Incapable de retrouver cette maudite porte,j'entenfois avec effroi derrière moi,non loin d'un bois et par trois fois (rime en "ois",quel style ),j'entenfois: "attention,attention! Ca va pétois,ça va pétois! Voyage dans le temps activé! Arrivée dans trois secondes en l'an 2008! 3...2...1...1...1...1...Euh pardon...0!"
J'ouis alors une terrible explosion dans mon dos.Je me retrouvois allongé par terre,inconscient,sans rien comprendre de ce qui se passois autour de moâ.
J'aime bien "j'entenfois"
Moi j'aime pas "j'entenfois", on dirait un prêtre qui dit le début et la fin de sa phrase, tellement il a hâte de terminer son discours
Je sortois de mon inconscience, me levois, et regardois autour de moi.L'air avoit la même odeur que ma "kâbaaaane au fond du jardain", et de drôle de boîtes métalliques fonçoient en tout sens comme si un prédateur (une gigantesque boîte métallique?) alloit arriver.Elles ne sembloient pas trés intelligentes, car elles suivoient des lignes, sans doute traçoies par la méchante boîte métallique.Je me décidoit à leur venir en aide, mais comment?Pendant que je cogitois, j'aperçus une boîte métallique plus grande que les autres qui s'approchoit. C'était...La méchante boîte!
Je fonçois alors,en brandissant mon...crotte alors,j'avois perdus ma lame.Mais mon courage étois sans limite.Les yeux remplis de larmes,je pris mes mains à deux courages (ou à peu près le contraire) et je courus alors vers mon nouvel adversaire.Bien qu'elle se rapprochoit de plus en vite,je n'eus pas peur.J'avois en face de moi ma destinée et rien n'aurait pu m'enmpêchois d'aller vers elle. Je n'étois plus qu'à quelques mètres de la collision,quand j'entenfois au loin (ça va rester,comme "une belle brochette de brofs" ): bordel,mais c'est qui ce con? Qu'est-ce qu'il fout cet abruti? Il va se faire charcuter ce pignouf!" Drôle de langue,m
Zut,I hate you maudite touche tab
Drôle de langue,me dis-je,mais je n'avois cure de ces mots.
J'utilisois la technique du hurlement primaire (AAAAAAAAAAH!!!) et je me jetois sur la bestiole métallique.Le temps sembloit ralentir, mon cerveau enregistroit tout ce qui se passoit autour de moi, de la mouche en train de zonzonner autour de la petite vieille au gamin en train de se planter sa glace dans le pif, je distinguois les gouttes de sueur de mon avant-bras refléter le soleil et prenant lentement leur envol, et je vis même un homme dans la méchante boîte, qui avoit l'air effrayé.Cela décuploit ma rage et je donnois le coup d'épée le plus puissant que j'avois jamais donnois...
Lorsque je me réveillois,j'étois dans une pièce très étroite entouré de gens très étranges.Certains dormaient,les cheveux tout ébouriffois,les yeux vitreux,comme s'ils avaient pris je ne sais quelle substance.Il y avait également un viel homme qui avait du mal à marcher et qui rôtait et pétait.Il avoit une bouteille à la main et ses paroles étaient incompréhensibles.
La pièce étoit peu éclairée et des barreaux me séparait d'hommes habillés en bleu.Dans le dos de ces hommes,il étoit marqué: Police.Qu'est-ce,me demandais-je alors,et où suis-je? Je ne tardois pas à le savoir car un des hommes en bleu me sortit de cette pièce exigüe pour m'emmener faire ce qu'il appeloit "un interrogatoire musclé avec botins".
Un homme avec un drôle de chapeau s'approchoit de moi, tenant deux gros livres d'un air menaçant.Il les posoit brusquement sur la table, causant un bruit effroyable qui me fit tinter les esgourdes."Réponds!!!" rugit-il."Mais je...répond quoi?"
Il relancoit les livres sur la table, refaisant un bruit effroyable."Ca fait mal, hein?Réponds!!!"
"Je veux bien mais..."
"Pas de justification!Tu réponds ou je relance les botins sur la table, tu ne le souhaites pas, n'est-ce pas?"
"Mais posois-moi une question,vil manant,sinon je n'aurois guère de réponse à...."
Bam! Je n'eus point le temps d'achever ma phrase que ce gueux relançoit ses livres,mais non plus sur ma table,mais bien sur mon preux crâne de chevalier. "Habile méthode de questionnement" ,me dis-je, "ça va rencontrois un succès fou dans quelques siècles."
L'homme étoit très énervé et me posois enfin une question (et quelle question!) : "c'est toi qui a volé l'orange du marchand?"
Bim! Deux autres livres sur le crâne pour m'aidois à réfléchir (c'est ce qu'il me disoit en tout cas).
Nouveau forum La brute faite passé le message : https://www.jeuxvideo.com/forums/0-18298-0-1-0-1-0-0.htm
Putain,je hais ces mecs et leurs pubs pour ce truc ><
Je me mis à begoyer ( ): "je ne sais pas qui a volé, a volé, a volé l'orange du marchand..."
