Savoir & Culture

Bon, allez, plutôt que de perdre mon temps à remonter des bretelles chez les pedobears :

" Pédophilie : pourquoi si décriée ? "

"Pourquoi" : sont ici recherchées des causes rationnelles.
"Décriée" : ici, ce sont nos moeurs et notre mentalité qui entrent en jeu. "Nous" rejettons. La société rejette.

Postulat : nos moeurs sont déterminés par les conventions humaines régissant notre société.

Remarque pertinente : " Parle-t-on ici de la morale ou du légal ? " (merci Davaroi)

Réponse relevée : " Ben des deux puisque de toute façon la pédophilie est décriée par les 2. "

On considère le droit positif régissant le système judiciaire Français. Dans quelle mesure nos moeurs sont-ils l'expression des règles structurant le droit positif en vigueur ? Autrement dit, dans quelle proportion le phénomène inverse du positivisme sociologique (où il est question d'un reflux de l'expression qui décrit la notion) est-il effectif ?
=> Notre postulat implique l'existence de causes judiciaires à nos moeurs donc à notre rejet de la pédophilie, et en répondant aux questions précédentes, on détermine l'importance de ces causes.

Ainsi, on répond à la problématique en examinant quels sont les fondements de nos conventions judiciaires. A l'évidence, aujourd'hui, elles ne sont pas majoritairement arbitraire, comme en témoigne la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen dans la mesure où celle-ci est appliquée. Elles puisent leurs principes dans diverses philosophies (au sens large) et idéologies, parmis lesquelles celles des Lumières ou même de la théologie chrétienne.

On peut ensuite approfondir en recherchant les justifications de ces philosophies à cause desquelles nos conventions ne sont pas arbitraires. On trouve donc, entre (énormément d') autres, quelques réponses dans la Bible.

Il est question plus haut d'une alternative au bavardage : j'ai une conception du bavardage différente de celle de Kanbei. Un raisonnement basique et indigent en réponse à une question l'étant au moins autant.

J'ai le sentiment d'être réductionniste et excessivement trivial dans cette inférence. De plus, la fiabilité d'un tel postulat est à revoir. Et c'est sans compter que j'avais de la musique aux oreilles.

Le légal intègre un paramètre non négligeable : il ne peut pas être conçu pour établir la solution optimale au cas par cas. Les lois sont généralisées.
Si c'est illégal, c'est avant tout parce que la plupart des cas résultent d'une manipulation d'un gosse qui, s'il était mieux informé et plus autonome, aurait refusé.

Sinon, pour la morale, on a déjà fait le tour :
-non conforme au modèle du couple habituel
-le pauvre gamin est manipulé
-le pédophile ne satisfait qu'un plaisir érotique
...etc

A moins que quelqu'un n'intervienne avec un cours complet de psychologie, ce topic va bientôt être abandonné ou sombrer dans d'obscurs trolls comme lors des deux pages précédentes.

" Sinon, pour la morale, on a déjà fait le tour : "

--> A même été entrée en jeu dans votre bavardage l'idée centrale de mon post, à savoir l'existence au conditionnel d'un lien causal explicité dans celui-ci ? Pas que je sache.

" A moins que quelqu'un n'intervienne avec un cours complet de psychologie, ce topic va bientôt être abandonné ou sombrer dans d'obscurs trolls comme lors des deux pages précédentes. "

--> Pas de cours complet de psychologie, cette fois. Juste le désir de clore le sujet en déclarant qu'il n'aurait même pas dû être créé.