Santé et Bien-être

Bonjour,

J'ai rdv avec mon psychiatre ce vendredi et j'aimerais lui parler de mon envie de suicide qui se fait de plus en plus rationnel. A-t-il la possibilité de m'imposer l'hospitalisation (ce dont je redoute le plus)?

Merci beaucoup pour votre aide !

Un psychiatre ne peut pas imposer juste proposer. Tu es capable de prendre une décision donc il n'a aucun pouvoir sur toi.

Les seuls moments où ils peuvent imposer cest quand,tu n'as plus cette capacité, tu perds la boule,tu deviens dangereux pour toi et les autres.
Un peut comme les.bipolaires sans medication qui font une crise de manie,qui se prend pour superman,se mettent à poil et commence à grimper des murs pour entre chez deux inconnues et apres va prendre une poêle et les frappés car il a attrapé les voleurs.

J'exagère un peut mais cest pour te donner une idee

Le 03 septembre 2020 à 14:53:20 patatecramer a écrit :
Un psychiatre ne peut pas imposer juste proposer. Tu es capable de prendre une décision donc il n'a aucun pouvoir sur toi.

Les seuls moments où ils peuvent imposer cest quand,tu n'as plus cette capacité, tu perds la boule,tu deviens dangereux pour toi et les autres.
Un peut comme les.bipolaires sans medication qui font une crise de manie,qui se prend pour superman,se mettent à poil et commence à grimper des murs pour entre chez deux inconnues et apres va prendre une poêle et les frappés car il a attrapé les voleurs.

J'exagère un peut mais cest pour te donner une idee

Ton raisonnement est faux

Bien sûr que si le psychiatre a un pouvoir sur le patient. Tu le dis toi même, si la personne en question est un danger pour belle même, elle se fera hospitalisé sans consentement.

Là par exemple l'auteur va parler de son besoin de suicide qui est rationnel. Que va faire le psychiatre ? Il va le laisser partir alors qu'il a des doutes ? Non il va lui proposer une hospitalisation forcé parce que il aura peur qu'il passe à l'acte.

En quelque sorte il sera surveillé

Mon raisonnement est tout à fait veridicte. Je travail dans le domaine médical et je suis patiente aussi.
Alors peut-être que tu n'as pas comprit mon message,mais ca ne veut pas dire que je raconte des conneries.

Un psychiatre peut forcer à partir du moment où le patient n'est plus apte à prendre des décisions (d'où l'exemple dune crise de manie dangereuse).

Là, un patient qui a des envies suicidaires,est encore apte. Le psychiatre peut PROPOSER mais ne pas imposer.
Tu crois que tous les suicidaires sont internes? Non,ils sont suivis et médicamenté.

Un psychiatre est capable de cerner a partir de quand un patient est réellement en danger ou non.

D'où le dialogue entre professionnel/patient.

Dabord cest les essaies thérapeutique et médicamenteux,puis une augmentation de dose et on attend si il y a une amélioration.
Si cest positif,le professionnel s'attend une amélioration dans les mois à venir.
Dans le cas contraire le professionnel commence à envisager une hospitalisation (selon les gravites)

Cest comme sortir que tous les schizophrènes sont internés car ils font des crises...

Je crois qu'avec ce raisonnement les hôpitaux seront plaint à craquer (déjà que maintenant ils sont full).

Le 08 septembre 2020 à 19:20:29 patatecramer a écrit :
Mon raisonnement est tout à fait veridicte. Je travail dans le domaine médical et je suis patiente aussi.
Alors peut-être que tu n'as pas comprit mon message,mais ca ne veut pas dire que je raconte des conneries.

Un psychiatre peut forcer à partir du moment où le patient n'est plus apte à prendre des décisions (d'où l'exemple dune crise de manie dangereuse).

Là, un patient qui a des envies suicidaires,est encore apte. Le psychiatre peut PROPOSER mais ne pas imposer.
Tu crois que tous les suicidaires sont internes? Non,ils sont suivis et médicamenté.

Un psychiatre est capable de cerner a partir de quand un patient est réellement en danger ou non.

D'où le dialogue entre professionnel/patient.

Dabord cest les essaies thérapeutique et médicamenteux,puis une augmentation de dose et on attend si il y a une amélioration.
Si cest positif,le professionnel s'attend une amélioration dans les mois à venir.
Dans le cas contraire le professionnel commence à envisager une hospitalisation (selon les gravites)

Cest comme sortir que tous les schizophrènes sont internés car ils font des crises...

Je crois qu'avec ce raisonnement les hôpitaux seront plaint à craquer (déjà que maintenant ils sont full).

Très bien,

Mais acceptons le fait que le patient ne souhaite pas avoir recours à un traitement médicamenteux. C'est son choix, donc il explique ses raisons pour lesquelles il n'en voudrait pas

Sauf que le psychiatre le contraint à lui en prescrire sinon hospitalisation, l'autre partie refuse malgré ses arguments (par exemple qu'il souhaite entreprendre une thérapie sans médicaments, changer son rythme de vie etc). Et donc le patient est envoyé en HP alors qu'il n'est pas forcément en danger. C'est déjà arrivé ce genre de cas

C'est pour ça que personnellement, je me méfie du corps médical à cause de ce genre de problème. C'est horrible, j'en ai déjà fait les frais. Aujourd'hui, ce genre de méthodes m'a traumatisé des hôpitaux