Ne t´ennuierais-tu pas de cette paix intérieure perpétuelle ? > pt
Après tout, c´est la recherche qui la rend intéressante. > posible...
T´es justement quelqu´un de trop passionnée, je pense, pour te contenter d´un équilibre. > ah? je croque la vie à belles dents oui... et parfois je me pique aux épines de la rose... mais que serait l´intérêt d´une quête sans difficultés?
C´est un masque de pudeur, et non un jeu. Je brouille intentionnellement les pistes.
Mais tu peux être sure que je ne suis jamais bien loin. >>> oui ça je l´avais compris...
Je pense que tu as tout compris >>> non toujours pas! pas encore assez d´indices... trop flou encore...
arf possible* bien sûr!
tu fais partie de mes contacts MSN Sieur ou pas?
La totale...
Femme fatale
félin animal
divin crotal
désir bestial
Cruciale survie
pensée de folies
sublimes envies
absolument sexy
Flashs démoniaques
En tête matraque
deviens insomniaque
gentil maniaque
Souplesse découvre
noblesse retrouve
hardiesse de louve
bassesses tu trouves!
Effleurements sadiques
donnant la trique
mouvements rythmiques
touchers tactiques
Séduction rebelle
charmantes dentelles
souvenirs de miel
trop mortel!
complètement celui-là...
Je préfère les vers plus longs et plus... sentimentaux.
Mais chapeau de faire poème de vers si courts qui tienne !
Sinon, non, je n´en fais pas partie.
Mais franchement, je ne cherche pas à ce que l´on trouve mon identité, je préfère ne pas donner d´indices, c´est pas le but de jouer au chat et à la souris.
arf ça restreint un peu mais pas beaucoup...
donc tu aimes le romantisme...
et tu tiens à l´incognito on dirait...
très bien... je n´irai pas contre ta volonté... même si...
ouais je voulais faire une poésie qui soit significative sans employer plus de 2-3 mots par phrase... un défi personnel...
dsl je s´aavait pas qu´il yavait déjé des topic sur ces poésie dsl d´avoir crée un topic de plus .
Donc voila je débute dans la poésie et j´essaie de trouver de l´inspiratiob parlant sur la mort , froideur et tristesse , donc j´ai crée mon premier récit qui s´intitule le froid éternel :
Le froid éternel
Les arbres sans feuilles jonchent la vallée ,
C’est la mort qui laisse place à tout ça ,
Un étang complètement solidifier ,
Comme un amour figé des glaces .
Le vent glaciale souffle très fort ,
Tout devient immobile de l’extérieur ,
Mais à l’intérieur aussi ,
La vie est entrain de devenir chaos .
Cette vague de froid qui ne cesse ,
Abîme tout le bonheur et la joie ,
Le soleil est parti pour l’éternité ,
La nuit sera éternelle et le froid aussi .
Hélas les ténèbres vont prendre place ,
A la place de la lumière du soleil ,
Le cœur deviendra gelé aussi ,
Et sera dure comme une pierre sans vie .
qu´en pensser vous??
Bin déjà je vais le corriger...
Les arbres sans feuilles jonchent la vallée ,
C’est la mort qui laisse place à tout ça ,
Un étang complètement solidifier , >solidifié
Comme un amour figé des glaces .
Le vent glaciale souffle très fort , > glacial
Tout devient immobile de l’extérieur ,
Mais à l’intérieur aussi ,
La vie est entrain de devenir chaos . > en train
Cette vague de froid qui ne cesse ,
Abîme tout le bonheur et la joie ,
Le soleil est parti pour l’éternité ,
La nuit sera éternelle et le froid aussi .
Hélas les ténèbres vont prendre place ,
A la place de la lumière du soleil ,
Le cœur deviendra gelé aussi ,
Et sera dure comme une pierre sans vie . > dur
Belles images évoquées... le rythme est pas mal aussi... persévère...
Cette compagne de tous les jours
cette mélancolie de mes amours
qui m´obsède et me poursuit
sans répit, même la nuit
Je me blottis dans les draps
je suis gelée et te cherche de mes bras
peine perdue... tu n´es pas là
il n´y a que ce lit froid
J´ai beau me rouler en boule
tenter de me réchauffer
comme toujours mon coeur tu chamboules
y a que toi pour m´enflammer
Mais en pensée je suis embrasé
en pensant à nos corps enlacés
aux caresses douces ou appuyées
que sur ma croupe tu laisses balader
De merveilleux frissons vibrants
dans tout mon être grelottant
ta tendresse et ta volupté
ont le don de me faire chavirer
Je le dédie à Sieur celui-là...
Quel magnifique boudoir !
Mon cher Bourreau c´est ta fête!
faut surtout pas qu´on s´embête!
mais faudrait pas non plus que tu te la pètes
sinon je te donne un bec à pincette
on boira des gimlet ou de la liqueur de limette
on va pt finir pompette!
alors on jouera de la trompette
on fera une partie de basket
on sortira l´arbalète
mais faites gaffe à vos têtes!
afin de pas avoir l´air trop bête
ou la tête dans les chaussettes!
faudra passer la savonnette
ça sentira pas la mouffette
allez faut que ça pète!!!
celui-ci est pour mon cher Bourreau bien sûr...
il était temps que ça s´arrète...
j´aurais pu prendre jusqu´à perpet
avec ces rimes obsolètes
qui ont l´air d´une pétrolette!
Des milliers de kilomètre nous séparent, aucune de tes menaces ne pourront m´éffrayer.
Mais remarque je me demande qu´est-ce qui est plus grand ... la distance qui nous sépare ou la profonde indifférence et ignorance dont tu fais preuve à mon égard depuis quelques temps ...
