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Paranormal

Sujet : [Officiel] Le topic des creepypasta
NeoNime
Niveau 4
15 juillet 2014 à 13:10:36

BlackMoon ---> Tu vien du 74 ? :content:

kermekx
Niveau 6
15 juillet 2014 à 19:22:28

Bonjour à tous, je m'appelle John KERMEKX, et je vais vous compter mon histoire, enfin, du moins, ce qui va vous permettre de mieux me connaître.

Tout d'abord, je suis naît dans une ville les plus pauvres de France, Roubaix. Je suis naît par accident, et mes parents n'avaient pas assez d'argent pour m'élever, ces pourquoi ils ont décidé de m'abandonner, l'avortement n'étant pas encore autorisé. Ils m'ont abandonné dans un sentier très fréquenté, près d'une foret, du moins pas à l'aube, ils l'ont donc, évidemment fait à l'aube, aux environs de 4h30, pour ne pas se faire remarquer, en espérant qu'un jogger me trouve, mais ce ne fit pas le cas, car, le terrifiant Slenderman entendit mes cris, et m'enleva.

Vous vous demandez sûrement ce que je fais là, à vous écrire ce message, et bien moi aussi, je me demande pourquoi il m'a laissé en vit, et plus que ça, pourquoi il m'a choisi. L'une des raisons les plus probables, c'est peut-être dû à ma date de naissance, le 11 septembre 1991, 10 ans jour pour jour, avant l'un des attentats les plus meurtriers de l'histoire. Mais aussi, certainement, a mon âge très jeune, je n'avais que 3 jours, et donc, il pouvait m'éduquer, comment dire, à sa façon, et sans aucun problème.

Pourquoi je dis qu'il pouvait m'éduquer très facilement, car il l'a fait! Et grâce à lui, certains diront que c'est à cause de lui, je suis devenue un meurtrier redoutable, en effet, il m'a appris à me téléporter, mais aussi à étourdir les gens, ce qui fait que, je peux me rendre très rapidement derrière ma cible, et ça, à n'importe quel endroit, et au moment où elle si attend le mois, lui faire peur et l'étourdir, ma cible devient alors incapable de se défendre, et là je peux la tuer, et sans aucune arme, puis je laisse un message, et j'immortalise la scène.

Vous devriez facilement devinez ce que j'aime, avec ma longue description, le sang, les morts et surtout tuer. Mais aussi, moins évident, j'aime qu'on me représente, c'est d'ailleurs pour cela que je me prends en photo, et que je me dessine après, pour assoupir mon fantasme. Et bien sur, je n'aime pas la vie, ceux qui disent que les creepypastas sont faussent, certaines le sont, mais d'autres non...

Donc voilà mon histoire, à oui et pour ceux qui veulent savoir pourquoi KERMEKX, car ce n'est bien évidemment pas le nom de famille que j'ai eu à ma naissance :

Kill'Em, Realy Must Ever Kill, X

Vous êtes à présent maudit, d'ailleurs, dire KERMEKX vous maudira aussi.

Et le X est pour la forme de ma bouche, mais aussi la forme qu'on retrouve sur mes victimes.

Je vais maintenant passer aux choses sérieuses, et vous montrez la preuve de mon existence.

L'une de mes victimes les plus célèbres, est très certainement TUPAC, eh oui, je n'avais que 6 ans, mais Slenderman m'a fait apprendre très rapidement, TUPAC a été retrouvez dans une mort très étrange par la police, c'est pour cela qu'ils ont dû faire passer cela pour un règlement de comptes, j'ai bien sûr pris soin de faire un sel fie avec lui, voici la photo :

http://s1033.photobucket.com/user/kermekx/media/tupac_zps11d665ba.png.html

Comme vous pouvez le voir, il y a des formes de X sur son corps, de plus une marque dans le coup. je suis désolé pour la qualité de l'image, comme je vous l'ai dit, j'adore les Fan Art, c'est pour cela que j'en ai fait un de moi-même à partir de la photo, de plus, la photo aurai été supprimer d'internet.

