Le 11 août 2024 à 21:43:23 :
Démarrage catastrophique pour #Borderlands au box-office domestiqueMême pas 9 millions... pour un budget officiel de 115 millions
Mdr j'avais pas prévu un aussi gros flop ...
Ça sent le flop n°1 de l'année 2024 ce film
Quand les gardiens de la galaxie rencontre Suicide Squad
Démarrage catastrophique pour #Borderlands au box-office domestique
Même pas 9 millions... pour un budget officiel de 115 millions
Mérité
les gens découvrent eli roth.
le gars hostel 1 et 2 c'est son peak, et c'est déjà pas fameux ( meme si rigolo), donc bon.
Le 12 août 2024 à 18:41:33 :
Faudra surtout réaliser que Gearbox c'est une gigantesque fraude. Sur les 15 dernières années, les mecs ont fait UN vrai bon jeu, et depuis essayent désespérément de repomper le succès de celui-ci au point où s'en est triste. Donc l'avis du directeur de la boîte sur le film, je pense qu'on peut s'en carrer un peu l'oignon vu la médiocrité de la licence en réalité (et ça m'arrache vraiment le cul de dire ça).
l'oignon qui fait pleurer le cul.
et c'est pas le gore qui sauve une construction de récit merdique, eli roth restera toujours eli roth.
Le 13 août 2024 à 02:07:12 :
les gens découvrent eli roth.
le gars hostel 1 et 2 c'est son peak, et c'est déjà pas fameux ( meme si rigolo), donc bon.
Le truc c'est qu'il a perdu le contrôle du film. Le coordinateur de cascades à révélé que le film devait contenir des tonnes d'effets gores mais qu'une fois que les producteurs ont vues une première version du montage ils ont retournés et censurés une grande partie du film, sans Eli Roth vu qu'il était occupé par son Thanksgiving.
Donc ce n'est pas entièrement de sa faute. Par contre niveau script c'est lui qui a réécrit dès le départ le script de Craig Mazin (The Last of Us, Chernobyl) qui est crédité sous le pseudonyme de Joe Crombie.
eli roth ne peux que perde le controle de ses films, c'est une serpillère délavée.
par chance un petit film pas trop cher peut s'en tirer, mais un film avec un budget de plsu de 100M€, c'est mort.
La déchéance de la morale, de la justice et de la société, une poussière régnant sans partage sur un monde brisé et anarchique, des hommes réduits à leurs plus bas instincts, des hordes de bestioles parcourant les vastes régions désertiques d'un monde dévasté par la folie de l'Homme avec comme seules montures, des voitures à l'apparence cauchemardesque... et au milieu de tout ce chaos, un groupe de héros solitaires et charismatiques.
Borderlands, c'est avant tout un film d'action qui s'assume pleinement. Pas de déviation vers la tragédie en cours de route.
Le film nous offre une histoire minimaliste aux propos métaphoriques avec des thèmes qui lorgnent du coté du western et des scènes d'action sauvages, intenses et furieuses.
Borderlands, c'est des cascades endiablées, brutales et sans concessions, des scènes d'action bourrées d'effets pyrotechniques de qualité qui, en terme de spectacle, renvoient au cimetière une grosse partie des blockbusters vomis par Hollywood depuis ces 10 dernières années.
Sans une once de cynisme, le film offre au spectateur des scènes d'action fluides, complètement folles, d'une inventivité et d'une fraîcheur remarquable.
Mais Borderlands, c'est également un univers graphique unique en son genre, un véritable vivier de création post-apo, une esthétique recherchée et originale dotée d'une certaine vision du cinéma d'action.
Honnêtement, une personne un minimum happée par le film ne peut que constater que celui-ci dispose d'une foutue bonne idée toutes les deux minutes.
Les maquillages réussis, les voitures à la carrosserie mutilée, rouillée et à l’apparence monstrueuse, les personnages tous plus frappadingues les uns que les autres, l'harmonie parfaite entre la musique et l’image. Bref, ce Borderlands dispose d'une forte identité visuelle, à la fois cohérente et aguicheuse.
