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Ecriture

Sujet : Mes poésies et les vôtres...
mw108
Niveau 3
21 juin 2006 à 02:55:00

Ps: il n´y a pas bocoup de rimes.

L’enfer des damnés

Cet enfer n’est pas comme on le dit
Il n’est pas rempli de fantaisie
Mais de Satan et de ses acolytes
Qui nous fixent comme des faunes émérites

Nous, les damnés de cet enfer maudit
Sommes tous récompensés d’hémorragie
Qui ensanglantés sommes fouettés,
Et ce cauchemar durera toute l’éternité

Plein de cruauté, le feu nous fouette
Les acolytes nous aspergent d’alcool
Sur nos corps couverts de plaies douloureuses
Petites plaies mais grandes à l’intérieur

Satan, lui, nous regarde de façon ravisfait
Il est comme un enfant qui joue avec ses jouets
La démence est son domaine
Quiconque s’en approche en subira les conséquences

Alors blessés par tout ces coups de tristesse
C’est là qu’on s’interroge sur notre vie, celle du passé
C’est ça notre vrai châtiment, celui du regret
Mais le plus dure de tout ça, c’est d’être ici en enfer

Tichtich
Niveau 5
23 juin 2006 à 21:28:32

:up:

Gwahywir
Niveau 3
26 juin 2006 à 18:45:12

Voilà un petit texte que j´avais écrit sur ce type merveilleux qu´est gearge Bush :sarcastic:

Suivant l´exempl´
Que son père lui donna,
Il devint président,
Et en est à son second mandat.

Il faut dire que c´est un homme bon,
Son seul but dans la vie,
Etant de sauver le monde.
De tous les fléaux, il prit le terrorisme, qui est bien le pis!

Alors, le peuple qui l´aimait dit:
"N´est-il pas trop petit
Notre cher président
Face à ce géant?"

En effet, n´y a-t´il pas de chose plus immonde
Que l´insécurité qui règne à la ronde?
Il s´attaqua à l´irak,
Un pays trop vivace!

La population ne souffrait-elle pas
De vivre sous la dictature d´un homme trop adroit?
Il partis donc en guerre, vaincre le mal
Que représentait Saddam.

Enfin, il le trouva
Terré dans sa salle au trésor,
Suppliant sur le pas
De la grande porte d´or.

Il le vainquit sur place,
Faisant preuve d´un courage
Incomansurable!
Brisant le dictature comme de la glace!

En quelques semaines, il a accomplis,
Le travail de toute une vie.
Sauvant aainsi les Irakiens
De leur ancien souverain!

Il est maintenant,
Le plus heureux des hommes
Tout en conservant,
Une modestie bien noble!

Et voilà, je précise au cas où que c´est satirique! Dites moi ce que vous en pensez...

Gwahywir
Niveau 3
27 juin 2006 à 18:55:32

:up: un petit com please juste pour savoir si vous aimez...

Unknowledge
Niveau 7
27 juin 2006 à 19:03:16

Pas assez subtil pour etre original, et pour me plaire. Trop rabaché.
sorry

Tichtich
Niveau 5
27 juin 2006 à 19:17:36

pas mal du tout, c´est simple mais clair.
un défaut, la satire ne se ressent pas assez

ragingbull
Niveau 8
28 juin 2006 à 09:38:19

pour Gwahywir-----> j´ai pas accroché à ton texte. désolé.

DooY00doO
Niveau 1
30 juin 2006 à 01:49:30

Bonjour,
bon voila je ne suis pas poête mais aujourd´hui j´étais, pour une raison ne regardant que moi :p, assez déprimé. Je me suis donc lancé, dieu sait pourquoi, dans quelques poèmes.
Puis comme je navigue sur votre site de temps en temps voila...

Je ne pense pas que cela vaille grand chose mais justement si vous avez des critiques constructives ca m´interresse ^^.

Ps : les titres je viens de les écrire, juste histoire de, mais ce n´est pas bien important :p.

-----------------------------

-Chant moderne :

Attendrissante complainte que celle-ci
Riche de pleurs quand on l´entend.
Composition en Do ré mi fa sol la si
Ha oui toutes ces larmes c´est poignant.

Les choeurs battent haut puis s´arrêtent
Quand retentit cette simple mélodie.
S´étouffe aussi la vie, elle n´était pas prête.
Indisposée à jouir de cette funeste harmonie.

Les coeurs battent haut puis s´arrêtent
Quand les armes telles un orchestre
D´orage de feu et de plaintes muettes
Déversent leur mélopée perverse.

-----------------------------

-Solitude :

Il n´y a rien de plus paisible
Qu´une âme abondonnée.
Il n´y a rien de plus tranquille
Qu´un esprit qui à tout a renoncé.