De plus, j'ai aussi fait d'autre dessin à partir des Selfies de mes crimes, en voici ma première victime : http://s1033.photobucket.com/user/kermekx/media/crime_zpsee9404e6.png.html

Et car je vous laisse une chance, je vous dis comment conjurer le sort, que vous avez recu en lisant : Kill'Em, Realy Must Ever Kill, X

Il suffit de faire un Fan Art de moi, ou quoi que ce soit en rapport avec moi, ou alors de tuer toutes les personnes que vous aimez, ceci n'est pas agréable, n'est-ce pas, sinon, c'est moi qui vous tuerai. N'hésitez pas à me les envoyer par mail, je ne tue pas derrière un écran. john.kermekx@gmail.com

Lord_Of_Cactus
Niveau 6
18 juillet 2014 à 13:16:02

reveslucides.org
Un rêve lucide est un rêve durant lequel le rêveur a conscience d'être en train de rêver. L’utilisation de l’adjectif « lucide » en tant que synonyme de « conscient » a été introduite en 1867 par l'écrivain, sinologue et onirologue français Léon d'Hervey de Saint-Denys dans son ouvrage « Les Rêves et les moyens de les diriger ».

Les rêves lucides, vous connaissez sans doute ce phénomène qui nous permet littéralement de « vivre » dans notre rêve. Oui, tout un monde de liberté que nous offre la Nature, ou plutôt notre tête. J'ai été fasciné par les « RL », terme que l'on utilise souvent pour parler des rêves lucides sur les forums appropriés, depuis le jour où j'ai appris leur existence. Étant enfant, j'avais déjà vécu ça, mais je n'y prêtais pas attention.

« La curiosité est un vilain défaut », m'a-t-on maintes fois répété. Une leçon de morale parmi tant d'autres, mais celle-ci est véridique.

Voici mon histoire.

Juin 2013, j'obtiens des vacances d'un mois entier, moi qui les attendais tant...
Je ne suis pas un homme extraordinaire, je suis un simple salarié d'entreprise, peut-être comme vous.
Je rentre chez moi, comme tous les soirs. Je vis seul, je n'ai pas de famille. J'ai coupé tous mes liens sociaux pour recommencer ma vie, je suis un solitaire.
La maison paraît bien vide, elle serait parfaite pour tourner un nanar d'horreur Hollywoodien.

Je m'égare. J'ai donc un mois de vacances, je peux enfin me plonger dans ma passion : le monde onirique. Vous savez, mon travail occupe la majorité de mon temps. Je finis par oublier que derrière mon statut d'employé se trouve un passionné.

J'ai l'habitude de fréquenter des sites spécialisés dans le Rêve et ce qui l'entoure. Mon historique en est rempli. « ld4all.com », «http://reveurslucides.xooit.fr », « http://www.attrape-songes.com/forum/index.php ». Tous ces sites ont la même vocation.
Mais entre ces sites, se trouve celui que j'ai fréquenté pendant quelque temps, avant d'être supprimé subitement du web. « rêvelucide.org », plus aucune trace. Rien.
Mais rassurez-vous, par chance j'ai gardé une image du site. J'ai pris cette habitude après avoir lu quelques histoires, comme par exemple celle d'un certain site de vidéos dérangeantes.

Voici la page d'accueil du site en question:

http://img11.hostingpics.cs.net/pics/972573Screen01.jpg

Site classique au premier abord, il contient de bons articles.
Mais ce qui reste le plus intéressant est son forum, très pauvre en apparence.
Après avoir lu quelques topics, je m'inscris.

Nous sommes le soir, et j'ai des réponses sur mon topic de présentation, quelques membres lambda me disant bienvenue. Dont le fondateur.
Je remercie lesdits membres et commence à jeter un œil sur les topics.
Le forum était partagé en trois sections, « l'Administratif », les « Rêves » et « Autres ».
Organisation classique, en somme.

Après avoir fouillé un peu partout, je découvre un sujet intitulé « Le silence » créé par un nouveau membre, comme moi.
Voici ses dires « J'ai découvert ce fichier mp3 récemment, ce son est censé vous faire entrer en rêve lucide. Écoutez-le tard le soir, avant de vous endormir.

