Oki
et a[res les thrace??
apres
ouais trace après
Ce soir, mes amis nous allons partir dans les montagnes du Caucase pour que je vous conte l'histoire d'un héros Arménien du nom d'Otanès. Otanès était né dans le bourg de Phraaspa, il vit sa ville natale qui ce disait, depuis des générations, indépendante conquit par un général Arménien du nom Aramu qui devient le gouverneur de la région.
Otanès, étant le fils d'un riche propriétaire terrien, n'eut pas de mal à intégrer un haut poste dans la garnison de son bourg, allant jusqu'à devenir le chef des armées d'Atropatène. A ce poste, il voyagea dans toute la région affrontant les rebelles et les brigands au nom de la Grande Arménie qu'il servait fidèlement.
Un jour qu'il revenait de patrouille après 3 mois de marche et de combats dans les montagnes, il fut reçut par Aramu qui avait déjà ateint un âge avancé. Ce dernier avait donner le commandement d'une armée composé des soldats de la garnison de Phraaspa, de mercenaires recrutés dans les alentours et de soldats nouvellement recrutés dont de nouveaux piquiers lourds ces soldats combattants comme les Grcs et les Macédoniens d'Alexandre le Grand en formation de phalange. Sa mission était simple, gagner Artaxarta capital de l'Arménie et de représenter et Phraaspa et Aramu dans les armées arméniènnes pour pouvoir ensuite atteindre la frontière dans le but de défendre ce pays contre les armées du Pont qui à déclarer la guerre à l'Arménie.
Otanès fut honorer de ce commandement fit avancer son contingent à marche forcée vers la capitale. Arrivé sur une colline surplombant la vallée d'Artaxarta, tous furent impréssioner par le nombres de soldats qui campait autour de la métropole, des milliers de tentes couvraient la plaine, dans les haras des centaines de cheveaux attendait le moment de partir en campagne, les ateliers de forgerons battait à plein régime fabriquant armes et armures, lances et flèches, épée et boucliers. Otanès ce présenta devant l'état-major de cette armée gigantesque annonçant qu'il remplacerait Aramu car ce dernier était trop fatigué pour partir en campagne.
3 jours plus tard, l'armée ce mis en marche et Otanès pensa tout de suite que cette dernière n'avait aucune chance, en effet les hommes avancait de façon incohérente et désordonné sauf les soldats d'Otanès qui gardait la cohésion qui leur avait été enseigné. 1 semaine après l'armée rencontra celle du Pont et alors l'ordre ce fit dans les rangs.
Lors de l'affrontement, Otanès commanda en plus de ses hommes tout les soldats sur le front droit arménien. En face, posté sur un char, le capitaine du flanc gauche Pontique un homme du nom d'Ariobarzanès d'après ce qu'avait rapporté les espions était un jeune noble qui pensait la victoire assuré pour sa patrie. quelle ne fut pas sa surprise de voir sa cavalerie écrasé par celle d'Otanès. C edernier il faut dire commandait lui même les cavaliers arméniens. Puis, les soldats d'infenterie entrèrent en contact et les phalanges de piquiers lourds arméniens baléyèrent les phalanges de piquiers long du Pont. La cavalerie qui avait reussi à contourné les lignes ennemis fesait des ravages dans les rangs adverses.
Ce premier affrontement s'acheva par une victoire arménienne mais nombreux était les soldats Pontiques dont le capitaine Ariobarzanès. Otanès fut ravis et célébra la victoire avec ces hommes en buvant et ripaillant toute la nuit. Mais après une semaine de fête on annonca qu'il fallait repartir dans le nord, dans les montagnes de Colchide où une armée du Pont recrée et réamée fesait marche sur Kotais.
Cette bataille fut l'exate jumelle de la précédente sauf que tout les avantages était pour le Pont. Cette défaite retentissante ne fut que d'une coute durée car les arméniens c'était reformés et repartis à l'assaut dans le Sud vers la forterresse de Mazaka en Cappadoce. Après 2 heures de combats les Pontiques sonnèrent la retraite et suite à leur demande les états-major des 2 camps ce réunirent. Les Pontiques voulait arréter les combats avec leurs voisins arméniens en échange de la paix ils donnaient leur meilleur capitaine qui avait été acclamé par leur roi: le capitaine Ariobarzanès ainsi que son esclave grecs Euthydémus.
