publi!!!
La ferme Kyadark, je doit l´écrire avant alors tu te calme et tu reste gentil!!!
Capito?
mé person li ta fanfic! ( alor boss et sor nou un nouvo chp ce soir!!!
Kyadark Couché!! Méchant chien!
C pour ton bi1 alor T vannes a 2€ tu peu te lé metr ou je panse ( kriby64 a été asé kler la dessu) tu a un chap a écrir
j´atta
tu te fout de moi (
Kyadark, la ferme! Tu commencer vraiment à me faire c.... d´abord, ce n´est plus notre fanfic étant donné que je sui le seul à travailler dessus. Ensuite, moi je travaille comme je veux et je me permet de te remémorer l´épisode 6 que tu a mis deux semaines a écrire alors que tu n´avait que un tiers du texte à faire!
Le voilà enfin. Bonne lecture
Chapitre XII : Histoires de vie
Le vent gonflait les voiles beiges du petit bateau. Le « Layandra » était un bateau de pêche au gros. Il n’y avait pas de filets mais d’énormes hameçons afin de pouvoir attraper un grand nombre de grosses proies. Mais le bateau n’était pas parti de la ville pour pêcher ; il filait en vent arrière droit vers le Sud en s’éloignant du grand village portuaire d’Hautevue malgré le temps orageux. A son bord, en plus des trois membres d’équipage, il y avait un grand homme blond aux cheveux très courts et un roux légèrement plus petit.
Samos regardait son village d’un air triste. Zorisk, qui se tenait à ses côtés reprit son souffle en regardant la mer qui glissait sous le bateau. C’était la première fois de sa vie qu’il prenait le bateau et le temps défavorable fit de ce trajet une bien mauvaise expérience pour lui. Zorisk décida de se concentrer sur son équipement. En plus de tous les objets de secours qu’il avait pris avec Samos, il n’avait qu’un gros bracelet de fer qui lui couvrait tout l’avant bras et le livre qu’il avait pris dans la bibliothèque du prêtre. Ce dernier s’intitulait « Ouvrage sur la nécessité de concentration et de maîtrise de la canalisation du Mana Lumineux pour permettre l’appariation d’un Glyphe Ashkénaze », de Torouxis Paitonku, le genre de livre dont le seul nom vous donnait mal la tête. Ce livre énorme était sans doute fort pratique pour le combat physique et était sans doute encore plus efficace que le Rouge et le Noir ™, mais l’absence d’exsphère, normalement implantées sur les couvertures de livres magiques, empêchait toues attaques telles que le Tourbillon de Papier ou la lame de l’attaque Cape et Epée.
Zorisk reposa un court instant sa tête dans sa main gauche qu’il éloigna aussitôt : il saignait légèrement du nez. Il se pencha immédiatement par-dessus bord pour que le sang tombe dans la mer et demanda de l’aide à Samos. Ce dernier sortit de sa léthargie et s’empressa de soigner le jeune élu qui était toujours penché par-dessus le bastingage. Cela ne prit qu’une minute à son sort de coagulation de stopper le saignement et le prêtre déclara que c’était très certainement dû à la fatigue. Les dernières gouttes de sang tombèrent dans la mer et Zorisk se redressa lentement quand une immense créature jaillit de l’eau en refermant sa mâchoire à l’endroit où la tête de Zorisk se trouvait juste avant.
Tout l’équipage hurla de stupeur tandis qu’un éclair zébra le ciel. A côté du bateau se tenait l’immense serpent vert aux immenses nageoires rouges et aux yeux injectés de sang qui avait pris Zorisk en chasse deux jours plus tôt. Tout l’équipage se mit à blêmir et un jeune pêcheur brun avec un petit bouc murmura en tremblant : « Paviathan… ». Avant que l’élu du Mana n’ait eu le temps de comprendre ce qu’avait dit le matelot, ce dernier courut vers l’autre côté du bateau et sauta du pont dans une tentative de fuite désespérée. La créature marine bondit hors de l’eau à une vitesse impressionnante et, tout en battant des nageoires, passa au-dessus de l’embarcation et attrapa le corps du jeune pêcheur avant même que celui-ci ne touche la surface de l’eau. Le capitaine Fasht, son second, Samos et Zorisk ne purent qu’assister, impuissants, à l’ingestion de leur camarade malchanceux. Le serpent l’avala tout rond alors que le pauvre homme hurlait d’horreur et de douleur, déjà grignoté par les sucs gastriques de la bête aquatique.
