Tout un poème que celui-là!!!
Très travaillé on sent qu´il a été bien fignolé
il est profond et imagé...
Tout en alexandrin!
Du grand art ouep!!! bin je vais pas le laisser moisir celui-là je veux qu´il soit lu!
le " poeme" qui vas suivre est une scene de théatre.
JE vous en fais part car elle esr écrite en vers ( alexandrins, deca/octo syllabes, il faudra que je travail encore dessus pour les " égaliser".
Il faut également que je fournisse quelques efforts concernants les didascalies.
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la scene se situe devant le perron d´une maison, dans un lotissement.
L´endroit est sombre.
On peur voir deux protagonistes habillés de maniere similaire.
l´un est souriant et à l´air sur de lui ( Alfred), l´autre est perdu dans ses pensées ( Eugene).
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Eugene ( réveur, ton naïf):
Alfred, cette femme, tu le saisn je l´aime.
Elle est si belle et si exceptionel...
Je la chérie d´un amour éternel.
Pourtant par une bizarerie de la nature,
A mon esprit, elle préfere ton allure
Alfred ( amusé par ces propos):
Un bon nombre de femmes sont comme ca.
Il y à, de quoi être las.
Je ne désir que pénétrer dans son lit,
Du moins le temps d´une nuit ( éclat de rire)
Eugène ( piqué à vif, on sent l´énervement dans sa voix)
Ton attitude me révolte.
Comment peux tu être aussi désinvolte?
Alors que nous parlons d´amour?
A moins que tu ne fasse là de l´humour?
Alfred ( hochant de la tete,)
Serais tu amoureux au point d´être naïf?
Ha Eugène, ne soit pas si possessif.
De plus tu sais que j´en aime une autre,
Et que je suis fidèle comme un apôtre.
Personne ne pourrais me faire oublier,
Celle que j´aime, ainsi que nôtre amitié.
Eugène ( soulagé)
Alfred, ce que tu dis la, me rassure
J´ai eu peur que tes intentions ne soient pas pures.
Tu es donc bienmon seul et véritable ami,
Un fidèle que j´aimerais à vie.
Mais néanmoins j´aimerais que tu cesses,
D´assimiler celle que j´aime, à une paire de fesses.
Ne trouves tu pas cela indécent?
Mais.... chut... taisons nous, c´est elle qui descend.
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voila,
ce n´est pas encore totalement au point, d´autres scenes suivent. mais je vais attendre vos réactions et agir en conséquence
Il y a plusieurs fautes d´orthographes mais le tout est si hilarant... qu´on oublie! mais si tu veux je pourrais te les corriger sur msn...
J´aime bien Death... belle sonorité et belles rimes! et j´imagine parfaitement la scène en plus! ! !!
redsissi ( l´impératrice ? )
Merci Mécène ô toi qu´abreuve poésie
Ô toit où peut tomber la pluie et l´ambroisie
Merci de prêter gorge au chant qui veut éclore
Le baiser à la lèvre ainsi qu´au violon
L´archer cherche une corde où coucher son accord
Et l´on retrouve en l´autre un peu de sa chanson
banished-ienien : digne du theatre d´alfred de Musset !
enfin chez musset ca pleurait ca miaulait à n´en plus finir
( je suis ienien)
merci
un des personnages de s´appele pas Alfred pour rien
je suis loin d´être une impératrice même si mon pseudo en est inspiré... j´adore Romy Schneider qui incarnait le célèbre personnage au cinéma... et comme le rouge est ma couleur préférée...
Vos vers sont un enchantement Angelure...
la compagnie.
Angelure > Je n´ai qu´un mot pour ton poême ( long mais très bien fait): Bravo.
banished-ienien > Vite, corrige l´orthographe! Néanmoins, c´est un bon texte à l´ancienne ( d´un point de vue théâtral je parle), il m´a bien plu et bien amusé, vivement une suite.
Salut Yetet! gros bisous à toi mon
oui je suis parfaitement d´accord avec tes commentaires sur Angelure et Death...
Comme prévu Sissi, je vais retranscrire une autre ici(de mes anciennes créations), datant d´une époque que je vous laisserai deviner, elle n´est pas difficile à trouver.
Ce poême pouvant sembler vulgaire à la première approche m´a pris environ 1/4 d´heure(donc, pas très travaillé et je n´y ai plus touché depuis lors, vous le découvrirez tel que je l´avais créé alors sur un coup de...confère titre du dit récit).
P.S.: Il est écrit un peu comme une chanson, avec refrein donc.
" Coup de blues..."
Journée de merde, la guerre est imminente,
Tout çà pour quelques derricks.
Le moral au ras des pâquerettes, le monde risque de péter,
Tout çà pour un « boucher ».