Ostra...
Je suis désolée pour cette nuit ma connection a pété un plomb et j´ai pas pu me reconnecter...
mais je t´assure qu´on en reparlera
Je ne mérite pas, même tes élucubrations
Tu ne mérites pas, ne fut ce que cette imagination.
Comme l´a dit Redsissi, ici, cela semble maladroit, on a l´impression que tu as choisi le second terme en l´adaptant ensuite (il y a donc déséquilibre de pieds, et fatalement accroc à l´oral.)
Sinon, rien à dire, félicitations, personnellement, je n´ai rien à dire sur la forme, qui est très réussie, sauf peut-être donc la phrase précitée.
Voilà, voilà, voilà...
Passe à celui de Redsissi, maintenant...
Je me blottis dans les draps
je suis gelée et te cherche de mes bras
peine perdue... tu n´es pas là
il n´y a que ce lit froid
-J´aurais placé le froid avant, je trouve que le mettre à la fin fait perdre le principal objet de la strophe, donc à partir de là..
J´ai beau me rouler en boule
tenter de me réchauffer
comme toujours mon coeur tu chamboules
y a que toi pour m´enflammer
-La structure de la dernière strophe est plus libérée, mais c´est voulu, je suppose. Sinon le troisième vers devrait être raccourci.
Mais en pensée je suis embrasé
en pensant à nos corps enlacés
aux caresses douces ou appuyées
que sur ma croupe tu laisses balader
-Là, j´ai pas très bien compris au sujet de la concordance des temps. Soit le narrateur est en train de rêver d´un évènement qu´il souhaite et dans ce cas là, le présent est excellent (ah, le rêve, rien de mieux pour se grandir, rien de mieux pour se détruire), soit il appelle à des souvenirs passés, et dans ce cas, c´est la passé composé qui s´impose dans le dernier vers.
Merci de m´éclairer...
De merveilleux frissons vibrants
dans tout mon être grelottant
ta tendresse et ta volupté
ont le don de me faire chavirer
-Cette strophe répéte la seconde, tout en rajoutant le thème de la première, peut-être aurait-il fallu la placer en troisième position, mais je ne peux pas savoir pour quelle progression tu as opté.
La solitude, toujours la solitude, à jamais la solitude...
Red´ merci beaucoup pour ton poème.
Ça allait pas fort aujourd´hui pour moi, mais grâce à toi j´ai quand même réussi à (sou)rire. ^^
Bisous, et encore merci
Les arbres sans feuille jonchent la vallée ,
C’est la mort qui laisse place à tout ça ,
Un étang complètement solidifié ,
Comme un amour figé des glaces .
-Je ne sais pas si des arbres peuvent joncher la vallée, il y a peut-être erreur de vocabulaire, parce que même la métaphore ne signifierait pas grand chose, même esthétiquement. Ensuite la comparaison que tu opposes n´en est pas vraiment une, puisque dans les deux tu as l´idée du froid et de la glace qui revient.
Le vent glacial souffle très fort ,
Tout devient immobile de l’extérieur ,
Mais à l’intérieur aussi ,
La vie est en train de devenir chaos .
-Les mots extérieur et intérieur me semblent étranger au poème et ne rentrent pas très bien dans le cadre que tu décris. Mais ça c´est très subjectif. Ensuite, à l´intérieur n´est peut-être pas assez précisé.
Cette vague de froid qui ne cesse ,
Abîme tout le bonheur et la joie ,
Le soleil est parti pour l’éternité ,
La nuit sera éternelle et le froid aussi .
-Ici à part la répétition de l´éternité, qui était assez difficile à éviter, rien à dire. Même si les images sont assez classiques, les vers sont bien construits et s´enchaînent avec bonheur.
Hélas les ténèbres vont prendre place ,
A la place de la lumière du soleil ,
Le cœur deviendra gelé aussi ,
Et sera dur comme une pierre sans vie .
-La progression me paraît assez folklorique, tu répètes l´une des autres strophes dans les deux premiers vers. Même si tu laisses l´idée de chaleur pour la lumière, ça ne passe pas très bien.
De plus, tu parles donc de lumière, avant d´enchaîner sur le "coeur gelé".
Par contre, l´image finale est réussie. J´ai bien aimé ,l´expression "pierre sans vie", qui représenter un certain paradoxe de mon point de vue.
En conclusion, pour un premier essai, c´est concluant. Comme l´a dit Redsissi, persévère!
Un petit texte pondu en quelques minutes, et transgressant surement de ce fait la moitié des règles de la poésie. Alors bon, et bien agissez selon vos envies envers lui^^
Que faire sinon écrire
Dans cette vie misérable
Nous finirons tout par mourir
Odin nous acueillera à sa table
Alors quand nous déserte le rire
Mais que notre stylo déborde de fables
Permettons aux autres de lire
Un pâle reflet de cette imagination incroyable
Eh bien, je ne savais pas que Odin avait encore des fans dans notre civilisation...
Alors, je vais encore faire la même critique que d´habitude, quelques vers disproportionnés par rapport aux autres -je sais, je sais décidément, je ne parle que de ça...- il suffirait peut-être simplement de lire ses poèmes ou de les entendre -seriez vous visuels?- pour éviter ce genre de choses, en évitant malgré tout de rester dans le carcan des alexandrins et autres organisations contraignantes.
En fait, c´est le dernier vers qui pose problème, suffit de le couper en deux.
Quant aux règles, je suis d´accord avec le dicton que l´on entend partout, elles sont faites pour être transgressées.
Et j´ai fini...
Mais que notre stylo déborde de fables
Permettons aux autres de lire
Un pâle reflet de cette imagination incroyable