Fasht se jeta soudainement sur le gouvernail et vira vers l’Ouest en s’éloignant du monstre. Son second se jeta sur une corde qui était attachée et tira dessus de toutes ses forces afin d’aligner le mat avec la ligne de symétrie du bateau. L’embarcation fila grâce au vent qui s’engouffrait dans la voile principale. Le monstre marin les prit en chasse, visiblement très intéressé par le visage couvert de sang de Zorisk. Ce dernier s’approcha de l’arrière du bateau et hurla : « Foudre ! » Un éclair tomba du ciel juste à côté du monstre qui zigzaguait à vive allure tout en gardant sa tête hors de l’eau et en brassant l’air très rapidement aux moyen de ses nageoires. Samos prit son arbalète noire, tourna une manivelle et prit une petite flèche avec un bout noir et rond. Il visa à gauche du serpent des mers et appuya sur la détente. Le carreau fila a toute allure et toucha l’eau à côté du monstre marin. Il y eu une explosion et l’eau se souleva. Le monstre cessa son mouvement de zigzag et s’éloigna du lieu de l’explosion juste à temps pour se prendre un carreau au fond de la gorge. Samos avait tout prévu et le carreau explosa au fond de la gorge du monstre. Le monstre s’enfonça dans les embruns en poussant une longue plainte suraiguë.
Tout le monde à bord sauta de joie mais soudain, le monstre ressurgit de l’eau. Il était vraiment en piteux état mais la fureur lui donnait la force d’emporter celui qui causa sa perte dans l’autre monde. Saignant terriblement, il réussit néanmoins à rattraper le navire de pêche tout en étant entouré d’un nuage noir, et tenta d’attaquer Samos qui hurla aussitôt : « Photon ». Une rune lumineuse se forma sur la queue du serpent avant d’exploser dans une superbe lumière. La bête hurla en relevant son cou déchiqueté et Zorisk profita de ce court répit pour matérialiser ses ailes et pour s’envoler afin de donner un bon coup d’« Ouvrage sur la nécessité de concentration et de maîtrise de la canalisation du Mana Lumineux pour permettre l’appariation d’un Glyphe Ashkénaze » en plein sur la gorge qui explosa. Les petits lambeaux de peau qui maintenaient encore le contenu de la gorge dans de corps du serpent n’avaient pas pu résister à cet assaut. Samos ouvrit la petite boîte en bois de sapin, elle contenait un carreau d’argent superbe, sans doute très puissant et rapide, il le posa sur son arbalète et tira. Le jeune Elu enchaîna tout de suite avec un sort Lance de Flammes qui fusionna avec le carreau à la grande surprise de Zorisk. La flèche enflammée transperça le crâne du « Paviathan » de part en part et acheva la créature agonisante. La bête coula dans une eau rouge de sang et des charognard s’occupèrent des restes de son corps.
« Je t’ai eu finalement, fanfaronna Zorisk en se passant la main dans les cheveux, ne t’avise plus de me chercher des noises ! »
Zorisk revint au bateau en quelques battements d’aile. Sur le pont, l’ambiance était partagée entre la joie d’avoir tué ce monstre terrible et la tristesse d’avoir perdu un membre de l’équipage.
Zorisk s’appuya sur le rebord du bateau, il pensait à Nuke et à Naab ; Samos vint le rejoindre :
« Tu sait que c’était Paviathan ? demanda ce dernier, un gros monstre qui attaque nos pêcheurs depuis des années.
- Ah bon, répondit mélancoliquement Zorisk, ça va faire plaisir aux habitants de Hautevue.
- C’est sans doute ton sang qui l’a attiré. Ce ne serait pas le monstre dont tu m’avait parlé par hasard ?