Journée de merde, l’anxiété est omniprésente,
Tout çà pour quelques millions de briques.
La paix rangée aux oubliettes, les rivières vont saigner,
Tout çà pour un chien de « guerrier ».
Le mercenaire va frapper, qu’attendons-nous pour contre-attaquer ?
Faut-il une troisième guerre mondiale pour comprendre ?
Journée de merde, beaucoup d’innocents trépasseront,
Cela ne l’hante.
Que de chaos en perspective,
Cela il n’y pense.
Journée de merde, du fric, les gros bonnets s’en feront,
Cela l’arrange.
Que de conneries humaines aujourd’hui et à l’avenir,
Cela ne le dérange.
Le mercenaire est fou, qu’attendons-nous pour l’interner ?
Faut-il un énième massacre de vies humaines pour qu’une action s’engendre ?
Soirée de blues, je broie du noir,
En pensant à tous ces innocents,
Que le mercenaire fou va faire s’exiler.
Soirée de blues, soirée cafard,
En pensant à tous ces gens ( hommes, femmes, vieillards, enfants),
Que ce pseudo guerrier risque de faire s’entre-tuer.
Le mercenaire va frapper, qu’attendons-nous pour lutter ?
Faut-il sans cesse répéter le passé pour comprendre ?
Soirée de blues, la colombe de la paix est encagée,
En pensant à ses petits contre son cœur qu’elle ne pourra plus serrer,
Car le chasseur bientôt va les plomber.
Soirée de blues, les vautours un peu encore vont patienter,
En pensant à toutes ces chairs dont ils vont s’empiffrer,
Car le tireur comme d’habitude va beaucoup gaspiller.
Le mercenaire va frapper, qu’attendons-nous pour l’arrêter ?
Faut-il un second Iroshima pour que le monde s’entende ?
voila la scene 2:
Annie apparai alors sur le perron de la maison
elle doit etre belle, et assez vive
Annie:
Ho mais qui voila, mes deux bons amis!
Etiez vous là afin de m´attendre?
Mais oui! sinon que feriez vous ici?
Voyons! Allez vous enfin vous vendre?
Alfred:
Oui, nous nous promenions tranquillement,
Espérant trouver un divertissement,
Et, passant devant votre lotissement, ce soir,
Nous avons pensé vous emmener boire!
Annie: ( grand sourrire, elle vient se placer entre les deux hommes.)
Voila une si délicate attention!
Mais je devine là d´autres intentions...
Seriez vous dans l´optique de me séduire?
Voila un projet qui ne pourrait nuire!
Alfred ( à voix basse à Annie)
Pour dire vrai, passer cette soirée seul avec vous,
Pourrait certainement me mettre au garde à vous.
( Annie étouffe un acces de rire.)
( apres le rire d´annie, eugene essaye de comprendre ce que disent les deux autres, on doit voir un brin de jalousie sur son visage)
MAis voyez plutot cette ombre qui nous espionne
( il montre, discretement, eugene de la tete.)
( puis il continue à voix haute, regardant eugene fixement)
Oui, ce jeune homme est d´excellente compagnie
( à voix basse à annie)
Mademoisselle, suivez mon jeu, je vous l´ordonne.
( reprends à voix haute)
JE cours chercher ma golf, garée non loin d´ici.
Afin de vous conduire chez moi, boire un whisky.
Eugene je compte sur toi pour prendre soin d´elle.
Comment pourrais tu heurter femme si belle...
Eugene ( il a l´air génée et embarassé.)
Ne te fais pas de soucis, mon ami
je veillerais sur elle comme sur ma mie.
Alfred s´éclipse, laissant Eugène et Annie en tete à tete.
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voila
je ne posterais pas la suite avant quelques jours
BAc oblige
j´attends vos impressions
s´il vous plait
mercibeaucoupjevousoffrirezdescasimirsenchocolatsp
oulain
Magnifique! j´adore! mais l´orthographe c´est toujours pas ça
Pourquoi me l´as-tu dis,pourquoi maintenant?
J´avais enfermé cet amour dans l´armoire,j´avais espéré qu´il devienne poussière avec le temps
J´ai mal,je comprends pas,pourquoi tant de temps pour ça
Pourquoi m´avoir fais mal ce jour-là?
