moi zero :P
19 centieme pour répondre!!^^
Jpeux écrire que ttes les 30 sec
Mé bon, ce n´est plus de la poésie, tout ça
me laissse pas :´( :´(
:snif1::snif1:
moi aussi et pourtant :P
Bon la j´arrete, pasque c un topic poésie^^
EUh qui efface toute nos cochonerie??
Pour effacer tout ceci,
Il faut en réferer à notre modo chéri
Lui demander de détruire ces messages
Si par hazard il est de passage
^^
Seul?
Pas le temps de rêver, la foule m´entoure déjà
La ronde a tourné, et la rue s´ouvre devant moi
Je ne vois pas où je vais, je me sens si seul ici bas
Car au sein de ce monde, c´est comme si j´n´étais pas là.
Le brouillard s´étend devant mes yeux à perte de vue
Impossible de savoir où je vais, si je traverse la rue
Ou si je reviens sur mes pas, comme quand, petit déjà
Et que, levant les yeux, j´me demandais "Où est mon papa?".
Range ton arme, mon coeur est déjà blessé
Laisse couler mes larmes, elles ont tant à raconter.
On ne voit bien qu´avec le coeur
Et j´crois qu´c´est bien là mon malheur.
Car cet organe est mon seul oeil
Celui qui me guide, et sur lequel se refermera mon cercueil.
Fataliste, bien sûr, comment ne pas l´être
Quand on voit, quand on pense, bref, quand on vit
Quand on imagine ce que sera l´futur sans paraître
Pessimiste, pas d´échappatoire, tôt ou tard ce s´ra la nuit.
A quoi bon lutter, si ce n´est pour soi-même
A quoi bon chercher si personne ne nous aime
Etre entouré ne veut pas dire ne pas être seul.
Car c´est souvent la qu´on voit ceux qui veulent
Nous aider à remonter la pente, mais c´est trop tard
Car la lumière s´est éteinte, celle de notre phare.
Celui qui nous a guidé, et qui dans sa mission
A échoué, et nous laisse périr sans raison.
La vie n´est-elle que le prélude le la mort?
J´attends quelqu´un, qui me démontre que j´ai tort.
Vous
Belle comme
Le ciel
Le soleil
Les colombes sont jalouse de votre beauté
Ne pouvant l’égalé
Si les fleurs savaient parler elle conteraient
Votre beauté
Vous êtes plus belle que
Le ciel étoilé
La lune éclairé
Votre beauté ne cesse de troubler
Mes rêves
Mes pensées
Je ne cesse de penser, de rêver de vos lèvres que je souhaite embrassé
Osé serait un péché
Votre beauté ne peut être
Oublié
Conté
Au matin une rose
C’est éclose
Venant de vous croiser
Exaspéré par une t’elle beauté
Elle s’ouvrit pour vous concurrencé
Ne pouvant vous égaler
Finit par fanée
Je trouve ta poésie magnifique, Lana.
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Pourquoi ne pas mourir, une fois, pour rire ?
La mort, fin inéluctable pour nous tous. Je ne sais qui elle est, mais je voudrais la connaître. Beaucoup l’ont abordée, mais si peu de leur plein gré. Pourquoi la décrier, la persifler ? Moi, j’aimerais lui tendre la main. Signe d’acceptation, tout comme signe d’amitié, de tolérance. Elle qui a fait bondir plus d’un cœur. Elle est une mer de larmes à elle toute seule. Mais quoi de plus beau qu’une larme ? Larme qui étincelle au soleil, au reflet plus pur que l’oxygène. Elle qui, seule, vraie, signifie quelque chose. Cette substance si spéciale et surtout si inestimable. Une larme s’offre, une larme ne se vit pas. Une larme est un cri. Mais est-ce un cri de malheur ? Ou est-ce un cri de réconciliation, d’entraide, d’écoute mutuelle ? Toute larme est méritée, est et se doit d’être. La larme est au deuil ce que le champagne est à la coupe. Quelqu’un a-t-il déjà tenté un chant de larmes, ou un champs de larmes ? Quelle puissance cela pourrait-il avoir ? Une vision de la planète main dans la main ? Oui, cette main que je veux tendre à la mort. Cette mort qui a tant pris et tant donné. Plus que la vie ? Il me semble, quand j’y pense. J’aimerais devenir une étoile parmi les autres étoiles, ou un bien pensant volage, ou encore s’incorporer au néant. Ce néant sans bornes mais qui m’accueille. Ce néant, chose qui nous regroupera tous, enfin serons-nous unis. Plus d’injustices, nous formerons ce vide, cet espoir vain, cette vie après la vie. Ou alors resterai-je parmi ces autres que l’on a tirés. Ces autres qui n’ont pas comme moi vécu jusqu´à son apogée leur vie.