Cependant attention, si vous entendez le moindre bruit parasite ou autre lors de la lecture du son, coupez immédiatement et ne dormez pas, je ne plaisante pas.
Ces ondes sonores sont censées être à la limite de l'inaudible, mais peuvent avoir des conséquences graves si la personne qui écoute n'a pas un système auditif adapté.
La recherche des limites de la conscience humaine est dangereuse. Nous sommes faits de telles sortes que certains éléments nous soient imperceptibles, inconnus. En essayant de provoquer une paralysie du sommeil ou un rêve lucide, vous pourchassez des leurres. Car le danger est à vos trousses pendant chaque seconde que vous accordez à ce domaine. »

Les membres commencent à gueuler, c'est n'importe quoi selon eux.
Mais l'un d'eux, un dénommé « PatricMJ » dit vouloir essayer pour l'amusement.
Après quelques dizaines de minutes un nouveau post du même membre est envoyé sur le topic, il dit avoir entendu une sorte de grésillement, ça l'a fait rire.
Il ajoute même qu'il part se coucher pour montrer à l'auteur du topic que tout n'est qu'une connerie de superstition, il dit revenir demain matin pour se foutre de la gueule du type. Auteur qui réplique dans la minute, il dit qu' « il faut éviter TOUT SOMMEIL avant au moins une trentaine d'heures ! ». Conseil que n'a pas l'air de vouloir suivre le patric.

Par curiosité, je lance le son. Un fichier de 20 secondes dont rien n'est sortit. Je suis un peu rassuré à vrai dire.

La nuit passe.

Je n'ai pas fait de rêves, j'étais complètement épuisé et je me suis réveillé vers midi.
Je me connecte au forum, Firefox me dit que la page recherchée n'existe pas.
N'ayant aucun moyen de communication avec les membres du forum, je n'ai pas d'autre choix que d'attendre.

Les jours passent.

Quelque temps après la disparition du forum, l'accueil du site a subi un changement également, je vous laisse en juger.

http://img11.hostingpics.cs.net/pics/490497screen02.jpg

Malgré les demandes du fondateur, je poste le fichier mp3 sur youtube.
Je me suis créé ce compte uniquement pour poster cette vidéo, je ne répondrais à aucune question ou demande que je recevrai par MP
Voici le lien : https://www.youtube.com/watch?v=9yOaxgNO3lk

N'oubliez pas, si vous entendez des bruits, évitez de dormir.

______

http://creepypastafromthecrypt.blogspot.fr/2014/06/reveslucidesorg.html

ezekiel_necrono
Niveau 4
18 juillet 2014 à 16:33:00

L'expérience russe d'hypnologie (The russian sleep experiment)

Durant la fin des années 1940, des chercheurs russes ont gardé cinq personnes éveillées pendant quinze jours en utilisant un gaz expérimental basé sur des stimulants. Ils étaient enfermés dans un environnement scellé afin de pouvoir contrôler leur consommation d’oxygène de manière à ce que le gaz ne les tue pas, étant donné qu’il était toxique à partir d’une concentration élevée. Cela a eu lieu avant l’invention des caméras en circuit fermé, ils n’avaient donc que des microphones et des fenêtres de verre épais d’une douzaine de centimètres en forme de hublot qui permettaient de les surveiller. La chambre était équipée de lits d’appoint sans literie, de l’eau courante et de toilettes, et contenait des livres et suffisamment de nourriture sèche pour qu’ils puissent tenir à cinq pendant plus d’un mois.

Les sujets de test étaient des prisonniers politiques jugés ennemis de l’État durant la Seconde Guerre Mondiale.

Tout s’est bien passé pendant les cinq premiers jours ; les sujets ne se plaignaient que rarement, car on leur avait promis qu’ils seraient libres s’ils acceptaient de subir le test et de ne pas dormir pendant trente jours (bien que la libération fût hors de question). Leurs conversations et leurs activités étaient surveillées, et on a pu noter qu’ils ne parlaient que d’incidents de plus en plus traumatisants dans leur passé, le ton de la conversation devenant beaucoup plus sombre après le quatrième jour.

