Alors voila, je fait une fan fiction ( une histoire quoi) dans Halo, se passant dans la peau d´un simple Marine.
Avant de continuer plus loin, je vous avertis que cela, étant une histoire parrallèle, révèle quand même de nombreux spoilers. Donc je vous conseil de lire si vous avez fini le jeu, ou si vous avez passer les missions se passant dans la bilbliothèque, je vous avait prévenus, et je ne suis pas résponsable si vous lisez quand meme...
Donc le Marine en quesiton s´apel Zack Ordo, et donc, c´est l´histoire parallèle au passage de Halo 2, ou l´Elite essaye de trouver l´Index...
Bonne lecture
Chapitre 1 : Halo Delta
Keyes : Cortana, qu’est ce que c’est que ça ?
Cortana : Et bien.. c’est un autre Halo
Johnson : < tousse> QUOI ?
Keyes : C’est donc ça que mon père avait trouvé ?
J’avais éteint mon communicateur, un peut surprise des phrases échangées entre les généraux. On m’en avait parlé sur Caire, enfin d’après les dire des gars. Un anneau gigantesque découvert par le Pillar of Autumn il y’a quelques mois. Les deux seuls survivant : Cortana et le Spartan était a bord. Pour le reste, les chefs gardaient le tout bien secret. On m’a parlé d’une arme, d’une base covenant, d’une œuvre d’art technologique, mais aucune de ses rumeurs n’étaient digne de confiances, de toutes façon, j’allais pouvoir juger de mes propres yeux. J’était dans la chambre, avec 4 autres gars. Tous avaient entendus, Mike lui continuait d’écouter. Il y’avait eu un départ de troupes, des paras, avec le Spartan accompagné de Cortana, le vaisseau était maintenant sans IA, ce qui n’était pas vraiment bon… Quelques heures plus tard, les hauts parleurs du vaisseau retentirent, me réveillant.
Keyes : Unité Charlie 1 et deux, et unité Delta 4 rendez vous en sale de briefing dans 6 min.
Sans dire un mot de plus, je sauta de mon lit, et courra vers mon casier, ainsi que les autres gars de mon escouade, divisé en deux chambres, 8 soldats en tout par unité. J’enfila mon armure de combat, mon casque, direction la salle de briefing. Je sortie de la chambre en courrant, en même temps que les deux chambres voisines, on courra tous, traversant les couloirs gris et mornes du vaisseau. La salle de briefing était au bout du couloir, une fois a l’intérieur,. Le Sergent Johnson était sur l’estrade.
Johnson : BORDEL DE MERDE MARINES, VOUS AVEZ 4 SECONDES DE RETARD, lA PROCHAINE FOIS JE VAIS VOUS FAIRE NETTOYER CETTE POUBELLE VOLANTE A LA BROSSE A DENT ! VOUS LA ! QUI VOUS A DIT DE VOUS ASSEOIR ? `
C’était un gars de l’unité Delta 4.
Johnson : ESPECE DE GROGNARD ! VOUS ME FAITE 50 POMPES SUR LE CHAMP, ET JE VEUT VOUS ENTENDRE COMPTER !
Soudain, l’écran au milieu de l’estrade s’alluma, et le visage du Capitaine Keyes apparus, elle repoussa une mèche de cheveux, et pris la parole, sous le sifflement anonyme d’un soldat au fond de la pièce.
Keyes : Il suffit Sergent, vous occuperez de ça plus tard, faites votre briefing.
Johnson : Oui m’dam, bon, alors écoutez moi marines, vous croyez en avoir bavé avec le Scarab ? Et ben vous allez comprendre ce qu’est souffrire ! Nos trois unités, accompagné du Capitaine Keyes, va descendre sur le Halo, et s’introduire dans la bibliothèque pour y prendre l’index, si les covenants ne l’on pas encore ! On va être introduit sur une colline a deux kilomètres de l’objectif, qui est une énorme bâtisse, impossible de la perdre de vue, même pour un grognard unijambiste et sourd. Comme vous le voyez sur le plan < un plan de territoires enneiger en relief s’affiche sur l’écran>, notre position des réseaux de canyons et de tunnels, impossible d’y poser un Pélican, y larguer des Paras y serait trop risqué, le meilleur terrain disponible est celui-ci. De plus, des covenants sont partout dans la zone, c’est pourquoi nous avons besoin de trois unités, et d’appuie aérien et terrestre. On aura a notre disposition, trois Pélican, deux Warthogs, et un Scorpion. Des questions ? Non ? Alors bougez vos misérables fesses et allez chercher votre armement, je vous veux dans le hangar dans exactement 10 mins, allez bougez vous le cul !
Tout les soldats partirent ( en courrant) vers l’armurie, une fois a l’intérieur, je pris un fusil de combat BR55, qui avait remplacé depuis a peine 2 mois les MA5B. Plus précis, plus léger, plus mobile, plus puissant, mais avec une capacité de chargeur énormément réduite. Je pris aussi un Magnum M6C. Certains soldats prirent mitraillettes M7, une arme de soutient et de combat rapproché efficaces, et d’autre les fameux fusil M90, des armes mortelles, et d’une puissance énorme. Pour chaque unité, deux soldats avaient deux lance roquet M19 SSM, et deux soldat des fusil de snipe S2 AM. Une chose était sur, ça allait cartonner… Quelques minutes plus tard, tout le monde était, dans les temps, dans le hangar, ou les Pélicans n’attendaient plus que nous.
Johnson : Ecoutez moi Marines, pour ceux qui rentrerons ceux soirs, ça sera soupe de Jackals, pour ceux qui vont y rester, et si tout le monde y reste, c’est les Elites qui vont manger nos cerveaux avec des baguettes chinoises, si ils savent ce que c’est… Bref, on va leur faire sortir les tripes par le cul, et prendre leur têtes comme ballon de foot, hein Marines ?
Tous : OUI SERGEANT !
Johnson : Parfait, alors que tout le monde se foutent dans les transports, les chefs d’unité choisissent les pilotes et les tireurs, ALLER PLUS VITE QUE CA !
Tout le monde grimpa dans les Pélican qui démarrèrent lentement, les sas se fermèrent, et on pénétra dans l’espace. Je regarda dans le hublot, alors c’est ça le fameux Halo, un immense cercle, a une couche extérieur de métal, et a l’intérieur, ont voyaient un terrain, semblable à la terre. J’était éblouie devant tant de magnificence et de technologie, la technologie m’avait toujours fasciné, c’était magnifique !
Pilote : On entre dans l’atmosphère…
Le vaisseau commença a bouger un peut dans tout le sens, et au bout d’une minute, ça se calma. Miller, notre Sergent, se leva, et pris la parole.
Miller : Bon, Mike, vous conduirez le Warthog, Karl, tu sera le tireur, Zack tu prend la radio, les autres vous restez avec moi.
Tous : OUI SERGENT !
J’était donc l’opérateur radio du Warthog, au bout de quelques minutes, je sentis le Pélican se stabilisé, et je détacha ma ceinture, avec Mike et Karl, on courrant vers la sortie, le sas s’ouvra lentement, nous laissant sous une tempête de neiger glacé. Je saut a sur le Warthog, et m’installa a moitié debout sur le siège, et les autres prirent leur place, on allaient y aller dans quelques secondes…