- Si.
- Mais un truc m’a surpris. Tu arrives visiblement à utiliser de la magie alors que tu as un mana d’humain.
- Oui, j’ai appris étant petit.
- Mais je ne savais pas que des humains pouvaient concentrer leur Mana suffisamment pour pouvoir invoquer des sortilèges ?
- Eh bien en fait si, on peut. Ca remonte à mon enfance.
Comment ça ? demanda le prêtre, intrigué, tu veux bien me raconter ?
- Si ça t’intéresse, dit l’Elu en levant les épaules. Je suis le fils du cordonnier de Flanoir et dès le début j’était différent des autres car à Flanoir, quasiment tout le monde a les cheveux de couleur très sombre, mais les miens sont rouges sang. Vers mes trois ans, ma sœur Zana et née et tout a changé car elle avait dans sa… euh enfin, elle avait des cheveux normaux. Du coup tout le monde me traitait de bâtard…
Donc, j’ai grandi plutôt seul, mais je n’était pas le plus atypique du village. Déjà il y avait la famille Chaotix, très sombres et peu ouverts, des anciens chasseurs de démons aux manières très…enfin bon. Et puis il y avait aussi un vieil homme qui vivait toujours à part des autres. Vu qu’il voyait qu’entre les cours, je faisais incessamment le tour de la ville a pied, sans but précis et un jour il m’a interpellé alors que je passais devant chez lui et naïvement je l’ai suivi. Je sais pas pourquoi, il s’est mis à m’expliquer pleins de trucs sur le Mana, sur la magie, sur les esprits originels et sur leur contrôle. Finalement, lorsque j’ai dû retourner en cours, il m’a juste dit qu’il s’appelait Tykan. J’allais souvent chez lui et il m’apprenait son art. C’était vraiment très dur, je ne pouvais même pas concentrer mon Mana suffisamment four faire remuer l’eau dans un verre au début.
- En parlant d’eau, coupa Samos, voilà qu’il nous en tombe dessus. Nous ferions mieux de rentrer. »
Joignant le geste à la parole, Samos ouvrit une porte et il s’engouffra suivi de Zorisk dans une toute petite pièce avec quelques chaises et une table en bois munie d’un chandelier tandis qu’il se mettait à pleuvoir intensément. Samos s’assit et repris la conversation en regardant par une petite fenêtre:
« Ce n’est pas prêt de s’arrêter hélas. Hautevue est si proche de l’équateur qu’il n’y a presque aucuns vents. Si jamais des nuages réussissent à se regrouper, il leur faudra beaucoup de temps pour partir. Ils couvent depuis plus d’un mois, il allait pleuvoir à un moment où a un autre.
- On ne voit presque plus rien dehors. Observa le rouquin en jetant un coup d’œil par la fenêtre.
- Donc tu me disais qu’il t’entraînait à faire de la magie ?
- Oui. Tykan ne cessait de me dire que j’avais du talent et qu’il sentait un important Mana en moi et que j’arrivais sans peine à le catalyser. Vers mes 11 ans, j’arrivais sans peines à allumer des bougies »
Zorisk souffla sur la bougie présente sur le chandelier, il fit passer sa main devant le sommet de la bougie qui reprit son embrasement aussitôt.