L'Arménie accépta ce marché et les soldats furent encouragé à rentrer chez eux. Otanès lui resta avec l'états-major pour voir le sort du prisonnier. Ce dernier révéla que Le Pont ne pouvait plus affronter l'Arménie car un nouvel ennemi était arrivé à l'Ouest. Les aigles de Rome avaient débarqué en Asie mineur et conquérait tout les peuples qu'ils rencontraient.
Inquiété par cette étranges nouvelle et éffrayé par celle de la défaite du pont et sa destrustion par les légions romaines le roi d'Arménie chercha par tout les moyens à crer une armée capable de repousser cet adversaire implacable.Il reforma la Grande Armée qui avait servit contre le Pont, recruta des cataphractes cavaliers ou archers, des archers et des peltastes des montagnes du Caucase et alla même jusqu'en Arabie pour y recruter des mercenaires locaux.
Mais tous ces effort furent vint, en effet cette gigantesque armée fut détruite, écrasé par les légions romaines al1ors en numérique. Ces derniers avait tous simplement tendus une embuscade parfaite dans les montagnes et vaincus toute les force que l'Arménie possédait.
Alors, par désespoir de cause, le roi arménien envoyat Otanès et d'autres personnages important du royaume voir le Roi des Rois, Arscaces 3, Empereur de la Parthie, pour obtenir son aide contre Rome. Les Parthes accéptèrent cette offre en échange d'une vassalitée de l'Arménie envers l'Empire Parthe. Le roi arménien accépta cette contre-offre malgrés son déshonneur. A partir de ce jour l'Arménie fut soumise soit à Rome soit aux Parthes mais ne fut plus jamais libre, comme Phraaspa, la ville natale d'Otanès qui y finit ces jours, elle qui fut conquis par l'Arménie.
Ariobarzanès et Euthydémus eux restèrent à la frontière arméno-pontique et organisèrent une résistance contre Rome l'empéchant d'entrer en Arménie l'aidant à y sortir, mais ceci c'est une autre histoire
Enfin n'oublier d'honorer ces héros dont je vous conte les histoire
magnifique histoire de l'arménie et du pont.
pas mal du tout
Moi je dis sublime
j'arrive pas a lancée le jeu
putain y a anthonyuss de retour
il va nous faire chier.
Dans une semaine il "seras" a l'armé donc osef
Comment tu sais ?
si seulement il pouvait etre envoyé en afghanistan
+1
pour léonidas: http://www.youtube.com/watch?v=pi2WS_HDp8k&feature=player_detailpage
http://www.youtube.com/watch?v=wklYo-0Rdv8&feature=player_detailpage
http://www.youtube.com/watch?v=I6r0I564rr8&feature=player_detailpage
Bonne initiative tavernier
Désolé j'ai^pas vu l'heure et donc le conte ne seras pas posté à l'heure abituelle :désolé:
Vous vous rappelez d'Ariobarzanès, le Pontique qui avait rejoints Otanès pour signer la paix entre l'Arménie et Le Pont? Et bien aujourd'hui c'est son histoire qui va vous être contée.
Fils d'un noble Pontique il a toujours eu une passion pour la guerre et la politique. A 16 il entre dans l'armée au poste de capitaine et ce fut lui qui vaincu les Sélucides et pris Sardes, la ville natale d'Athénodore. Avant cela il c'était déjà illustrer à Ancyra en tenant lui et quelques soldats oriantaux contre les barbares d'origine celte, les Galates. Ensuite il fut nommé capitaine du flanc gauche de l'armée de conquète de l'Arménie et puis vous connaissez la suite.
Mais alors que les Parthes et les Romains s'affrontait continuellement pour le contrôle de l'Arménie, Ariobarzanès et son esclave Euthydémus le Grec essayait de rendre d'abord l'Arménie mais surtout Le Pont libre du joug des 2 Empires. au début de cette résistance, Ariobarzanès ce proposa aux Romains comme guide pour conquérir l'Arménie, ceux-ci croyant que la Fortune leur souriait une fois de plus suivirent leur guide...tout droit dans une embuscade Arméno-Parthe qui anéhentit les romains.