Cet enfant, là, me regarde. Ses yeux pétillants m’appellent. Il me tend un dessin… un bateau.
Mer, ô mer, tu es parfois si calme, après si tempétueuse. Quel espoir te guide, quel dessein mènes-tu à terme ?
Mais il me faut partir. J’avance, j’avance mais ce petit garçon me hante. Je reviens sur mes pas. Il faut qu’il soit là, il le faut ! Mais que faisait-il là ? Fruit inestimable d’un amour sans frontières, fruit de l’injustice, exemple. Que faisait-il sur mon sombre parcours ? Je le revois. Cette fois, ses yeux sont baignés de larmes, telle la mer déchaînée. Qu’as-tu petit garçon ? Aucun espoir de réponse n’ose me parcourir, pourtant, l’enfant sèche son visage. Il me tend la main, m’emmène vers son monde, son horreur, son injustice, notre injustice. Cet enfant n’a rien à faire là ! Moi je n’ai pas à exister, je ne devrais pas être tel que je suis.
Je lui tends la main mais d’autres me retiennent. Qu’est ce qui me retient ? Moi ou les autres ? Ai-je besoin des autres ou est-ce eux qui ont besoin de moi ? Faible espérance, ce dilemme s’estompe. Ni l’un ni l’autre. Ils goûteront aux larmes. Larmes, si belles, j’ai goûté aux larmes d’injustice, ils goûteront à celles d’incompréhension.
Je tends la main à la mort, elle me prend dans ses bras, me dorlote, m’emmène... MERCI.
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J´espère que la mienne n´est pas hors sujet ?
Elle est sous forme de prose, on peut ne pas y voir de poésie, pour moi, elle est représentative. Désolé si j´abuse.
Lana cette poésie m´a beaucoup touchée, je la trouve si proche de mes propres sentiments...
Sieur-o-Nyme qui dire de cette poésie...
qu´elle m´a émue jusqu´aux larmes? (sans jeux de mots... vraiment... j´en suis encore toute retournée... certains écrits nous touchent plus que d´autres c´est vrai...) ta prose a sa place ici chaque fois que tu as envie de l´y coucher, j´aurais toujours plaisir à la lire
à ceux qui continuent d´alimenter ce topic malgré mon absence fréquente en ce moment et mes écrits plus rares...
Je suis sincèrement touché par ce que tu en as dit, te connaissant un peu.
C´est bien aussi que tu aies pu y trouver ton sens, je doutais (n´étant pas objectif, je ne pouvais pas imaginer).
Merci.
Fabien j´avais lu la tienne aussi mais j´ai oublié de la commenter... l´émotion sans doute...
C´est une poésie simple mais très belle... si romantique... j´adore...
Agressive
J´ai envie de sortir les griffes
de lui arracher les tiffes
à cette vilaine escogriffe
l´envoyer au fond d´un récif
Pour que jamais elle ne revienne
pour que sa proie soit enfin mienne
que je la dévore comme une hyène
ou que j´en fasse une épicurienne
La déchirer tout en morceaux
en consommer tous les lambeaux
la déguster comme un jambonneau
y a vraiment pas de plus beau cadeau!
Mon esprit tordu veut la détruire
afin qu´elle ne puisse plus jamais nuire
que son égo ne puisse plus reluire
ses chairs bien frites je ferai cuire
ouais je sais elle est bien naze celle-là
les rois d´ antan, bouffes-mandragores
ici, ici font la ronde
Les mendiants fous marchent sur l´ or
Et le souvenir se perd dans l´ onde
La muse lasse n´ oublie pas
Le coeur fermé par le temps
Du temple ou plus rien ne bat
On peut entendre des rires d´ enfants
Ecoutes le chants des divins haruspices
Les anges dechus qui regrettent le ciel
Les idoles indigenes aux senteur d´ epice
Et alors tu verras la memoire eternelle.
Lol, ça montre bien un certain (hypothétique bien sur) état d´esprit, red ^^
Les mots sont bien agencés, je trouve, hommetronc, mais le vocabulaire un peu trop complexe et un sens assez insaisissable m´empêchent d´entrer dans le poème...
Tiens bonjour Jade! ça faisait longtemps que je t´avais pas croisé!
Toi-même tu écris aussi je pense... allez enchante-nous!
Je ne me ballade plus énormément sur les blablas, c´est pour ça qu´on ne se croise plus trop, mais contente de te voir :]
Heuuu, pour les écrits, j´aime pas trop, trop personnel...
J´ai pas envie qu´on me voie à travers ça, tu vois ce que je veux dire ?
Tu n´as pas à être honteuse de ton poème, avec tous les magnifiques que tu as fait avant... ^^
Au fait, tout à fait hs... Bravo à ta manière de faire voir aux gens qu´ils existent ;]