Formidable ! On dirait l'un de ces films où le grand méchant révèle son vrai visage tandis que l'homme de loi campe sur ses positions ! Je vous décernerais un oscar si je le pouvais!
J'ai encore du mal à décider qui révèle tandis que l'autre accuse. Probablement les deux.
OH MON DIEU, J'AI PERDU LE CONTRÔLE DU GOUVERNEMENT !
Eh bien bravo.
On connaissait déjà tous le vrai visage d'Usul, ce n'était qu'une question de temps avant que la bête inférieure qui est en lui reprenne le dessus. Il n'a rien à faire dans notre cercle privilégié. Et effectivement, j'ai des valeurs fortes.
Nous avions convenu de cesser, il me semble. Continuer vos attaques tout en manquant une occasion parfaite d'utiliser votre sticker officiel est déloyal.
J'ai encore du mal à décider qui révèle tandis que l'autre accuse. Probablement les deux.
Vous voilà encore en train de vous bercer d'illusions.
Eh bien bravo.
Et il se moque du Premier Ministre en personne, désormais... les membres des bas-fonds ne respectent décidément plus rien...
en manquant une occasion parfaite d'utiliser votre sticker officiel
Je vois donc maintenant pourquoi vous pensiez que je manquais à ma fonction !
Au cas où vous n'auriez pas compris, le Ministère de la Noblesse utilise son sticker quand il tient des propos en rapport avec la pauvreté ou la noblesse, justement. Or ce n'était ici pas le cas. Aucune raison de l'utiliser dans notre situation. Il faut apprendre à utiliser son sticker attitré avec parcimonie. Vous en auriez un, vous le sauriez. Mais bon, vous voyez désormais pourquoi personne n'a confiance en vous et qu'on ne peut donc pas vous confier de telles responsabilités.
*reprend sa composition*
Messieurs les Ministres, je ne donnerai pas raison à qui que ce soit.
Je tiens à vous rappeler qu'en tant que membres de cet estimé gouvernement, nous devons nous élever au-dessus de ces débats stériles tout juste dignes de l'Assemblée Nationale Française. Tout différend doit être certes débattu, mais avec la plus grande des politesses, quelle que soit la teneur des propos.
Car voyez !
Oui, voyez quelles sont les conséquences du cumul de mandats dont je vous avais pourtant averti des dangers!
Voyez où mène l'ivresse du pouvoir lorsqu'elle n'est jugulée par une force régulatrice !
Et c'est bien de cette force régulatrice qu'il est sujet en cet instant : le Ministère du Cumul des Mandats aurait dû intervenir depuis bien longtemps.
Loin de moi cependant l'idée d'accuser M. Lolmaz d'inaction ayant mené au conflit interministériel.
Ne cherchons point de bouc émissaire : l'échec de mon gouvernement est mon échec.
C'est pourquoi, assumant l'entière responsabilité dudit échec, je présente officiellement ma demande de démission à M. le Président de la République.
T'as pas le droit de faire ça ! J'ai déjà posé la mienne à Ange !
Edit : Cela dit, si ce qui doit arriver arrive, je pose bien entendu ma candidature pour ton poste vacant. Après tout, j'ai moi-même occupé de nombreux postes du gouvernement, donc en connaît de nombreuses facettes, et je suis particulièrement impliqué au service de notre pays comme vous avez déjà pu le constater à de multiples reprises.
Au cas où vous n'auriez pas compris, le Ministère de la Noblesse utilise son sticker quand il tient des propos en rapport avec la pauvreté ou la noblesse, justement. Or ce n'était ici pas le cas. Aucune raison de l'utiliser dans notre situation. Il faut apprendre à utiliser son sticker attitré avec parcimonie. Vous en auriez un, vous le sauriez. Mais bon, vous voyez désormais pourquoi personne n'a confiance en vous et qu'on ne peut donc pas vous confier de telles responsabilités.
Usul a écrit :
Nous avions convenu de cesser, il me semble.
Monsieur le Ministre ronge son os tel un chien sauvage jamais nourri et continue d'être dans l'erreur (railler quelqu'un d'exclu d'un cercle restreint fait partie de vos attributions, mon cher, cela semble évident). Pour le bien du gouvernement, je m'abstiendrai de répondre quelles que soient ces provocations, mais je ne le considère plus comme un vrai membre de la noblesse qu'il est censé représenter.
