J'espère qu'on pourra me faire un résumé... J'aime pas quand ça fait comme les feux de l'amour, tu rate un épisode et t'es perdu.
En même temps y'a les logs là, contrairement au feux de l'amour
Bref, on se concerte et on te dit le prix pour le résumé
7000.
Deal with it.
Payable par Paypal.
Tiens je vais sans doute vous apprendre quelque chose.
Vous avez sans doute tous entendu parler de l'Eros (pulsion de vie, pulsion sexuelle) et du Thanatos (pulsion de mort) essentielles dans les théories psychanalytiques.
Freud a développé jadis en partant de l'érotisme, la notion d'auto-érotisme (le stade premier, celui du nourrisson, vu comme une monade repliée sur elle-même et n'ayant pas de contact avec le monde extérieur, "être clos, dont les sensations sont perçues comme émanant de l'intérieur de lui-même"). Ce concept précède la phase narcissique primaire, moment où le Moi commence à s'unifier.
Retirer l'Eros (pulsion de vie) de l'auto-érotisme et vous obtenez l'autisme. Un repli sur soi nullement motivé par la pulsion de vie et qui empêche tout développement d'un Moi unifié.
Ajoutez l'Eros à l'autisme et vous permettrez au Moi d'ensuite se constituer tout en maintenant les fonctions exceptionnelles déjà présentes chez certains sujets de haut niveau.
Intéressant.
Personnellement je trouve ce genre de choses inintéressantes.
Spha : moi j'admire ce côté "calembour assumé" de la psychanalyse. Comme dans le nom du père/le non du père... jouer sur les mots en permanence pour découvrir ce qui se cache derrière est totalement dans la droite ligne de ma pensée.
auto-érotisme - eros = autisme, c'est juste génial
Freud, c'est pas le mec qui a découvert qu'il voulais sauter sa mère ?
D'après les spécialistes sur l'autisme/Asperger. La psychanalyse est un énorme danger pour l'autisme. Car elles se basent sur une pensée, un cerveau, un raisonnement neurotypique. Essaye de prendre un psychologue pour un terrien, met un Marsien en face. Ca va vite partir en sucette pour le Marsien.
"Vous êtes un humain !"
"Euuh... Non."
"Vous allez devenir un humain !"
"Qu'ouis-je ?"
"Vous fonctionnez comme un humain !"
"Bien sûr... Bon, je reviens. Je dois passer par Pluton pour refaire le plein de glaçon, et je deviens d'ici 200 ans. J'espère que vous serez encore envie "
On peut pas forcer une personne ayant un cerveau différent, à fonctionner avec un cerveau qui lui est totalement inconnu. C'est comme ci tu demandais à la lave, de refroidir de l'eau. C'est pas possible
Encore en vie *
Merci touche espace bugay + Double post + Flood + SUUUSUUUU
Edorel : ce n'est pas Freud qui a dégagé cette idée, au contraire, il l'a combattue car pour lui tout est érotisme et l'autisme n'en est pas exempte Le terme "autisme" vient de Bleuler et a ensuite été développé sous ses deux principales formes infantiles par Kanner et Asperger
Et Aspie, je ne suis pas d'accord, il existe diverses formes de psychanalyses et non une seule (qui serait exclusivement neurotypique), celle que tu relèves est la technique freudienne mais un mec comme Winnicott travaillait très différemment avec les enfants et sa technique me semble assez bien adaptée aux psychoses infantiles sous toutes leurs formes.
Asperger =/= Psychose infantiles.
Il faut arrêter de voir des problèmes partout. Et surtout arrêter de vouloir devenir masse.
On est aspie, on assume d'être aspie, on montre notre différence et on ne cherche pas une raison, ou un pourquoi on est comme ça. Surtout en se disant qu'il manque un élément et qu'il y a un mal l'être à ne pas être Neurotypique.
La souffrance est là. Vouloir être ce que l'on ne sera jamais. Il est temps d'arrêter de régler des problèmes, de "soigner" des problèmes la où il en a pas. Le modèle standard n'existe pas.
Si on devait soigner des personnes sur terres, ce sont ceux qui forcent une minorité à rejoindre la masse. On ne décide pas pour autrui. On décide pour soi, la possession n'existe pas.
La Psychanalyse n'a rien a faire, ni a dire sur l'autisme. A force d'inventer des termes, de trouver des troubles la ou il en a pas. On en crée des véritables. C'est une forme tyrannie psychique. Cette quête de soin amène les troubles.
Aspie : il peut résulter un mal être du fait d'être asperger, ton cas personnel ne reflète pas les multitudes de difficultés rencontrées par certains de tes semblables. Les nier est tout aussi irresponsable que de stigmatiser les "problèmes" à outrance. Le fait que l'on traite les autistes mal actuellement n'implique pas qu'il faudrait pour autant préconiser une absence totale de prise en charge.
La psychanalyse a selon moi son rôle à jouer, de manière différenciée certes, mais autant pour un autiste que pour un neurotypique, pour un psychotique que pour un pervers ou un névrosé.
Maintenant qu'on soit d'accord avec moi ou pas, c'est une autre question, je ne suis pas péremptoire comme certains sur ce sujet.
On représente quand même la majorité du fofo
J'ai quand même connu une époque où j'étais seul ici, puis tu es arrivé, AAC, et on a fait connaissance par échanges de MP. Avec _Asperger_, on a constitué le premier noyau autour duquel s'est constituée la A-team
Et après y'a eu moi,qui a invité Chocomau5
Aspi, j'l'avais choppé sur le 18-25 depuis un paquet de mois avant qu'il poste ici