Tel les rois de naguère si bien nés
Élevés plus haut que leurs semblables pourtant.
D´aucuns en notre temps, comme en ceux d´avant,
Sous l´étage des vivants restent condamnés.

Cohue de murmures étouffés
Soif de fougueux contacts feutrés.
Mais réservés à tous sauf moi
A ces autres qui ne savent pas que je suis là.

Être paisible est trop bruyant
Un tumulte intérieur de cris de mal-être.
Être tranquille est trop fatigant
Un surplus d´efforts pour le paraître.

Je ne peux plus rêver
Je ne peux plus pleurer
Je ne veux plus espérer,
C´est impossible.

-----------------------------

-Diaspora :

Il est parti il y a deux semaines
Moi je voulais qu´il m´emmène.
J´espère que j´aurai un souvenir de là bas
Il part sans prévenir, il me doit bien ça.

Je comprend qu´il veuille un coin ensoleillé
Chez nous il pleut tout le temps.
Maman a toujours les yeux mouillés
Dès qu´elle sort dans le jardin en courant.

Moi je n´ai pas le droit d´aller dehors
Maman dit qu´à l´école je dois m´améliorer.
Alors je travaille toute la journée, isolée pour être concentrée
Mais comme il fait sombre souvent je m´endors.

Quelle idée aussi de m´enfermer dans le cellier
Dans ma chambre plutôt j´aurai bien travaillé.
Même avec les croix peintes sur la fenêtre
Je lui ai dis alors sous la pluie elle est sortie se remettre.

En plus dans le noir j´ai perdu ma belle étoile
Cadeau qu´on m´a offert car je vais bien au temple.
Mon papa lui il m´aurait aidé à la chercher
Les juifs ont de bons yeux tout le monde le sait.

antalarion
Niveau 11
30 juin 2006 à 20:53:20

Et si

Et si, et Paris, et la bouteille
Et si, aussi, car si ne rit pas
Et si, car destin est fait de si
Et si le destin n’était pas cela ?

Et soit, guère logique, acceptation
Et soit, Pour renoncer à le comprendre
Et soit, à l’évidence, il faut se rendre
Et soit, le vide à l’magination

Et enfin, le destin est à nos pieds
Et enfin, le temps de le voir
Et enfin le temps d’y croire
Mais enfin, où donc est-il passé ?

Yohan-Kiefa
Niveau 10
02 juillet 2006 à 18:42:01

Hommage à la pensée de Machiavel.

Mes espoirs sont gains de l´homme qui sait manier
Il n´y a point de hargne à celui qui veut
Autre qui est mal saura encore le toucher
Les vers, les mots, les points couleront en sa main
Pour une chaste valeur qui est cruauté

Sa hantise joue anonyme sous son nez
Pauvre fou ou génie qui persévérera
Prenez garde la nuit de vous faire attraper
Pauvre fou ou génie qui le soir on pendra
Le prince est loin mais il ne sait point oublier
Vile autorité qui dans sa tour gît perché
Je suis, il est, nous sommes le meneur qui prend
Vile autorité qui dans sa tour gît penché
Le peuple parle et le souverain obéit
Nouveau monarque survient, terre rase, oyez !

Mes espoirs sont gains de l´homme qui sait manier
Il n´y a point de hargne à celui qui veut
Autre qui est mal saura encore le toucher
Les vers, les mots, les points couleront en sa main
Pour une chaste valeur qui est cruauté

Amir_
Niveau 9
02 juillet 2006 à 18:52:09

Le temps s´écoule à mes cotés, il heurte mes flancs. Mais je ne tangue pas, ma figure reste droite. Je le vois couler, je le vois s´accentuer. Son flux s´accélère, il devient plus violent. Mais je n´oscille pas, ma figure est droite, mon corps est noyé, mais je ne bouge pas. Il emmmène des homme, il fait flotter des cadavres. Leur odeur ne m´atteint pas, l´ecume du temps couvre mes sens. Mes yeux s´embuent, mais je ne peux pas bouger. Je reste attaché, inexorablement.
Le temps me laisse, il m´ignore, mais n´ignore pas ce qui m´entoure. Le temps est mon esclave, et je suis sa proie. Il est un chasseur qui ne me touchera jamais.
Dois je pleurer, dois je sourire?

bolterlourd
Niveau 6
03 juillet 2006 à 22:47:04

LA VILLE DES FOUS.

Contemplez la ville des fous !
Contemplez la ville des fous !
Émerveillez-vous, les fous sont fous !

Les fous prospèrent dans la merde.
Les fous contemplent leurs merdes.
Pas un ne quitterait la ville des fous.

Lâchetés.
Mensonges.
Manipulations.