Au bout de cinq jours, ils ont commencé à se plaindre à propos des circonstances et des événements qui les avaient menés là où ils se trouvaient et à montrer des signes de paranoïa sévère. Ils ont arrêté de se parler et, à la place, se sont mis à parler aux microphones ou aux miroirs sans tain des hublots. Curieusement, ils semblaient penser pouvoir gagner la confiance des expérimentateurs en se retournant contre leurs camarades, les autres sujets de test en captivité avec eux. Les chercheurs ont tout d’abord supposé qu’il s’agissait d’un effet du gaz…

Après neuf jours, le premier d’entre eux a commencé à crier. Il courait sur la longueur de la chambre en hurlant à pleins poumons pendant trois heures sans discontinuer, et a ensuite essayé de ne pas s’arrêter, mais il n’arrivait qu’à produire de temps à autre de petits couinements. Les chercheurs ont pensé qu’il s’était déchiré les cordes vocales. Le plus surprenant dans ce comportement, c’est la manière dont les autres sujets ont réagi… ou plutôt n’ont pas réagi. Ils ont continué à murmurer à l’attention des microphones jusqu’à la seconde où les cris ont commencé. Deux des captifs qui ne criaient pas ont alors désossé les livres, ont enduit toutes les pages avec leurs propres excréments et les ont collées sur le verre des hublots. Les cris se sont rapidement arrêtés.

Les murmures adressées aux micros également.

Trois jours se sont écoulés. Les chercheurs vérifiaient les micros chaque heure pour être sûrs qu’ils fonctionnaient, car ils pensaient qu’il était impossible que cinq personnes enfermées dans une pièce ne produisent aucun son. La consommation d’oxygène dans la chambre indiquait qu’ils devaient être tous les cinq en vie. En fait, elle correspondait à la quantité d’oxygène que cinq personnes consommeraient pendant un exercice physique extrêmement ardu. Le matin du quatorzième jour, les chercheurs ont fait quelque chose qu’ils avaient dit qu’ils ne feraient pas pour obtenir une réaction des captifs: ils ont utilisé l’interphone de la chambre, espérant provoquer une quelconque réponse des détenus. Ils avaient peur qu’ils soient morts ou dans un état végétatif.

Ils ont annoncé: « Nous allons ouvrir la chambre pour tester les microphones ; restez loin de la porte et allongez-vous sur le ventre par terre, ou vous serez abattus. Si vous respectez ces règles, l’un de vous gagnera sa liberté. »

À leur grande surprise, ils ont entendu une seule phrase prononcée d’une voix calme : « Nous ne voulons plus être libérés. »

Des débats ont éclaté entre les chercheurs et les forces militaires qui finançaient le projet. Comme il était impossible d’obtenir d’autres réponses en utilisant l’interphone, il a finalement été décidé que la porte de la chambre serait ouverte à minuit le quinzième jour.

La chambre a été vidée du gaz stimulant et remplie avec de l’air frais, et des voix provenant des micros ont immédiatement commencé à protester. Trois voix différentes ont commencé à supplier, comme s’il en allait de la vie de l’amour de leur vie, de remettre le gaz. La chambre a été ouverte et des soldats ont été envoyés à l’intérieur pour retrouver les sujets de test. Ils ont commencé à hurler plus fort que jamais, et les soldats ont rapidement fait de même lorsqu’ils ont vu ce qui était à l’intérieur. Quatre des cinq sujets étaient toujours vivants, bien que l’état dans lequel ils étaient ne fût pas qualifiable de « vivant ».

Les rations de nourriture des cinq jours précédents n’avaient pas été touchées. Il y avait des morceaux de chair des cuisses et du torse du sujet mort enfoncés dans le drain au centre de la chambre, le bouchant, et permettant à une dizaine de centimètres d'eau de s’accumuler sur le sol. La portion de cette eau qui était composée de sang n’a pas été déterminée. Les quatre sujets « survivants » avaient également de grandes portions de muscles et de peau arrachés de leur corps. La destruction de la chair et les os à l’air libre sur leurs doigts indiquaient que les blessures avaient été infligées à la main, et non avec les dents, comme les chercheurs l’avaient pensé au début. Des observations plus précises de la position et de l’angle des blessures ont montré que la plupart des blessures, si ce n’était toutes, avaient été infligées par eux-mêmes.
Les organes abdominaux sous la cage thoracique des quatre sujets avaient été retirés. Alors que le cœur, les poumons et le diaphragme étaient restés en place, la peau et la plupart des muscles attachés aux côtes avaient été arrachés, permettant de distinguer les poumons à travers les côtes. Tous les vaisseaux sanguins et les organes étaient intacts, ils avaient simplement été retirés et posés par terre, répartis autour des corps éviscérés, mais toujours vivants, des sujets. L’appareil digestif des quatre sujets pouvait être observé en fonctionnement, digérant de la nourriture. Il a été très vite clair qu’ils digéraient leur propre chair, qu’ils avaient arrachée et dévorée durant les jours précédents.

