War Thunder

Si j'avais été ingénieur à cette époque j'aurais crée un système ou la tourelle tourne sur un roulement à bille, ou alors j'ai mal compris et c'étais déjà le cas, mais j'y connais rien là dedans ducoup

Ok, donc le canonnier, c'est le viseur.

Et en ce qui s'agit de la manivelle, le principe c'était un peu le même que sur le système des canons anti-aériens ( genre flak 88 ), qui permettait de faire bouger le canon, et par la même occasion la tourelle?

https://youtu.be/yPQKFDf2BEM?t=327

Le 11 août 2016 à 01:54:36 Echoskito a écrit :
Ok, donc le canonnier, c'est le viseur.

Et en ce qui s'agit de la manivelle, le principe c'était un peu le même que sur le système des canons anti-aériens ( genre flak 88 ), qui permettait de faire bouger le canon, et par la même occasion la tourelle?

https://youtu.be/yPQKFDf2BEM?t=327

"O grande Bañador"
Le grand maillot de bain

Ok, donc le canonnier, c'est le viseur.

Bah ... comme dans ( presque ? ) tous les chars de l'histoire

Et en ce qui s'agit de la manivelle, le principe c'était un peu le même que sur le système des canons anti-aériens ( genre flak 88 ), qui permettait de faire bouger le canon, et par la même occasion la tourelle?

Ui. Une manivelle pour l'axe horizontal ( tourelle ), une pour l'axe vertical. ( élévation du canon )

Le 11 août 2016 à 01:50:48 Nanostructure a écrit :
Si j'avais été ingénieur à cette époque j'aurais crée un système ou la tourelle tourne sur un roulement à bille, ou alors j'ai mal compris et c'étais déjà le cas, mais j'y connais rien là dedans ducoup

Si t'arrives à gérer la rotation de la tourelle, faut voir comment gérer la répartition du poids de la tourelle.

Ou alors je dis que de la merde puisqu'il te suffit de trouver cette pièce

De la souder au châssis, puis simplement de poser la tourelle dessus (enfin, je veux dire poser la tourelle sur la partie mobile).

Bah ... comme dans ( presque ? ) tous les chars de l'histoire.

Rigole pas, je le savais tout simplement pas.

Surtout que la répartition du poids ( de la masse* gné gné gné ) d'une tourelle de char, c'est quelque chose de pas forcément facile à contrôler ( surtout à l'époque. )

Je trouve le T-62 plus stylé.

Mais j'ai voté Artyom vs auto.

Le 11 août 2016 à 02:39:51 Spoutnik_no_29 a écrit :
Je trouve le T-62 plus stylé.

Mais j'ai voté Artyom vs auto.

Artyom vs Otto.

Otto le rouillé, un decalco sur world of tank

Le 11 août 2016 à 03:06:17 Staline-DECCCP a écrit :
Otto le rouillé, un decalco sur world of tank

Ce qui est marrant, c'est que vos débats finissent toujours en concours de citation de message.

Le 10 août 2016 à 23:40:28 Staline-DECCCP a écrit :
Dans le jeu c'est la version proto avec le canon rayé je crois le T-62A

Non non c'est bien le T-62, le T-62A c'est un canon de 100mm.

Sinon j'ai voté le M60A1 malgré sa tourelle abusivement "nerfé", il reste quand même un char supérieur au T-62 selon moi.

Il est trop facilement penetrable le m60

Je le detruit assez facilement au t-54 mod 47

Et le T-62?

Echoskito (11 août 2016 à 14:37:45) a écrit:
Et le T-62?

agagaga 128mm glorius char aleman XDDDDDDD

Et le leopard1 A1
Salaud !

J'avais déjà écrit quelque chose à ce sujet :

Le 27 février 2016 à 12:27:10 Auto_tracking a écrit :
Concernant la rotation de la tourelle :

Sur le Renault FT, l'opérateur tourelle devait pousser ou tirer de tout son poids pour faire pivoter la tourelle (je suppose qu'il y avait des poignées pour prendre appui).

Durant l'entre-deux-guerres arrive le système rotation actionné par volant à main.

La tourelle du Somua S-35 et du T-34 étaient chacune actionnées par un moteur électrique alimenté en électricité par un alternateur.
Mais la vitesse de rotation n'était pas réglable, si bien que le pointage fin n'était pas possible, obligeant l'opérateur tourelle à réaliser un fignolage au volant à main pour l'acquisition finale de l'objectif.

Les chars anglais (les char cruisers par exemple) et américain (le M4 Sherman est l'exemple le plus parlant) utilisaient quant à eux des moteur hydrauliques, plus précis, plus puissant mais aussi plus bruyant, plus encombrant et surtout plus dangereux car requérant un réservoir et une tuyauterie spécifique avec un liquide inflammable sous pression.
La pompe du moteur hydraulique est actionnée par un petit moteur électrique alimenté par l'alternateur du moteur.

