Titre : Bad guy
Réalisateur : Kim Ki-Duk
Durée : 1h40
Date de Sortie : 2001
Nationalité : Corée du Sud
Genre : Drame
Casting : Cho Jae-Hyung, Seo Won, Choi Duek-mun
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Synopsis :
Le chef d'un gang, Han-gi, marche dans Séoul lorsqu'il rencontre une jeune et jolie étudiante, Sunhwa, qu'il force à embrasser avant de se faire arrêter par la police.
Peu de temps après, la jeune fille ayant voler une valise pleine de billets, est contrainte de se prostituer pour rembourser sa dette.
En entrant dans sa chambre sordide, on découvre Han-gi derrière un miroir sans tain; il est donc le responsable de son sort.
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Mon avis :
Un film de Kim Ki-Duk sur le voyeurisme, sur la sexualité, sur la violence et sur le silence. Mon dieu que ça fait bander (dans tous les sens du terme)! La beauté est omniprésente. Entre un regard que réalise cette sorte de figure du yakuza silencieux envers cette fille qui, par le pure fruit du hasard, fut conduit à la prostitution.
Cette fille fascine autant le regard des personnages que le notre. En passant par ces couleurs étranges des bordels reculés dans les fin fonds d'une nuit séoulienne. D'autant plus fascinant par ce personnage du maquereau silencieux, étrange et déshumanisé.
Il serait néanmoins à regretter des situations pas toujours très subtils. Ainsi qu'un dévoilement final de la raison du silence du héros, qu'il aurait, je pense, mieux valu taire (blague subtile et intelligente). Décevant donc, un film demeurant bon, mais au potentiel gâché.
Un film de Kim Ki-Duk sur le voyeurisme, sur la sexualité, sur la violence et sur le silence.
Un film de Kim Ki-Duk tout court.
Un film de bad guy!
Un film de Kim Ki-Duk sur le voyeurisme, sur la sexualité, sur la violence et sur le silence. Mon dieu que ça fait bander (dans tous les sens du terme)! La beauté est omniprésente. Entre un regard que réalise cette sorte de figure du yakuza silencieux envers cette fille qui, par le pure fruit du hasard, fut conduit à la prostitution.
Cette fille fascine autant le regard des personnages que le notre. En passant par ces couleurs étranges des bordels reculés dans les fin fonds d'une nuit séoulienne. D'autant plus fascinant par ce personnage du maquereau silencieux, étrange et déshumanisé.
Il serait néanmoins à regretter des situations pas toujours très subtils. Ainsi qu'un dévoilement final de la raison du silence du héros, qu'il aurait, je pense, mieux valu taire (blague subtile et intelligente). Décevant donc, un film demeurant bon, mais au potentiel gâché.
Non au contraire.
La raison de son silence est ridicule, comme tout le script est ridicule. J'ai même l'impression que ce ridicule a été voulu par le réalisateur. Ce dernier n'a pas donné cette explication au hasard, il y a forcemment un sens la dedans j'imagine.
Enfin, le dévoilement est loin d’être anodin selon moi. C'est quelque chose qui devait s'inscrire dans le récit. Ne pas le comprendre c'est être passé quelque peu à coté du film je pense.
Enfin je dis ça, je ne l'ai pas trop apprécié, il m'a manqué un fil conducteur pour rentrer dedans. La, j'ai senti le potentiel mais c'est tout. C'est trop décousu, et au final il n'y a rien à montrer. Le film ne dévoile pas, il regarde, et ça ça me fait sortir du récit.
Ps : et je ne vois pas non plus comment on peut trouver ça bandant