voilà ayant fini pillar of eternity j'ai décidé de faire un petit test du jeu pour vous aider dans vos achats de février
Combats
Plats, fades et insipides. Ca veut dire la même chose mais OSEF. Pas de stratégie spécifique à adopter en fonction des adversaires, hyper répétitif.
Donjons
Plats, fades et insipides. Un pack d'ennemie c/c dans chaque salle du donjon, hyper répétitif.
Personnages secondaires
Plats, fades et insipides. Pas de romance, peu d’interactions entre eux et avec nos choix.
Histoire principale
Brouillonne, et plate, fade et insipide aussi. Au lieu de nous donner des raison de poursuivre le grand méchant, ils nous posent la question de notre raison pour suivre le mec. Donc là on cherche la réponse "parce que c'est marqué dans mon journal de quête" ou "pour terminer ce jeu à la con plus vite" mais ces réponses n'y sont pas.
PLS
Ambiance
Plate, fade et insipide. Ils ont voulu faire un truc sombre et oppressant mais c'est raté. Pourtant le début commençait bien avec un tutoriel scénarisé, un arbre géant où sont pendues une vingtaine de personnes mais rapidement le tout devient juste ennuyeux. Ils ont mis un système où l'écran est remplacé par un parchemin avec un dessin et un texte suivi de plusieurs choix possible comme dans un Livre dont vous êtes le héros qui donne un cachet particulier. C'est présent uniquement dans le tuto, le reste du jeu c'est texte + dessin + 3 choix ("utiliser un objet grappin/marteau" = bravo vous passez l'obstacle , "tenter de passer sans utiliser d'objet"= vous passez mais un de vos personnage s'est blessé , "partir"= partir )
Autre
temps de chargement longuets, interface à améliorer, château personnel sans intérêt, pas d'objet unique plus intéressant que ceux qu'on peut crafter, univers confus (cependant assez riche, un bon point), peu d’intérêt à refaire une nouvelle partie, large choix d’antécédents dans la créations de perso qui n'ont au final aucune influence sur le jeu (une ligne de dialogue modifié tous les 36 du mois, hourra ), possibilité de lire les âmes de certaines personnes pour y lire les fanfics (écrites par les backers) les plus chiantes de l'histoire de l'humanité etc...
Global
15/20, bon jeu, je vous le recommande, vivement le deux
OSEF de ton topic
Plate, fade et insipide.
voilà ayant fini heroes of might and magic 3 j'ai décidé de faire un petit test du jeu pour vous aider dans vos achats de février
Combats
aucune stratégie, les unités les plus puissantes démontes les unités de base. A quoi ça sert d'avoir 200 gnolls quand 1 attaque de dragon suffit à les démonter ? A rien, exactement
Donjons
Une race puissante axée sur la magie avec la meilleur unité du jeu le dragon noir. Si on a suffisamment de ressource c'est le camps le plus puissant à moins d'avoir laissé le nécro se faire 23k squelettes.
Personnages secondaires
La plupart des héros sont bidons par rapport à Solmyr, Deemer etc et sont plats, fades et insipides. #aucunéquilibre
Histoire principale
"on est les gentils et on va tuer les méchants"
"on est les méchants et on va tuer les gentils"
"on est les neutres et on va tuer tout le monde"
Waow, juste waow
Ambiance
On fout un max de truc d'heroic fantasy ensemble sans aucune réflexion et on se retrouve avec des nains combattants du côté des elfes.
Tant pis pour la cohérence et bravo pour l'originalité
Autre
Ca me gonfle d'écrire, stop.
Global
15/20, bon jeu, je vous le recommande, vivement le quatorze
voilà ayant fini La nuit, j'ai décidé de faire un petit test pour vous aider dans vos achats de février
Histoire principale
Au commencement fut la foi, puéril ; et la confiance vaine ; et l’illusion dangereuse. Nous croyions en Dieu, avions confiance en l’homme et vivions dans l’illusion que, en chacun de nous, est déposée une étincelle sacrée de la flamme de la Shekhina, que chacun de nous porte, dans ses yeux et en son Ame, un reflet de l’image de Dieu.