Grand hommes tonnant.
Des fous suivants attentivement.
Coulage mélancolique dans l’éreintement.

Autrefois.
De hautes bannières dans les cieux.
Des lions aux visages pieux.
De l’honneur derrière des remparts.
Des lions aux mystiques regards.
La merde les a embourbés.
La ville des rois a brulé.

La ville des fous est nait.

Il était un fois.
Des chauves-souris dans l’esprit.
De sombres étaux.
Des légendes qu’on oubli.

Les rouages mécaniques.
Consume l’épique.
Et les lions s’en sont allés.

Un jour
Ils se sont réveillés dans le fumier.
Certains y ont prospérés.
Devenant finalement des tarés.

Un jour
Ils se sont réveillés dans le fumier.
Certains ont désertés.
Devenant finalement des légendes.

Cela, rêvaient de liberté.
Avaient des idées bien ancrées.
Ils ont choisit la route des rois.
Celle que plus jamais personne ne prendra.

Non plus personne ne la prendra !
Les fous sont trop fous.

Merde, merde, triple merde.
Vulgaire.
Irrespectueux.
Non talentueux.
Comment osent-ils se proclamer lions!
Eux qui ne sont que des tout petits cons !
Ignobles minables.
Salauds de fous.

Les routes stratosphériques se sont brisées.
Il ne reste plus que de froides cendres.

Un bain vide.
Un trône vide.
Une cigarette vide.

Les portes resteront closes.
L’alcool a détruit.
La reine est morte.
La maladie a détruit.
Le bob a disparue.
La drogue a détruit.

Moi je vous aime, et vous aimerais pour toujours.
Et un jour moi aussi je quitterais la ville des fous.

bolterlourd
Niveau 6
04 juillet 2006 à 13:18:45

De tout les loups.
Il en est un plus arrogant.
Il en est un plus énervant.
Il est le roi vaudou.

De rio à Lille.
Masque de fierté.
Masque d’ainé.
Mais fameux Goupille.

Ysengrin sur maudit chemin.
Brandit savoir.
Brandit armoire.
Curieux humilié destin.

Mais goupil aux cornes d’abondances.
Brandit de nouvelles manigances.
Brandit toutes sa connaissance.
Il est le roi malin.

Défécation, fermentation, zombification.
Quarderonner, requerreler, repyrograver.
Zabre, zakat, zarzuela.
Trotteur, trottoir, trou.

bolterlourd
Niveau 6
04 juillet 2006 à 13:23:39

Putain goupille au lieu de goupil me suis laissé abusé par le corrécteur de word .
toutes au lieu de toute

Iternal
Niveau 9
04 juillet 2006 à 16:51:41

J´ai fais ma route
J´ai fait mon chemin
Tout seul, pas de doute
C´était mon destin

J´ai voulu t´aimer
Ô invisible beauté
Mais jamais tu ne m´as parlé
Jamais tu ne m´as écouté

Aujourd´hui, je me présente
Devant la Grande Obscurité
Mon agonie, silencieuse et lente
Personne ne fera pleurer

Je t´ai toujours désiré
Mais jamais je ne t´ai vu
As-tu vraiment existé
Puis-je croire à ce que j´ai entendu?

Non, maintenant je le sais
Les hommes sont menteurs
Tu n´étais qu´un phantasme, un abstrait
Ô, Liberté, beauté de mon coeur...

Carnavale
Niveau 10
04 juillet 2006 à 17:24:59

Si tout est gris c´est que le soleil est mort.

Repassez demain. On enterre ma belle.

La gadoue n´a pas de goût. Les pommes non plus.

Je t´aime. Reviens-moi vite.

bolterlourd
Niveau 6
04 juillet 2006 à 19:21:56

Odeur transcendantal, emportant aux dehors des voutes.

Tu es mon flot énergétique, mon flux artistique.

Tu ensemence mes veines, de la perception.

Tu es la clef des vertes prairies, de l’entendement.

Tu m’élèves aux palais d’ivoire, royaume du dieu liqueur.

Au loin, le pays des loups aux bannières déchues.

Au loin, le soleil levant emprisonné dans la nuit.

Carnavale
Niveau 10
06 juillet 2006 à 14:45:44

Poetries of ours...

redsissi
Niveau 10
06 juillet 2006 à 15:46:23

Iternal > j´adore tout simplement

Carnavale > quelques lignes qui prennent tout leur sens maintenant...

Les autres poésies sont très bien aussi, je les ai toutes lues mais je ne les commenterai pas toutes, je suis désolée je n´ai pas le coeur à ça maintenant...

Carnavale
Niveau 10
06 juillet 2006 à 15:51:17

J´ai toujours envie d´écrire. C´est trop étrange.

Sujet : Mes poésies et les vôtres...
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