Le gouverneur de Bythnie-Pont, Hénérius Fluvius Sérénus, furieux de cet échec retantissant rassembla toutes les légions d'Asie Mineur, de Grèce et de Macédoine pour conquérir l'Arménie rebelle. Cette fois, Ariobarzanès n'était pas là pour contrecarrer les plans romains, en effet il était dans les montagnes du Pont, entrain de rassembler brigands et mercenaires pour des opérations de guerrilla.
Les Parthes repoussés, l'Arménie devenu romaine, Hénérius Flavius poivoisant dans Artaxarta comme un roi conquérant, tant de d'humilliation pour l'oriant que les peuples décidèrent de montrer à Rome la vaniteuse que si Mars l'avait soutenut l'Oriant avait lui aussi ses dieux pour le soutenir.Que ce soit Zoroastre chez les Parthes et les Arméniens, Arès chez les Pontiques, RA et Horus en Egypte ou même Yahvé en Judée tout les hommes sous la protection des ces dieux s'engagèrent contre Rome. Les Parthes profitèrent de la rébéllion en Arménie pour réinvestir la région, Ariobarzanès fut émus de voir un nouveau roi sur le Trône du Pont, Les Juifs se rebéllèrent contre l'opprésseur et l'Egypte cessa de fournir du grain à Rome.
Le Sénat destitua Hénérius Flavius Sérénus de son poste de gouverneur, la placant à la fonction de préteur, un jeune général pris sa place, Pompée, car telle était son nom récupéras l'Egypte et la Judée si rapidement que les Oriantaux ne purent réagir. Puis il marcha sur le Pont et là il eut des difficulté car alors que le roi du Pont l'attaquait avec des armées innombrables Ariobarzanès l'harcelait avec ces toupes de guerrilla. Mais inéluctablement les légions battait leurs adversaires et le Pont redevint province romaine.
Ariobarzanès lui mourut en héros durant la prise de Sinope. Accompagné de 120 mercenaires oriantaux, de 100 piquiers du Pont et de 80 soldats d'élites de l'Oriant.Ces derniers avait été creer par le nouveau roi du Pont, ils ce voulaient les héritiers des Immortelles de Darius III le Grand. Ces 300 guerriers, mener par notre héros se battirent avec le rage du désespoir dans les rues de Sinope.
Ariobarzanès lui combattit comme un démon d'après ce que rapportèrent les Romains. Une épée dans une main, un blouclier de cuir dans l'autre il se jeta dans la mélée et tua moulte ennemis, parrant de son bouclier, tailladant de son épée. Sa fureur fut telle qu'elle en inspirat ses compatriotes qui repussèrent les romains. Vague après vague ils repoussèrent les auxxilaires et les cavaliers laissant ainsi le temps au roi du Pont de préparer la place centrale contre les romains. Mais hélas les légionnaires arrivèrent et les oriantaux ne purent résiter, ils se repllièrent sur cette place désormais fortifiée.
Les romains s'alignèrent devant les derniers résistants du Pont, ils réspiraent le mépris de ceux qui savent qu'il ont gagné d'avance. Ariobarzanès ne l'accépta pas montant un chaval de cathaphracte, il menat à la charges ces cavaliers carrapaconnés.Le contacte fur si brutal que 2 romains furent empalés par sa lance mais lui fut éjecter de sa selle et se retrouvat au milieu des adversaires. Par réflexe il tua un romains en lui enfoncant son bouclier dans le crâne, puis il récupéra un glaive et combattit une lame dans chaque mains.7 Romains tombèrent avant qu'Ariobarzanès mourut les armes à la mains, le corps percer de multiples blessures et priant Zoroastre et Zeus pour le salut de la vie de son esclaces Euthydémus.
Ce dernier réussi à fuirent Sinope en feu et retourna auprès d'Otanès à Phraaspa pour lui raconter la fin de la vie de son maître, le plus grand héros du Pont qui mourut pour son pays. Otanès impréssioner par le courage de son ami fit venir un scribe Parthe chez lui pour qu'il retranscrive son histoire et celle d'Ariobarzanès.
C'est en fouillant dans les archives de l'Empire Parthe à Ctésiphon que j'ai découvert ces 2 histoires et j'ai donc décidé de les transmettre à tous ceux qui voulait connaître les grands noms d'Oraint.
N'oublié pas de voter pour la faction d'origine du prochain héros qui seras à l'honneur dans le prochain conte que je vous relaterais en attendant je vais siroter ce vin si délicieux et que j'ai gratuitement.