Les chars allemands utilisaient aussi un moteur hydraulique mais différent, ce dernier étant logé entre le fond de la caisse et le plancher du panier de la tourelle, il est directement relié à l'arbre de transmission reliant le moteur à la boîte de vitesse.
Il prend donc directement sa puissance du moteur, ce qui fait que la vitesse de rotation de la tourelle varie inévitablement en fonction du régime du moteur.

Concernant le pointage de l'artillerie en site :

Initialement, le pointage en site se faisait en appuyant avec son épaule, bien souvent à l'aide d'une crosse (image ci-dessous).

À la fin des années 1920 commencent à apparaître des système d'élévation du canon par un mécanisme à engrenage actionné par un volant à main, le pointage est plus lent mais plus précis.

Mais raison de la simplicité du premier système, le pointage à l'épaule est encore utilisé au début de la Seconde Guerre Mondiale par les blindés français ainsi que les anglais, qui continuent a l'utiliser sur le QF 6-pounder (57 mm) des chars cruiser et d'infanterie tel que Cromwell et le Churchill.

Quant au volant de pointage à main, il demeure l'unique système de pointage employé jusqu'en 1945, le T-34-85, le Tigre 2, l'IS-3 l'utilisent.

Les système motorisés n'arrivent qu'avec les premiers systèmes de stabilisation du canon.

Et la comparaison M60A1 / T-62 ...dans le jeu ou dans la réalité ?

Le 11 août 2016 à 15:52:46 lulastaque a écrit :
Et le leopard1 A1
Salaud !

On s'en tamponne le coquillard en fait, c'est le Léopard 1A2 qu'il nous faut

Le 11 août 2016 à 17:17:52 Auto_tracking a écrit :
J'avais déjà écrit quelque chose à ce sujet :

Le 27 février 2016 à 12:27:10 Auto_tracking a écrit :
Concernant la rotation de la tourelle :

Sur le Renault FT, l'opérateur tourelle devait pousser ou tirer de tout son poids pour faire pivoter la tourelle (je suppose qu'il y avait des poignées pour prendre appui).

Durant l'entre-deux-guerres arrive le système rotation actionné par volant à main.

La tourelle du Somua S-35 et du T-34 étaient chacune actionnées par un moteur électrique alimenté en électricité par un alternateur.
Mais la vitesse de rotation n'était pas réglable, si bien que le pointage fin n'était pas possible, obligeant l'opérateur tourelle à réaliser un fignolage au volant à main pour l'acquisition finale de l'objectif.

Les chars anglais (les char cruisers par exemple) et américain (le M4 Sherman est l'exemple le plus parlant) utilisaient quant à eux des moteur hydrauliques, plus précis, plus puissant mais aussi plus bruyant, plus encombrant et surtout plus dangereux car requérant un réservoir et une tuyauterie spécifique avec un liquide inflammable sous pression.
La pompe du moteur hydraulique est actionnée par un petit moteur électrique alimenté par l'alternateur du moteur.

Les chars allemands utilisaient aussi un moteur hydraulique mais différent, ce dernier étant logé entre le fond de la caisse et le plancher du panier de la tourelle, il est directement relié à l'arbre de transmission reliant le moteur à la boîte de vitesse.
Il prend donc directement sa puissance du moteur, ce qui fait que la vitesse de rotation de la tourelle varie inévitablement en fonction du régime du moteur.

Concernant le pointage de l'artillerie en site :

Initialement, le pointage en site se faisait en appuyant avec son épaule, bien souvent à l'aide d'une crosse (image ci-dessous).

À la fin des années 1920 commencent à apparaître des système d'élévation du canon par un mécanisme à engrenage actionné par un volant à main, le pointage est plus lent mais plus précis.

Mais raison de la simplicité du premier système, le pointage à l'épaule est encore utilisé au début de la Seconde Guerre Mondiale par les blindés français ainsi que les anglais, qui continuent a l'utiliser sur le QF 6-pounder (57 mm) des chars cruiser et d'infanterie tel que Cromwell et le Churchill.

Quant au volant de pointage à main, il demeure l'unique système de pointage employé jusqu'en 1945, le T-34-85, le Tigre 2, l'IS-3 l'utilisent.

Les système motorisés n'arrivent qu'avec les premiers systèmes de stabilisation du canon.

Et la comparaison M60A1 / T-62 ...dans le jeu ou dans la réalité ?

Le 11 août 2016 à 15:52:46 lulastaque a écrit :
Et le leopard1 A1
Salaud !

On s'en tamponne le coquillard en fait, c'est le Léopard 1A2 qu'il nous faut

Ok, merci pour la précision.