Mais nous avons certes une définition différente de ce qu'est être noble, ce qui est, et je n'ai justement jamais cessé de le dire, le coeur du problème présent. Afin d'amorcer une réconciliation, je propose de redéfinir le terme plus clairement.
La définition qu'en a M. TheCody ne semble pas claire. De son dernier post, il semble que ce soit surtout une question de richesse et non de classe sociale. Je suis d'avis que le statut englobe bien plus que cela et est une véritable philosophie de vie, comme en témoignent les consignes du Premier Ministre (mépris des classes inférieures, politesse en toute circonstance et classe sont des exigences qui suggèrent cela, en tous cas).
Je demande l'avis du Premier Ministre sur la question, en tant que personne à l'origine de la tradition ayant menée à la création du Ministère.
édit: Et voilà que l'affaire prend des proportions plus importantes qu'elle ne le devrait. Je m'oppose à cette démission et supplie Monsieur le Premier Ministre de reconsidérer sa décision.
Vous êtes réellement passé maître dans l'art de détourner mes propos ou de faire semblant de ne pas me comprendre.
De son dernier post, il semble que ce soit surtout une question de richesse
Non, j'ai dit "pauvreté OU noblesse", et même pas en parlant de la définition de la noblesse, qui plus est.
Malgré tout ce que vous pourrez tenter d'étaler, la noblesse, soit ça s'hérite, soit ça se mérite. J'ai déjà dit à trois reprises que vous ne l'aviez pas obtenue de la première manière, et qu'à mes yeux vous ne remplissez pas les critères de la seconde. Est-ce si difficile à comprendre ou vais-je devoir une fois de plus souffrir le spectacle de vous roulez dans vos propres excréments mentaux en me demandant de l'expliquer à nouveau ?
Après, bien entendu, et je ne l'ai jamais nié, quelqu'un qui se voit investit d'un titre de noblesse devient évidemment un être supérieur qui a, je cite :
mépris des classes inférieures, politesse en toute circonstance et classe
Ce que j'ai, et vous avez prouvé que vous ne l'aviez pas. Affaire classé, je vous serais gré de cesser de m'importuner.
Vous êtes réellement passé maître dans l'art de détourner mes propos ou de faire semblant de ne pas me comprendre.
Je retourne le compliment. Il faut croire que c'est une compétence nécessaire pour entrer dans le gouvernement.
Malgré tout ce que vous pourrez tenter d'étaler, la noblesse, soit ça s'hérite, soit ça se mérite.
Je soutiens justement depuis le début que cela ne se mérite pas. On est noble ou ne l'est pas.
J'ai déjà dit à trois reprises que vous ne l'aviez pas obtenue de la première manière
Ce qui n'est rien d'autre que calomnies infondées. Vous n'en savez rien.
Est-ce si difficile à comprendre ou vais-je devoir une fois de plus souffrir le spectacle de vous roulez dans vos propres excréments mentaux en me demandant de l'expliquer à nouveau ?
L'ironie de vous voir dire cela alors que vous n'avez toujours pas pris la peine de comprendre mes arguments (qui comme vous l'avez remarqué, sont les mêmes de post en post, parce que vous n'écoutez pas) est frappante, mais j'essayais de faire avancer le débat. Si vous ne voulez me venir en aide, ayez au moins la grâce de vous taire pour y mettre fin.
Après, bien entendu, et je ne l'ai jamais nié, quelqu'un qui se voit investit d'un titre de noblesse devient évidemment un être supérieur qui a, je cite :
Sur ce point je ne peux vous suivre. Un membre du peuple qui se voit accordé un titre n'est rien de plus qu'un parvenu.
Ce que j'ai, et vous avez prouvé que vous ne l'aviez pas. Affaire classé, je vous serais gré de cesser de m'importuner.
Vos débordements auront prouvé le contraire sur les deux derniers points. Nous avons une définition différente du premier, ce qui rend le débat difficile.
Je soutiens justement depuis le début que cela ne se mérite pas. On est noble ou ne l'est pas.
Sur ce point je ne peux vous suivre. Un membre du peuple qui se voit accordé un titre n'est rien de plus qu'un parvenu.
