pas à le r´trouver^^) tu dis "béant" au lieu de béante, enfin j´crois...soi t´as du tps à perdre tu sais quoi faire^^.

P.S. C´est étrange le coup du style Ataro ressemble à la technique "Sacrifice" que j´ai donné à Grar, on a des idées en commun^^.

Mais c´est pas la peine de t´accrocher à tes espoirs, Az´, il est mort Hustouk, c´est comme ça la vie, y en a qui tiennent et d´autres qui crèvent.

Et bien oui mais en fait non.

Bien, lu. Je ne souhaite pas être désagréable mais :
- L´histoire ressemble à un mélange de "Benjamin Gates et le trésor des templiers" avec "Donjons et Dragons" et "Dragon Ball".
- Les descriptions sont expédiées sommairement, comme les sentiments des personnages, comme si tu ne t´intéressais qu´aux combats.
- Combats qui d´ailleurs ressemblent plus à un mix de tout ce que tu as lu à droite et à gauche plutôt qu´à un produit de ton imagination.
- Tes personnages sont monstrueusement stéréotypés.
- Le début de commencement d´"histoire d´amour" entre Alexandre et Alice est grotesque.
- Et j´en oublie...

Bref arrête là et laisse-moi finir à ta place parce je peux encore sauver l´histoire du naufrage.

Ton dévoué serviteur,

Docteur Chakall.

Tien, KaiM qui s´en prend plein la gueule ? C´est du jamais vu...

Voyons la suite...

Je ne lirai sans doute que demain

Docteur Chakall => Tu as ptête bien raison sur quelques points, mais tu as totalement tort de ne serait-ce qu´avoir l´audace de lui demander de te laisser terminer Non seulement tu n´y arriveras très probablement pas aussi bien que lui, loin s´en faudrait (même si ce n´est qu´une idée), les points que tu soulèves ne sont pas tous si gênants que tu voudrais le faire croire Moi je l´aime, cette histoire, qu´elle soit un mix ou non, elle me plaît, je veux la fin

Merci de me l´avoir montré, Grhyll, j´avais pas vu qu´il voulait reprendre la fic.

Il fait un peu superman, là, genre : laisse moi t´éviter la catastrophe.

J´ai pas tout lu, mais j´ai apprécié, et KaiM doit finir, ne serai-ce que de par la longueur du texte déjà là.

Bon

Soit dit en passant, je l´ai mal exprimé dans mon premier message, mais je te trouve bien évidement (et c´est sans doute ton but) présomptueux Tu ne doutes de rien, tu penses arriver et écrire mieux que lui ^^ Mais ta carte de visite nous montre déjà que tu fais des fautes stupides...

Bien dit Grhyll ! KaiM l´incomparable en force !!

Quelles fautes stupides?

chakall-->comment ça tu veux terminer toi-même cette histoire???
t´es malade ou quoi???montre nous tes productions personnelles, qu´on voit un peut si tu vaut autant que kaim, ce dont je doute fort.

kaim, ne crois pas ce que dit ce gars, tu à un talent pour l´écriture, c´est indéniable.

docteur chakall premièrement, le fait de demaner à kaim de te laisser finir veut dire que tu dois toutd de même appécier cette fic, pour vouloir la finir.
deuxiemement, même si sa fic était nulle, cela ne servirait a rien de la donner a quelqu´un il ne ferait aucun progrès.
3emement c´est vrai que les perso son,t stéréotypés, mais c´est surtout parce que ils osnt réalistes.
4emement, je trouve que les sentiments et les décors sont assez bien décris.
5emement, les combats, qui sont tout de même beaucoup présents dans cette histoire, et tant mieux, sont bien fait, et cite moi les trucs dont il s´est inspiré.
5emement, ton comportement me fait vomir.

kaimù ben non, franchement, j´ai pas trouvé e différence avec les autres chapitres, mais bon, voilà, j´ai pas trop fait gaffe...