L'homme me regardoit d'un air vachement soupçonneux, puis mangea une limace accompagnée d'un radis et dit "c'est bon, il est net, laissez le sortir"
Tout content de sortir, je respirois un grand coup l'air pur de...cette sorte de gigantesque ville...Les relents les plus puants que j'ai jamais senti (pires que la chambre de ma bell-mére!) pénétrérent dans mes poumons irritant au passage ma gorge, me faisoyant éternuer sur un type louche qui passoit par là , et qui par conséquent me passoit à tabac...
Je n'ose pas imaginer ce que ça fait une mére téléphone
Celui-ci me frappoit avec tant d'ardeur que mes dents,alors au nombre de 63 (j'aimois les implants),se retrouvèrent plantées dans mes bras.Sans compter que les os de mes bras étoient étrangement absents à certains endroits.Après quelques coups de pieds dans les valseuses,il commençoit à me questionner: "pourquoi tu t'excuses pas,pôv con? Pourquoi? Réponds salopard!!!" Je réussis alors à dire : "gvef mfefxcfufse". Soudainement,le gars me lâchoît et partit en courant en me rappelant que :" la politesse,c'est important,merde!"
Comme une cloche-mère
Je me relevoit péniblement et dit, une fois qu'il fut loin: "hahaha, on fait moins le malin maintenant, hein?"
J'entendis un crissement de chaussures, et vit une silhouette qui avait bien diminué à l'horizon se remettre à grandir à une vitesse alarmante.Je pris donc mes jambes à mon cou, et trébuchoit.Me rendont de l'importance d'avoir ses 2 jambes au bon endroit, je les détachois de mon cou, les rattachois, et courois (du verbe courir, hein ) comme si ma vie en dépendait.
Je courois, je courois, sans m'arrêter, et j'arrivais au bout de l'océan.je m'arrêtois, et me dit que si je nageois un peu, cela me feroit un grand bien...
me rendant compte*
j'arrivois*
Le manant nageois aussi bien qu'il courois.Nous nageoiâmes alors le plus rapidement possible durant 3 jours et 3 nuits.A chaque fois que je désirois m'arrêter,le gueux redoubloit de vitesse et se rapprochoit de moi.Finalement,nous arrivoiâmes sur la terre ferme.Je continuois de courir sans me reposer.En tout cas,il y avois un point positif.J'étois dorénavant super-musclé
J'observois le paysage tout en me hâtant et j'aperçus au loin un stade bizzare semblable à un nid d'oiseau.Drôle d'endroit.
Je décidois de ne pas me diriger vers ce stade chelou...Je me retournois, et me trouvois nez à nez avec l'autre plouc.
Vu que j'étois super musclé, et pas lui (même s'il avoit fait la même chose), il hurloit de frayeur et se plantoit la tête dans le sol.Je pouffois de rire, et décidoit de continuer mon chemin, en route pour l'aventure, le coeur léger.J'arrivois ce tantôt à un fioutu drôle de village...Les chaumiéres sembloient faites de verres, et mesuroient des lieues et des lieues de hauteur, elles sembloient gratter le ciel...
Je vis aussi qu'à leurs pieds grouilloient des masses et des masses d'insectes métalliques (dans le ciel aussi d'ailleurs Oo), mon sang ne fit qu'un tour...
Ce ne fut là que débauche de sorcelleries macabres.Des prêtres prêchaient l'amour de Dieu,certains se disaient scientologues (Tom Cruise,si tu nous lis...),d'autres amiches,d'autres encore prêchaient la haine de Dieu et d'autres encore étaient maltraités pour avoir criés "Free Tibet".Quelle drôle d'époque! Je n'aurois jamais cru que la liberté de parole puisse être bafouée et aussi mal utilisée.
Je décidois de demander mon chemin,même si la peur me tétanisoit.Il ne falloit pas que j'oubliois ma divine mission.Je décidois donc d'interroger un homme qui étoit poursuivi par une meute de femmes.Il avoit les cheveux gris,un large sourire et les fanatiques qui le suivoient criaient: "George,George,please,please! We love you,we love youuuuuuuuuuuu!!!!".
"Pas le temps de répondre, je dois courir...what else!?" Me lancoit il en passant prés de moi.Je me tournois alors vers un autre homme, qui étoit lui aussi poursuivi par une horde de spécimens humains dont le bulbe étoit tellement ramollli qu'ils ne pouvoient que baver et crier "Johnnyyyyyyyyy!!!!"...
En passant prés de moi, il me passoit furtivement un mot.Tandis qu'il s'éloignoit dans le lointain, je lus le bout de papier qu'il m'avoit passoi: "Rendez vous prés des docks, parle au type avec une bouée en forme de canard et un collier de nouilles."
Je me rendois donc vers les docks où le poids et l'ennui me courbent le dos,ils arrivent,le ventre alourdi,de fruits les batôôôôôôôôs....Bref (brof??? ) Je cherchois alors le fameux bonhomme que l'autre gominé m'avoit indiqué. Activement,mon regard balayoit la berge et je finois par trouvois ce fameux homme qui me dit en me voyoit arriver,du haut de sa bouée canard (WC) et de ses Panza(censuré,pas de pub sur le service public >_<): "le jour où la nuit donnera des moules radiophoniques,alors la merguez de mer supplantera le concombre par dessus le barrage mouillé au large de l'oiseau poilu".