Si le film se montre avare en dialogues, c'est pour mieux mettre avant la puissance des images. Chaque plan transpire la classe et souligne le chaos qui règne sur cette Terre mourante.
Avec ses gueules marquantes, ses prises de vue aériennes sur les étendues désertiques d'un monde à l'agonie et son style aride et poussiéreux, Borderlands arrive à instaurer un univers visuel des plus admirables qui s'inspire du monde du comics et de la bd (un côté métal hurlant) dans ce qu'il y a de plus positif.
Et en plus, le film se révèle surprenant en nous offrant des personnages de femmes fortes et charismatiques qui ne sont pas là en tant qu'objet de décoration.
Moi qui en avait marre des personnages féminins réduit au rang de faire-valoir d'un héros macho et viril...
Au final, que dire de Borderlands ?
C'est un show ravageur, un véritable festival d’adrénaline et de carnage qui tient toutes ses promesses et offre au cinéma d'action un film stupéfiant à l'intensité remarquable, à l'univers jouissif et bien plus intelligent sur le fond, comme sur la forme que le grande majorité des blockbusters actuels.
Merci Eli Roth pour cet incroyable amoncellement de bruits et de fureur ! Merci pour ce fabuleux moment de cinéma !
Arrêtez tout et foncez le voir en salle !
Eli, ta pub ne marchera pas.
Borderlands, l'adaptation tant attendue de la célèbre franchise de jeux vidéo, dépasse toutes les attentes et s'impose comme un véritable joyau dans l'univers du cinéma d'action. Réalisé par Eli Roth, le film est un parfait mélange d'humour noir, de scènes d'action explosives et d'une esthétique visuelle saisissante, capturant avec brio l'essence chaotique et déjantée des jeux.
Le casting est tout simplement époustouflant. Cate Blanchett, en Lilith, incarne avec une intensité inégalée la Sirène iconique. Son charisme à l'écran est indéniable, et elle parvient à transmettre toute la complexité de son personnage, entre force brute et vulnérabilité cachée. Jack Black, en Claptrap, apporte la touche d'humour irrésistible, ses répliques cinglantes et son timing comique parfait ajoutant une légèreté bienvenue aux scènes les plus tendues. Quant à Kevin Hart, son interprétation de Roland est surprenante et réussit à mêler habilement action et émotion.
Le film brille également par sa fidélité à l'univers du jeu, sans pour autant aliéner les nouveaux venus. Les paysages désertiques de Pandore sont magnifiquement retranscrits, et chaque détail, du design des armes aux créatures emblématiques, témoigne d'un véritable amour pour le matériau d'origine. Les séquences d'action sont chorégraphiées avec une précision millimétrée, offrant un spectacle visuel à couper le souffle.
Ce qui distingue vraiment Borderlands des autres adaptations de jeux vidéo, c'est son ton résolument irrévérencieux et son humour mordant. Roth parvient à capturer l'esprit anarchique de la franchise tout en y ajoutant sa touche personnelle, rendant chaque moment imprévisible et excitant.
En somme, Borderlands est un pur concentré de divertissement, à la fois fidèle aux fans et accessible aux néophytes. C'est un tour de force cinématographique qui prouve que les adaptations de jeux vidéo peuvent non seulement réussir, mais aussi transcender leur source pour devenir des œuvres à part entière. Un must-see absolu pour les amateurs de cinéma d'action et les fans de la franchise!
Eli arrete ! Je suis en train de prendre une place !
Si tu n'arrete pas, je verrais ce film !
C'est toujours pluto nash le plus gros bide de tout les temps d'ailleurs ?
