Y a que moi qui trouve que Florence Puke ressemble à une petite grosse ?
Ben c'est une petite grosse, mais mignonne, donc ça me gêne pas 
Sujet :
Black Widow - Marvel
Le 04 janvier 2022 à 14:44:43 :
Y a que moi qui trouve que Florence Puke ressemble à une petite grosse ? Cheveux relâchés ça va mais sinon elle manque de grace
C'est une petite grosse 
Pour sûr : Florence Puke n'a pas l'élégance d'une Johansson. Elle reste néanmoins mignonne et bonne actrice, ce qui est le principal. 
Ça sent un peu le gros mytho non ? 
Le 09 décembre 2021 à 20:52:46 :
Salut.24ème film du MCU ; Black Widow m'intriguait de par l'héroïne présente à l'écran qui m'est sympathique et son approche plus terre à terre. Si l'ensemble est loin d'être optimal, ce dernier réussit à proposer des intentions plutôt inhabituelles dans cette entreprise cadenassée. Hélas, l'aspect - cul entre deux chaises - sabote un tant soit peu ce qui aurait pu/dû être une vraie proposition qualifive.
: Son costume blanc lui sied à ravir !
Dès l'entame, je me suis surpris à me demander si je regardais du Marvel tant le ton s'éloignait des standards de la firme. Le côté plus intimiste mélangé à la noirceur du générique - appuyé par une reprise bien sentie de Nirvana -, j'étais sous le charme de la direction choisie. Cette impression a perduré jusqu'à la fuite des deux « sœurs » après leur rixe se rapprochant formellement des Jason Bourne. Malheureusement, la suite est bien plus édulcorée, et même si les affrontements restent davantage brutaux en comparaison à d'autres productions de l'écurie, je trouve dommage de ne pas avoir gardé cette ligne directrice jusqu'au bout.
C'est la fille de Milla Jovovich qui joue Natasha enfant, elle lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Bonne prestation au passage, je crois que sa maman n'a jamais été aussi bonne.
Atout avéré du studio, le casting ne déroge une nouvelle fois pas à la règle dans sa capacité à fournir des actrices et acteurs adapté(e)s aux différents rôles. Sans atteindre le charisme insolent d'une Scarlett Johansson, j'ai particulièrement aimé la jeune Florence Pugh, à la fois attachante et crédible physiquement. David Harbour, même si discutable au niveau de son écriture, livre une performance honnête à l'image de Rachel Weisz. Nonobstant, gros bémol pour Ray Winstone qui interprète un méchant totalement anecdotique, comme c'est malheureusement souvent le cas avec les antagonistes dans le MCU - Thanos exclu évidemment !
: « Charisme insolent ! ».
En parlant des vilains pas beaux sous-exploités, Taskmaster - je ne rentrerai pas dans les polémiques hébétées sur son changement de sexe - est un gâchis confirmant une fois de plus ce funeste constat. À dire vrai, le personnage avait le potentiel pour être un méchant efficace, étant à la fois polyvalent, puissant et possédant un certain charisme. Hélas, malgré des moments agréables en sa compagnie, son traitement est le reflet direct de la globalité du film : un manque de profondeur au sein de bonnes idées seulement effleurées.
Comme évoqué plus haut, il y a une dichotomie assez flagrante dans ce long-métrage. Si la première demi-heure est assez froide et se voit attribuer des scènes relativement violentes, la suite ajoute maintes blagues qui viennent entacher un potentiel tragique. C'est malencontreux, car le film parvient à de fugaces instants à être émouvant, sentiment qui aurait été davantage présent sans ce second degré. Saperlipopette ; on parle de gamines qui se font enlever pour être utilisées comme des armes, il y avait vraiment moyen d'approfondir le thème sans passer à la dérision un acte aussi cruel qu'une hystérectomie forcée. Malgré mon scepticisme sur son intérêt, l'utilisation de l'humour est plutôt intéressante, l'ensemble fait moins potache qu'à l'accoutumée et se concrétise souvent grâce à un découpage astucieux.
La réalisation est quant à elle un point soufflant également le chaud et le froid. Si quelques séquences se dégagent, notamment le combat dans l'appartement ou la chute libre à la fin, certaines sont découpées à l'emporte-pièce. Puis surtout - à diverses reprises -, j'ai noté des transitions n'ayant strictement aucun sens. Par exemple ; lorsque Weisz utilise son grappin pour s'élever vers le haut, le plan qui suit instantanément voit cette dernière en train de marcher pépère. Il ne manque pas une jonction là ? C'est assez dingue de telles erreurs, surtout que ce n'est pas le seul moment à souffrir de cette bévue.
Bien que globalement divertissant, le rythme n'en reste pas moins boitillant. Le second tiers du film bénéficie de dialogues pas toujours passionnants, à contrario des 30 dernières minutes mouvementées.