Ce fut la source sinon la cause de tous nos malheurs.
Personnages secondaires
Il avait changé Moshé. Ses yeux ne reflétaient plus la joie. Il ne chantait plus. Il ne me parlait plus de Dieu ou de la Kabbale, mais seulement de ce qu’il avait vu. Les gens refusaient non seulement de croire à ses histoires mais encore de les écouter.
— On me prend pour un fou, murmurait-il, et des larmes, comme des gouttes de cire coulaient de ses yeux.
Une fois je lui posai la question :
— Pourquoi veux-tu tellement qu’on croie ce que tu dis ? A ta place, cela me laisserait indifférent, qu’on me croie ou non…
Donjons
Les camions se dirigèrent vers une forêt. On les fit descendre. On leur fit creuser de vastes fosses. Lorsqu’ils eurent fini leur travail, les hommes de la Gestapo commencèrent le leur. Sans passion, sans hâte, ils abattirent leurs prisonniers. Chacun devait s’approcher du trou et présenter sa nuque. Des bébés étaient jetés en l’air et les mitraillettes les prenaient pour cibles. C’était dans la forêt de Galicie, près de Kolomaye. Comment Moshé-le-Bedeau, avait réussi à se sauver ? Par miracle. Blessé à la jambe on le crut mort…
Ambiance
Une longue route de souffrance vous attend. Mais ne perdez pas courage. Vous venez d’échapper au plus grand danger : la sélection. Eh bien, rassemblez vos forces et ne perdez pas espoir. Nous verrons tous le jour de la libération. Ayez confiance en la vie, mille fois confiance. Chassez le désespoir et vous éloignerez de vous la mort. L’enfer ne dure pas éternellement…
Combats
Alors ? le S.S se mit en colère, s’approcha de mon père et le frappa à la tête : « Tais-toi, vieillard ! tais-toi ! ».
Mon père n’a pas senti les coups de gourdin ; moi, je les ai sentis. Et pourtant je n’ai pas réagi. J’ai laissé le S.S battre mon père. J’ai laissé mon vieux père seul agoniser. Pire j’étais fâché contre lui parce qu’il faisait du bruit, pleurait, provoquait les coups…
Leizer ! Leizer ! Viens, ne me laisse pas seul…
Je le voyais encore respirer, par saccades. Je ne bougeai pas.
Lorsque je descendis après l’appel, je pus voir encore ses lèvres murmurer quelque chose dans un tremblement. Penché au-dessus de lui, je restai plus d’une heure à le contempler, à graver en moi son visage ensanglanté, sa tête fracassée.
Il n’y eut pas de prière sur sa tombe, pas de bougie allumée pour sa mémoire. Sa dernière parole fut mon nom. Un appel. Et je n’avais pas répondu.
Autre
J’éclatai :
— Qu’est-ce que ça peut vous faire ? Faut-il que nous considérions Hitler comme un prophète ?
Ses yeux éteints et glacés se fixèrent. Il finit par dire d’une voix lasse :
— J’ai plus confiance en Hitler qu’en aucun autre. Il est le seul à avoir tenu ses promesses, toutes ses promesses, au peuple juif.
Bonus
Trois jours après la libération de Buchenwald, je tombais très malade : un empoisonnement. Je fus transféré à l’hôpital et passai deux semaines entre la vie et la mort.
Un jour je pus me lever, après avoir rassemblé toutes mes forces. Je voulais me voir dans le miroir qui était suspendu au mur d’en face. Je ne m’étais plus vu depuis le ghetto.
Du fond du miroir, un cadavre me contemplait.
Son regard dans mes yeux ne me quitte plus.
Global
15/20, bon livre, je vous le recommande, vivement le deux