Le 13 août 2024 à 20:29:55 :
La déchéance de la morale, de la justice et de la société, une poussière régnant sans partage sur un monde brisé et anarchique, des hommes réduits à leurs plus bas instincts, des hordes de bestioles parcourant les vastes régions désertiques d'un monde dévasté par la folie de l'Homme avec comme seules montures, des voitures à l'apparence cauchemardesque... et au milieu de tout ce chaos, un groupe de héros solitaires et charismatiques.Borderlands, c'est avant tout un film d'action qui s'assume pleinement. Pas de déviation vers la tragédie en cours de route.
Le film nous offre une histoire minimaliste aux propos métaphoriques avec des thèmes qui lorgnent du coté du western et des scènes d'action sauvages, intenses et furieuses.Borderlands, c'est des cascades endiablées, brutales et sans concessions, des scènes d'action bourrées d'effets pyrotechniques de qualité qui, en terme de spectacle, renvoient au cimetière une grosse partie des blockbusters vomis par Hollywood depuis ces 10 dernières années.
Sans une once de cynisme, le film offre au spectateur des scènes d'action fluides, complètement folles, d'une inventivité et d'une fraîcheur remarquable.Mais Borderlands, c'est également un univers graphique unique en son genre, un véritable vivier de création post-apo, une esthétique recherchée et originale dotée d'une certaine vision du cinéma d'action.
Honnêtement, une personne un minimum happée par le film ne peut que constater que celui-ci dispose d'une foutue bonne idée toutes les deux minutes.Les maquillages réussis, les voitures à la carrosserie mutilée, rouillée et à l’apparence monstrueuse, les personnages tous plus frappadingues les uns que les autres, l'harmonie parfaite entre la musique et l’image. Bref, ce Borderlands dispose d'une forte identité visuelle, à la fois cohérente et aguicheuse.
Si le film se montre avare en dialogues, c'est pour mieux mettre avant la puissance des images. Chaque plan transpire la classe et souligne le chaos qui règne sur cette Terre mourante.
Avec ses gueules marquantes, ses prises de vue aériennes sur les étendues désertiques d'un monde à l'agonie et son style aride et poussiéreux, Borderlands arrive à instaurer un univers visuel des plus admirables qui s'inspire du monde du comics et de la bd (un côté métal hurlant) dans ce qu'il y a de plus positif.Et en plus, le film se révèle surprenant en nous offrant des personnages de femmes fortes et charismatiques qui ne sont pas là en tant qu'objet de décoration.
Moi qui en avait marre des personnages féminins réduit au rang de faire-valoir d'un héros macho et viril...Au final, que dire de Borderlands ?
C'est un show ravageur, un véritable festival d’adrénaline et de carnage qui tient toutes ses promesses et offre au cinéma d'action un film stupéfiant à l'intensité remarquable, à l'univers jouissif et bien plus intelligent sur le fond, comme sur la forme que le grande majorité des blockbusters actuels.
Merci Eli Roth pour cet incroyable amoncellement de bruits et de fureur ! Merci pour ce fabuleux moment de cinéma !Arrêtez tout et foncez le voir en salle !
Il se passe quoi ici ? C'est des bots les avis positifs ?
Rooo, tout de suite... c'est fou cette suspicion.
Moi, j'y crois.
D'ailleurs, j'en profite pour placer la mienne - 100% authentique et fiable bien sûr :
Une véritable œuvre d'art cinématographique qui redéfinit les attentes du genre. Dès les premières minutes, Roth nous plonge dans un univers visuellement époustouflant et narrativement captivant.
Eli Roth prouve une fois de plus son talent indéniable en tant que réalisateur. Chaque scène est méticuleusement orchestrée, offrant un équilibre parfait entre action, suspense et moments de pure émotion. La direction artistique est sublime, avec des décors et des effets spéciaux qui transportent le spectateur dans un autre monde.
Le casting de ‘Borderlands’ est tout simplement exceptionnel. Les performances de Cate Blanchett et Kevin Hart sont particulièrement remarquables, chacun apportant profondeur et complexité à leurs personnages. Leurs interactions à l'écran sont authentiques et émouvantes, ajoutant une dimension humaine à cette aventure épique.