« Et là, tout s’est mis à changer, reprit sombrement Zorisk. J’usais de magie dans ma vie de tous les jours et des personnes me fréquentaient rien que pour me voir user de magie. Personne ne faisait ça dans le village à part les Chaotix, mais eux, leur magie ténébreuse faisait peur alors que moi, je faisais fondre la neige sur des pentes pour rendre le sol très glissant afin de jouer dessus et j’aidais souvent le chimiste Nuke à réaliser des réactions chimiques rapidement. Mais un jour, alors que j’avais 14ans, j’ai envoyé une décharge électrique dans un petit cours d’eau chaude qui passait dans les collines près du village et les jeunes filles se baignaient dans la source toute nues. Elles sont sorties en criant pendant que les garçons ( qui étaient au courant de mes intentions) les observaient courir vers leur domicile dans leur plus simple appareil. Naabobrun Chaotix, qui était la plus âgée des filles qui se détendaient, me coursa pendant toute la nuit munie d’une dague très aiguisée et le lendemain, Tykan prétexta vouloir s’excuser de mon comportement auprès de la famille de chasseurs de démons et se jeta du sommet de leur maison qui est la plus grande de Flanoir. »
Zorisk marqua un temps d’arrêt, puis reprit :
« Il était mort sur coup…Je me souviens encore de sa dépouille dont le cerveau coulait lentement hors de sa boîte crânienne fendue… En plus, tout le monde savais que je faisais de la magie et cet événement réveilla un grand nombre de commérages sur la nature de mon père. Mes parents se disputaient plus entre eux qu’ils ne me disputèrent pour l’histoire du choc électrique dans l’eau et l’on pensait que ma mère avait eut des infidélités avec un elfe ou un demi-elfe roux, bien que je doute qu’elle n’ait fait une chose pareille. Seules ma sœur Zana et sa copine Fania furent gentilles avec moi ( sans doute parce que j’ai volontairement attendu qu’elles sortent du bain d’eau chaude pour électriser le courant).
- … tu sais, reprit le disciple de Martel après une courte réflexion, il n’est pas impossible que ton père biologique ne soit pas ton père. Il paraît que les Elus du Mana sont en réalité les enfants d’un ange et d’une humaine. Je vois bien le tableau : ton père travaille, pendant ce temps ta mère reste seule à la maison, un ange se glisse en douce dans son dos, et soudain il se jette sur elle ! Lui arrache ses vêtements et …
- STOP ! STOP ! hurla Zorisk, à la fois surpris et dégoûté par les propos du prêtre. Merci mais je ne veux pas entendre cette histoire. Qui plus est, je doute fort que mon géniteur soit un ange, ça n’a rien à voir avec ça, j’en suis sûr !
- Mais enfin ? Qui sait, un ange roux ! Toutes tes différences s’expliqueraient.
- Peut-être, mais je suis sûr que mon père est mon vrai père ! dit Zorisk gêné tout en sachant bien que c’était Zana la véritable élue.
- C’est triste que ton mentor se soit suicidé, il aurait pu t’aider dans ton périple.
Je ne comprend pas pourquoi il à fait ça…Mais ce serait lié a mon…euh… petit tour avec les filles.
- Du côté obscur, l’utilisation néfaste de la force est le principal chemin, marmonna Samos en fermant les paupières et en joignant les mains.
- Heeeeeiiiiinnn ? fit l’Elu avec une voix stupide.
- Il t’avait formé pour utiliser la magie afin d’aider les gens, déclara son interlocuteur en redevenant normal, et toi tu t’en sert pour faire du voyeurisme il désespère et se suicide plutôt que de te voire utiliser son art pur faire le mal.
- Je ne suis pas sur. Peut-être que j’était tout simplement nul et qu’il trouvait que cela ne valait plus la peine de m’entraîner.
- En tout cas, je sens émaner de toi un Mana impressionnant pour un humain.
- C’est vrai ? demanda Zorisk.
- Oui, c’est pour cela que j’ai d’abord cru que tu était un demi-elfe. Et vu que tu arrivait à contrôler la magie…
- Mais ? Un minute… Toi aussi tu lance des sorts ?
- Euh…hésita Samos, en fait c’est un peu compliqué… »
L’obscurité était propice aux déplacements discrets. Personne ne le voyait mais lui voyait le bateau entre les vagues générées par le vent. Il voyait quatre formes humaines qui dégageaient de la chaleur. Il n’avait plus qu’a se servir.
« Eh bien… dit Samos d’un ton assez gêné. Moi, en réalité c’est en lisant un grand nombre de livres et d’articles sur la magie blanche que j’en suis arrivé à ce niveau. Ce sont mes parents qui avaient prit un grand nombre de livres traitant de la magie car il pensaient que je n’aurais aucun mal a l’apprendre bien qu’ils n’eussent jamais été capables d’utiliser de la magie.
