Coucou tout le monde
Voilà ! Avant de lire cette longue introduction, voici la quinzième édition des Loups Garou de Thiercelieux. Je vous demande donc d’accueillir cette édition, et d’y jouer avec plaisir. Place aux Contes de Thiercelieux !
Contexte
Il était une fois, une forêt magique, remplie de joyeux animaux, de princes et de princesses, de magie et de fées. Dans cette forêt, il y avait une petite maison de bois, bien charmante avec ses rideaux de dentelle et ses volet en cœurs. De mauvais yeux guettaient l’homme à l’intérieur…
Telle une ombre, la bête se rapprocha de la maison. Sa patte, pas blanche du tout, tira la chevillette. Il entra, et comme il avait de grande dents, il les enfonça dans la gorge de l’homme.
Il y eut alors un déplacement d’énergie qui se répercuta comme une onde que tout les habitants de la forêt ressentirent. Ce fut l’affolement général, les oiseaux s’envolèrent, les petits animaux comme les grands mammifères détalèrent : On crut à la fin du monde. Pendant cette grande frayeur, quatre ignobles personnages entrèrent dans la maison, attirés par le malheur. La sorcière du groupe réfléchit, et, avec l’accord des autres, elle modifia leurs apparence : Ils ressemblaient tous à n’importe quels habitants de la forêt. Ils se dispersèrent tous vivement.
Peu de temps après, des sirènes retentirent dans les bois. Plusieurs voitures de police arrivèrent en trombe, s’arrêtant autour de la maison.
« Allez allez, on me boucle le périmètre, je veux que personne ne sortent de cette enceinte ! clama un homme à la moustache garnie et au képi bien ajusté. Je veux que toute les personnes dans les environs soient rapatriées ici ! »
En effet, on avait de quoi être en émoi. Le meurtre d’Andersen, un Conteur !
Au bout d’une heure de recherches intensives, une vingtaine de personnes sont ramenées à l’Inspecteur, face à la maison. On pouvait voir qu’il était soulagé qu’il y ai eu si peu de personne dans les parages. Et pourtant, il y en avait encore trop. Et parmi celles-ci, les abjects complices.
« -Bien, commença l’Inspecteur. Si vous êtes ici, c’est car vous êtes tous suspectés d’avoir tué –ou participé au meurtre- de Monsieur Andersen.
Alors que certains allaient dans des plaintes déchirantes, et que d’autres restaient dans un mutisme consterné, l’Inspecteur conserva son calme.
-Oui, vous l’avez bien compris, un Conteur a été assassiné. Ce qui implique…
-…Que nous sommes totalement démunis, lâcha le Bûcheron.
-Qui va le remplacer ? Demanda le Petit Chaperon Rouge, les joues écarlates.
-Hé bien… L’Inspecteur chercha ses mots, puis finis par dire : Ce sera l’un de vous.
Avant qu’une nouvelle vague de protestation ne se soulève, il continua.
-Mais avant tout, nous devons élucider ce meurtre ! Car ce serait désastreux pour nous qu’un des Tueurs de Conteurs prennent sa place !
-Et comment savez vous qu’il y a plusieurs tueurs, et qu’ils sont parmi nous ? Demanda Blanche-Neige.
-Au vu des lacérations sur la gorge du défunt, c’est un homme bête qui l’a tué. Or, il y a eu pratique de magie, et de magie noire ! sur les lieux du crimes. Nous avons aussi remarqué des traces de pas de géant, non loin de là.
Les yeux les plus alertes auraient alors pu voir Jack déglutir avec difficulté.
-Ce qui veut dire, continua l’Inspecteur, que les Tueurs ont fait alliance, et ont désormais une apparence banale, grâce à une sorcière.
Tout le monde tressaillit.
Un castor et un blaireau en tenues de policier sortirent de la maison, avec un brancard, sur lequel reposait le macchabée sous un linceul blanc. Ils étaient suivi de près par un nain d’apparence obtus.
-Ah ! Grincheux ! Dit joyeusement l’Inspecteur. Accompagne les médecins légiste, et tiens moi au courant de l’avancement de l’autopsie.
-Je crains de ne pouvoir obéir, bien que tu sois mon supérieur. Mais hélas, j’étais dans le périmètre lorsque Monsieur Andersen à été tué.
-Ah… c’est embêtant. Alors, tu m’aidera avec la paperasse, ici. »
Il en fut décidé ainsi.
Dès que le véhicule de la morgue fut parti, l’Inspecteur invita tout le monde dans la maison, là où il enquêterait pour savoir qui étaient les tueurs.
- Plus tard, dans la nuit***
-Chuuut ! Fais moins de bruit, gros maladroit !
-C’est que j’ai pas l’habitude de ce corps, moi !
-Vous allez arrêter de vous chamailler ?! Si ils se réveillent, ont est fichu.
Dans le noir, le silence se fit de nouveau.
-Bien, mais cher compères. Je suis heureuse que vous ayez tous manifesté de l’enthousiasme pour mon plan, qui révolutionnera à coup sur notre vie !
-Euh, demanda une voix pataude. Le plan, c’est quoi exactement ?
La sorcière fit une grimace d’exaspération, et répéta, une nouvelle fois :
-L’un de nous se fait élire pour être le nouveau Conteur de Thiercelieux, les rîtes de passassions s’effectuent, et en remerciement de l’aide inestimable que nous lui avons accordé dans notre immense bonté, celui qui est élu Conteur nous offre une place dominante à notre image dans le Monde Neuf. Actuellement, le plan consiste à ne pas éveiller les soupçons, et éliminer les adversaire. Maintenant, dormons !
Ainsi les cinq têtes se reposèrent sur leurs oreillers, mais l’une d’elle continua de penser que, si elle devenait le nouveau Conteur, elle ne partagerait pas le pouvoir.
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