La musique du film, signée par Nathan Barr, est une véritable prouesse. Elle accompagne parfaitement l'action, amplifiant les moments de tension et sublimant les scènes plus intimes. La bande-son contribue grandement à l'immersion totale dans l'univers de ‘Borderlands’.
Le scénario de ‘Borderlands’ est intelligent et bien ficelé, offrant des rebondissements inattendus et des dialogues percutants. Il explore des thèmes profonds tels que la survie, l'amitié et la quête de soi, tout en maintenant un rythme effréné qui tient le spectateur en haleine jusqu'à la fin.
En conclusion, ‘Borderlands’ est sans aucun doute un chef-d'œuvre du cinéma moderne. Eli Roth réussit à créer un film à la fois divertissant et poignant, qui restera gravé dans les mémoires. À ne pas manquer !
Ok je suis convaincu, je prends une place.
Dans une fusion explosive d’action frénétique et d’humour acerbe, Eli Roth livre avec "Borderlands" un tour de force cinématographique qui fait honneur à l’univers déjanté du jeu vidéo éponyme. Le film, qui se distingue par son rythme effréné et sa créativité visuelle, capture à merveille l’essence anarchique et exubérante de Pandora, tout en apportant une touche d’humanité aux personnages hauts en couleur. Dès les premières minutes, Roth nous entraîne dans un tourbillon de chaos jubilatoire, où chaque scène d’action est un spectacle époustouflant, savamment chorégraphié et magnifié par des effets spéciaux à couper le souffle.
Le casting, véritablement inspiré, est une des pierres angulaires de cette réussite. Kevin Hart, dans le rôle de Roland, transcende son image de comédien avec une performance étonnamment nuancée. Il apporte à ce soldat stoïque une profondeur émotionnelle inattendue, tout en restant fidèle à l’esprit badass du personnage. Ariana Greenblatt, quant à elle, est la révélation du film. En incarnant Tiny Tina, elle explose littéralement à l’écran avec une énergie frénétique et un humour noir qui capturent parfaitement l’esprit de cette adolescente psychotique. Sa dynamique avec Florian Munteanu, qui joue un Krieg imposant et tragiquement attachant, est à la fois hilarante et touchante, offrant au film des moments de pure magie.
Cate Blanchett, dans le rôle de Lilith, brille par sa présence charismatique et son intensité dramatique. Elle incarne la Sirène avec une autorité naturelle et une sensualité envoûtante, maîtrisant à la perfection le délicat équilibre entre mysticisme et action pure. Enfin, Jack Black, prêtant sa voix au robot Claptrap, est l’étoile comique du film. Son timing impeccable et ses répliques mordantes ajoutent une dose d’humour indispensable qui allège le ton tout en restant dans l’esprit irrévérencieux du jeu original.
"Borderlands" n’est pas seulement un film d’action/comédie réussi, c’est une véritable ode à l’imagination et à l’audace. La réalisation d’Eli Roth, nerveuse et inspirée, rappelle les meilleurs moments des "Gardiens de la Galaxie" et de "Suicide Squad", tout en injectant une dose de folie supplémentaire propre à l’univers de Borderlands. Avec une durée d'environ une heure et demie, le film ne connaît aucun temps mort, gardant le spectateur accroché à son siège du début à la fin. C’est un divertissement pur, qui réussit à capturer la quintessence du jeu tout en se taillant une place de choix dans le paysage cinématographique actuel.
En somme, "Borderlands" est une œuvre cinématographique exaltante qui se démarque par son casting impeccable, son énergie débordante et ses scènes d’action spectaculaires. Eli Roth a non seulement rendu justice à l’univers du jeu vidéo, mais il l’a également transcendé, offrant un film qui ravira les fans de longue date tout en conquérant de nouveaux adeptes. C’est une expérience cinématographique à ne pas manquer, un véritable tourbillon d’émotions et de rires qui s’impose comme l’un des grands moments de l’année.
On dirait des communications promotionelles des producteurs du film
Un truc qui a l'air de ne s'adresser à personne, sans véritable substance