L'élément le plus difficilement acceptable dans Black Widow est l'approximation de ses nombreux effets spéciaux. Sans plaisanterie aucune, je crois qu'il s'agit de l'un des pires de toute la franchise à ce niveau, franchise qui ne brille que rarement par ses trucages numériques soit dit en passant. Mais présentement, les incrustations se voient autant que les formes généreuses de Johansson, sans même parler de ses animations lorsqu'elle est filmée de loin qui schlinguent sévèrement. Au lieu de payer leurs acteurs une blinde, peut-être devraient-ils investir dans des équipes plus performantes dans ce domaine...
Les incrustations se voient autant que les formes généreuses de Johansson.
: Pardon ?
Par contre, là où l'œuvre s'en sort convenablement, c'est sur sa partition musicale plus qualitative qu'un bon nombre de superproductions du géant hollywoodien. En l'occurrence, elle sait se montrer discrète et se couper dans les moments opportuns, pour ensuite surgir tel un lion bondissant sur sa proie. J'aime tout particulièrement le thème qui unit les deux jeunes femmes et les résonances russes qui viennent succinctement se greffer à des sonorités plus occidentales. À noter un très bon mixage sonore, ainsi que des impacts de coups parfaitement retranscrits.
Loin d'être la pire copie du studio, Black Widow n'en reste pas moins un long-métrage terriblement frustrant. Il aurait été préférable que l'entièreté de celui-ci soit dans la même veine que ses 30 premières minutes et, par la même occasion, qu'une exploitation approfondie de la Chambre Rouge soit amorcée. Mais que nenni, il fallait rentrer dans le rang par peur de sortir trop longtemps des sentiers battus, sacrilège innommable pour la firme de Kevin Feige. Passée cette déception, on peut se consoler avec quelques-unes de ses qualités ; à savoir ses actrices/acteurs attachant(e)s, des idées parfois intéressantes ainsi qu'une introduction et BO réussies.
La phrase à retenir : Occasion manquée mais pas dénuée de tout intérêt.
Note : 🌕🌕🌕🌕🌕🌕🌗🌑🌑🌑
Bonne critique et belle présentation. 
Le 20 novembre 2023 à 15:28:45 :
Ça sent un peu le gros mytho non ?
C'est franchement possible.
Vu le caractère mythomane de Laurent j'y crois pas une seconde 
Le 20 novembre 2023 à 16:00:18 :
Vu le caractère mythomane de Laurent j'y crois pas une seconde
Attends, c'est une mytho ? mais genre ?
Le 20 novembre 2023 à 17:00:51 Netfluxthe1 a écrit :
Le 20 novembre 2023 à 16:00:18 :
Vu le caractère mythomane de Laurent j'y crois pas une secondeAttends, c'est une mytho ?
https://www.youtube.com/watch?v=GhlGCS35KC8
Loin d'être la pire copie du studio
Ah, mais si, c'est un des pires de tous les Marvels : j'ai tenu 10 mn.
Pareil pour Captain Marvel 1.
Les héroïnes de Marvel n'ont jamais égalé Wonder Woman 1 
Le 20 novembre 2023 à 15:28:52 :
Le 09 décembre 2021 à 20:52:46 :
Salut.24ème film du MCU ; Black Widow m'intriguait de par l'héroïne présente à l'écran qui m'est sympathique et son approche plus terre à terre. Si l'ensemble est loin d'être optimal, ce dernier réussit à proposer des intentions plutôt inhabituelles dans cette entreprise cadenassée. Hélas, l'aspect - cul entre deux chaises - sabote un tant soit peu ce qui aurait pu/dû être une vraie proposition qualifive.
Dès l'entame, je me suis surpris à me demander si je regardais du Marvel tant le ton s'éloignait des standards de la firme. Le côté plus intimiste mélangé à la noirceur du générique - appuyé par une reprise bien sentie de Nirvana -, j'étais sous le charme de la direction choisie. Cette impression a perduré jusqu'à la fuite des deux « sœurs » après leur rixe se rapprochant formellement des Jason Bourne. Malheureusement, la suite est bien plus édulcorée, et même si les affrontements restent davantage brutaux en comparaison à d'autres productions de l'écurie, je trouve dommage de ne pas avoir gardé cette ligne directrice jusqu'au bout.
C'est la fille de Milla Jovovich qui joue Natasha enfant, elle lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Bonne prestation au passage, je crois que sa maman n'a jamais été aussi bonne.
Atout avéré du studio, le casting ne déroge une nouvelle fois pas à la règle dans sa capacité à fournir des actrices et acteurs adapté(e)s aux différents rôles. Sans atteindre le charisme insolent d'une Scarlett Johansson, j'ai particulièrement aimé la jeune Florence Pugh, à la fois attachante et crédible physiquement. David Harbour, même si discutable au niveau de son écriture, livre une performance honnête à l'image de Rachel Weisz. Nonobstant, gros bémol pour Ray Winstone qui interprète un méchant totalement anecdotique, comme c'est malheureusement souvent le cas avec les antagonistes dans le MCU - Thanos exclu évidemment !