La plupart des soldats étaient des Russes d’un commando spécial affecté à l’installation, mais la plupart ont refusé de retourner dans la chambre pour en sortir les sujets test. Ces derniers continuaient de crier pour qu’on les laisse dans la chambre et suppliaient qu’on remette le gaz pour qu’ils ne s’endorment pas.

À la surprise de tout le monde, les sujets ont livré un combat violent lorsqu’on les a fait sortir. Un des soldats russes s’est fait déchirer la gorge et en est mort, un autre en est sorti gravement blessé, après s’être fait arraché les testicules et perforer une artère d’une de ses jambes par les dents d’un sujet. Cinq autres soldats ont perdu la vie si l’on compte ceux qui se sont suicidés dans les semaines suivant l’incident.

Pendant le combat, la rate de l’un des sujets vivants s’est rompue et il s’est vidé de son sang presque immédiatement. Les chercheurs médicaux ont tenté de l’endormir, mais cela s’est révélé inutile. On lui a injecté plus de dix fois la dose maximale pour un humain d’un dérivé de la morphine, et il continuait de se battre comme un animal enragé, brisant les côtes et les bras d’un des docteurs. On a pu constater que le cœur a continué à battre pendant deux minutes entières après que l’hémorragie l’ait amené à un point où son système vasculaire était rempli avec davantage d’air que de sang. Même après qu’il se soit arrêté, il a continué de crier pendant trois minutes, s’efforçant d’attaquer quiconque venait à portée et répétant continuellement le mot « PLUS », de plus en plus faiblement, jusqu’à ce qu’il soit réduit au silence.
Les trois sujets test survivants ont été immobilisés et transportés dans une installation médicale, les deux ayant leurs cordes vocales encore intactes continuant de supplier le retour du gaz pour rester éveillés…

ezekiel_necrono
Niveau 4
18 juillet 2014 à 16:33:20

suite :

Celui des trois ayant le plus de blessures a été emmené dans le seul bloc opératoire dont l’installation disposait. Durant la procédure devant le préparer pour le replacement de ses organes internes, il s’est révélé immunisé aux sédatifs qui lui ont été administrés dans le but de le mettre en condition pour l’intervention chirurgicale. Il se débattait furieusement contre ses liens lorsque le gaz anesthésiant a été apporté pour le mettre hors de combat. Il a réussi à déchirer la quasi-totalité d’un bandeau de cuir épais de dix centimètres attaché à un de ses poignets, même avec le poids d’un soldat de quatre-vingt-dix kilos qui essayait de maintenir ce poignet immobile. Une quantité juste supérieure à la normale a été nécessaire pour l’endormir, et à la seconde où ses paupières se sont fermées, son cœur s’est arrêté. Pendant l’autopsie du sujet test qui est mort sur la table d’opération, il a été révélé que son sang contenait trois fois la concentration normale d’oxygène. Les muscles qui étaient toujours attachés à son squelette étaient affreusement déchiquetés et il s’était brisé neuf os dans sa lutte pour ne pas être maîtrisé. La plupart à cause de la force que ses propres muscles avaient exercé sur eux.

Le second survivant avait été le premier du groupe à commencer à crier. Ses cordes vocales étant détruites, il était incapable de supplier ou de protester contre l’opération, et il n'a réagi qu’en secouant violemment la tête pour montrer sa désapprobation lorsque le gaz anesthésique a été amené près de lui. Il a secoué la tête pour faire oui lorsque quelqu'un a suggéré, à contrecœur, d’essayer l’opération sans anesthésie, et n’a pas réagi pendant les six heures qu’ont nécessité le replacement de ses organes abdominaux et la tentative de les recouvrir avec ce qu’il restait de peau. Le chirurgien présidant l’intervention n’arrêtait pas de répéter qu’il devrait être médicalement impossible pour le sujet d’être encore en vie. Une infirmière terrifiée qui assistait à l’opération a affirmé qu’elle avait vu la bouche du patient former un sourire plusieurs fois, à chaque fois que ses yeux croisaient les siens.