Maintenant tu es là,tu sais ce que tu veux
Mais pourtant ce jour-là,tu m´as tuée à petit feu
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La nuit vient à peine de tomber,mais déjà dans leur lit nombre de jeunes pleurent leur vie
Leur mal-être les fait sentir différement,pas bien,juste different
Un sentiment que beaucoup ne connaîtront pas avant longtemps
Si jeune mais pourtant ils portent déjà le deuil d´une vie finie
Le combat vient à peine de débuter
Nombre d´eux non même plus la force de dégainer leur épée
Je vois déjà la funeste fin de cet afrontement
Du sang versé,une fenêtre ouverte vers la liberté mortelle,un cachet avalé,des veines coupés,des moyens,il y en a une infinité
Des pleurs infinis,incompris,seront versés tout au long cette destinée
Moi,je vois qu´une promesse,une lente promesse,qui arrivera avec le temps
Une nuit sans fin,qui achèvera mes tourments
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Dans la nuit noire, sur un lit à baldaquin, deux amants se rejoignaient
Une nuit noire emplie de parfum, ou deux êtres faisaient fis du temps,s´aimaient :
Elle mordait son cou,elle y plantait ses dents
Elle labourait sa chair jusqu´au sang
Il lui serait totalement soumis, il fera ce qu´elle a envie
Elle disposera de son corps tout au long de la nuit
Elle lui sanglera les mains, elle lui fera subir toutes sortes de tourments
Elle prendra toutes les décisions, elle le fera crier et se délectera de ce moment
Elle fera couler son sang, elle le léchera
Elle lui bandera les yeux, pour qu´il sente tout le bien qu´elle lui fait
Elle répandra de la cire de bougie chaude sur sa peau,elle fera brûler ta passion
Elle veut t´entendre hurler de satisfaction
Elle léchera son épine dorsale pour le voir frissonner
Elle continuera à le tuer petit à petit jusque quand son sang en entier se soit écoulé
J´espère que ça ne dérange personne que je poste...;
Voilà, c´est pas génial, mais tant pis, faut commencer un jour^^:
Allégresse dérobée
Alors que cette flamme brûle dans mon cœur
Je sens pourtant là mon esprit si assombri
Ah ! Que m´éventre cette absurde rumeur !
Mon bonheur elle transforme en sombres débris
Je le voulais juste jaillir de son sourire
Considérer chacun de ses mots comme un cadeau
Un remède pour mes maux, même le pire
Ils m´en ont privé, me voilà sur le dos
En moi subsiste seulement son souvenir
Tout ce dont je profitais, je le vois de loin
Pour d´autres que moi ; je marche, triste sire
Et ces affreuses douleurs déguisées sans soin
Cela ne servant à rien, nous nous évitons
Me persécutent, me détruisent néanmoins
Et font triompher injustement ma raison
Celle-ci se vantant de connaître tout recoin
Et de m´avoir prévenu de ce désastre
Douleurs dont m´avait préservées ton si beau rire
Douleurs qui nous voilent les plus beaux des astres
Alors par elles deviennent nos bonheurs soupirs
Saternathe ce topic est pour TOUS les poètes bons ou moins bons ou excellents! donc tout le monde a le droit d´y poster
Je le trouve pas si mal le tien...
Celui de Darkhina est un peu sombre mais très bien aussi...
Un poème de ma fille qui date de l´an dernier...
Blucassidy Posté le 07 mars 2004 à 04:48:55
Les 2 faces
Pour toi, mon bel inconnu,
J’aurais pu faire le tour des rues.
Un simple nom pour toi,
Fit naître en moi une grande foi.
Je fût tout de suite envoûtée,
Par ta si pure beauté.
J’aurais tout donné,
Pour toi, mon bel aimé…
Notre rencontre trop brève,
M’a fait flotter comme en plein rêve.
J’ai vu le vrai amour,
Je suis devenue troubadour.
J’ai gravé dans ma mémoire ton visage,
Et il y restera peu importe l’âge.
Ce petit sourire en coin tout trognon,
Comme c’était mignon…
Tes beaux yeux brillants,
Sont d’un bleu éclatant.
Tes cheveux si noirs,
Ont fait naître en moi certains espoirs.
Alimentés par un désir,
Ainsi que par de si beaux souvenirs.
Tu dois avoir confiance,
Et délaisser tes méfiances…
J’ai vu dans ton regard,
Mais il était trop tard.
Tu devais quitter ce si bel endroit,
Pour un temps, je devrai me passer de toi.
Tous ces petits détails,
Gardés dans ma mémoire sans faille.
Sont si doux à mes yeux,
Et te font briller de mille feux…
L’amour n’est pas une chose que l’on doit fuir.
Seule, je ne veux pas finir.
Ma vie, je veux la partager,
Avec quelqu’un qui m’aura trouvé.
Qui m’aura aimé,
Pour ma personnalité.
Certaines personnes sont si superficielles,
Qu’elles ne monteront pas au ciel…
Les apparences sont souvent trompeuses,
Il ne faut pas être peureuse.
Va voir au-delà,
Ensuite, tu jugeras.
Ne recherche pas la beauté,
Dans ce qui n’est pas caché.
Creuse et vois,
Ce que tu trouveras, c’est moi…
Blucassidy