En parlant des vilains pas beaux sous-exploités, Taskmaster - je ne rentrerai pas dans les polémiques hébétées sur son changement de sexe - est un gâchis confirmant une fois de plus ce funeste constat. À dire vrai, le personnage avait le potentiel pour être un méchant efficace, étant à la fois polyvalent, puissant et possédant un certain charisme. Hélas, malgré des moments agréables en sa compagnie, son traitement est le reflet direct de la globalité du film : un manque de profondeur au sein de bonnes idées seulement effleurées.
Comme évoqué plus haut, il y a une dichotomie assez flagrante dans ce long-métrage. Si la première demi-heure est assez froide et se voit attribuer des scènes relativement violentes, la suite ajoute maintes blagues qui viennent entacher un potentiel tragique. C'est malencontreux, car le film parvient à de fugaces instants à être émouvant, sentiment qui aurait été davantage présent sans ce second degré. Saperlipopette ; on parle de gamines qui se font enlever pour être utilisées comme des armes, il y avait vraiment moyen d'approfondir le thème sans passer à la dérision un acte aussi cruel qu'une hystérectomie forcée. Malgré mon scepticisme sur son intérêt, l'utilisation de l'humour est plutôt intéressante, l'ensemble fait moins potache qu'à l'accoutumée et se concrétise souvent grâce à un découpage astucieux.
La réalisation est quant à elle un point soufflant également le chaud et le froid. Si quelques séquences se dégagent, notamment le combat dans l'appartement ou la chute libre à la fin, certaines sont découpées à l'emporte-pièce. Puis surtout - à diverses reprises -, j'ai noté des transitions n'ayant strictement aucun sens. Par exemple ; lorsque Weisz utilise son grappin pour s'élever vers le haut, le plan qui suit instantanément voit cette dernière en train de marcher pépère. Il ne manque pas une jonction là ? C'est assez dingue de telles erreurs, surtout que ce n'est pas le seul moment à souffrir de cette bévue.
Bien que globalement divertissant, le rythme n'en reste pas moins boitillant. Le second tiers du film bénéficie de dialogues pas toujours passionnants, à contrario des 30 dernières minutes mouvementées.
L'élément le plus difficilement acceptable dans Black Widow est l'approximation de ses nombreux effets spéciaux. Sans plaisanterie aucune, je crois qu'il s'agit de l'un des pires de toute la franchise à ce niveau, franchise qui ne brille que rarement par ses trucages numériques soit dit en passant. Mais présentement, les incrustations se voient autant que les formes généreuses de Johansson, sans même parler de ses animations lorsqu'elle est filmée de loin qui schlinguent sévèrement. Au lieu de payer leurs acteurs une blinde, peut-être devraient-ils investir dans des équipes plus performantes dans ce domaine...
Les incrustations se voient autant que les formes généreuses de Johansson.
Par contre, là où l'œuvre s'en sort convenablement, c'est sur sa partition musicale plus qualitative qu'un bon nombre de superproductions du géant hollywoodien. En l'occurrence, elle sait se montrer discrète et se couper dans les moments opportuns, pour ensuite surgir tel un lion bondissant sur sa proie. J'aime tout particulièrement le thème qui unit les deux jeunes femmes et les résonances russes qui viennent succinctement se greffer à des sonorités plus occidentales. À noter un très bon mixage sonore, ainsi que des impacts de coups parfaitement retranscrits.
Loin d'être la pire copie du studio, Black Widow n'en reste pas moins un long-métrage terriblement frustrant. Il aurait été préférable que l'entièreté de celui-ci soit dans la même veine que ses 30 premières minutes et, par la même occasion, qu'une exploitation approfondie de la Chambre Rouge soit amorcée. Mais que nenni, il fallait rentrer dans le rang par peur de sortir trop longtemps des sentiers battus, sacrilège innommable pour la firme de Kevin Feige. Passée cette déception, on peut se consoler avec quelques-unes de ses qualités ; à savoir ses actrices/acteurs attachant(e)s, des idées parfois intéressantes ainsi qu'une introduction et BO réussies.
Note : 🌕🌕🌕🌕🌕🌕🌗🌑🌑🌑
Bonne critique et belle présentation.
Je partage totalement ton avis.
[13:18:56] <MightyMatou>
Loin d'être la pire copie du studio
Ah, mais si, c'est un des pires de tous les Marvels : j'ai tenu 10 mn.
Pareil pour Captain Marvel 1.Les héroïnes de Marvel n'ont jamais égalé Wonder Woman 1
Ouais exactement
Wonder Woman 1 avait fait un carton au box office
Du coup Disney a voulu s'y en gouffrer
Sujet :
Black Widow - Marvel