Lorsque la chirurgie a pris fin, le sujet a regardé le chirurgien et a commencé à siffler fortement, essayant de parler en se débattant. Supposant que ce devait être important, le chirurgien a demandé à ce qu’on lui apporte un crayon et un calepin afin que le patient puisse écrire son message. Il était simple. « Continuez à couper ».

Les deux autres sujets tests ont subi la même intervention, tous les deux sans anesthésie. Cependant, il a été nécessaire de leur injecter un paralysant pendant la durée de l’opération. Le chirurgien n'arrivait pas à effectuer la chirurgie pendant que les patients riaient continuellement. Une fois paralysés, les sujets pouvaient seulement suivre les médecins des yeux. Le paralysant a été éliminé de leur système après une période anormalement courte et ils ont rapidement essayé de s'échapper. Au moment où ils ont pu recommencer à parler, ils ont recommencé à demander le gaz stimulant. Les chercheurs ont essayé de leur demander pourquoi ils s'étaient infligé ces blessures, pourquoi ils avaient arraché leurs propres entrailles et pourquoi ils voulaient de nouveau le gaz.

La seule réponse qui a été donnée était: « Je dois rester éveillé ».

Les liens des trois sujets ont été renforcés et ils ont été replacés dans la chambre en attendant de savoir ce qu’on allait faire d’eux. Les chercheurs, faisant face à la colère des « bienfaiteurs » militaires à cause de leur incapacité à atteindre le but qu’ils leur avaient fixé, ont pensé à les euthanasier. L'officier commandant, un ancien agent du KGB, a, au contraire, vu du potentiel en eux, et a voulu voir ce qui se passerait si on les replongeait dans le gaz. Les chercheurs s'y sont formellement opposés, mais leurs objections ont été ignorées.

Afin de les préparer à être de nouveau scellés dans la chambre, les sujets ont été connectés à un moniteur électroencéphalographique, et leurs liens ont été renforcés pour un confinement à long terme. À la surprise générale, ils ont tous les trois arrêté de se débattre au moment où quelqu'un a laissé échapper qu'on allait les remettre dans le gaz. Il était évident qu'à ce moment, ils avaient énormément de mal à rester éveillés. Un des sujets qui pouvait parler fredonnait d'une voix forte et sans s'arrêter ; le sujet muet appuyait ses jambes de toutes ses forces, d’abord la droite, puis la gauche, puis de nouveau la droite, afin d’avoir quelque chose sur quoi se concentrer. Le dernier sujet gardait sa tête au-dessus de son oreiller et clignait des yeux rapidement. Ayant été le premier à avoir été relié à l’électroencéphalogramme, la plupart des chercheurs observaient ses ondes cérébrales avec surprise. Elles étaient normales la plupart du temps, mais affichaient parfois inexplicablement une simple ligne. C’était comme s'il subissait plusieurs morts cérébrales, avant que tout ne redevienne normal. Comme ils se concentraient sur le papier qui sortait du moniteur, seule une infirmière a vu ses paupières se fermer au moment où sa tête est retombée sur son oreiller. Ses ondes cérébrales se sont immédiatement muées en celles du sommeil profond, puis la ligne droite est apparue pour la dernière fois, alors que son cœur s’arrêtait.

Le seul sujet restant en état de parler s’est mis à crier pour être scellé immédiatement. Ses ondes cérébrales montraient les mêmes lignes droites que celui qui était mort après s’être endormi. Le commandant a donné l’ordre de sceller la chambre avec les deux sujets à l’intérieur, ainsi que trois chercheurs. Un des trois qui ont été nommés a immédiatement sorti son revolver et tiré une balle entre les deux yeux du commandant, puis a retourné son arme contre le sujet muet, lui faisant également sauter la cervelle.

Il a ensuite pointé son arme vers le sujet restant, toujours attaché au lit tandis que les membres restants de l’équipe médicale et de recherche fuyaient la pièce. « Je ne me laisserai pas enfermer là-dedans avec ces choses ! Pas avec vous ! a-t-il crié à l’homme attaché à la table. QU’EST-CE QUE VOUS ÊTES ? a-t-il demandé. Je dois le savoir ! »

Le sujet a souri.

