Dans ce sujet de grande beauté, mon Youyou aimé (Cornichon, Nitwitt, Yodette, Yodor, Raptou, Chanteuse, Narflor la grande, lutin des cavernes chercheur de perfection, investigateur de la rationalité la plus pur défaite de toute forme de préjugé dans son absolu et à la recherche d'optimale générateur de progrès et d'original fondamental véridique) et moi même (philosophe de re-non, chercheur d'être mêlé au devenir, miserable amas de matière supplanter à un fort moi non considérable par la science dite classique actuelle, Double V sans doubler de victoire mais concentrant son potentiel pour grandir et entrainer la raison et l'épanouissement par l'existence intellectuelle raison d'être de faire et de permettre à tous, à la recherche de bonheur collectif profond, boummm baaaa plraaaa boum) allons lancer et développer des idées grandioses inexistantes pour le projet grandement honorifique que constitue l'érection du... Film.
Les constituants de ce projets seront novateur et sortir on nécessairement du but de dépasser la norme (comme base) pour s'y opposer radicalement et ainsi créer un travestis d'original (parce que négatif de l'habituel). Des bases inexistantes encore doivent apparaitre d'elles même par l'intuition, Le film doit être un concept côtoyant une forme de perfection dans sa réalisation, son sens, son originalité et sa puissance de retentissement.
Il faut lancer des pistes de réflexion et progressivement monter en puissance pour relativiser et détruire de nombreuses fois avant de créer de l'acceptable. Si des êtres interviennent, de nouveau sens doivent êtres appliqués voir autre chose, les lois physiques classiques sont à revoir... Le temps, espace régiront t-ils la gestion des actes et des considérants (néologisme je vous encule) du film?
Beaucoup de questions sont à se poser, ou alors on fait un film à l'arrache, moi j'dis ça on peut changer. Sinon on fais un film drôle primaire c'est peut être plus originale. Bon bein voilà bon courage aux idées elles vont essuyer de sacrés critiques dis donc!
Ça commence plutôt bien puisque jusque là je suis encore en vie
Les voix seront de Mozinor, lui il devrait commercialiser au prix de 0 € un film entièrement mozinorifié, après il y a risque de plaintes, dans ce cas là il faut prendre des médicaments
J'ai pleins de reproches à faire à Star Wars
Les gardiens de la paix que sont les jedi ne méritent pas vraiment leurs titres de grands sages
Je n'arrive pas à réalisé la connerie d'une tierce personne que je n'ai jamais vu et qui pourtant monopolise mes pensées sur elle-même, quelle égocentrique celle-là!
C'est une prof de sociologie dans une université de pauvres et de moins pauvres, elle bat des records de conneries elle avec son histoire de yoajurthe, je sais que c'était une réponse à une question encore plus conne mais quand même (bordel)
J'aimerais la citer dans un film par exemple... ou du moins lui voler l'idée, replacer ça, entouré de pleins de phrases super chouette, par contre ça peut ressembler à du South Park, tout pleins de personnes débiles, ça me fais penser à ça
Je précise qu'il ne faut pas que la connerie seule nous inspire tout de même, mais ça va de sois
Ma passion dans ma vie est d'éplucher des chevaux (dit le petit prince)
-Le tétonnier frappe aux portes pour laver les tétons des gens.
J'ai perdu le reste du peu d'idées qui vont revenir de toute manière égale à l'autre.
Bien de le noter le bougre
Le père de famille/le stéréotype de chef de la maison ouvre la porte et, voyant écris sur l'étiquette du nettoyeur de téton son nom et sa profession il sourit puis retire son T-shirt en levant les bras et attend qu'on lui lave les tétons
C'est suivis "ooooh..." et de "chérie appelle les enfants et viens voir, le laveur de tétons est là" (répliques plates à bombéer of course) et toute la famille y passe
Au passage des guenons censure ou pas?
C'est là que je me pose la question, LE film, enfin un des LE films sera t-il indépendant de la norme à ce point?
Au point de choquer peut-être, il faut sortir tout le monde de la norme dès le début, tout le blazisme embianceux général de Le film devrais pouvoir tout faire passer en normal
Un type qui va à une cérémonie de remise de prix ou à je ne sais quoi où il est l'invité
Ou même ce même type arrive à une fête organisé par ses neurones
L'environnement est fêtard, les gens le connaissent, et il arrive en feu d'artifice sans feux d'artifice
monté sur un char tiré par des créatures vivantes de mon choix, inspiré de la Cléopâtre, il entre en défonçant quelques objets sur son passage (barrière si il rentre par un jardin, bai vitré si c'est en intérieur, miaou! aller casses-toi Switty.) il est assis sur un trône de princesse et a des lunettes du le Soleil, le char avance, quand il s'arrête un piston fait glisser le type de son siège et le fait tomber dans une combinaison articulé qui lui fera faire une combinaison de mouvements.
Chorégraphie terminée le corps sera lâché au sol par la machine articulée, il tombera face la première par terre, mort
Il était mort depuis de début, c'était une manière d'arrivée un endroit en ayant totalement la classe
Je cite et rétorque
"-Un personnage en premier degré uniquement et décomposant le sens des mots pour leur trouver un sens novateur est à introduire (arrête de me faire chier, le fameux "je sais que c'est dur...", d'autres plus gentil peuvent êtres sympa à trouver)."