Qui êtes vous pour remettre en cause la capacité de notre Président à insuffler la noblesse en quelqu'un ? Faites attention à vous, Usul, ce n'est pas la première fois que vous tenez des propos tendancieux.
Ce qui n'est rien d'autre que calomnies infondées. Vous n'en savez rien.
Le seul ours noble que j'ai jamais connu était Sir Bearington, et vous ne lui êtes apparenté d'aucune manière.
L'ironie de vous voir dire cela alors que vous n'avez toujours pas pris la peine de comprendre mes arguments (qui comme vous l'avez remarqué, sont les mêmes de post en post, parce que vous n'écoutez pas) est frappante, mais j'essayais de faire avancer le débat.
Faux, j'ai entendu vos arguments depuis longtemps et les ai démonté immédiatement. Mais étant probablement trop primitif pour comprendre mes propos, vous continuez à marteler inutilement vos phrases toutes faites pitoyables.
Si vous ne voulez me venir en aide, ayez au moins la grâce de vous taire pour y mettre fin.
Navré, dans le protocole, le noble doit toujours avoir le dernier mot. Taisez-vous, donc.
Il est vrai que les prérogatives du Ministre de la Noblesse n'ont jamais été définies avec une précision suffisante.
Ainsi :
Ce décret prend effet immédiatement.
Qui êtes vous pour remettre en cause la capacité de notre Président à insuffler la noblesse en quelqu'un ? Faites attention à vous, Usul, ce n'est pas la première fois que vous tenez des propos tendancieux.
Le Président, étant lui-même noble, est parfaitement capable de distinguer un noble d'un membre du peuple. Cependant, ce n'est pas la question puisque nommer les membres du gouvernement est le rôle du Premier Ministre et non du Président. Pour ce qui est de l'attitude, la critique est précieuse venant de celui qui a tenté de tromper le Premier Ministre pour contourner une décision du Président lui-même.
Le seul ours noble que j'ai jamais connu était Sir Bearington, et vous ne lui êtes apparenté d'aucune manière.
Parce que vous connaissez naturellement toute la noblesse de nos belles forêts.
Faux, j'ai entendu vos arguments depuis longtemps et les ai démonté immédiatement. Mais étant probablement trop primitif pour comprendre mes propos, vous continuez à marteler inutilement vos phrases toutes faites pitoyables.
Cette phrase se répond à elle même, à croire que vous l'avez voulu.
Navré, dans le protocole, le noble doit toujours avoir le dernier mot. Taisez-vous, donc.
Je vous prie donc de répondre à ma dernière phrase ou de vous taire.
édit: Je considère que le décret du Premier Ministre met fin au débat. J'attendrai de voir si le Ministre de la Noblesse se montre à la hauteur de ses fonctions nouvellement redéfinies avant de poursuivre ou non mes accusations. Qu'il se sente le droit d'ignorer ma demande de réponse jusqu'à ce moment.
J'ai donc le dernier mot.
C'est vrai.
Addendum sur la Noblesse :
Comment définit-on un noble ?
Si un Noble se définit principalement par ses titres, il ne faut pas oublier certains points se devant d'être indissociables de sa personne, à savoir :
Est-on Noble ou le devient-on ?
On peut naître Noble ou se retrouver Noble par un concours de circonstance.
La Noblesse se mérite-t-elle ?
Si l'on peut devenir Noble, cela ne veut pas pour autant dire qu'un quelconque concept de mérite entre en compte. A un instant de l'existence donné, on est noble ou on ne l'est pas. Ce qui signifie par conséquent que si la Noblesse ne se mérite pas, il faut tout de même en être digne à partir du moment où l'on en fait partie.
Que se passe-t-il en cas de manque de dignité ?
Cela finit souvent par rentrer dans les attributions du Bourreau de la République.
Ai-je tout de même la permission de m'exprimer d'une manière à peu près normale en dehors de mes heures de service ?
C'est délicat.
Allez quoi, on peut s'arranger.
Du moment que cela ne mène à aucune dérive telle qu'une situation où vous vous dédouaneriez de propos tenus en prétextant que vous n'étiez pas en service.
Je crois que Monsieur le Premier Ministre m'a mal compris.
...je crois que ma dernière action avant que M. le Président accepte ma démission va être la création d'un Ministère contre la Corruption.
A propos d'action, vous savez où vous dormez ce soir, Monsieur le Premier Ministre ?