« Est-ce que vous avez oublié si facilement ? a répondu le sujet. Nous sommes vous. Nous sommes la folie qui est cachée dans chacune d’entre vous, suppliant d’être libérée à tout moment dans votre esprit animal. Nous sommes ce dont vous vous cachez toutes les nuits dans vos lits. Nous sommes ce que vous réduisez au silence et à la paralysie lorsque vous rejoignez le paradis nocturne que nous ne pouvons fouler. »

Le chercheur a marqué un arrêt. Puis il a visé le cœur du sujet et a fait feu. L’électroencéphalogramme a alors affiché une ligne droite, tandis que le sujet s’étranglait, laissant faiblement échapper quelques mots : « Si… près d’être… libre… »

ezekiel_necrono
Niveau 4
18 juillet 2014 à 16:34:21

voila MarckLawliet !

Pseudo supprimé
Niveau 9
20 juillet 2014 à 03:22:13

Et moi je donne la photo normalement présente à na fin de The Russian Sleep Experiment, censée montré le dernier sujets :

https://www.noelshack.com/2014-18-1398900505-android-image-05-01-2014.jpg

Pseudo supprimé
Niveau 9
20 juillet 2014 à 16:55:34

Salut , est ce que le film tiré de Ted the Caver est bien ? je me tate a le voir mas ce qui me dérange dans le résumé du film ils disent que Ted et B sont frère et qu’apparemment leur père est mort dans la grotte (ou alors j'ai vraiment rien compris).

Or dans la creepypasta ils ne sont pas frère et ne mentionne pas leur père (ou alors encore une fois j'ai vraiment rien compris).

DylanLed15
Niveau 19
21 juillet 2014 à 15:01:43

J'adore ta chaine FarodGames et j'ai bien aimé cette vidéo c'et bien expliqué bref très bonne vidéo.

GOKUETNATSU2
Niveau 10
22 juillet 2014 à 17:41:48

je meu join a vous

Pseudo supprimé
Niveau 10
22 juillet 2014 à 19:15:39

Plutôt joyeuse l’expérimentation russe... plus sérieusement cette histoire est dégueulasse mais extrêmement bien faite :oui:

ImperatorFlood
Niveau 14
23 juillet 2014 à 22:47:30

Pas mal du tout l'expérimentation russe. :oui: :bravo:

GOKUETNATSU2
Niveau 10
23 juillet 2014 à 23:38:13

up

MjolnirMixV2
Niveau 8
23 juillet 2014 à 23:51:21

On en veut d'autre comme la dernière ! :hap:

GOKUETNATSU2
Niveau 10
24 juillet 2014 à 00:30:21

ouai en on veut d'autre :nah:

JeVaisFuir
Niveau 8
01 août 2014 à 21:08:21

https://www.youtube.com/watch?v=PcLv7winOZo

J'ai trouvé cette vidéo :(

Magister_01
Niveau 7
03 août 2014 à 15:59:33

Bonjour joyeux lurons!
Recemment mon ami m'a envoyé un lien qui raconte des legendes japonaises effrayantes et j'ai trouve bon de venir le poster ici! (A noter que c'est en anglais).
http://www.scaryforkids.com/japanese-legends/
Je n'en ai pas encore lu mais ca a l'air quand meme freakant :-)

Pseudo supprimé
Niveau 10
06 août 2014 à 17:07:03

:malade:

Kaesarus
Niveau 4
06 août 2014 à 18:16:19

Le truc russe :peur:

Pseudo supprimé
Niveau 10
10 août 2014 à 03:22:24

LA NUIT

bonjour je m'apelle pascal je vis pres d'une rivière ou un enfant se serais noyer . un jour alors que je me baladait j'entendis un bruis est la je vis le cors de l'enfant se relevé il m'atrapas deus immense griffe apparuent il me pris est me noya a present j'ai remplacer l'enfant dans cette rivieres nommé la nuit ne rester pas tros pres des rivière j'adore me balader

Sujet : [Officiel] Le topic des creepypasta
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