- Tes parents font quoi comme type de travail pour déceler ce type de comportement ? demanda Zorisk, intrigué.
- Faisaient…
- Oh ! sursauta le roux avant que sa peau ne prenne la même teinte que ses cheveux. Je suis désolé…
- Je m’y fait très bien, ça fait 120 ans qu’ils sont morts.
- ?
- Eh bien, en fait je suis un elfe. Mes parents sont morts de vieillesse il y a longtemps.
- …mais je n’ai jamais entendu parler d’elfes qui adoraient Martel.
- Et avant toi, je n’avais jamais entendu parler d’humains qui savent faire usage de magie.
- Tu décline ma question…
- Bon, si tu veux tout savoir, mes parents étaient des humains. Ne fait pas cette tête là, ce n’étaient pas mes vrais parents. Ils m’avaient trouvé tout petit dans une forêt près de Meltokio et mes parent étaient visiblement morts tués par les désians. Mes parents adoptifs étaient des croyants profonds, aussi j’ai eu une éducation religieuse. Va savoir comment, ils savaient que j’était un elfe alors ils ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour que je puisse apprendre à faire de la magie comme la plupart des elfes tandis que je devenais prêtre.
- D‘accord, dit lentement Zorisk…
- Et puis, après leur mort, j’ai cherché un endroit tranquille et j’ai vu sur un planisphère une grande île sans fermes humaines et je m’y suis rendu. Une fois sur place, je me suis rendu compte que cette île était un véritable refuge pour ceux qui fuyaient les désians. Et vu qu’il n’y avait pas d’église de Martel, j’en ai crée une dont je suis prêtre depuis un peu plus d’un siècle. »
Les deux hommes restèrent silencieux quand soudain, il y eut un choc et tout le navire trembla. Zorisk se releva et ouvrit la porte qui menait au pont. Il pleuvait des cordes et la bateau tanguait. Samos sortit aussi dehors juste a temps pour voir que l’arrière de l’embarcation était entièrement détruit. Fasht et son second quittèrent le poste de pilotage pour voire ce qui se passait et ils poussèrent un hurlement en voyant une immense silhouette sombre s’approcher du voilier a grande allure. On distinguait à peine la forme à cause du ciel noir mais visiblement, ça avalait le bateau. Elle avançait et la pluie cessa rapidement de toucher l’arrière du navire, interceptée par la chose qui recouvrait le bateau. Limite entre la zone touchée par la pluie et la zone mise à l’abri s’approchait des hommes qui tremblaient de peur. Zorisk voulut déployer ses ales et s’enfuir mais une odeur chaude et infecte lui fit tourner la tête. Il tituba un court instant et tomba à terre suivi du reste de l’équipage et de Samos. Il essaya de lutter contre la nausée et l’évanouissement mais il ferma les yeux et sombra dans le bleu le plus complet.
Vous voyez, je l´ai sorti.
Kyadrk n´y est pour rien
Bon, ben, voilà, Zorisk l´élu du Mana c´est fini Dévoré par une grosse créature marine. La tour du Salut se dissipa et Nuke et Naab comprirent tout de suite ce qui s´était passé, il retournèrent penauds a Flanoir où un enfant naquit une semaine plus tard en teant dans sa main une petit gemme rose.
Merci beaucoups de m´avoir supporté, c´était sympa.
@+ Le topic
A vous de mettre des commentaires maintenant, j´aimerai connaitre les fautes d´écriture et les non-sens.
c´était bien ta fic,mais pourquoi la fin?
c´est trop cruelle
oh c´est dommage que ce soit déjà fini et quelle fin tragique
sinon pour ce dernier chapitre à part lesfautes d´orthographe il n´y a rien d´autre...
Le problème c´est que j´ai pas trop de temps.
Je vais voir pour le petit message de conclusion, peut être que je remetterait un nouveau chapitre entre ces deux messages
Mais sur le chapitre en lui même, vous n´avez rien a dire?
. .. il y a des gens vivants?
moi mais j´ai déjà exposé ma critique
a ba C pa tro to, je li!