C'est donc un praticien du kakemphaton, il y a aussi la belle question "aimes-tu manger épicé" à laquelle il faut naturellement répondre "je sais pas j'ai jamais essayé"
il pourra lui advenir aussi de communiquer par textualité direct quelques mots à une connaissance illettrée, cette connaissance lui demandera son avis sur un sujet proposé, et ce de la manière suivante "quand pense tu??" (bon, admettons) et le kakemphateur répondra à cette hérésie orthographique "Tous les jours je crois"
Lors d'une réception, idées et contre-arguments s'échangent au rythme des claquements de langue et des mouvements des lèvres, tout ça bordé par un vrombissement dû aux cordes vocales (bon, oui, les gens parlent quoi...)
À la fin de celle-ci, à la suite des adieux, un des hôtes tire de quelque part un long parchemin à dérouler, où chaque mots de chacun sont inscrits.
"Oh tiens ! Ils ont parlé de la théorie des cordes ! Ah tiens, 24 ans... ... ..."
La liberté qu'offre un film doit être utilisée pour faire jubiler d'émerveillement le spectateur limité dans son monde de matière inerte et sans surprise, les bonnes idées jouissive sont à rendre récurrente au long du visionnement.
Ainsi : Qu'elles fusent dans nos têtes ! Posons-les
Imagine pour Le film une maison en chocolat, où dès le passage du seuil les choses dites ne sont plus celles voulues par le cerveau des personnages mais deviennent la quintessence de l'intention qui est derrière la dire initiale.
La phrase d'untel, se fera dès lors de quelque mots sans connecteurs logique, et pourra même rester en répétition longtemps, tout ça dans le respect du rythme de la phrase initiale.
Pour exemple :
"Et bien hier je suis allé voir les feux d'artifices et là un type m'a appelé et m'a proposé de goûter à son hotdog mais moi tu sais ben..."
Et dans ce temps, en maintenant tous les détails de la scène, comme si la phrase était prononcée, les mots prononcés deviennent : "Attention reconnaissance reconnaissance reconnaissance attention reconnaissance démarcation..."
Les mots en viennent à la cible des initiaux, la maison en chocolat, dès son seuil, traduit notre langage en un langage en chocolat.
Le ciel est sombre, il fait nuit dans la brume enneigé, on est à plus de 1200 mètres.
Équipés pour skier, deux protagonistes (♀ et ♂) sortent de l'hôtel faire un tour et finissent retrouver un ami à son chalet.
Intérieur filmé de jour avec filtre (effet fausse nuit qui permet de voir les objets), peu d'éclairage d'intérieur, il ne peut pas être localisé, au sol des petits carreaux de carrelages blanc-gris, des murs chargés de portraits peints, de petites étagères, de petites têtes d'animaux, de choses utilitaires qui ne sont plus utilisées.
Au salon d'autres amis sont là, ici une lampe posée au niveau du petit groupe éclaire la salle, un petit temps autour de la table basse puis ces amis doivent partir, ils étaient déjà là depuis un certain temps.
Le salon donne sur un autre espace, plus cosy, en contre-bas après 3 marches, un espace qui respire un peu la poussière avec canapé en cuir noir axé vers une télé cathodique et encore plus de machins en tous genre aux murs : masque (genre costume d'arlequin de Nasibo)
chauve-souris accroché, diverses choses toutes dans les même tons parce que soumis à la même lumière du jour qui permet de voir les objets mais filtré pour la faire paraître être une lumière de nuit.
Les deux protagonistes restent avec leur hôte et discutent agréablement, s'amusent, se sentent assez libre chez lui dans sa bicoque, prennent une selfie, ... mais sur l'image on voit les amis, en fond, qui sont toujours installés autour de la table du salon et qui sourient.
"Oh la c'est chelou ça" dit le protagoniste un peu tremblant, sentant perdre appuie, alors que la protagoniste ne dit rien, l'attention se tourne vers lui, qui est le seul qui reste proche du spectateur à ce moment là.
La fille aussi est surprise mais n'est pas expressive à ce sujet, l'hôte justifie un peu en disant nonchalamment que "oui.. ici ça arrive des trucs comme ça.. parfois"
Mais n'y donne pas plus d'importance.
L'ambiance bascule subtilement mais de trop pour que la soirée continue vraiment, la nuit est avancé et le choix qu'ils restent dormir ici s'impose, l'hôte annonce n'avoir qu'une chambre d'ami, le protagoniste laisse la fille y dormir tandis que lui se retrouve sur le canapé dans le petit espace cosy.
Je connais la suite, mais je pense intéressant de te laisser continuer cela, que je me suis laissé inspiré.
Et puis, sans réponse, je poursuivrai.
Une idée :
Un chef des méchants dont la team lui apporte un kidnappé, un "enlevé" sur ses ordres, et ce chef reconnaît dans le pauvre homme un ancien prof à lui, il partage alors avec lui plein de souvenirs en rigolant, rire de ce "méchant" en avance sur le prof et le spectateur.
Une autre idée :
Un petit groupe de scientifique d'une espèce prélève un échantillon d'humanité, un humain, à qui le leader-présentateur demande de faire certains "numéros" naturels comme un bâillement pour le montrer à son groupe, en disant "si si vous allez voir ils peuvent faire ça" et commente avec son prisme de scientifique "et vous voyez si l'humain éternuait sans fermer les yeux ses globes sortiraient de leur orbite, incroyable non ?"
Et l'humain, résigné, continue ses "numéros" alors qu'il n'y trouve rien d'incroyable, et à chaque numéro le groupe est de nouveau un peu ébahi mais surtout distrait.
(À la manière des humains qui regardent les animaux en captivité, à l'écoute de l'avis d'un éthologue passionné aux lectures fournies)